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Marie - Ange & Démon

Chapitre 7

Partie à quatre.

Avec plusieurs hommes
— Bonsoir. — Salut.— Alors ? Tu as aimé ? Pas trop jaloux ? Je ne peux m’empêcher d’appeler Marc dès le mardi soir. Cela lui a laissé le temps de digérer le spectacle que nous lui avons offert la veille. Un spectacle pour lui, mais pour nous vécu de l’intérieur, deux acteurs et une actrice qui se sont donnés à fond afin que….Foutaise ! En réalité, on s’est donnés à fond pour notre plus grand plaisir et Marc, s’il était dans nos pensées n’a été qu’un "catalyseur virtuel" pour notre trio. Surtout vers la fin, moment magique où sur l’écran de la tablette nous est apparu cet ex de Marie, dans une position des plus étonnantes. Décidément, ce jeune couple me surprend. Non seulement Marie se révèle une fieffée salope, bien loin de ce que Marc m’avait fait comprendre et montré. Mais lui aussi. Jamais il ne m’avait parlé du comportement qu’il pouvait adopter dans certaines conditions.Pourtant, de mon côté, je ne lui avais jamais caché mon goût pour des aventures avec sodomie lorsqu’elles étaient pilotées par ma femme.En tout cas, j’étais loin de me douter qu’il apprécie tant d’avoir un gode dans le cul tout en faisant le voyeur. Sans parler de ce fétichisme avec une petite culotte de son ex.— Aimé ? C’est difficile à dire. J’ai à la fois aimé et détesté. Au fait, où avez-vous été en quittant le salon ?Je lui explique notre aventure dans l’escalier, les voisins, le premier sandwich avec Marie accrochée sur Georges et moi qui l’enfile alors que les voisins bavardent quelques marches plus bas.— Vraiment ! C’est incroyable. Ce n’est pas ma Marie, c’est une sœur jumelle, un sosie. Et cette façon qu’a Georges de la traiter… Tous ces gadgets… Toute cette lingerie… La façon dont elle parle… La façon dont elle se comporte… Cherchant à… prenant là… Et vous deux qui la preniez en même temps…— Eh oui. Tu es vraiment passé à côté.— Comment pouvait-elle se prostituer pour son loyer ? Elle aurait pu me demander.— Ne parle pas de prostitution. Le loyer a été un prétexte. Peut-être qu’inconsciemment Georges la troublait. — Mais tout de même !— Alors finalement tu as aimé ou pas ?— Mais oui, putain oui ! Pire, j’aurais voulu être là et profiter d’elle avec vous. J’ai même apprécié lorsqu’elle se moquait de moi avec vous, me traitant de petite bite et tout ce qui va avec. Oui, j’aurais aimé lui montrer que moi aussi, je peux être inventif, dominant ou même soumis pour son plaisir et le mien.— Et bien tu vois. J’imagine que tu as tout enregistré ?— Bien entendu.— Moi aussi j’ai enregistré. D’ailleurs, j’ai découvert que tu ne m’avais pas tout dit.— Comment ? De quoi parles-tu ?— Quand je dis que j’ai enregistré, c’est de toi dont je parle, de ce que ta caméra montrait.— Oh !— Oui j’ai été étonné, surtout vers la fin.— Tu as regardé ! Vraiment ! Euh !— J’ai été surpris, mais c’était très sympa. Surtout que lorsque tu es monté sur le bureau avec la petite culotte de Marie et surtout ce gode… Je ne savais pas que tu appréciais cela… Tu ne m’en as jamais parlé…
— C’est Isabelle. Elle n’accepte de se faire prendre par le cul qu’à la condition que son amant accepte la même chose. Alors elle m’a initié et je dois reconnaître que c’est assez jouissif.— Décidément, tu attires les vicieuses. La prochaine étape, c’est de te faire prendre par un homme…— Mais non ! Certainement pas ! Je fais cela juste pour Isabelle.— On dit ça, et puis, de fil en aiguille, de gode en plug, on découvre la chaleur d’une belle bitte. J’en parle d’autant plus facilement que, comme tu le sais, avec Martine cela fait partie de nos jeux. — Si tu le dis. Pour l’instant mon grand regret, c’est de ne pas avoir su découvrir ce que cette bigote de Marie cachait. Putain tout ce que j’aurais aimé lui faire…
Dans mon esprit tourmenté et manipulateur, une idée prend forme. Pourquoi ne pas …. Oui, mais comment faire pour…? Dans le noir… ? Non, on ne pourrait pas vraiment profiter et filmer… Georges, sera-t-il d’accord …? C’est évident ! Marie… ? Elle devrait apprécier, salope et vicieuse comme elle est ! Marc ? Il faut bien lui présenter la chose !Oui, mais comment faire pour que chacun puisse profiter sans que l’autre….Un bandeau ? Non, elle ne verrait pas et elle voudra être aussi voyeuse…J’ai trouvé. Je me souviens d’une fois ou le bandeau s’était avéré un piètre rempart...
C’est fou comme notre cerveau est rapide, capable de réfléchir, capable de juger, d’analyser, de fermer les hypothèses improbables, de sélectionner les meilleures, de les affiner, de les peaufiner, pour fournir en l’espace d’une microseconde la solution au problème posé. — On pourrait peut-être envisager une solution ?— Tu penses à quoi ?— Tu as envie de baiser ton ex comme jamais tu n’as pu le faire ?— Oh que oui ! — Alors je pourrais peut-être organiser… Mais attention, ce n’est pas simple… Le chemin peut être difficile et demander des sacrifices…— Tout ce que tu veux du moment que je peux la baiser enfin.— J’ai bien une idée, mais tu devras suivre toutes mes demandes.— Tout ce que tu veux.— Attention Marc…— Je signe les yeux fermés du moment que je peux enfin lui glisser ma queue dans la gorge, l’enculer profond, la faire reluire…— Dans mon idée, elle ne saura pas que c’est toi. Elle n’accepterait jamais.— Fais comme tu veux, mais je suis d’accord. Organise-moi une rencontre avec la salope qui se cache sous la bigote et je ferai tout ce que tu me demanderas.
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Il est à l’heure pile. Ses coups sur la porte sont cependant peu assurés. Nul doute qu’il doit ressentir des sensations contradictoires. L’envie de baiser son ex, l’inquiétude d’être à la hauteur, se retrouver à quatre alors qu’il n’a aucune expérience de ce genre de situation.Nous sommes dans l’entrée. Les autres attendent dans le salon.— Salut.— Salut.— Ça fait un drôle d’effet de revenir ici.— Chut pas si fort. Elle pourrait t’entendre et comprendre que c’est toi. — Oh! Pardon. Il me répond à voix basse.— Donc on est bien d’accord. Pas un mot, rien qui ne peut te faire reconnaître. Elle a un bandeau devant les yeux, mais elle n’est pas sourde. Même si quelque chose t’étonne, tu ne dis rien. Mais aussi comme je te l’ai dit, il va falloir la mériter. Je te rappelle ta promesse…— Oui je sais. Tout, du moment que je peux la baiser sans qu’elle sache que c’est moi.— Alors, entrons. Il connaît bien entendu parfaitement les lieux. La grande pièce qui fait office de salon avec le canapé, les fauteuils, la table basse, la télé, un peu plus loin un coin-repas et de l’autre côté un bar. Un bar constitué d’un buffet en bois blond, les portes ouvragées telles des soleils rayonnants, une barre en bois rustique fixée au sol, faisant office de repose-pieds. Quatre tabourets lui font face. Ce coin du salon était leur endroit de prédilection du temps où ils vivaient en couple. C’est souvent de cet endroit que Marc prenait Marie en photo aussi bien habillée que nue, avec des poses suggestives qui devaient lui sembler à l’époque le top de l’érotisme.Celle qui est devant lui aujourd’hui, c’est bien Marie, mais elle est à des lieux de la gentillette bigote qui minaudait lorsque son copain voulait le photographier. Je peux presque l’entendre :""Marc, allons, je ne peux pas… Toute nue… Devant ce bar…tu me prendrais pour une dévergondée… Me pencher ? Mais tu n’y penses pas ! On va voir… Oh non pas si près… Pas mon minou… Arrête, pas avec la bouche, c’est sale… Oh… Coquin… Non… Continue… J’ai honte…""Georges est confortablement installé dans un fauteuil, un verre à la main. Les deux hommes se saluent de la tête. Le sourire de Georges est manifestement ironique. Celui de Marc, plus contraint. Il a devant lui l’homme par lequel tout est arrivé. Le maître chanteur, l’amant, le dominant de celle qui donnait le change à son copain alors qu’elle se laissait rabaissée, humiliée, labourée !Mais, bien évidemment, c’est Marie qui attire le regard. Elle est assise sur les genoux du boucher, propriétaire virtuel de cette jeune femme. Georges la pousse pour qu’elle se relève.— Montre-toi un peu que notre invité puisse profiter. — Il est là ?Elle demande, jouant parfaitement le jeu et regardant dans une direction imprécise, comme si le bandeau qui lui cache les yeux était vraiment opaque. Mais ce n’est pas le cas. C’est un jeu de dupes. Un étranger pourrait penser que Georges et moi sommes les pervers de ce quatuor, organisant une rencontre pour notre plaisir exclusif et utilisant ces deux jeunes comme instruments de notre vice. Que nenni ! Que Marc, malgré son cocufiage, apprécie d’être le voyeur des "orgies" de son ex, ce n’est pas pervers ?Qu’il soit prêt à tout ? Et il ne sait pas encore ce que ce "tout" signifie pour lui. Profiter, tel un client sur une pute, de Marie, ce n’est pas vicieux ?Et que dire de Marie ? ""Marie salope !"" C’est à se demander si ce n’est pas elle qui est à l’origine de cette expression ! Pour elle, il n’y a aucun doute, elle est définitivement perdue pour la petite vie de famille. Il en faudrait à son mari pour la satisfaire ! Elle est une parfaite Égérie qui inspire et propose tout ce dont les hommes ont envie. La beauté. La jeunesse. L’honorabilité de la croyante qui pratique sa foi. Mais aussi la sensualité qui transpire sous la bure. Vicieuse. Perverse. Catin. Pute. Mais oui comment doit-on appeler une femme qui se prête à nos jeux ? Qui veut se venger ? Se venger, la belle excuse ! Se venger alors qu’elle est la cause du délit ! Qui suggère sans avoir l’air d’y toucher : ""je veux voir, mais il ne doit pas savoir"". Et c’est le cas. Le bandeau n’est pas vraiment opaque, il laisse passer assez de lumière pour qu’elle distingue des formes, des silhouettes et mieux…Et Marc croyant être le "gagnant" la regarde. Elle est donc devant lui. C’est elle, mais pas elle. Le même visage, le même corps, les mêmes courbes, mais un sourire plus charnel, des joues plus roses, une attitude bien éloignée de la prude Marie. Il faut dire que le bandeau n’est pas tout. Marie porte un bustier de résille noire qui part des seins, écrasés sous le tissu transparent, jusqu’aux reins et d’où partent des attaches qui retiennent des bas comme un porte-jarretelle le ferait. Les bas sont noirs aussi. La culotte : un triangle minuscule et transparent attire le regard sur une chatte dont tous les poils ont été enlevés.— Tourne-toi ! Qu’il puisse voir ton cul.Elle tourne et sous le triangle réduit à sa plus simple expression, on devine l’éclat d’une pierre, signature d’un plug qui doit occuper et déformer ce cul que Marc rêve d’occuper. Mais il voit aussi ce qui pend du collier en cuir autour du cou, une laisse également en cuir noir signe, s’il en fallait un, de la position de soumise de son ex. — Il s’appelle Jean et il va te baiser. Dis-je.— Bonjour Jean. Dit Marie qui regarde maintenant dans la direction de ma voix.— Il ne te répondra pas. Il n’est pas autorisé à parler. — Ah !— Tu vas commencer par le déshabiller. Voilà, je te guide.Marie est face à lui. Je viens de poser ses mains sur les épaules de Marc. Elle trouve les boutons de la chemise. Marc n’ose pas bouger. Il se laisse faire. La chemise tombe au sol. Elle s’attaque à la ceinture, la braguette. Il soulève chaque jambe lorsqu’elle tire le pantalon vers le bas. Vient le moment du slip. La perfide passe sa main sur la bosse avant de tirer sur l’élastique. Il ne bande pas. Pourtant, j’aurais parié qu’il serait déjà excité. Mais non, probablement que notre présence et cette atmosphère particulière le bloquent un peu.Il est nu. Même les chaussettes et les chaussures sont parties. Marie s’est immobilisée, chienne bien dressée attendant un ordre de ses maîtres. Georges et moi échangeons un regard complice agrémenté d’un sourire. Marc attend lui aussi. J’avais bien précisé que c’est Georges et moi qui le conduirions tout au long de ce rendez-vous, avec la promesse de baiser son ex, mais seulement en récompense de "services rendus".C’est Georges qui sort d’un petit sac de voyage les quelques accessoires que nous avons réservés. Bien entendu, Marie sait ce qu’il contient. Elle en a elle-même choisi la couleur et la taille. Son envie d’humilier encore plus son ex lui a fait choisir le rose.C’est à elle que je tends la première pièce.— Qu’est-ce que c’est ?Demande l’ingénue parfaitement dans son rôle. Mais elle complète aussitôt : "un porte-jarretelles".L’étonnement de Marc est risible. — Mets-lui.— À lui ?— Oui, idiote à qui d’autre. La claque sur les fesses est censée lui rappeler qui commande, mais cela ne fait pas sourire l’impétrant. Marc après son étonnement fait signe d’un non, de la tête. Je lui montre alors le chemin de la porte et il comprend qu’il doit se laisser faire s’il veut pouvoir "profiter" de sa Marie salope.Marie doit jubiler alors qu’elle attache le porte-jarretelles autour de la taille de Marc qui semble se faire une raison. Les bas roses sont plus difficiles à mettre, mais, nul doute que les effleurements de Marie sur les cuisses pour les accrocher font passer la pilule. Le tour de cou, sosie parfait de celui qu’elle porte, est une signature on ne peut plus explicite que Marc comprend. Les pinces tétons sont une cerise sur le gâteau surtout que la femelle suce un peu ceux de l’homme pour mieux les ériger avant de les fixer. Pour le clou du spectacle, je paye de ma personne. C’est moi qui passe l’anneau à la base des couilles. Le cliquetis du cadenas qui emprisonne le sexe de Marc dans une cage en acier poli est une note de musique. Voilà, c’est fait. Marc est habillé en femme, finalement pas si ridicule que cela. Sa verge emprisonnée, son collier avec la laisse le réduise au niveau que son ex voulait. L’homme s’est moulé dans ce nouveau rôle, comprenant qu’il devait en passer par là pour atteindre son but. Mais il ne semble pas si mal à l’aise et je me demande si dans la discrétion d’une chambre Marc ne se déguisait pas ainsi. Il ne serait pas le premier à vouloir tester sur lui la délicatesse d’une petite culotte de soie, culotte si fine et si étroite que le sexe en érection en émerge largement. Et que dire d’un collant ou mieux de l’ensemble érotique et évocateur des bas et de leur attache. Quant aux tétons, souvent ignorés par les femmes, il en a certainement testé la façon de les faire saillir comme ceux d’une femme.Deux soumis sont face à face. Nul doute que Marie ne se remplisse les yeux de cette vision, mais Marc n’est pas en reste.— À quatre pattes, petite salope.Ordonne Georges à sa soumise. Elle obéit. Il se saisit de la laisse et commence à la faire marcher.— À toi. Dis-je à celui que nous avons féminisé. Il ne réagit pas assez vite, aussi, je lui claque les fesses. — Allez.Il s’exécute. La laisse en main, nous suivons Marie. Marc a la vision parfaite du petit cul de son ex qui se tortille de sa lente avancée. Nous leur faisons faire le tour de l’appartement. Nos deux caméras doivent capturer des plans intéressants. Marc qui avance presque collé au cul de Marie, elle toute déshabillée de noir, lui tout exposé de rose, elle le cul pris par un plug, lui la bitte prisonnière de la cage, elle, les seins qui pendent et tendent encore plus le corset, lui les tétons tirés par les pinces et leur poids. Le cortège est un régal. Georges revient vers son fauteuil. Il abandonne la laisse le temps de se déshabiller et puis en s’asseyant amène sa soumise vers son sexe poilu. Marie s’en saisit. Sa précision est étonnante pour une femme aveuglée, mais Marc ne le remarque pas et je l’amène à côté d’elle.— Regarde comme elle suce bien. Une demande pas vraiment indispensable. Juste pour le fun. Il a déjà eu l’occasion de voir Sa Marie nous pomper Georges et moi, mais jamais à une telle distance il est encore mieux placé que nous qui surplombons. Il est au même niveau que la femelle. Il en voit chaque détail, chaque coulure. Il entend chaque suintement, chaque gargouillis, chaque respiration. Marie se fait encore plus gorge profonde. D’elle-même, excitée par le regard de celui dont elle veut se venger, vengeance prétexte pour assouvir des envies désormais hors normes, elle bouffe la bitte et les couilles de Georges. Sa joue se déforme sous la pression du gland. Ses lèvres entourent la hampe jusqu’à venir buter aux couilles. Des couilles qu’elle gobe une à une. Une langue qui se glisse sous les bourses à la recherche du petit trou.Le vice personnifié ! — Tu as vu comme elle le gobe entièrement. Figure toi qu’avant elle avait un copain qui n’avait pas droit à cela. Il est totalement passé à côté.Marie m’entendant parler se soulève assez pour se libérer de la queue et, essoufflée, laissant couler des filets de salive, dit :— C’est sa faute. Il savait juste me baiser "a la pépère". Il n’osait pas. Pourtant, sa petite bitte aurait été facile à sucer. Ce n’est pas comme les vôtres. L’injure est forte, mais Marc se retient de réagir. Il est aussi comme fasciné, et même nous, pourtant familiers de ce spectacle, ne pouvons quitter des yeux la tête qui monte et descend. Marie a repris son ouvrage. Je ne me lasse pas de la regarder. Je ne me lasserais pas de le décrire, mais que pourrais-je ajouter à tout ce que j’ai déjà décrit dans mes textes.Sauf Georges qui sent sa sève monter et qui bloque sa suceuse pour qu’elle le reçoive entièrement.Sauf Marc dont le regard pourrait faire penser à un illuminé tellement il est concentré. Il n’imagine même pas le spectacle qu’il donne, lui aussi agenouillé, mâle châtré par la cage, féminisé par l’accoutrement rose et les breloques qui pendent de ses seins, lui aussi ouvrant la bouche dans un réflexe bien naturel au point que je me dis que je vais le pousser à participer en prenant sa part de la queue et des bourses…Mais Georges ne m’en laisse pas le temps, car il décharge son foutre que je sais généreux et épais, sperme de mâle dominateur et qu’il répand avec délectation dans la gorge de cette jeune bigote qu’il a transformé au fil des semaines en catin obéissante. Et elle sait obéir. Et elle sait ce qu’il faut pour exciter les trois mâles qui l’entourent. La bouche à peine refermée, la langue qui brasse avec obscénité ce que son amant lui a balancé, elle se tourne vers celui qu’elle n’est pas censée voir. Si je n’ai pas eu le temps de faire participer Marc à cette fellation, au moins, ai-je la pensée de le pousser vers son Ex. Marie ne lui laisse pas le temps de réfléchir que déjà ses lèvres effleurent les siennes, que ses mains enveloppent sa tête et que le baiser se transforme en un échange gluant et informe de cette crème blanchâtre. Le recul est à peine perceptible. Voilà au moins une chose qu’ils partagent enfin ensemble. Marie se sent des ailes. Alors que le baiser s’éternise, elle caresse celui qui se croit un inconnu, jouant avec les tétons, passant une main perfide autour de la cage métallique, pressant les couilles. Une main secoureuse lui tend un gode vibrant. Soudain, le bourdonnement remplit la pièce et le sextoy va chatouiller la bite prisonnière.Marc sursaute de cette caresse. Il ne s’attendait pas à cela. Le voici acteur et pas seulement spectateur. D’un doigt, je lui rappelle la discrétion. Mais la vibration l’émoustille et par moment la cage métallique résonne étrangement.— Arrête Marie. Attends une seconde…Marc est comme déçu, mais il ne sait pas encore ce que je lui réserve. Je le relève et le fais allonger sur la table basse. Il est comme une femelle offerte sauf que sa bitte brille de l’inox qui l’entoure. Georges guide Marie, pour la forme, et aussitôt le vibro reprend son chemin. Elle le glisse entre queue et couilles. La bitte semble vouloir sortir par les espaces entre les barreaux tellement elle gonfle. Je sors alors le gode ceinture de façon que Marc puisse le voir, bien que déjà, il ferme les yeux par moment. Il ne peut ignorer que je le fixe sur Marie, le petit pénis allant servir de cheville à l’autre qui pointe, bitte noire plus que suggestive. — Elle va t’enculer avec.Dis-je à celui qui tremble déjà de plaisir. Il me regarde. Comprend-il ce que Marie va lui faire ? Pourtant, il sent bien qu’elle abandonne un instant le sextoy vibrant pour se saisir de ses deux jambes et les écarter. Il ne résiste pas. Certainement qu’Isabelle lui a déjà pris le cul de cette façon. Pour une femme, le gode ceinture est particulièrement jouissif. Elle se sent plus forte, plus possessive, plus conquérante alors qu’elle enfile la longue tige dans le cul de son amant. Marie salope jusque dans les détails laisse tomber un filet de salive sur l’anus de son Ex. La longue tige sombre au gland profilé et réaliste commence sa percée. Marc, manifestement déjà enculé de cette façon, s’ouvre en tirant sur ses jambes. Elle l’enfile jusqu’à la garde. Marc se mord les lèvres pour ne pas crier. Crier de plaisir ! De surprise ! De douleur ! De honte ! Peu importe en tout cas, il ne se refuse pas.Que c’est beau un homme possédé ainsi. S’ouvrant comme une femelle a un dard bien intrusif. Marie se saisit de son gode et reprend ses vibrations alors que doucement, elle s’active dans le fondement maintenant bien ouvert et coopératif. Je bande de les voir. Georges montre aussi une nouvelle érection. Je me déshabille pour venir me joindre au groupe. Il est temps que je participe. Combien de fois ai-je conté une scène équivalente ? Combien de fois ai-je participé ? Que ce soit un homme ou une femme allongée ainsi, je suis irrésistiblement attiré par…. La bouche qui se retient de laisser échapper un cri, un gémissement, un soupir qui risquerait de le faire reconnaître. Un bâillon ! Mais en mieux, en plus chaud, plus envahissant ! Tu n’as pas eu le temps de pomper Georges ! J’ai tout mon temps pour te baiser la gorge. Pendant de délicieuses minutes, Marc est notre chose. Même si le vibro l’excite, même si son cul se laisse envahir avec délectation, même si sa gorge s’est rapidement adaptée à ma bitte, il est notre femelle obéissante.Je connais tous ces plaisirs. Martine m’a initiée à tous, seule ou avec l’aide de partenaires féminins comme masculins. C’est particulièrement jouissif de se laisser faire, de se laisser guider. Marc doit en découvrir la puissance. Lui, plus femelle que mâle, allongé sur cette table et coincé entre gode et bitte.Je lui laboure la bouche. Mon gland heurte le fond de sa gorge déclenchant ce réflexe que seule la pratique sait contrôler, mais un réflexe si naturel et excitant alors que la gorge proteste, tousse, crache, salive pour se transformer en cloaque gras qui gargouille et dont les flocs-flocs sont si agréables à l’oreille.Marie regarde. C’est évident. La position de sa tête montre que son regard, à peine flouté par le tissu, suit ce que je fais à son Ex. Mais se rend-elle compte que finalement Marc réagit bien à nos sollicitations. D’accord, il peut se sentir humilié et soumis à notre bon vouloir, mais son plaisir n’en est pas moins évident. La preuve est que….Que sa jouissance est là. Le jet de foutre, dévié, mais aussi concentré par le métal qui doit être en face du méat est surpuissant et surprend sa belle enculeuse. Le haut de résille noire est taché de blanc. Taches qui se répètent et se transforment en coulures infâmes et obscènes. L’image de cette jouissance provenant d’une bitte si contrainte et pourtant qui a trouvé assez de ressources dans les couilles chahutées et gonflées par les vibrations est splendide. Splendide et excitant. Assez pour que moi aussi, je sente ma sève monter.Être le premier. Nul doute que cette gorge n’a jamais reçu directement du sperme livré directement du producteur au consommateur. J’ai cependant pitié pour sa première fois et le premier jet passé, je me retire pour me vider sur son visage ajoutant une couche aux coulures de salives et aux larmes des yeux larmoyants de réflexe. Ils sont beaux tous les deux, réunis dans le vice, marqués de foutre sur le visage, sur le tissu noir, sur les lèvres, les commissures dégoulinantes. L’homme a alors un geste de provocation. La femelle lui a fait goûter le sperme de Georges et alors qu’il l’attire à lui, c’est ma propre liqueur qu’ils se partagent. Si jeunes et si vite pervers ! Mais sur ce chemin Marie a pris de l’avance et de la langue elle recueille les coulures sur le visage de Marc et elle apporte le dessert de leur festin en récupérant du doigt la propre liqueur de son Ex pour lui donner à goûter.— J’adore.S’exclame la pute qui se redresse et retire le long gode du cul bien labouré.— Oui j’adore goûter votre sperme. Pas un n’a le même goût. Mais putain, je suis tout excitée. Pitié, prenez-moi, je vais me consumer. — J’ai ce qu’il faut pour toi, putain lubrique. Viens, monte-moi…Il ne faut que deux secondes pour que le gode ceinture ne soit défait et que la petite tige soit remplacée par la bitte bien chaude et dure de Georges. Marie le chevauche aussitôt.— C’est bon ! C’est bon ! Ahhhh. Merci mon Dieu.Heureusement, Dieu est sourd ou en vacances et ne foudroie pas la blasphématrice. Il a cédé sa place à Satan, car : qui pourrait inspirer cette femme lubrique, si ce n’est cet ange déchu. Lubrique et perfide ? Lubrique au point de se baiser si fort sur la bitte de Georges. Perfide de dire :— Donnez-moi une bite à sucer. Vite, j’ai envie… Jean vient…La salope sait ce qu’elle fait.— Attends, je le libère. En effet, la petite clé défait le cadenas, la cage se retire, l’anneau sous les couilles s’ouvre. Il bande aussitôt. Tel un monstre emprisonné, il se déploie. Elle est dure, c’est évident. Marc a entendu l’appel du large. Il se rapproche du couple. Un observateur remarquerait que Marie n’est pas si aveugle, car dès que la bitte arrive à sa portée, elle s’en empare. Aussitôt, elle se la prend entièrement. Elle caresse les couilles. Elle ronronne telle une chatte. Pour bien le pomper, elle s’est arrêtée de chevaucher, restant simplement empalée sur Georges. Marc voit sa queue disparaître et réapparaître de ces lèvres jointes qui font un anneau heureusement pas totalement parfait, car il laisse passer des coulures de salive qui s’ajoute aux flocs-flocs terriblement excitants. — Ça suffit !Dis-je craignant que Marc crache son jus trop vite. Je lui ai promis plus.Je sépare les amants. — Elle est à toi. Commence par son cul.— Oui, oui, qu’il m’enfile en même temps que Georges. Deux en même temps, j’adore…..Et pour accompagner sa demande, la salope s’allonge sur Georges, nous laissant apparaître sa raie qui affiche le verre étincelant preuve que, plus gros, plus brillant encore, une forme oblongue, métallique, inoxydable, parfaitement profilée, occupe le trou du cul, boulevard largement ouvert au fil des semaines.Marc hésite. Il a sous les yeux une partie de ses fantasmes. La pierre brille. Éclat vert, qui hurle qu’il faut passer "au vert".— Alors ! Tu m’encules ! Dépêche-toi, je suis chaude bouillante.L’aiguillon est suffisant. Marc avance sa main. De deux doigts, il se saisit du disque. Il tire, mais le plug résiste comme s’il ne voulait pas quitter le confort douillet du boyau. Enfin, l’homme réussit à l’extirper. La pièce est belle, encore brillante, l’hygiène de la pute étant parfaite, car s’étant infligée un lavement, cérémonie à laquelle Georges et moi avons participé.Le trou reste ouvert. Sombre comme le chemin qui mène à l’enfer, royaume de Satan et de ses cohortes. La queue hésite à peine. Elle se glisse doucement, comme un coin pour que la porte ne se referme pas. — Oui… Continue…Demande l’enculée.Marc pousse alors d’un seul coup. Il a ce qu’il voulait. Même, dans cet accoutrement qu’il a oublié, il est un mâle qui possède.— Oh putain je te sens bien. Tu le sens, Georges ? Elle n’attend pas de réponse, et :— Bourre-moi. Ta bitte est petite, mais avec Georges elle va bien…Toujours cette pointe de provocation et de vouloir humilier.Marc ne se le fait pas dire deux fois. Il bourre ce cul refusé à lui alors que Marie le donnait à un autre en cachette. Marie est collée à Georges alors que la femelle en tenue rose, les tétons se balançant toujours au fil des mouvements, s’enfonce encore et encore.Mais cette femelle doit aussi connaître le mâle. Le vrai, celui dont la bitte bien dure, bien chaude, se dresse d’envie.Je me colle à Marc lui faisant sentir mon désir. Il ne peut pas ignorer mon gland que je promène dans sa raie et qui s’appuie encore plus lorsqu’il vient en arrière pour bouger dans Marie.— Je vais te prendre par le cul. Ton premier mec. Ta première bitte bien chaude…Marc se tourne vers moi. Il voit mon sourire. Il voit et il sent ma détermination. C’est à mon tour de le faire coucher sur celle qu’il possède. Ma salive rejoint celle de Marie. Mon gland frotte là où le gland noir s’est frotté. Je pousse sans m’arrêter. Le sphincter est mon complice, il se laisse apprivoiser. J’entre. Je glisse. J’avance. Je force. Marc est tourné vers moi. Il ouvre sa bouche. Il va parler. Il va crier, supplier peut-être. Trop tard, ton cul est à moi. Je place ma main sur ses lèvres. Elle ressent son souffle, son grognement, ce soupir plus fort alors que d’un coup de reins j’enfile les derniers centimètres pour l’enculer bien profond.— Oh, Fred, c’est divin.Décidément, la bigote refait surface dans des moments inattendus. — C’est comme si tu me pénétrais. La bite de Jean est plus grosse, plus longue et me brûle. Oh… Encore… Plus fort… Défonce-lui le cul… Son petit cul de lopette…Pas besoin de me faire prier (décidément !). Pas besoin de me forcer ! Oh que non ! Ce petit cul encore étroit dans sa jeunesse, à peine fréquenté, presque vierge, en tout cas vierge pour une vraie bitte d’homme, me séduit.Je le laboure à grand coup de reins. Nos chairs se heurtent. Nos bourses se caressent. Je suis le piston qui résonne de bitte à cul, transmettant jusqu’à Georges ma puissance et ma virilité. — Putain mec je te sens aussi. Continue.Quel plus beau compliment que cette remarque de Georges ! Georges, à l’autre extrémité de cette union charnelle !Je me redresse maintenant; fier du spectacle que les caméras enregistrent et que nous reverrons avec délice. Tout est dans le coup de reins. Les pieds en appuis, les mains agrippées aux hanches de cette femelle en rose, je la baise. Les élastiques du porte-jarretelle claquent lorsque je les tends puis les relâchent. Marc, allongé sur son Ex, maintenu par moi dans cette position humiliante, a tourné son visage vers moi. Il me regarde de biais et je peux voir ses lèvres pincées et mordues pour ne pas se trahir. Et que dire de ce regard vers son enculeur. Ce regard qui me transmet tout ce que sa gorge n’a pas le droit d’exprimer. — Il a le cul serré d’une pucelle. Dis-je alors que ma main s’abat sur ses fesses et qu’il sursaute. Oui, dans ces yeux, je vois tout, je devine tout. La honte de se livrer ainsi aux caprices d’un homme. La surprise de chaque claque qui martèle son humiliation. Mais pas que ! Aussi les yeux qui se ferment alors que ma queue force ses reins ! — Encule le fort qu’on le sente bien.M’invite Georges.— Oui, oui. Moi aussi, je veux le sentir. Il doit être mignon avec son accoutrement. C’est quelle couleur ?Demande la perverse qui doit savourer l’humiliation de son Ex.— Rose.Dis-je. Comme ses fesses maintenant.— Oh en fiotte alors ? T’aimes ça mec de te faire labourer ainsi ?.— Il ne peut pas te répondre, mais moi oui : t’aimes ça mec ? Hein que tu aimes ?Les paupières qui se ferment sont un aveu.— Oui il aime.Je traduis.— Alors, bouge ton cul.Une vraie femelle qui bouge sa croupe afin que le dard s’enfonce encore plus. — Je le sens, il bouge. Oh quelle fiotte ! Il me rappelle mon Ex lorsqu’on s’amusait à le déguiser avec mes dessous.— Mais ce n’est pas lui.Par ces mots, je rassure Marc qui pourrait s’inquiéter. Mais s’il a eu un moment d’inquiétude, ses sens ont vite repris le dessus.Au bout de quelques secondes, nous avons pris un bon rythme. La femelle joue de son cul. Je le laboure et chaque fois que je pousse d’un han de bûcheron, sa bitte force le cul de Marie.— Oh. Continuez, c’est trop bon… Dis la putain.— Oui, Fred continue, moi aussi j’ai l’impression que sa bitte me branle.De longues minutes, nous formons un quatuor à quatre corps, mais à trois voix. Marc ne peut se joindre à notre symphonie. Une partition a trois ou grondements, mots à moitié mangés, cris, encouragements sont une musique céleste. Mais je vois sur son visage, même de biais la continuité de son plaisir. Il s’est légèrement appuyé sur ses avant-bras pour se détacher du dos de Marie et cela nous donne plus de liberté pour nos avancées.Je vois juste au moment où Marie dit : "Il jouit. Il m’inonde le cul", que sa sève se libère à la grimace qu’il fait.— Moi aussi.Dit Georges qui doit se répandre au plus profond de la matrice de Marie.Marie qui se tortille, inondée de toute part, se finissant en se caressant le clitoris. Moi, grand ordonnateur, je me retiens. J’ai encore plusieurs choses au programme. Un programme établi pour la satisfaction de tous, homme, femme, fiotte.Je reste immobile, tendu dans ce cul devenu plus sage. Et puis je l’abandonne. Marc est étonné que je ne me finisse pas en lui malgré ma promesse. Déception ? Soulagement ?— Levez-vous… Oui… Jean et toi catin aussi.Je les pousse tous les deux vers le coin de la pièce où est installé le bar si caractéristique, ce bar qui a servi tant de fois de décor pour les photos que Marc m’avait envoyé des photos de Marie habillée, puis petit à petit dénudée avec son air sage et qui semblait dire : " C’est juste pour te faire plaisir". Mais petit à petit, ces photos devenaient plus suggestives, plus dénudées et Marc la rejoignait dans la tenue d’Adam. Ils étaient délicats, presque apeurés, surtout elle, et pourtant elle lui faisait une sucette et se laissait caresser. Mais pas plus, car Marc ne m’avait jamais envoyé de vraies scènes de possession. Mais le temps a passé. Le temps, Georges, moi, et même Isabelle qui a contribué sans le savoir.Je fais asseoir Marie sur un tabouret. — Bouffe-lui la chatte et bouffe-lui le cul.Dis-je à celui qui dans sa tenue rose et ses tétons prisonniers est redevenu une femelle. Il se penche pour atteindre la minette baveuse que Marie lui offre, jambes écartées et bien vite posées sur les épaules de celui qui la lutine, technicienne de surface avec comme seuls outils une langue et des lèvres. — Quel cul tu as ! Je vais te reprendre. Ouvre-moi le…Une claque pour lui faire comprendre.— Écarte avec tes mains.Le visage en appui sur la chatte, la tête emprisonnée par les cuisses de Marie qui lui en font un écrin, les mains qui tirent sur ses fesses afin que son trou du cul s’entrouvre, l’image est parfaite. Je l’enfile d’une poussée. Aucun risque qu’il ne se trahisse, les lèvres étouffées par d’autres lèvres plus intimes et certainement gluantes de foutre.Le bar n’en avait jamais autant vu. Ni vu ni entendu. La sage bigote s’est envolée pour laisser la place à une femme qui veut qu’on la suce.— Comme ça… Avec ta langue… Lèche-moi le cul…c’est ton sperme… Tu sens la différence avec l’autre…Moi de mon côté, je suis une machine à baiser. Le cul est vraiment étroit, mais devient de plus en plus humide.— Tu me laisseras la place après. Me dit Georges qui est venu près de nous et qui bande de nouveau.Instant magique. Enfin, je me libère et inonde ce cul vierge de cette expérience.Georges prend ma place. C’est une force de la nature. Heureusement que le cul est ouvert et maintenant largement lubrifié. Marie descend du tabouret. Elle s’agenouille pour atteindre la bitte de son Ex qu’elle réanime. Pendant de longues minutes, elle le pompe, ne l’abandonnant que le temps de bouffer ses couilles et celles de Georges.Le cul doit être brûlant de tant de sollicitations, mais Georges le refroidi et Marie vide les couilles de son ex, lui montrant une gorge profonde magnifique et venant en final lui faire partager dans un baiser pervers.Voilà des photos à conserver. Avant… Après…
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