Elle s’appelle Margaux, la jeune fille qui est venue s’asseoir devant moi dans le bus. Il fait froid ce jour-là, et pour une fois, j’ai pris le bus pour revenir de la boutique en fin de journée. Margaux a de longs cheveux bruns bouclés, elle porte, sous sa veste ouverte, un pull à col roulé, qui épouse parfaitement sa poitrine généreuse ! Elle est plongée dans un bouquin érotique, « le jeu des tentations » L’histoire d’une femme mariée qui retrouve son amour de jeunesse, je l’ai lu ! Chaud !
Un moment, elle a levé les yeux vers moi, je lui ai souri, elle m’a souri et a replongé dans son bouquin. Quelques arrêts plus loin, Margaux a rangé son bouquin dans son sac, s’est levée pour descendre. En passant, elle a posé sa main, avec insistance, sur mon épaule, invitation ?! Je n’ai pas réfléchi, je suis descendue derrière elle ! Margaux marche à quelques mètres devant moi. Je regarde ses hanches qui balancent, beau cul Hummm !!!Elle prend une rue à droite, je la vois entrer dans le hall d’un immeuble, j’entre, personne ! Un moment, je crois l’avoir perdue, mais non, elle est là, près de l’ascenseur, elle m’attend ! Pas un mot, pas un geste pendant que nous montons. Simplement des regards qui en disent longs !
Deuxième étage, un bel appartement
– Entre, mes parents sont absents pour deux jours -
J’enlève mon manteau, et je m’assieds sur le grand canapé. Margaux est revenue de la cuisine, portant un plateau avec deux mugs. Elle s’est assise à côté de moi.
— Un chocolat chaud !?
La bonne odeur de chocolat se mélange au parfum de Margaux, un peu enivrant !, c’est Margaux qui m’embrasse, enfin un petit bisou sur les lèvres, invitation à la suivre !
— Viens !
Au bout d’un couloir, la chambre de Margaux, une chambre de jeune fille, avec des cœurs et des photos, accrochées aux murs. Sur la table de chevet, une autre photo, celle de Baptiste, son petit ami. Mais là maintenant, Margaux ne pense pas vraiment à lui ! Elle a enlevé son pull, mes mains caressent sa poitrine, le soutien rejoint le pull sur le tapis, Margaux a la peau douce, ma bouche se pose sur ses seins, Humm, ce parfum, j’ai envie d’elle ! Nous nous embrassons, nos langues se mélangent, nos vêtements jonchent le tapis, nos corps se touchent, seins contre seins.
Lentement ma langue descend, le ventre, le nombril, j’embrasse sa chatte fraîche et rasée à travers le tissu de sa culotte, qui glisse sur ses cuisses, Margaux gémit quand ma langue la pénètre, c’est bon ! Tout en la léchant, je lui caresse les fesses et j’enfonce un doigt dans son petit cul.
Nous basculons sur son lit, je prends mon temps, le corps de Margaux ondule, se cabre sous mes caresses de plus en plus appuyées. C’est bientôt toute ma main qui va et vient dans son vagin, Margaux joui dans un cri !Pendant un moment, j’ai continué à caresser Margaux, sa peau douce, ses seins fermes. Plutôt, nous nous sommes caressées, léchées, nos sexes se sont frottés l’un contre l’autre, merveilleux moments partagés !
Mais la coquine Margaux avait une surprise ! Du tiroir de sa table de chevet, elle a sorti, en souriant, un double gode ! Humm ! Glisser sur l’engin, se l’enfoncer bien profond, toutes les deux en s’embrassant, jouissance partagée ! Après la douche tout en caresses, un dernier baiser, je quitte Margaux, qui doit étudier ! Peut-être la revoir un jour, ou pas ! Je suis rentrée chez moi, avec le dernier bus, tout juste !
C’est Margaux qui m’a appelé ! Et je me suis fait piéger, mais je ne le regrette pas !!
— Si tu le veux, passe ce soir à la maison, mes parents sont absents... J’ai envie de toi !!
Mon cœur a bondi ! La franchise de la jeunesse, sans filtre ! Oh oui, moi aussi, j’ai envie d’elle, de sa peau fraîche, de ses petits seins en forme de poire, mignons ! Et de sa petite chatte de jeune fille de dix-huit ans, à peine !Mais je suis déçue, enfin au début. Margaux n’est pas seule !
Deux de ses copines sont là, pour étudier un bouquin pour le lendemain ! Deux sœurs jumelles, Louise et Émeline, deux blondes aux yeux bleus, du même âge que Margaux. Un peu dépitée, je me suis assise sur le canapé à côté des jumelles, je ne sais pas trop que faire, partir, ou rester ?? Je vois bien les deux sœurs, rire discrètement derrière leurs livres, Et tout à coup Louise a lancé en me regardant droit dans les yeux,
— C’est vrai que vous avez baisé Margaux ?
Surprise ! je ne m’attendais pas à cette question ! J’ai regardé Margaux, un peu agacée et un peu déçue qu’elle ait raconté notre relation a ses copines. Mais Margaux n’a pas l’air contrariée ! Et Louise de rajouter, sans aucune gêne,
— Et si vous nous baisiez, ma sœur et moi ??
Les deux jumelles et se sont plantés devant moi, avec des yeux pétillants ! Margaux m’a regardé avec un sourire coquin.
— Si vous le voulez, vous pouvez prendre la chambre de mes parents, ils ont un grand lit !
L’intrigante ! C’est un guet-apens ! Elle a tout manigancé ! Et puis tout se précipite, entraînée par les jumelles, emportée dans leurs envies ! Louise et Émeline, rient en se déshabillant devant moi. Les deux effrontées, complètement nues, ont commencé à enlever mes vêtements, leurs mains impatientes me frôlent, leurs bouches, s’attardent sur ma peau, sur mes seins, sur mon ventre Et sur ma chatte, elles m’ont léchée, l’une après l’autre, pour mon plus grand plaisir ! Je l’avoue. Je regarde Margaux, assise près du lit, jouant la voyeuse en se caressant
Louise et Émeline se sont allongées sur le lit, les cuisses ouvertes prêtes à accueillir ma bouche et ma langue
— Baise-nous !
Elles se tiennent la main pendant que ma bouche et ma langue s’insinuent entre leurs lèvres de jeunes filles, j’ai glissé un doigt dans leur petit trou, leurs corps vibrent, elles gémissent sous mes coups de langues. J’ai adoré caresser leurs corps, sucer leurs seins, les doigter, frotter non sexe contre le leur. Les deux jumelles sont très fusionnelles, et n’hésitent pas à se caresser mutuellement.Margaux fini par nous rejoindre, trop envie, Assisse sur le bord du lit, j’ai laissé les trois amies ensemble, c’est moi maintenant qui joue la voyeuse ! Qui regarde ses trois jeunes filles dans leurs ébats.
D’un regard Margaux m’invite, elle souri, « laisse-toi faire » et plonge sa tête entre mes cuisses, en même temps, les jumelles me lèchent les seins. Je ferme les yeux, je suis bien ! Nous sommes bien !Je ne sais plus combien de temps cela à durer, nos corps se sont perdus dans une « mélange » très sensuel, nos mains et nos bouches passaient de l’une a l’autre, jamais rassasiée.
Quand je pars, il fait nuit et les jumelles doivent rentrer chez elles, demain école ! Margaux me glisse à l’oreille « pas fâchée pour ce traquenard ?! »Bien sûr que non, je ne suis pas fâchée, au contraire !Ah, j’oubliais, en partant, Louise et Émeline m’ont donné leurs numéros de portables...
