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Marie - Ange & Démon

Chapitre 4

Début du dressage.

Avec plusieurs hommes
Nous reprenons notre souffle. Moi j’ai refermé mon pantalon et rentré ma queue dans mon slip. C’est délibéré. Je veux marquer que je ne suis que de passage, un étranger qui vient de la baiser et non pas un simple amant.Elle est toujours allongée sur le ventre, s’étant effondrée dès que je l’ai quittée. Son visage est tourné vers moi. Elle est belle, de cette beauté trouble ou on peut encore apercevoir les deux Marie, la bigote et la trainée. Elle me demande :
— Je peux te poser une question ?— Bien sûr.— Comment sais-tu qu’avec Marc je n’accepte pas qu’il me prenne par-derrière.— Je ne sais pas, c’est juste que tu as dit toi même qu’il avait été chercher ailleurs…
Et puis je réfléchis. C’est ridicule de lui cacher. Si elle n’avait été que la Marie de Marc, je n’aurais pas dévoilé ce secret, mais la Marie du boucher autrement plus vicieuse peut bien entendre ce que je vais lui dire.
— Ma relation avec Marc est un peu différente de celle dont je t’ai parlé. Nous ne nous connaissons en réalité que par messagerie suite aux textes que je publie sur un site érotique. C’est ainsi que j’ai fait votre connaissance. Nous avons bavardé, échangé…— Echangé ? Mais échangé quoi par internet ?— Des confidences. Des photos…— Oh le salaud ! Je comprends maintenant son gout pour me prendre en photo. Il te les a envoyées ?— Oui, moi aussi d’ailleurs. Et c’est ainsi que petit à petit il m’a tout raconté.— Tout ?— Oui, tout de votre intimité. De son envie de plus. Ses envies qu’il réalise maintenant avec Stéphanie. Ses fantasmes.— Donc en venant me voir, tu avais tout prémédité.— Prémédité. Non. C’est juste le hasard qui m’a mené à Marseille. Ensuite, c’est la curiosité. La curiosité de te rencontrer. Je n’ai pas peur de dire que ces quelques photos t’avaient rendue désirable. J’ai flashé sur toi et pourtant je ne savais pas encore que tu avais un double visage.
En parlant j’atténue la force des mots en lui caressant tendrement le visage.
— Quel salaud !— Venant d’une Salope, la qualification ne manque pas de sel. — Pas toi ! Marc !
— Encore pire.
Je n’ai pas besoin de lui rappeler son attitude. Refuser à son compagnon que manifestement elle aime, ce qu’elle accorde à ce Georges. Et comme si elle suivait ma pensée.
— Je ne pouvais pas. Tu comprends je me suis enfermée dans un rôle avec lui. J’aimais nos petites baises en amoureux. Pour le sexe plus fort j’avais Georges.— Oui mais pas lui ! Pourtant je suis sûr qu’il aurait aimé le savoir.— Le savoir ? Que le boucher était mon amant ? Qu’il me traitait en pute ?— Oui.— Mais c’est impossible. Quel homme accepterait cela ?— Beaucoup. Tous les hommes qui aiment voir leur femme avec un autre. Moi par exemple, c’est bien ce que Martine et moi faisons. Ton Marc aimerait certainement. Surtout si cette révélation lui donnait accès à tout ce que tu lui refuses. — Pas lui ! En tout cas il ne m’en a jamais parlé.— Mais il te croyait loin de tout cela. Déjà il a été étonné que tu me cèdes si facilement.— Comment ça ? Tu lui as dit ?— Mais oui.— Tu me fais marcher.
Elle se relève, s’assied et me fait face.
— Pas du tout. Je l’ai appelé hier soir, dès notre retour des calanques.— Et qu’est-ce qu’il a dit ?— Qu’il était heureux pour toi ! Il m’a demandé des détails.— Tu lui as donné ?— J’ai répondu à toutes ses questions. Comment cela s’était passé la première fois. Sur le chemin…Dans l’eau…— Et alors ?— Vraiment il était très heureux. Il m’a demandé des photos. Mais je n’en avais pas.— Et maintenant ? — Je vais lui parler de Georges.— Non, non, pitié, s’il te plait, j’aurais trop honte. Tu te rends compte que je le croise tous les jours au travail. Déjà que maintenant qu’il sait pour nous deux…— Alors il va falloir être très obéissante avec moi. — Tout ce que tu veux.
C’est comme cela que chaque soir de la semaine je retrouve une Marie plus qu’obéissante, soumise, prête à tout pour que son secret reste caché. Les dieux du vice et de la perversité sont avec nous. Ce weekend il fait encore beau et pour la troisième fois je l’emmène Chez le Bel…. Mais ce n’est pas la même femme. La jupe est courte, le chemisier à boutons permet toutes les audaces. Il fait si beau qu’elle n’a ni culotte ni soutien-gorge. Elle a à peine protesté. Mais aussi j’ai exigé qu’elle se fasse épiler. D’une certaine façon elle est une nouvelle femme. La brise la caresse alors qu’elle marche et que je lui fais lever la jupe, se pencher contre l’arbre que nous avons utilisé la semaine dernière. Je photographie tout. Elle proteste que je l’immortalise ainsi. Evidemment elle est devenue prudente mais je la rassure : "juste un souvenir pour moi".J’ai réservé la table un peu en retrait, le coin des amoureux qu’une barrière de roseaux sépare du reste de la terrasse. Le serveur a largement profité du décolleté profond. Il n’y a rien de meilleur que de suivre son regard qui constate que pour chaque plat l’ouverture s’agrandit. Marie proteste pour la forme, mais en réalité s’amuse de ce jeu. Il lui faut cependant quelque verres de rosé pour qu’elle accepte de tirer sur sa jupe, puis d’ouvrir les cuisses gratifiant le jeune d’une vue partielle mais oh combien envoutante.Je demande l’addition. Je paye, laisse un bon pourboire, mais y ajoute un préservatif. Marie est partie se refaire une beauté. L’homme est étonné de ce sachet si anachronique. Il me regarde. Je souris et ajoute :
— Vous en aurez besoin.— Comment ?— Si vous en avez envie, suivez-nous….
L’invitation n’a pas besoin d’être mieux formulée. La capote parle mieux qu’un long discours. En nous éloignant je constate que l’homme suit à bonne distance. Dix minutes suffisent à nous éloigner de la petite plage du restaurant où grouillent les baigneurs. Un petit bosquet un peu en retrait du sentier. J’y attire Marie qui se doute bien que tout ce jeu m’a aussi excité.
— Déshabille-toi.
Il ne faut pas lui répéter. Elle aussi est bien chaude. Je descends mon short.
— Suce-moi.
En une semaine la sucette délicate a laissé la place à une vraie pipe. Il faut juste la pousser un peu. Appuyer sur sa tête pour la forcer à me gober c’est comme si on passait du mode " bigote" au mode "pute" comme quoi le Georges l’a conditionnée. Ensuite il y a juste à la laisser faire. Juste quelques encouragements de circonstances pour la motiver : "Bouffe moi la queue…Salope….Mes couilles…Allez…"Elle me pompe à genoux et moi je vois le serveur qui arrive à quelques mètres. Marie ne le voit pas. Je lui fais un "chut" du doigt tout en lui demandant de venir plus près.L’homme s’approche. Il a l’intelligence du voyeur, venir assez prêt mais légèrement en retrait afin que Marie ne puisse pas le voir ? En plus le soleil qui illumine cette scène printanière est le meilleur des complices. Il éclaire ma suceuse comme un spot de cinéma mais un spot qui éblouit aussi. De longues secondes elle me bouffe la bitte. Elle salive tellement que des coulures tombent de ses lèvres. Régulièrement j’immobilise sa tête entre mes mains pour lui rappeler qui est le maitre et je me baise dans cette gorge sans fond qui bruisse de mes vas et viens. Le jeune arabe regarde fasciné. Il avait enlevé son tablier de serveur et porte un polo et un short. Le restaurant cherche à conserver une aura de "bonne franquette" et la tenue est loin d’être celle des restos en ville. Je sens ma jouissance venir. Marie en vraie salope en devine l’imminence. Je la laisse libre de gérer comme nous le faisons maintenant depuis une petite semaine. Elle garde mon gland en bouche faisant de ses lèvres pressées dans le sillon le barrage qui va retenir les flots tumultueux. Je jouis. La salope m’a excitée et bien que, metteur en scène de l’exhibition au restaurant, je n’en suis pas moi sensible. Moi aussi à voir cet homme qui la regarde !
Oh oui il la regarde. Probablement que ses copines ne lui font pas ce genre de fellation. C’est une évidence. Mais de toute façon même le plus blasé des mâles ne peut rester indifférent devant cette femme qui recueille du foutre, le garde un instant en bouche alors que son amant retire sa queue "essorée" par les lèvres qui se ferment sur le butin. Pas indifférent à ce mouvement de gorge qui marque la déglutition ! Pas indifférent à ces doigts qui recueillent au coin des lèvres ce qui s’est échappé, malgré la vigilance de la pute, et qui le remette dans le droit chemin !Elle lève les yeux vers moi.
— Pas mal.
Dis-je. Il faut bien encourager les bonnes volontés.
— Regarde qui est là.
Elle tourne son visage dans la direction de mon regard. Elle découvre le serveur. Elle me regarde avec un air interrogateur.
— Tu l’as bien chauffé tout à l’heure. Il va falloir assumer maintenant.— Mais Max ! Voyons ! Je ne peux pas ! Pas un inconnu ! Pas comme ça ! En plus c’est toi qui m’as fait faire…— Tu préfères que j’en parle à Marc.— Non, pas ça. En plus avec un arabe…Il sait que ce n’est pas du tout mon genre. Je t’en prie ne lui dis rien.— Alors…...Approchez jeune homme elle va vous sucer avant. N’est-ce pas chère Marie !
Elle ne répond pas. Elle est vaincue. Le jeune est plutôt beau gosse. Je lui cède la place. La bigote doit se dire qu’il lui faudra faire pénitence pour se faire pardonner par son Dieu si difficile. Les miens, ils veillent sur nous et doivent sourire de ce qui se passe.Lorsqu’elle tire sur le short et le slip, la queue s’affiche déjà en belle tenue. Belle bitte qui se dresse vers le ciel, preuve d’une belle excitation. Pas de ces excitations molles d’amants blasés, non une érection de jeunesse, de celle qui font que le gland sort du slip, forçant par sa croissance l’élastique puritain.Lorsqu’elle le prend en bouche c’est vers moi qu’est dirigé son regard. J’ai déjà sorti mon appareil photo et filme en mode HD. J’en connais un qui va être étonné. Je n’ai pas du tout l’intention de cacher cela à Marc. C’est ma façon à moi d’être honnête, au moins honnête à mon correspondant, correspondant devenu mon confident et mon complice depuis que je lui ai appris que je baisais sa copine.Je filme donc. Le jeune a compris qu’il peut demander plus que d’habitude car il a affaire à une vraie salope qui le suce tout simplement parce que je lui ai ordonné. C’est sa main qui appuie sur la tête pour que les lèvres viennent buter contre les couilles. Je me sens des ailes de cameraman, un cameraman obéissant aux ordres de la luxure, de la perversité, du vice, qui immortalise ce moment. Les yeux qui pleurent alors qu’elle étouffe, la bite calée tout au fond de sa gorge.
La reprise de souffle alors que l’homme la libère.Les flots de salives qui pendent de ses lèvres, de la queue, de son menton et qui forment des coulures sur ses seins.Le plus merveilleux de tout, alors que le soleil est mon complice, la lente progression des lèvres tout au long du gland, de la hampe, progression accompagnée par les mains de la garce qui prend l’initiative de palper les couilles du mec.Mais je ne veux pas, par prudence, que l’homme crache son sperme dans la gorge de Marie. On ne sait jamais !Aussi je fais signe au gars de se retirer. Marie a ce regard d’enfant que l’on prive de dessert. C’est finalement ce qui me plait chez elle, cette façon de passer de la bigote à la pute, de l’innocence à la femelle en chaleur, en une fraction de seconde.
— En levrette. Dis-je.
Visage changé, sourire pervers, elle s’installe. Le sol est irrégulier mais elle trouve son bonheur. Déjà à côté de moi le serveur est en train de mettre la capote qui nous a servi de carte de visite.C’est seulement une fois fait, qu’il la regarde et constate alors que le soleil n’est pas que dans le ciel. Il est aussi dans la raie de Marie, soleil miniature dont les rayons scintillent mais n’aveuglent pas comme son grand frère. C’est la pierre synthétique du plug qui se fait remarquer. Je l’avais presque oublié. Je lui avais glissé dans le cul sur le chemin du restaurant alors qu’elle s’appuyait contre l’arbre pour en faire une série de photos.Sa surprise est manifeste. Je ne doute pas un instant qu’il sache reconnaitre la partie visible de ce qui occupe le cul de la chienne à quatre pattes. Même s’il n’en connait pas la réalité physique, internet, les sexshops et les vidéos de cul ont fait son éducation.Je fais un geste avec un sourire. Je claque la fesse de la salope, passe un doigt vers sa fente :
— Enfile là ! Elle est tout humide.
Une telle attitude de maquereau ou de mari partageur le réveille. Il cherche à se placer. Ma caméra n’en perd pas une miette. La bitte qui se place, qui avance facilement, le micro qui enregistre la remarque du gars : "Waouh, je le sens" alors qu’il s’immobilise, la voix de Marie qui lui balance impatiente : "allez, vas-y, vous m’avez excité, prends-moi."Je n’aime pas toujours les vidéos prises de trop près, préférant la vue d’ensemble, la plénitude des corps, les mouvements qui affichent les envies, les plaisirs, les expressions des visages, enfin tout ce qui fait que des amants se retrouvent dans la jouissance. Mais je dois reconnaitre que derrière la caméra je me surprends à penser déjà au montage que je ferai de tout cela.L’homme qui couvre la chienne. L’éclat de la pierre qui scintille l’espace d’un instant, moment ou l’homme se retire pour mieux se propulser en avant. Les mains du gars qui retienne la femme en la tenant par les épaules, la possédant autant en avançant qu’en l’attirant à lui. La femelle qui couine sous les assauts, qui a passé une main sous elle pour caresser son clitoris. Le visage de la pute, visage ravagé par les fellations et qui montre tous les symptômes du plaisir.Grand plan. Zoom. Grand plan. Zoom.Je vois déjà la vidéo que je vais envoyer à Marc. Il faudra peut-être la découper pour lui envoyer. A moins qu’on se rencontre. Après tout nous ne sommes pas si loin. Nous avons gardé les habitudes d’échanges lorsque la France nous séparait. Mais oui, je lui montrerai et pourrai découvrir sa réaction. Ce serait super !
Mais le couple avance dans le plaisir. La pute jouit et se trémousse pour une dernière enfilade. Le gars se termine assez vite, la sucette a dû l’avancer dans sa jouissance.Voilà, il se retire. Le sexe est encore tendu mais la capote pend avec le foutre. Ce n’est pas beau, je filme mais juste comme une preuve. Il l’arrache et la jette. Pollueur !Mais je n’en ai pas fini. Ils m’ont bien excité de tous leurs ébats et je bande.
— Tiens. Filme.
Dis-je en tendant la caméra au garçon. Le soleil miniature m’appelle. Ma main en masque le feu et lorsque je le retire il cède sa place pour un trou noir. Un trou qui m’attire. Sombre, obscène que je gratifie de ma salive. Je l’encule d’une poussée. Moi aussi je la retiens par les épaules. Je souris à la caméra en pensant:""" Regarde mon Marc ! Regarde comme j’encule ta copine. Tu ne la savais pas si salope ! Si tu avais su tu l’aurais fait depuis longtemps ! Ecoute la couiner ta bigote ! C’est autre chose qu’une prière ! Plus exactement c’est une prière pour que je la défonce ! Que je la laboure ! Que je lui défonce le cul ! Et ce n’est que le début !"""C’est délicieux. Je suis acteur, réalisateur, amant. Ma queue est un gourdin. Mes couilles frappent la chatte, rencontrent une main qui se caresse. La salope se branle encore. Elle n’en a jamais assez. Ce visage d’ange, ce corps d’adolescente ! Il suffit de "gratter" un peu pour que la femelle, la chienne apparaisse.Je me libère dans ce trou profond alors que l’anus m’étrangle. Un sourire vainqueur à la caméra. J’espère que le gars a bien immortalisé ce moment. Ah, mon Marc tu vas adorer...Je me retire. La croupe est toujours aussi insolente. L’anus est gras, bâillant dans une attitude vulgaire mais si excitante. Je viens de m’y vidanger. Lorsqu’elle va se relever le trop-plein va couler le long de ses cuisses.
Mais non ! Le plug git sur sa jupe. Il suffit de le saisir. Je le montre au cameraman pour qu’il le fixe. Il le suit et je vois son air étonné lorsque je le glisse dans le cul que je viens de quitter. Ainsi ma belle tu vas garder en toi ma liqueur !Elle est fatiguée, fatiguée mais heureuse. Nous rentrons tranquillement. Ah si les gens que nous croisons savaient !Dans la voiture elle m’interroge :
— Georges va m’appeler ce soir. Je dis quoi ?
Ne t’inquiète pas pour ton rendez-vous, je pense. J’ai un projet. Un projet qui devrait me permettre d’offrir à Marc une vidéo explicative. Je suis pervers, vicieux mais je suis un homme honnête. La soudaine transformation de Marie en femme fatale n’est pas de mon fait. L’initiateur, le formateur, le maitre c’est le boucher, Georges. Cet homme qui utilise Marie pour son plaisir. Moi je ne fais que mettre en valeur ce diamant brut. Un diamant qu’il faut tailler, façonner et polir pour qu’il resplendisse au grand jour et pas seulement dans cette chambre de bigote, ou le christ en croix accroché au mur est le témoin muet de tant de turpitudes.
— Voilà ce que tu vas faire. Rien.— Comment Rien ?— Tu fais comme d’habitude.— Mais maintenant tu sais, tu connais.— Tu veux que je te débarrasse de cet homme ?
Elle hésite. Elle prend conscience que si Georges ne vient plus chez elle et que lorsque je serai parti elle se retrouvera seule avec une sexualité de mère de famille après la messe du dimanche.
— Cela ne veut pas dire que tu ne le verras plus. C’est juste que tu seras libre de le recevoir ou pas. Il pourra rester ton jardin secret, mais un jardin dont toi seule auras la clé.
Elle est soulagée. Marie est la parfaite hypocrite comme beaucoup de femmes, les hommes aussi d’ailleurs. C’est ainsi que l’épouse prend un amant car elle n’ose pas avouer à son mari ses désirs secrets de peur de lui paraitre perverse. Les hommes aussi, c’est la même chose. Voilà comment les couples se séparent, sur des malentendus, des envies inavouées car pensées inavouables. Voilà comment Marc a été chercher ailleurs. Pourtant ces deux-là s’aiment. Ils s’aiment mais restent dans leur monde ou lui pense que Marie, croyante et pratiquante, ne peut pas accepter de s’offrir comme il rêve. Et elle qu’il faut "violenter" pour que ses barrières cèdent.Mais cela ne risque pas de s’améliorer dans notre société ou, du fait d’hommes détenteur de pouvoir qui en ont abusé, la simple séduction risque de devenir délicate.
— Ah ! répond Marie qui est bien loin d’imaginer ce que je pense.— Oui. Voilà ce que tu vas faire. Tu vas voir, c’est très simple, je m’occupe du reste.
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