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Marie - Ange & Démon

Chapitre 11

Retour chez Abdou (3/4)

Zoophilie
Marie fait ce qu’il demande, puis elle nous bouffe, tour à tour, le derrière. C’est un vrai régal de sentir sa langue, mais aussi de la voir faire. Abdou continue de commenter la scène en s’adressant le plus souvent à moi. Entre chaque prestation, il lui demande de venir m’embrasser. Elle ne se fait pas prier pour obéir et me fourrer vicieusement sa langue jusqu’au fond de la gorge.
 — Incroyable ! Quelle pute ! Elle embrasse son mari et lui met sa langue qu’elle vient tout juste de nous sortir du derrière ! Je ne sais pas vous, les gars, mais moi, ça m’excite à fond de voir ça. Putain les gars,  je sens encore sa petite langue frétiller dans mon trou du cul et maintenant elle la lui colle dans la bouche !
Nazim, le plus âgé, et, sans doute, le plus pervers de l’équipe, nous déclare que cela fait longtemps qu’il rêve qu’une Française lui fasse ça. Curieusement, Marie semble elle aussi émoustillée, le physique ingrat du vieux Turc bedonnant et poilu rajoute encore à la perversion de sa prestation. Après lui avoir longuement chatouillé le trou du cul avec le bout de son nez, elle lui enfile lentement sa petite langue, puis le lèche bien tout autour avant de gonfler ses joues et de pincer ses belles lèvres pour lui souffler lentement dans le derrière. Dans le même temps, toujours à quatre pattes, elle réussit à dégager une de ses mains et se met à lui malaxer ses grosses couilles poilues. L’effet est immédiat, la grosse bite de Nazim se met à se contracter et à grossir encore. Curieusement, son gros machin se met à balancer de haut en bas pendant que Marie continue de le traire. À ce rythme, le pauvre vieux ne tient pas très longtemps et brusquement  il se met à éjaculer une quantité énorme de sperme en couinant comme un goret qu’on égorge.Qu’un homme de cet âge, il doit bien avoir la soixantaine, puisse produire autant de sperme finit d’exciter Marie et elle se laisse submerger par un nième orgasme. C’est ce moment, alors qu’elle est en train de contracter son anus autour du sexe du Pitt toujours en elle,  qu’elle réalise que l’animal est justement en train de se retirer.Il la libère d’un coup  
Mais déjà Malik est sur elle. Il veut son tour et la baiser en levrette. Il s’installe. En s’accroupissant derrière  elle, il désigne le sol, là où se tenait Nazim.
— Maintenant que tu l’as bien vidé, tu vas me nettoyer tout ça. Vas-y, lèche tout, salope pendant que je t’enfile !   
Subjuguée, Marie fait ce qu’il dit. Elle découvre un nouveau partenaire presque aussi autoritaire qu’Abdou. Abdou, du reste, s’est également approché d’elle. Il contemple un instant son anus encore tout dilaté d’où  s’écoule de manière continue la semence du  Pitt puis lui remet un nouveau plug en place.Ce plug, plus long et aussi plus étroit, est relié à une poire qui donne alors la possibilité d’élargir le cul à volonté.  
— Au moins mon bijou ne se sera pas évertué à se vider en toi pendant une demi-heure pour rien. Il t’a fait un vrai lavement et toi ma chérie, tu vas bien tout garder dans ton ventre pendant que nous allons nous soulager, chacun notre tour, au fond de ta matrice, histoire de bien te remplir de partout comme tu aimes. N’est-ce pas ma chérie ?— Mmmmhh….— Allez, dis-le ma poule que tu aimes être remplie !— Ouuuiii, Oooh oui, oui.., j’aime être remplie… — Bien, bien, tourne-toi vers la caméra et dis-nous un peu ce que tu viens de faire avec les deux gros chiens…
— Les chiens…, oui, je les ai laissés se vider en moi en même temps, l’un dans mon derrière et l’autre dans ma bouche. J’ai très honte, mais oui ils m’ont bien remplie. C’était top bon…. J’aime bien être remplie…    — Et tu vas être servie, tu vas voir comme Malik va bien s’occuper de toi ma belle.  
Ce dernier du reste la tient solidement par la taille, il s’amuse à lui frotter son gros gland contre son clitoris gorgé de sang. Marie qui  lèche le sol  tourne régulièrement la tête de côté en lâchant un petit cri. Il commence à la pénétrer lentement d’abord puis d’un seul coup jusqu’aux couilles. Elle pousse de petits cris. Il la met bien à fond ; régulièrement, son gland vient buter contre le col de son utérus. Mais il n’en a pas terminé. Il la retourne, l’allonge sur le dos, et balançant ses jambes par-dessus ses épaules, il se l’enfonce encore plus. Elle a toujours le plug dans le cul, et à plusieurs reprises je le vois actionner la petite poire. Marie gémit et crie que c’est trop bon.Sur le moment, je ne comprends pas vraiment ce qui est en train de se passer. En fait, il attend d’être bien en place dans le vagin de la jeune femme pour gonfler le plug à fond de manière à obtenir la dilatation maximale. Elle se sent complètement remplie : tout le volume de son rectum est occupé, augmentant la tension sur les parois de son vagin qui vient enserrer encore plus étroitement la grosse queue de son partenaire. Malik prend le temps de bien savourer la position, puis il reprend ses allées et venues dans le ventre de la jeune femme. Marie, qui s’était un peu calmée, se déchaîne à nouveau aussitôt qu’il commence à lui triturer le bout des nichons.
—  Plus fort ! Ah oui, plus fort !— Plus fort ? T’aimes ça qu’on te les serre, tes nichons, hein ?Elle pousse de petits couinements.— j’aime qu’on me les serre comme ça. Vas-y comme ça. Encore. Oui, j’aime.Je vois Marie se cambrer ; sa respiration s’arrête, puis d’un coup elle gueule des mots sans suite.— Ooooh… ça vient, ça vient, viens vite !Au fur et à mesure que son plaisir monte, les coups de bite de Malik se font plus rapides. Ses couilles viennent s’écraser contre la partie plane du plug plaqué aux fesses de la femme. Marie a maintenant les yeux complètement révulsés. Elle continue de se mordre les lèvres sans se rendre compte, qu’en fait, elle ne s’est jamais arrêtée de couiner.
— Vas-y ! Vas-y ! C’est bon ! Continue, c’est bon, c’est bon, ça vient, ça vient !
Et puis Marie décroche d’un seul coup. L’orgasme l’emporte au moment même où l’arabe commence à décharger au fond de son ventre. Il pousse encore plus profond, plus loin, Marie gueule encore plus fort en le sentant cogner contre ses ovaires qu’il lui remonte encore et encore. Je pourrais imaginer tout ce sperme qu’il lui crache à gros bouillons direct dans son utérus, mais cela est inutile : Marie dit tout, elle décrit, elle raconte, elle crie qu’elle le sent, que c’est bon. Elle le supplie de tout lui lâcher et de l’engrosser.
— Vas-y, donne-moi tout, vas-y, lâche tout, remplis-moi, engrosse-moi. Maintenant ! Oui ! Encore ! Ah, salaud, que c’est bon ! Qu’est-ce que tu me mets ! Bon Dieu… Bon Dieu… C’est le bon moment en plus, vas-y salaud, mets-moi tout le paquet au fond de la matrice… Aaaah… Que c’est bon ! Je suis pleine…— Tiens, tiens, prends tout. Oh là là!  Âââh! Waouh que c’est bon. Tu la bien sentie, hein ma salope ? Je les ai bien vidées mes grosses couilles dans ton ventre de petite salope de Française mariée infidèle.
Les deux amants restent immobiles. Personne n’a osé se mêler au couple tellement leur rapport était intense.  Abdou qui m’a de toute évidence présenté comme un mari cocu et consentant n’a fait aucune remarque. Ce qui est certain c’est que les dernières déclarations de Marie en ma présence les a tous  un peu scotchés.Voyant  leurs hésitations Abdou se décide à expliquer :  
 —  Écoutez les gars, ce matin Fred m’a appelé au sujet de Bijou et de notre petite fête, puis il m’a passé sa femme au téléphone. Figurez-vous, qu’au départ, elle voulait reporter notre rendez-vous alors moi Abdou je me suis débrouillé pour qu’elle me donne son numéro de portable et j’ai pu là rappeler un moment plus tard. Puis s’adressant à Marie :
—  N’est-ce pas ma petite chérie ? Vas-y dis leur tout ce que tu m’as raconté.— Oui, Euh, c’est vrai, on s’est parlé au téléphone ce matin… Pour la raison que je ne prends pas la pilule et que je suis en ce moment même en plein dans ma période féconde. Abdou m’a dit que tout le monde ferait bien attention, que c’était impossible de reporter… — Exact. Et ensuite ?
Marie est maintenant debout. Elle est toujours vêtue de sa guêpière noire, cul nul et les seins à l’air. Il ne reste pas grand-chose des bas toujours maintenus par ses jarretelles.
— Finalement, j’ai dit que j’étais d’accord….C’est tout.— Non pas tout. Tu as dit quoi au sujet de ton mari et du risque ?— Que je ne voulais pas que Fred soit au courant que le risque m’excitait et que cela n’en serait que meilleur.Puis, s’adressant à nous tous— Vous savez, Fred n’est pas mon mari. On est simplement ensemble.  Et Abdou de rajouter  — Et avant de raccrocher, je lui ai dit que les Arabes aimaient se faire des petites françaises comme elle habillées en pute. Avec des bas et tout le reste. J’ai même réussi à la convaincre de ne pas porter de culotte avec ses dessous de salope. Et vous avez vu le résultat. Alors, allez y régalez vous ! Elle n’attend que ça ! Prenez là à votre tour comme une chienne. Elle ne s’est pas habillée comme ça pour rien.
En disant cela, Abdou n’avait pas cessé de regarder fixement Marie. Tout en soutenant son regard, il s’approche doucement d’elle, se penche un peu et prend ses lèvres dans un baiser suave. Elle gémit de désir en passant une main derrière sa tête pour mieux se coller à ses lèvres et sentir certainement sa langue qui la fouille, prémices d’une autre pénétration qu’elle appelle maintenant de tout son corps.Il se recule, et je vois son regard enflammé de désir, prête à tout. Il l’a fait installer sur le vieux canapé, se met à genoux entre ses cuisses ouvertes, puis, là tirant vers lui sur le bord du fauteuil, il introduit sa queue dans son con encore tout gluant de la saillie de Malik. Je la vois fermer ses yeux et ouvrir sa bouche en un « oh » muet, quand il entre, signe du plaisir qu’elle ressent à le sentir se glisser ainsi à son tour en elle.Il est entré à fond, comme elle aime, elle le sent au fin fond de son ventre. Il pousse et elle, accrochée à ses fesses, le tire encore en elle pour l’avoir le plus profondément possible planté en elle. Ils restent un long moment ainsi, soudés ensemble, étroitement et profondément emboités l’un dans l’autre. N’y tenant plus, je m’approche d’eux, la bite à la main. Elle me sourit, tendrement. Regard mêlé de plaisir, et de reconnaissance ; je lui demande si elle aime ça, se faire baiser, elle me dit que oui, je lui demande de dire à Abdou ce qu’elle ressent quand il est en elle, si elle aime sa grosse bite.Replongeant ses yeux dans ceux de son amant, elle lui dit doucement qu’elle aime sentir sa longue et grosse queue bien dure au fond de sa chatte, qu’elle aime se sentir bien remplie comme ça, qu’il la baise bien et qu’elle aime quand il la baise. Je m’approche pour regarder cette verge noire tendue qui prend ma chérie, je la caresse en même temps qu’elle se fait mettre, éprouvant au passage toute la dureté de la bite d’Abdou. Je le sens coulisser dans ma main pendant qu’il rentre et sort de la chatte de Marie, je lui caresse un peu les couilles pour le pousser bien au fond de son ventre accueillant, l’aidant en quelque sorte à la baiser. Je me saisis de la poire qui pend à côté de la fesse droite de celle qu’il considère comme ma femme et la serre plusieurs fois lui arrachant de nouveaux gémissements. Dans le même temps, je me penche et donne quelques petits coups de langue sur les grosses couilles d’Abdou le faisant soupirer d’aise.
— Aaah, c’est bon ! J’adore ça ! Sentir le mari me lécher les couilles pendant que je baise sa femme. Je vais me la féconder cette petite salope et sous le nez de son mari !  
Je suis passé derrière le canapé et tant bien que mal je me présente devant la bouche de ma petite salope pour qu’elle me suce, ce qu’elle a fait avec application. À chaque fois qu’Abdou entre en elle, il se rapproche de son visage et donc de sa bouche. Elle le fixe pendant qu’elle me pompe comme une reine. Elle s’applique pour bien lui montrer de quoi elle est capable ! Elle le regarde droit dans les yeux… puis, attirant sa tête vers elle, lui fait comprendre qu’elle souhaite le voir me prendre, lui aussi.Leurs langues entamèrent alors un ballet de folie autour de ma queue prête à exploser. Abdou me léchait la queue...Je les regarde se partager mon sexe, se l’échanger pour le prendre en bouche l’un après l’autre, se délectant des sucs qui s’en écoulent. Je n’avais pas envie de jouir encore et je me suis retiré avant qu’il ne soit trop tard.Alors, je demande à Abdou de s’asseoir sur le fauteuil et de la prendre sur lui. Et c’est sous les regards envieux des quatre hommes qui maintenant entourent le couple qu’elle s’empale elle-même sur la queue dressée et toute brillante de sa mouille. Je contourne le canapé et elle me fait face. Je peux voir son beau visage se transformer au fur et à mesure de la progression du gland en elle, pendant qu’elle s’assoit lentement sur ce pal. Une fois assise complètement, lui, enfoui profondément en elle, ses yeux s’écarquillent encore sous l’étonnement de le sentir aller aussi loin. La pointe de sa langue passe sur sa lèvre supérieure en une mimique gourmande, prouvant s’il en était encore besoin, tout le bien qu’elle retire de cette manœuvre. Je la regarde en lui souriant, heureux de la voir si bien et, m’agenouillant devant elle, je présente mon dard tendu devant son con, pourtant déjà bien rempli de la queue qui la comble. Elle me regarda l’air soudain incrédule et peut-être même un peu inquiète. Mon gland tout humide de pré-sperme, vient au contact de ces deux sexes étroitement emboités. Ma cible étant atteinte, je relève mes yeux pour les planter dans les siens et suivre ainsi l’évolution de son plaisir futur. Je sens la queue d’Abdou contre la mienne, me  rendant la pénétration impossible. Des sucs lubrifiants s’écoulent de la chatte de ma chérie, je m’en badigeonne la queue. Les sensations inédites que je ressentais me conduisent à un état d’excitation encore inconnu de moi, me procurant une érection phénoménale.
J’allais baiser ma chienne en double avec un Sénégalais, et dans le même trou, dans sa chatte !!! Je force pour entrer, elle se soulève un peu pour me laisser plus de place et ma queue est aussitôt, comme aspirée par cette chatte affamée de sensations fortes. J’entre doucement, surveillant son plaisir dans son regard troublé et chaviré. Elle se mord la lèvre inférieure, puis, une fois bien calé au fond, avec mes couilles plaquées contre les couilles de l’homme à qui j’avais eu l’intention de l’offrir depuis le début, elle se laisse retomber sur ces deux chibres qui l’éclatent en deux. Un cri de surprise, de douleur et de plaisirs mélangés sort de sa gorge. Nous sommes serrés dans son ventre comme pour une première fois, comme pour un dépucelage quand elle n’était encore qu’une jeune fille étroite qui n’avait jamais connu la pénétration. Je retire ma queue doucement, sans sortir tout à fait, craignant de ne pouvoir entrer à nouveau… puis brutalement, j’entre en elle, sentant ma queue se frotter tout contre une autre, la massant de bas en haut, je prends alors un rythme régulier et puissant pour baiser ce con rendu étroit à nouveau. Les deux amants se mettent à geindre de concert les sensations étant trop fortes pour pouvoir tenir longtemps sans jouir, moi non plus je n’allais pas pouvoir résister encore longtemps, je le sens bien. J’accélère alors le rythme, me plantant dans ces sexes comme un forcené. J’écrase le clitoris de ma salope et les couilles d’Abdou, à chaque fois que j’arrive au fond. J’encourage Marie à exprimer son plaisir. Elle se met alors à crier :
— Salaud, tu nous baises tous les deux !!! … Hooooooo ooouuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii j’aime çaaaaaaa… putaiiiiinnnn que c’est booooonnnnn !!! Vos deux bites dans mooooiiiiiiiii … Je veux vous sentir jouir en moiiii allez-yyyyyy remplissez moiiiii je veux tout votre foutre dans mon ventreeeee ooooooooohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh oooooouuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiii je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiisssssssssssss.Elle ne sait vraiment plus ou elle en est. Profitant de son état, Nazim et Houmam passent derrière le canapé de chaque côté d’elle et  en profitent pour lui enfiler leur queue dans sa bouche grande ouverte. Malik lui aussi s’est approché de notre trio. Elle lui attrape aussitôt les couilles de sa main droite.
Je repense souvent à cet instant. Impossible d’imaginer ce qu’elle a pu ressentir alors. Un sexe en main, deux bites dans la bouche, deux autres dans la chatte sans oublier le gros plug qui lui dilate toujours bien le cul.Du coin de l’œil, je constate une certaine agitation chez les deux chiens qui ont ressenti la folie sexuelle qui vient de s’emparer de nous. N’en pouvant plus, je lâche la purée dans le ventre de ma dulcinée, réduite à l’état de réceptacle à foutre, car en sentant les jets de mon foutre contre sa bite, au fond du ventre de ma « femme », Abdou, lui aussi, ne peut tenir plus et il lui injecte toute sa semence au fond de sa matrice féconde, lui procurant des sensations inédites et lui offrant une jouissance bien au-delà de tout ce qu’elle avait connu jusque-là. Elle explose littéralement alors qu’on la remplit de nos jutes brûlantes.Sa jouissance est si violente qu’au maximum de sa puissance, elle l’emporte d’un coup, comme une vague trop forte, elle perd pied.Voulant garder des munitions et sentant qu’ils sont eux aussi tout près de lui éjaculer dans la bouche, Nazim et Houmam se retirent précipitamment. Elle coule, la bouche grande ouverte, plus aucun son n’en sort, les yeux exorbités se ferment soudain et elle s’affale entre nous sans connaissance. Quand je me retire, la queue d’Abdou et elle aussi éjectée de son ventre et le sperme commence à s’écouler de son con élargi. Je l’allonge délicatement sur le canapé.  Abdou la débarrasse de son plug anal et aussitôt un jet de liquide blanchâtre s’échappe de son cul pour venir se rajouter au flot qui coule toujours de sa chatte. Zeus se précipite pour fourrer son museau entre ses cuisses écartées alors que  dans le même temps Bijou lui lape lentement la figure à grands coups de langue. Marie réagit progressivement. Elle attrape à deux mains la grosse tête de Zeus qui s’active de plus belle entre ses cuisses. Elle les écarte davantage  et coule une main par en dessous. Le simili cuir du vieux canapé est complètement trempé. Elle gémit doucement et les deux chiens gémissent en cœur en s’affairant de plus belle autour d’elle. Nazim et Houmam sont revenus se placer de part et d’autre du canapé et lui triturent maintenant les seins à pleine main. Je m’aperçois que je suis en train de rebander. Les deux chiens trépignent. Malik me sourit en m’expliquant qu’ils adorent prendre les femmes en chaleur et que Marie est maintenant leur chienne préférée. Un tel discours, a le don de me faire bander encore plus fort si cela est possible, Malik s’en aperçoit et sourit voyant mon excitation et mes yeux brillants, se disant que je dois être en train d’imaginer ma femme de nouveau prise d’assaut par les deux chiens, ce en quoi il ne se trompe d’ailleurs pas du tout ! Ils se relaient maintenant entre ses cuisses et l’on peut voir le bout rouge de leur bite s’ériger puissamment. Sans cesser de tripoter ses mamelons qui n’ont cessé de grossir, Nazim a pris ses lèvres et l’embrasse maintenant goulument à pleine bouche. Je n’en reviens pas. Marie lui met la langue, il s’écarte et la lui tête ostensiblement puis les rôles s’échangent, elle lui a saisi la queue et la triture dans tous les sens. Le vieux Turc s’écarte un instant pour l’insulter dans son patois. Aussitôt  Houmam le remplace et lui darde sa langue au fond du gosier. Lui aussi veut sa part. Les sept mâles sont maintenant à bander comme des ânes. Elle s’est saisie de la pine des chiens eux aussi en pleine érection, une dans chaque main, ils ne bougent plus, la langue pendante. Nazim en profite pour s’allonger sur elle. Sa bite glisse entre ses cuisses, fourre le sillon de sa chatte et je vois son gland écarter, refouler ses lèvres et bousculer son clito.Ses mains courent sur son ventre et ses seins. Excitée par ce qu’elle voit tout autour d’elle et l’effet qu’elle produit, elle commence à onduler sous ses caresses et c’est elle qui cherche la queue qui la tourmente, en lançant son bassin en avant au même rythme que lui, recherchant une pénétration qui la délivrerait.Enfin je vois la bite tendue se glisser entre ses lèvres et au long feulement qu’elle pousse je comprends qu’elle a eu ce qu’elle désirait et que la longue queue bien raide de Nazim est calée tout au fond de ses entrailles.
— Tu la sens bien ma grosse bite maintenant salope ?— Oh Oui, Oooh Ouuiii, elle est bonne.— Tu l’aimes hein ? Maintenant, je n’ai plus de doute sur la manière de s’y prendre avec des grosses chiennasses comme toi… des garces qui votent contre les migrants… Abdou m’a dit que tu avais même la carte du parti … ce qui leur faut à ces salopes de racistes c’est une bonne fessée, ensuite tu les obliges à bien te lécher le cul…elles adorent ça et après tu les baises bien … — Oooh, Oui, Oui, vas y encore, encore, punis moi, j’ai été vilaine…c’est vrai, j’ai mal votée, alors oui, je mérite que tu me la mettes bien profond , vas-y , oui, encore plus ! C’est bon, c’est bon !
Les deux molosses sont toujours très calmes, elle les a fait durcir chacun dans une main. On voit leurs bites palpiter entre ses doigts, elle les couvre de caresses et gratifie même de petits baisers leurs longues pines, pointues et tendues. Elle se glisse un peu plus sous Bijou et, se saisissant de sa queue, la dirige vers sa bouche, elle tâte de sa langue le bout pointu et tout suintant, en goute le jus,  puis, se le met carrément en bouche, aspirant tout ce qui s’en écoule.Elle recommence à glapir la bouche pleine et presse toutes les mains qui la caressent sur ses seins. Elle se trémousse sous la queue qui la ramone en cadence, s’enfonçant de plus en plus loin. N’en pouvant plus, j’essaye d’ajouter ma queue tendue à exploser à celle de Bijou, dans sa bouche. Ce dernier voulant certainement passer à autre chose, contourne le couple et s’approche de leurs sexes emboités et se met à les lécher à grands coups de sa langue râpeuse. Nazim ferme les yeux sous cette caresse inattendue sur ses couilles et jusque sur son cul. Malik qui s’est déplacé pour bien filmer de prés me fait signe d’approcher pour voir le spectacle de ces sexes en action en train de se faire lécher par la bête en rut. Je ne peux m’empêcher de porter ma main dans ce marécage de foutre humain, de cyprine, de salive canine, je tâte les lèvres sexuelles de ma salope de « femme », je sens la queue tendue qui y glisse, je la serre un moment entre mes doigts, excité de tenir la bite qui donne tant de plaisir à ma belle. Je la sors de la chatte de Marie, malgré ses protestations, et l’offre à la langue du chien qui, attiré par les effluves de femelle en chaleur qui s’en échappent, se met à la lécher avec force, je la lui tends de manière à ce qu’il en lèche le frein, qui est la partie la plus sensible, je la sens du coup se tendre encore plus dans ma main, l’arrivée de son plaisir est imminente. Je la replonge en urgence dans le ventre de ma petite salope pour qu’elle y déverse le torrent de sperme que je sens arriver dans ses grosses couilles que je ne peux m’empêcher de serrer de mon autre main.Je contemple Marie qui hurle un « Ouiiiiiiiiiii » de satisfaction quand elle sent cette tige se replonger d’un coup au fond d’elle pour y exploser. Je m’approche de son visage que j’embrasse, je lui caresse le ventre et les seins, tandis que son baiseur la bourre violemment jusqu’à ce qu’il se cale au fond d’elle pour jouir. Je la regarde dans les yeux et lui dis que je la trouve belle, sublime, quand elle jouit, qu’elle se fait prendre comme une chienne. Elle plante ses yeux dans les miens et lâche un long feulement de jouissance quand elle sent la queue plantée en elle déverser toute sa semence chaude dans son ventre alliée aux coups de langue râpeuse sur ses lèvres boursoufflées et son clito tendu.Elle serre son amant contre elle, le maintenant soudé à elle pour prolonger la sensation de son membre dans son con liquéfié, elle sourit, elle est bien, son visage est détendu. Je fais de nouveau glisser ma queue sur son visage vers sa bouche. Elle me lèche en me souriant comme pour me remercier du plaisir que je lui ai permis de prendre en organisant cette soirée.Elle attrape ma bite, la prend dans sa bouche, le visage de Nazim est à quelques centimètres de ma verge, il s’est un peu reculé quand je me suis présenté, mais son regard reste rivé aux lèvres de ma chérie.Elle le regarde à son tour, lui sourit, et de son autre main, passe derrière sa nuque et l’attire vers sa bouche déjà occupée. Il hésite un peu, puis se laisse faire, je sens ses lèvres sur ma hampe, c’est un contact étrange, un peu râpeux à cause de la barbe, mais quand elle la sort de sa bouche pour la lui enfoncer dans la sienne il se retire brusquement. Gêné par la tête du chien qui cherche toujours à se faufiler entre les cuisses de ma belle, il sort d’elle et s’écarte pour la contempler, écartelée, s’offrir à la langue qui se précipite pour recueillir le nectar qui s’échappe abondamment de sa chatte.Elle semble entrer dans sa chatte gonflée pour aller le chercher et le laper plus au fond.Elle s’arque boute sous le plaisir et j’en profite pour me glisser sous son bassin, Nazim lui soulève un peu le buste pour m’aider à passer complètement au-dessous.Ma queue, comme un ressort, passe entre ses cuisses et se retrouve plaquée tout contre la langue du chien qui déguste la chatte de Marie. Nazim me la prend et comme pour me rendre le service que je lui ai rendu tout à l’heure, l’offre à Bijou, après l’avoir vigoureusement frottée au sexe de ma femme pour lui donner du gout ! Je sens donc la langue d’un chien s’employer à me donner du plaisir, sur le frein, c’est délicieux, heureusement que Nazim ne le laisse pas faire trop longtemps sinon je jouirais tout de suite. Il la prend et la positionne entre les fesses de ma chérie, je la sens comme aspirée par son trou du cul encore largement dilaté. C’est un comble, c’est son dernier amant qui prend ma queue pour la lui mettre !!! Que de sensations étranges. Je sens maintenant la langue du chien sur mes couilles, il doit lécher la chatte et le clito de ma femme et au passage j’en prends aussi pour moi ! C’est plutôt bon comme sensation de se faire lécher les couilles pendant que je l’encule. Houmam n’a pas quitté la scène des yeux. L’occasion est trop belle. À son tour il veut prendre sa chance d’engrosser la belle jeune femme qui écarte toujours largement les cuisses. Le jeune Syrien la pénètre bien à fond tout en l’embrassant à pleine bouche. Marie ne se dérobe pas et une nouvelle fois, elle lui met la langue. La simple pensée de se faire fertiliser par un jeune migrant en situation irrégulière fait de nouveau monter son excitation d’un cran. Elle noue fébrilement ses jambes autour de sa taille et commence à gigoter en murmurant qu’elle le sent bien gros. Je n’ai que le temps de la saisir par la taille pour bien me coller à ses fesses et éviter de  déculer dans le mouvement. Soudain, je sens quelque chose de différent se frotter contre mon sexe, je réalise que c’est Zeus qui cherche lui aussi à fourrer sa pine dans le sexe de Marie, et que le fait que Houmam y soit déjà bien à fond, n’a pas l’air de beaucoup le déranger !Je sens son sexe gluant se faufiler contre le mien dans la chatte de mon adorable petite chienne, elle gémit, d’autant que Malik, toujours à côté de nous, ne l’a pas lâchée et continue de lui triturer par intermittence les bouts de seins et le clitoris. La pine du chien commence à prendre des proportions qui rendent la cohabitation des trois bites difficiles. Nazim, toujours serviable, m’empoigne une nouvelle fois la queue et la guide doucement dans les entrailles de la belle salope, et, une fois que je suis bien rentré au fond de son cul, il se met à me masser les couilles. Je commence à apprécier le contact d’une main masculine sur mon chibre ou mes couilles pendant que je baise ou que j’encule ma chienne, et je le lui manifeste en le disant à ma femelle :
— Ah oui j’aime ! J’aime qu’il me tienne la queue et qu’il me tripote les couilles, c’est bon, en plus, je sens bien ces deux pines qui te prennent de l’autre côté, ma salope, tu dois bien les sentir, elles ont l’air d’être vraiment grosses.
Entre deux gémissements elle me répond :
— Qu’est-ce qu’elles me remplissent bien, si tu savais comme elles sont bonnes, elles sont grosses et dures. Oooh c’est pas possibleHoumam est en train de se vider dans mon ventre. Ouiii, oui, il m’a toujours bien à fond et il se met à gicler en moi. Ce salaud me remplit la matrice  tout en me récurant dans tous les coins pendant que l’autre animal continue à me remplir de son foutre. Putain que j’aime ça, une double éjaculation dans ma chatte quelle salope je deviens !
Je suis tout prêt à éjaculer à mon tour dans son petit cul. Je le lui dis, mais elle ne m’écoute pas. Houmam gêné par le dogue vient de se retirer tant bien que mal.Marie est tellement remplie et inondée de foutre qu’elle semble ne même pas s’en apercevoir. Elle poursuit :  
—  Zeus a réussi à me mettre son nœud à l’intérieur, ça y est, comme c’est bon, c’est énorme, tu le sens ? C’est vrai que je n’en reviens pas de voir la salope qu’elle est en train de devenir, mais j’avoue que ça me plaît et que ça m’excite énormément. Nazim qui l’a aidée en lui tenant le buste, quand je me suis glissé sous elle, se trouve maintenant avec son sexe contre sa joue, je vois ses grosses couilles se balancer devant mes yeux. Je l’invite donc à la lui gober pour le remercier ce qu’elle s’empresse de faire. Malik qu’elle se doit de remercier de lui prêter si aimablement son chien à droit au même traitement. Je regarde de par en dessous sa langue se promener sur les deux glands brillants et lisses, j’attrape les couilles pour l’aider, je les caresse par-dessous, elles sont lourdes et pleines, elle me sourit, d’un sourire déformé par les deux gros chibres qu’elle a dans la bouche, puis, elle les sort de sa bouche et après un dernier coup de langue, me les tend, c’est l’occasion de savoir. je regarde la queue de Malik, elle est belle, un gros gland, une tige bien longue et bien raide, un peu recourbée vers le haut, je sors la langue et la pose sur le gland, c’est lisse et doux, Malik me regarde dans les yeux, s’enfonce dans ma bouche avec un gémissement de satisfaction, ma langue s’emploie à caresser ce gland elle en fait le tour, se frotte avec insistance sur le frein, en dessous, je sens une goute qui coule du méat, je l’aspire, c’est bon, il semble bien excité, soudain, il se tend, je sens une giclée au fond de ma bouche, c’est surprenant, je m’attendais à quelque chose de salé et quand je l’avale, j’ai plutôt une impression de sucré, ma femme, se rendant compte de ce qui se passe me l’arrache et se l’enfourne dans la gorge et la seconde giclée , ainsi que les suivantes sont pour elle, rien ne se perd, elle déguste tout avec gourmandise et l’avale avec délectation.N’en pouvant plus, de sentir le sexe de Zeus contre mes couilles et contre le mien dans le ventre de ma chienne et de la voir avaler le jus de la queue de Malik, je me répands en jets brulants au fond du cul de ma salope en un cri de jouissance.Nazim qui a réussi à se retenir de lui gicler en pleine figure alors qu’elle dégustait ostensiblement le foutre de Malik veut aussitôt prendre ma place.  Et il ne se contente pas de vouloir. Elle se laisse faire. Submergée par les ondes de plaisir qui déferlent en elle sans discontinuer depuis bientôt deux heures,  Marie a abandonné toute pudeur. Elle se complait dans son rôle de parfaite salope luxurieuse.
— Allez-y mes salauds enculez-moi maintenant. Prenez mon derrière !Abdou qui a bien récupéré ne reste pas insensible. Il lui montre sa grosse queue.— Regarde ce que je vais te mettre dans le cul maintenant. Salope !  Malik l’aide à s’installer sous elle en la soulevant, elle se laisse faire et reçoit la grosse queue du noir jusqu’au fond en poussant des petits couinements qui vont crescendo jusqu’à ce qu’il l’ait bien à fond, jusqu’aux couilles. Abdou la saisit alors sous les cuisses et les écarte en équerre pour faciliter la pénétration de Malik. L’arabe est gêné par Zeus qui la verrouille et la possède toujours bien à fond. L’animal recommence à gigoter et finit par se retourner, les pattes de devant au sol et les pattes arrières repliées contre le bord du canapé. Malik se positionne, dans le mouvement  le chien se décale un peu plus sur le côté et Malik peut trouver sa place dans le beau cul de la jeune femme.  Une fois de plus je n’en reviens pas, Marie est en train d’accepter une triple pénétration avec double anale. Le gode que lui a fait mettre Abdou avant que de la faire longuement sodomiser par son chien a bien rempli son office. Elle est toujours bien dilatée et en un rien de temps Malik et Abdou la lui ont mise bien grosse dans le cul.Abdou ne peut résister, la caméra tourne toujours et la scène est enregistrée, mais cela ne lui suffit pas, il veut des commentaires bien salaces.  
— Ça y est ma salope tu les as dans le cul. Ça te fait kiffer hein ? Genre mon chien ne te suffisait pas. Dis-le que ça t’excite d’avoir un noir et un arabe en même temps dans le cul. C’est ça que tu voulais hein ? Allez dis-le que ça te plait d’avoir nos deux gros zobs dans ton trou du cul.—…Euuh, Oui, Ouiiii — Oui quoi ?— Vos sexes dans mon derrière, je les sens…c’est bon …— Regarde la caméra et dis j’aime vos gros zobs dans mon cul.— Oui, oui, j’aime avoir vos deux gros zobs dans mon cul.— Répète, je suis une enculée, j’aime me faire enculer.— Je suis une enculée, une vraie petite enculée, et même…maintenant…bande de salauds, vous m’avez faite devenir une double enculée ! — Plus fort !— J’aime me faire ENCULéééeee…et vous me l’avez bien mis dans le cul…C’est bon, c’est bon.    
Houmam et Nazim se sont rapprochés. Ils ont du mal à récupérer et maintenant ce qui est en train d’arriver les dépasse un peu : Ils n’en croient pas leurs yeux et leurs oreilles.Elle se saisit de leurs queues toutes molles qui pendent près de son visage et les embouche tous les deux jusqu’aux couilles.Ils grognent de satisfaction et se mettent à lui tirer et à lui tordre les nichonsElle tend sa main gauche et m’attrape les couilles. Alternativement elle me les masse et m’enfonce un doigt dans le cul.La scène est surréaliste, c’est dingue ! Ma toute jeune paroissienne, ingénieure à peine sortie de l’université, est en train de réussir à donner du plaisir à six mâles en même temps. Elle se débrouille clairement mieux que la plus aguerrie des putains.Zeus a terminé son affaire et va s’affaler dans un coin. Comme Bijou, il s’affaire à se lécher consciencieusement le sexe en nous ignorant totalement. Etant désormais bien plus facilement accessible Houmam et Nazim remplacent Malik et Abdou dans le cul de Marie. Les deux couples alternent à plusieurs reprises en lui faisant du bouche à cul. Puis ils s’apparient différemment, pendant que l’un profite de sa bouche, l’autre lui ramone la chatte, mais elle en toujours deux dans le cul en même temps. C’était au tour d’Abdou de lui enfoncer son gros chibre dans la chatte. Comprenant que le noir avait l’intention de lui éjaculer une nouvelle fois au fond de la matrice Marie se mit à délirer :
—  Oooh Abdou que tu es bon. Je te sens trop bien. Ma chatte est faite pour toi, pour te donner du plaisir, pour que tu la baises, pour que tu l’irrigues de ta semence, pour que tu la remplisses de ton sperme. Tu aimerais que je tombe enceinte de toi ?—  Oui ma salope, tu porterais notre enfant, et en plus je rêve de baiser une femme enceinte.
Marie s’enfonçe dans ses pensées lubriques, elle est submergée par sa perversité. Que pourrait-il y avoir de plus infâme que de se faire féconder par un gros noir sous les yeux de son nouveau petit ami ? Effleurer cette seule idée lui donne un puissant orgasme. Elle se voit déjà avec le ventre rond en train de se faire encore baiser par Abdou et ses copains.
—  Abdou, tu as raison, je serai enceinte de toi et tu pourras me baiser autant de fois que tu le voudras alors que j’aurais notre enfant dans le ventre. J’avais l’impression que le sexe d’Abdou devenait encore plus gros. Je lui pressais les couilles d’une main et caressait les seins de Marie de l’autre  les faisant pointer durement.— Aaaah Marie, ma queue est si bien en toi, elle est faite pour te baiser et t’engrosser.— Oui, utilise ma chatte selon ton plaisir, fais-moi engendrer ta progéniture. Fais de la femme de ton ami ta femelle reproductrice. Saillie-moi encore Abdou, je suis ta chienne !—  Baise-moi, féconde-moi, remplis-moi de ton foutre. Vas-y mets un bébé noir dans mon ventre mon chéri, mets-moi enceinte. Oui, oui, oui, oui…………. Oui. Déverse toute ta semence dans mes entrailles. Je la veux, je la désire. Je suis à toi.—   Ooooh ma salope, je vais te mettre en cloque, et puis je te baiserai avec ton gros ventre en tétant le lait de tes gros nichons. —  Haaa oui, mon lait, tu le boiras, tu pourras même me traire si tu en as envie.   À ces mots Abdou ne peut se retenir davantage —  Ahhhhhhhhhhhh !!!!!!!!!!!!et il lui éjacule une fois encore dans l’utérus, recta au fond de la matrice…
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