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Marie - Ange & Démon

Chapitre 16

Georges, le boucher.

Avec plusieurs hommes
J’ai conscience de mes pratiques ignobles, une dépravée qui ne peut résister à ses pulsions les plus inavouables. Mais, je suis maintenant bien décidée à aller exciter Georges le boucher. Je passe une petite jupette légèrement plissée et un chemisier à moitié transparent et me voilà sortie dans la rue sans avoir mis aucun sous-vêtement. Lorsqu’il me propose de le suivre dans la chambre froide pour récupérer mon paquet, je feins la surprise.J’hésite. Je sais parfaitement que dès que la chaleur monte, cette chambre froide est un grand sujet de conversation.
Je ne compte plus les fois où, quand le boucher sortait du frigo, j’avais entendu une cliente lui dire : « Il fait meilleur là-dedans que dehors, non ? » Et lui d’acquiescer en riant. Parfois même, si la femme lui plaisait, si elle n’avait pas l’air farouche, il s’enhardissait jusqu’à proposer : « Vous voulez qu’on y aille voir ensemble ? »
Mon absence de réaction vaut acceptation. Cette fois-ci, rien qu’à mon regard, il comprend qu’il a sa chance avec moi. L’occasion est trop belle. Il termine sa commande en cours et s’approche de moi. Il est encore plus direct que jamais, il se penche et me murmure, tout à trac, à l’oreille un « Ce que j’aime surtout, c’est bouffer la chatte des petites filles comme toi. Tu me laisseras faire, dis, tu me laisseras te brouter ? »
Je ne réponds pas, mais lui emboîte le pas. L’instant d’après je le suis entre les rangées de carcasses suspendues de mouton et de veau. À peine à l’abri des regards il m’a mis la main aux fesses et me dirige en me poussant la main au cul.
— Petite salope, tu n’as pas mis de culotte pour venir voir papa Georges. Hein ? C’est sa grosse bitte que tu veux, pas vrai Marie. Alors tu t’es dit que comme ça, ça irait plus vite. Salope ! Tout en continuant de m’insulter, il a roulé ma jupette en boule autour de ma taille et déboutonné entièrement mon chemisier. En deux temps et trois mouvements, je me retrouve le cul et les seins à l’air. Il se colle dans mon dos, m’empoigne les seins à pleines mains et commence à les presser. Je sens sa grosse queue durcir contre mes fesses. — Putain, lorsque tu es rentré dans la boutique j’ai tout de suite vu que tu n’avais pas de soutien-gorge sous ta blouse. Et tu le sais qu’elle est transparente ? Et qu’on voit tes gros seins de petite pute. Ça t’excite ? Pourquoi tu crois que tu me vois tous les dimanches au premier rang dans l’église ? Et pourquoi, je passe toute la messe à te mater pendant que tu chantes avec notre chorale ? C’est parce que tu me fais bander et pas pour rien. J’ai toujours pensé que sous tes airs de ne pas y toucher tu étais une belle salope, ma fille.Je savais bien que je finirais par te mettre Marie.
Je le sens me soulever de terre en me tenant simplement par la taille. Instinctivement, je m’agrippe des deux mains à deux gros crochets de fer au-dessus de moi, comme on le fait dans le métro ou dans le bus pour garder l’équilibre. Ma jupe reste remontée et roulée autour de ma taille. Georges, le boucher est grand et gros, je le sens musclé sous ses couches de graisse. Toujours collé dans mon dos, il m’attrape sous la pliure des genoux et soulève mes deux jambes du sol. Il me maintient ainsi suspendue en équilibre, les cuisses largement écartées.Je suis à sa merci. Je mouille comme jamais. Le pantalon aux pieds, son tablier également entortillé autour de la ceinture, il n’a aucun mal à s’enfoncer bien profond en moi.
— Tu aimes ça, hein, te faire couvrir comme une petite chienne ? T’aimes ça, hein, Marie !!— Oui, oui, j’aime ça.— T’en veux encore ? — Oui, allez-y, défoncez-moi ! Oh putain que c’est bon !
— Je vais te mettre la dose, petite pute.Ma position, le lieu, le fait de prendre plaisir à me laisser dominer par cet homme que je trouve prétentieux et même répugnant par plus d’un côté, sa queue énorme qui vient buter contre mon utérus, le son émis par son bas-ventre adipeux qui vient régulièrement claquer mes fesses, tout ce qu’il vient juste de se passer avec Momo, tout, tout cela concourt à m’exciter au plus haut point.Je jouis et je me mets à crier sans plus me soucier des clientes qui sont encore dans le magasin.— Qu’est-ce que tu es bonne Marie, je peux te dire que demain, à la messe, je serais encore au premier rang à penser à ce que l’on est en train de faire, mais aussi à tout ce que je te ferai la prochaine fois.— ... hum— Parce que, des prochaines fois il y aura. Hein Marie ? Maintenant que tu as goûté à la grosse queue de papa Georges tu ne vas plus pouvoir t’en passer ma petite chérie. C’est comme ça. Tu vas devenir ma petite putain... Tu veux que je t’encule la prochaine fois ?— ... hum, hum, ah, ah, hou, hou, hou...— Arrête de couiner, salope, dis-le que tu veux que je t’encule et que tu n’es qu’une bonne petite pute.— Ouiii, oui... oui.— Oui quoi ?— Oui, oui, je veux que vous m’enculiez. Mais je n’ai jamais fait ça...
Georges ne répond rien, je réalise que le froid commence à faire ses effets et il n’éjacule toujours pas. D’un coup, il libère mes jambes et je me retrouve plantée en lui en équilibre sur la pointe des pieds. Je lâche les crochets auxquels je suis toujours agrippée, ce qui a pour effet de me retrouver littéralement empalée sur lui. Il commence à marcher vers l’arrière-salle en m’agrippant les nichons et en me donnant de grands coups de queue. Nous avançons par saccades, je tortille mes fesses tant que je peux et il explose en moi à l’instant même ou nous sortons de la chambre froide.À peine dans l’arrière-salle, j’ai un nouvel orgasme au moment même ou nous passons devant la porte du magasin qui est restée entrouverte. Deux clientes sont encore là, j’ai l’impression que Georges en a profité pour jeter au passage un coup d’œil entendu à son employé qui a bien compris le manège. Ce porc n’en finit plus de me remplir et j’adore ça.En un clin d’œil, nous nous sommes rajustés. Je réintègre discrètement le magasin avec ma commande. L’employé me gratifie d’un petit sourire en coin et je suis la cible de regards plus que désapprobateurs de la part des deux vieilles commères qui décidément n’attendaient que mon retour.À mon passage en caisse, Georges écarte mes billets et me tend trois coupures de 500 euros.Cela me donne un coup au cœur. Il ne manquait plus que cela, ce salaud me prend vraiment pour une pute. Voyant mon air renfrogné Georges s’empresse de préciser : — Doucement, doucement ma poule, la commande est pour moi et avec mon pognon tu vas passer aux Galeries Lafayette ou dans n’importe quel magasin de lingerie et tu vas te payer des dessous de pute. Ce n’est pas ce qui manque en rayon. À croire que... enfin, passons. Et surtout, demain matin, je veux que tu les mettes pour aller à l’église et tu m’envoies un MMS pour me les montrer. D’accord ?Putain ça me fait triquer rien que d’y penser !
Ne voulant surtout pas faire d’histoire, j’empoche rapidement l’argent en le traitant de sale pervers.— Bon Dieu, je t’assure, tu vas me donner une trique d’enfer pendant toute la messe à te voir minauder, chanter, communier et faire la quête avec tes dessous de salope sous ta tenue stricte de bigote.Et lundi, lorsque je vais venir te voir, je veux que tu viennes m’ouvrir en bas et porte-jarretelles et sans culotte. Toute prête à te faire enculer. N’oublie pas. C’est bien compris ma petite Marie ?
Il m’accompagne jusque dans la rue. Je ne réponds pas, mais il a bien compris que ça me chauffe de l’entendre me débiter toutes ces obscénités. D’autant plus qu’il est loin d’avoir tort de me traiter de cochonne et de vicieuse. Mais il ne sait pas à quel point il est dans le vrai. En attendant, il continue.
— Tu vas être ma petite putain. Je vais te faire aimer ma queue. Tu vas voir, et tu sais que tu viens de réaliser mon rêve ? Figure-toi que j’y pense depuis la première fois que je t’ai vue. Le jour où tu as emménagé avec tes copains, je me suis dit celle-là, il faut que je me la mette. Je me suis dit, cette Marie-là va faire une belle petite pute, toute jeune, pour son gentil papa Georges. Et en plus, elle habite juste en face la garce...
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