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Marie - Ange & Démon

Chapitre 15

Une montée de lait précoce : les origines.

Avec plusieurs hommes
Je n’aurais jamais dû avoir une telle conduite après l’avoir surpris en train de renifler mes petites culottes dans le panier de linge sale. Mais, comment pouvait-il ? Je n’arrivais pas à le croire. Et pourtant, pas de doute, c’était ce même Momo, que j’avais pris en affection, que j’avais aidé, en qui j’avais toute confiance, qui était là maintenant devant moi, en train de lécher le fond d’une de mes petites culottes roses.Quelle attitude adopter, je balançais entre colère, compassion et excitation.Impressionné par mes lèvres frémissantes et mes yeux étincelants, cet homme, qui aurait largement pu être mon grand père, baissait les yeux, tout penaud devant moi.
Résigné, il attendait sa punition.
 —  Espèce de vieux cochon, tu n’as pas honte—  Pardon, pardon Mademoiselle Marie, mais vous êtes si belle…—  Belle ? Et cela te donne le droit de lécher mes culottes comme le porc que tu es ?
Et c’est là que je dérapais. À cet instant, je compris que je pouvais tout attendre de lui. Le dominer complètement, en faire ma chose.
Nous étions samedi, je revenais des courses, le boucher une fois de plus m’avait parlé de sexe. Dès mes premières visites, il m’avait ciblée. Au départ de simples plaisanteries grivoises, puis très vite à la limite de la grossièreté. De plus en plus, je sentais le feu prendre entre mes jambes aux paroles du boucher. Surtout lorsqu’il y avait du public, il voyait sous ses mots monter mon désir, il connaissait la fascination qu’exerçait sur moi son manège doucereux.Puis il s’était enhardi. Il s’approchait et me murmurait des  « Je parie que dans ta petite culotte tu es déjà toute mouillée. Tu aimes que je te parle, hein ? Ce matin-là il était allait jusqu’à me dire à l’oreille combien il aimerait me mettre sa langue dans ma « petite chatounette ». Puis il s’était écarté pour déclarer à la cantonade—  Je peux vous en mettre une bien, bien longue si vous voulez. Vous les préférez bien épaisses ?Soucieuse de me pas développer et de me laisser entraîner dans une nouvelle conversation oiseuse je me contentais d’un « oui » timide. Naturellement, les clients n’avaient aucune raison de prêter attention à ses paroles, mais moi je m’étais mise à mouiller. J’avais trempé ma culotte. J’étais encore tout excitée et là je ne m’explique toujours pas comment j’avais pu réagir de cette manière.
Je me baissais et me déculottant devant Momo, je lui collais ma culotte sous le nez.  — Tiens vas-y montre-moi comment tu fais ça, vas-y, lèche !À peine une hésitation et Momo renifle mon fond de culotte tout humide puis en me regardant pas en dessous il sort sa langue et commence à en lécher l’entrejambe.
  — Allez vas-y, régale-toi bien mon cochon !Visiblement soulagé par la tournure des événements il s’exécute, s’applique. Il lèche bien à fond sans oublier de mordiller le coton pour bien en exprimer ma mouille. L’excitation me gagne. Je coule une main sous mes jupes et m’enfonce l’index bien profond dans le trou du cul.  — Lèche mon doigt maintenant, suce bien.Je recommence trois ou quatre fois l’opération, puis j’attrape sa main gauche et me la colle dans la raie.  — À toi maintenant, mets-y tes doigts mon salaud.  — …J’ai honte de lui parler comme ça. Ce petit vieux n’en mérite pas autant. Son seul pêché et de me trouver belle et de ne pas avoir pu résister à la tentation. Il s’est fait prendre et je profite de lui au lieu de lui pardonner en bonne chrétienne que je suis censée être.  J’ai le souffle court, je n’arrive pas à me contenir, quelle salope je fais !L’instant d’après je l’entraîne dans le salon et le pousse sur le canapé pour m’asseoir directement sur son visage.Mohamed fait merveille, sa langue, ses lèvres, un vrai régal. Je sens sa langue qui remonte encore un peu et là voilà qui se faufile dans mon trou du cul. Jamais l’on ne m’a fait ça. Quelle sensation ! C’est très cochon et j’adore. Il me bascule sur le dos. Je me laisse faire, il est maintenant au-dessus moi et se penche, j’écarte les jambes. Il caresse mes grandes lèvres, mes petites lèvres. Aucun de nous deux ne dit un mot. Son doigt, doucement, se fraye un passage dans mon vagin. Ce doit être son majeur. Il le fait bouger à l’intérieur, il fait des petits ronds, il le sort, le rentre, le ressort, caresse encore mes lèvres, puis mon clitoris encore caché sous son capuchon. Mes jambes s’écartent encore plus et j’essaie d’avancer mon sexe vers son doigt. Je commence à gémir.  De ses doigts agiles, il a décapuchonné mon clitoris et à présent il souffle dessus pendant que son doigt a repris le chemin des profondeurs de mon vagin.
— Vous aimez Mademoiselle ? me dit-il soudain.— Oui beaucoup ! Continue…c’est bon…Maitresse…appelle-moi Maitresse Marie Il me met un deuxième doigt.— Vous aimez mieux Maîtresse ?— Huumm !— Votre chatte est magnifique Maîtresse Marie. Vous aimez être dilatée ?De l’entendre employer des mots un peu vulgaires m’excite encore plus, d’autant qu’il fait aller et venir ses doigts en moi. Je ruisselle littéralement !Il met un troisième doigt dans mon vagin. Il me masturbe de plus en plus vite, je gémis de plus en plus fort.— C’est bon d’avoir la chatte remplie ?— Huuummm !!!Puis il retire ses doigts et je sens sa langue me lécher le sexe de bas en haut pour venir s’arrêter sur mon clitoris qu’il me tête ardemment . Puis elle repart et telle une petite bite se faufile, dure et pointue, le plus loin qu’elle peut dans mon vagin. Elle revient à nouveau sur mon clitoris. Hum !!! C’est trop bon ! Il me le tête, l’aspire, le mordille en remettant ses doigts au plus profond de moi.Je sens l’orgasme monter, je gémis de plus en plus fort.— Oh oui ! Continue ! Encore ! Plus fort ! Plus loin ! Lèche-moi bien ! Enfonce bien tes doigts !Et il ne s’en prive pas jusqu’au moment où je jouis dans sa bouche. J’ouvre les yeux et lui souris.— Merci lui dis-je, c’était très bon !Encouragé, il introduit trois doigts dans ma chatte et deux dans mon anus.— Maitresse vous aimez être prise des deux côtés à la fois ?— Oh ! Hum ! Oh oui !J’ai les orifices complètement offerts et distendus, si bien qu’il pourrait mettre un troisième doigt dans mon cul… Je me sens comme une chienne ! Il me branle en même temps la chatte et l’anus…je crois que je vais encore jouir !!!— Oohhh ouuiii !!! Continue !!! Je viens !!!!Ah tu me fais encore jouir !!!Et un autre orgasme me secoue. Je reste inerte.
Momo ne perd pas le Nord, il profite de mon manque de réaction pour enlever ma jupe. Il caresse mes jambes gainées de noir puis remonte sur mes hanches, mon dos, mon ventre, mes seins. Sa bouche est sur la mienne, il tète ma langue. Ses mains se posent sur mes nichons, les massent à travers l’étoffe. Elles remontent mon top au-dessus de mes seins, les libérant enfin. Momo commence à me les malaxer franchement, puis il prend mes mamelons entre deux doigts, les fait rouler, les étire avant que sa bouche quitte la mienne et s’empare de mes pointes turgescentes. Il me lèche les seins, me suce les mamelons, me les mordille, les étire avec ses dents… Je gémis car j’aime beaucoup qu’on s’occupe de mes seins. Je ne déteste pas non plus qu’on les maltraite un peu…Il a sa bouche sur mon mamelon droit et me le suce alors que ses doigts triturent mon mamelon gauche.— Hum ! Tire sur mes seins ! J’aime ça ! lui dis-je en gémissant.Il ne se le fait pas dire deux fois. Sa bouche quitte mon sein pour retrouver ma bouche et ses deux mains prennent possession de mes deux mamelons. Il commence à me les tordre vers la gauche, puis vers la droite.— Vous aimez comme sa Maîtresse ?— Oui…continue !Il se met alors à me les étirer ! Tout en m’embrassant avidement, il tire mes mamelons qui prennent d’un coup 4 à 5 centimètres. Une grande chaleur se fait dans mon ventre et je gémis un peu plus fort. Il continue ses travaux d’étirement pendant au moins cinq minutes tout en m’embrassant. Je pouvais juste gémir et jouir !Quand il s’arrête, il me dit :— Maîtresse Marie a des seins magnifiques !Je baisse les yeux et vois mes mamelons tout rouges et longs d’au moins quatre centimètres. Je ne les avais jamais vus comme ça ! Il les reprend dans sa bouche l’un après l’autre et me les tête amoureusement, en les tirant bien avec sa langue…c’est vraiment très bon !
La semaine s’écoule comme si de rien n’était pourtant, je ne parviens pas à m’enlever de la tête ce qui s’est passé avec Momo. Je ne me serais jamais cru capable de tels écarts. Comment ai-je pu  en arriver là ? J’ai honte de moi. Momo ne m’évite pas, mais baisse la tête chaque fois que nous nous croisons dans l’appartement. Je repense en boucle au plaisir qu’il m’a donné sans rien demander en échange.À aucun moment je n’ai senti d’érection lorsque nous étions proches. À peine un léger renflement dans son pantalon bien trop large. Il est âgé, mais tout de même ! À son attitude soumise, j’avais bien compris qu’il n’attendait qu’une chose : des ordres et des punitions. Il fallait me résoudre à lui donner du plaisir en l’humiliant.Le samedi matin arrive, Momo m’a préparé le petit déjeuner. Il me sert en évitant toujours de me regarder. J’ai envie qu’il me tète les nichons là, tout de suite. Je me demande comment m’y prendre lorsqu’une idée bien vicieuse me vient à l’esprit. Aujourd’hui est précisément sa journée libre.Généralement, il passe son temps assis devant un café sur la Canebière. Voilà mon occasion de le punir.
— Momo tu te rappelles bien que tu as fauté la semaine dernière ? Ce que tu as fait est très mal…— Oui Maîtresse.— Tu mérites une punition. D’accord ?— Oui Maîtresse.— Bon, maintenant je vais aller faire mon jogging. Ton congé est supprimé. À la place tu vas faire le ménage à fond et la lessive. À mon retour, je veux que tu m’ouvres la porte, déculotté, prêt à recevoir une bonne correction. Surtout si tout n’est pas parfait.  C’est bien compris ?— Oui Maîtresse…Tout en courant vers le Palais Longchamp, je réfléchis à ce que peut être la suite. Je me sens bizarre, je ne sais quoi a changé, mais aujourd’hui je me sens vraiment de taille à humilier mon Momo. Cela m’excite. Des idées me viennent :  luifaire faire le ménage cul nul, l’obliger à porter mes petites culottes…Quant à le corriger… un vieux monsieur de soixante-douze ans, non, je ne suis décidément pas prête pour ça. Enfin, je ne crois pas. Mais, une chose est certaine : ce petit vieux est prêt à tout accepter de moi.
J’entends l’aspirateur dans la cage d’escalier, il est toujours là et comme convenu il vient m’ouvrir les fesses à l’air. Sa queue est longue. Elle pend inerte entre ses cuisses, encadrée par une paire de couilles comme je n’en ai jamais vues. Des grosses et des  toutes molles.Je me suis installée à moitié assise sur l’un des tabourets-bar de l’entrée. Je lui demande d’approcher. Il s’exécute, à chacun de ses mouvements, ses deux boules poilues ballotent d’un côté et de l’autre, très loin de son pubis. — Va me chercher un verre d’eau. Vite !En se tournant, il me montre son petit cul sans pudeur. Il n’a sur lui qu’un Marcel plus que défraichi qui ne le couvre même pas jusqu’à la taille à cause de son petit ventre rebondi. Pas de quoi s’exciter !  — À genoux devant Maîtresse. Enlève-moi les chaussures et lèche-moi les pieds. Il s’exécute consciencieusement. De temps en temps, il se redresse, change de position. Je profite de la moindre occasion pour toucher ses couilles avec mes orteils. Je lui ordonne de rester à genoux à mes pieds et  m’amuse longuement  à faire balloter ses burnes dans tous les sens. — C’est bon, maintenant arrête et viens me téter les nichons.Je l’entraîne vers le salon.  Momo fait merveille une fois de plus. Il sait y faire le cochon. Il alterne caresses et succions.Très vite je mouille, je suis trempée. Les petits cris qu’il m’arrache le stimulent. Je me touche frénétiquement et enchaîne deux orgasmes coup sur coup. J’en ai le souffle coupé. J’étais alors loin d’imaginer que ces instants quotidiens de plaisir s’alliant à ma grossesse à venir allaient me transformer en productrice  laitière. — Maîtresse a aimé ?— C’était bon Abdou. Tu vas avoir ta récompense.  Viens avec moi aux toilettes.Il me suit docilement jusqu’à la cuvette des W.C.Je m’y assois tranquillement sans enlever ma culotte. C’est une grande culotte en coton blanc genre Petit Bateau.  — Approche et mets-toi à genoux. Regarde ce que fait Maîtresse. Et là, sans le quitter des yeux je fais longuement pipi dans ma culotte.J’ai une grosse envie. Elle est complètement trempée de pipi.  Je lui demande de me déculotter  et d’un geste de la main je lui montre quoi faire. Un simple « Merci Maîtresse » et le voilà qui se l’enfile sur la tête. Je le fais mettre à genoux. Il est aux anges. Il lèche, aspire et mordille ma culotte qui goutte sur son menton. J’ai pris beaucoup de plaisir à uriner devant lui et encore plus à faire dans ma culotte. Mais déjà, je sens l’excitation revenir et d’autres idées me traversent l’esprit… Jamais je n’aurais imaginé pouvoir me montrer aussi perverse. Et, je découvre que j‘aime ça. J’aime soumettre Mohamed, en faire ma chose, un simple objet sexuel. — À quatre pattes Momo.Et le pauvre vieux de m’obéir aussitôt.  Je me place derrière lui,  me baisse et attrape ses couilles qui pendent toujours. Je les soupèse,  puis en les tirant vers le haut et en   étirant la peau au maximum j’arrive à la  lui faire rentrer dans le cul. Mais ses boules se contractent un peu et la peau ressort.  Satisfaite, j’empoigne alors sa queue qui ne bande toujours pas. Ce n’est donc pas comme dans la chanson. Enfin, j’aurais au moins essayé ! Je  tire sa bite bien en arrière et commence à le traire. Quelle vicelarde je fais !  Jamais je ne pourrais confesser de telles ignominies. Je m’approche encore et je crache dans son trou du cul puis je lui souffle dedans. Très vite, il jouit dans ma main. Même pas deux gouttes minuscules. Je m’essuie sur ses fesses et le laisse en plan. Il est temps pour moi de me préparer pour aller faire les courses. Je suis vraiment à la bourre. Il est déjà midi, la boucherie ne va pas tarder à fermer et j’ai fait une commande.J’ai invité mes parents à venir déjeuner après la messe.
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