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Marie - Ange & Démon

Chapitre 20

Marie partouze en semaine 38.

Trash
J’irai en enfer. Même la communion ne suffira pas à me racheter. En découvrant que je suis prête à tout accepter, Roger fait très vite preuve d’une grande inventivité. Autant, si ce n’est plus que Max. Pour lui, l’occasion est trop belle. Il a compris que j’aime être dominée, rabaissée, avilie. Il m’avoue qu’il n’aurait jamais espéré rencontrer une femme telle que moi. Une jeune femme mariée qui prend son plaisir dans les actes les plus ignobles et dépravés qu’il peut imaginer.Une femme qui en redemande. Alors, il se documente sur internet et fait le tour des sex-shops en ligne.
Il veut réaliser tous ses fantasmes et il ne se contente pas de vouloir. Sur la fin, le fait que je sois grosse de neuf mois, enceinte de jumeaux avec un ventre énorme et de gros nichons l’excite encore plus. Et il n’est pas le seul ! Le plus souvent, il est accompagné. Tous les jours, je découvre de nouveaux partenaires.
Le lundi et le vendredi, ce sont des groupes de jeunes, en parcours de réinsertion, des migrants ou des ex-jeunes délinquants. Le mardi et le jeudi, Roger invite souvent deux ou trois de ses amis, des retraités comme lui. Depuis quelque temps, il va même jusqu’à me présenter des pensionnaires de la maison de retraite médicalisée voisine, ce sont les plus vicieux. Très souvent, je dois commencer par les laver entre les jambes ou les aider à faire leurs besoins. Vous pouvez imaginer la suite... Les mercredis après-midi et les samedis matin sont réservés à Isabelle. Pendant plusieurs heures, ils me dominent tous les deux. Ils ont de l’imagination pour les postures humiliantes et les accessoires et dispositifs sadomaso qu’ils me font longuement essayer. J’adore.
Ils ont parlé entre eux de cette rencontre et ils arrivent tous très excités, je les fais bander comme des ânes. Ce qui excite Roger est que je me tape le plus de queues en même temps. Ce jour-là, ils ne sont pas moins de quatre. De jeunes garçons à peine majeurs. Certains osent à peine me toucher, mais Roger sait s’y prendre pour les mettre en confiance. Cela commence par deux dans le cul puis deux autres viennent dans ma bouche et enfin Roger pénètre mon vagin. La semaine suivante, Roger organise pour un groupe de ces jeunes ex-délinquants en réinsertion toute une journée découverte. Le thème est « À la découverte des métiers associatifs ». Il y aura des cours de formation à organiser entièrement financés par la municipalité. Une aubaine pour nos finances. — Marie, tu en seras responsable. Toute une semaine à programmer, me prévient-il. Ils sont bien une dizaine à débouler dans le hangar. Roger m’a prévenu par SMS. À sa demande j’ai passé des bas et un porte-jarretelles avec une robe hyper collante. Avec mon gros ventre, elle m’arrive au ras de la touffe bien au-dessus de la limite des bas et mon cul nul est presque à l’air. L’effet est instantané. Peut-être préalablement briffés par Roger, ils ouvrent leur braguette et me la montrent. Ils sont tous très durs, plusieurs l’ont vraiment grosse. Je suis entourée, ils se regardent, tous hésitent à aller plus loin, Roger prend alors la parole.
— Je vous présente Marie qui est notre présidente. Elle a longtemps désapprouvé le fait d’adhérer à des actions de réinsertion au profit de jeunes délinquants comme vous. Après délibération, le conseil d’administration et moi-même avons jugé que c’était une méchante fille d’avoir attendu aussi longtemps pour vous recevoir à des fins d’insertion alors qu’elle s’occupe régulièrement et « en profondeur » de l’accueil de jeunes migrants. Je pense qu’elle mérite aujourd’hui une bonne fessée ! Il m’entraîne alors vers son bureau.— Mais... Mais !! Dis-je en bredouillant tout en sentant une excitation nouvelle monter en moi face à cette situation inédite.Réalisant que mon ventre ne lui permet pas de me coucher en travers de ses cuisses, il me fait pencher en avant les deux mains en appuis sur la table, la robe relevée, les fesses à l’air. Dans cette position, tous ont une vue imprenable sur mon cul que Roger caresse lentement.— Je vais faire rougir ton joli petit cul Marie. On va te donner dix claques sur tes petites fesses de salope et tu vas les compter. Et la première claque tombe sur mes fesses.— Je n’ai pas entendu ! Hé, les gars, vous l’avez entendu vous ? Vous la voyez avec ses bas noirs et son porte-jarretelles rouge ! Elle s’est habillée en pute pour vous et maintenant elle nous fait sa petite mijaurée. Et Pan, une autre claque tombe. — Aïe... Une !! Dis-je avec empressement. Il tire sur le haut de ma robe.— Allez baisse-moi ça et montre-leur tes gros nichons. Je m’exécute très vite, une nouvelle claque arrive. Ma robe est maintenant complètement enroulée autour de ma taille. — Deux ! Dis-je très vite. Je sens mon cul qui commence à cuire.
— Vous voyez les jeunes : Marie commence à comprendre. C’est comme ça qu’il faudra s’y prendre, si vous voulez soumettre votre femme ! Et une autre claque retentit sur mon petit cul toujours bien tendu.— Hummm... Trois !!— Allez-y approchez-vous les gars. Faites-moi bien claquer ces fesses blanches. Montrez-lui qui est le maître. — Aïe... Aïe... Quatre...Ils prennent chacun leur tour. De voir tous ces petits jeunes qui pourraient être mes élèves devenir de plus en plus excités en se pressant tout autour de moi pour me donner la fessée me fait monter la température. Maintenant, ils doublent les claques sur mon petit cul. Au moins une sur chaque fesse et Roger de m’expliquer qu’ils ne sont pas là que pour me mater. Ce ne sont plus les claques que je dois compter, mais les nouveaux fesseurs. Voyant que j’apprécie manifestement de me soumettre à ces jeunes, Roger me propose de participer activement à leur réinsertion.Dès la semaine suivante, annonce-t-il, je pourrais devenir leur nouveau professeur d’informatique.Inutile de préciser que les réactions sont plus qu’enthousiastes. Lucas est le premier à me caresser le ventre. Il se colle à moi et je me mets à rouler lascivement du cul en sentant sa queue entre mes fesses. Je la sens longue et fine. J’aimerais qu’il me prenne là, maintenant devant tout le groupe, mais il s’écarte brusquement et aussitôt une claque plus forte que les autres retentit et vient me cingler les fesses. Ouille, cinq ! Dis-je les dents serrées. Plus que le choc, la surprise me fait sursauter et mes grosses mamelles se mettent à balancer dans tous les sens pour le plus grand plaisir des jeunes garçons. Mais déjà, Romain est sur moi, il m’attrape les nichons à pleine main, les serre tant qu’il peut et les relâche brusquement en leur donnant une impulsion qui les fait ballotter de plus belle. L’effet est immédiat. Une énorme giclée de lait maternel s’échappe de chacun de mes tétons arrosant la pièce. Les garçons n’en reviennent pas. Lucas s’est placé sur mon côté et prend la suite. Il se saisit de mes gros nichons et commence à me traire sans ménagement. Dans mon dos, Romain s’écarte et pan, une claque encore plus forte que les autres vient cingler mon fessier qui commence à bien rougir.— Siiiix ! Oh oui, oui... je bredouille un peu en sentant une douce chaleur monter de mon ventre. J’ai maintenant très envie de sentir la puissance de ces hommes qui n’ont certainement encore jamais donné de fessée à une femme. Ma soumission est visible. Roger commente : — Vous voyez les garçons, elle aime ça qu’on lui donne une fessée sur son petit cul avant de la baiser. Il faudra vous souvenir que cette jeune femme, Marie, aime prendre sa correction avant de se faire niquer comme une chienne. Tiens, Thomas approche et met en pratique. Suis mes conseils. À ces mots un petit jeune s’approche et pan une nouvelle toute petite claque. — Sept ! Je me retourne vers Thomas mon nouveau fesseur. Il me caresse timidement les fesses. Ce garçon, le plus petit de la bande m’arrive tout juste aux épaules. Comme les autres, il a sorti sa queue et je le fais bander très fort. Sa queue bien grosse, longue et toute dure n’est pas du tout en rapport de sa taille, mais c’est surtout son gland disproportionné qui attire les regards. Tout rouge, et tout congestionné il exhibe un machin de la taille d’une grosse prune. J’en ai le souffle coupé, ma touffe déjà bien humide est maintenant complètement trempée. Je sens que je commence à couler par là aussi. Roger s’approche. Le jeune garçon s’est saisi de mes seins. Ce petit cochon sait y faire et il presse si bien mes mamelons que de chacun de mes tétons partent deux trois jets qui arrosent la pièce par saccades.Roger est maintenant à mes côtés. Il parle et raconte des cochonneries sur mon compte tout en me massant les fesses. Sa main glisse entre mes cuisses et me caresse délicieusement la chatte. De son autre main, il agite un plug anal gonflable muni d’une grosse poire.Pan, pan deux autres claques bien appuyées s’abattent sur mes fesses.— Haaaa, ouille, ouiii, encoreeeee ! Huit !! Je tortille mes hanches de plaisir et j’arrive à glisser ma main sous mon ventre pour caresser la grosse queue de mon nouveau fesseur qui du coup se présente.— Moi c’est Julien. Toi, Marie, je te connais. Je t’ai déjà croisée à la sortie de l’église. Tu chantes dans la chorale avec ma bigote de mère. Et tu es même venu chez moi faire du baby-sitting quand j’avais dix ans. Putain, si j’avais su quelle grosse salope tu fais. J’aime les salopes comme toi.Et sur ces mots ce grand garçon dont je n’ai pas le moindre souvenir me prend par les cheveux et tirant ma tête en arrière il me roula un patin comme jamais. Je sens sa langue me fouiller la bouche.
Puis il continue — Oui une salope qui s’est fait mettre par plein de types depuis qu’elle est mariée.Roger nous l’a dit. Il nous a aussi dit que tu aimais l’avoir bien grosse dans le cul. C’est vrai ça ? Tu aimes ?— Euuhh ...— Allez, réponds ! Et ne fais pas ta prude avec nous. Des photos ont circulé au bahut. On y voit une femme avec des chiens. Elle leur suce la queue et leur lèche le cul. Je n’y croyais pas, mais il m’a bien semblé te reconnaître, mais maintenant j’en suis sûr et Roger qui a les mêmes photos vient de me le confirmer. Vous m’entendez les gars, c’est elle avec les chiens !!! Putain qu’une femme puisse faire des trucs pareils on en revenait pas...Une autre claque résonne dans tout le hangar en arrivant sur mes fesses.— Hummm... Neuf !! Ouiiii, je veux devenir votre soumise.Bonjour Marie, moi c’est Quentin. Roger nous a dit que tu allais donner des cours d’informatique. J’ai toujours rêvé d’humilier une belle prof. C’est mon jour de chance, et en plus, tu es magnifique avec ton ventre énorme et des gros tétons. Pour bien te soumettre je vais commencer par te donner du martinet devant tout le monde pendant que mon ami va t’enfiler ce gros gode !Et Julien de renchérir :— Tu le vois mon gros gode gonflable vibrant à pompe ? Écarte tes fesses salope !Je fais ce qu’il demande et l’aide à m’introduire ce plug dans l’anus.Une fois ce gode englouti dans mon anus il commence à presser la poire qui en contrôle la grosseur.— Je vais te dilater le cul comme jamais Marie, ajoute-t-il en mettant en marche les vibrations. Et pan !!, une nouvelle claque qui me paraît bien plus forte que toutes les précédentes tombe sur mes fesses.— Aïe !! Dix !! Hummm... Vous m’avez mis le derrière en feu, petits salauds !! Et en plus maintenant il y a ce gode ... Si mon mari me voyait ! Je peux vraiment dire que j’ai le feu au cul, au sens propre comme au figuré. Quelle salope je fais, je n’aurais jamais cru que cela me plaise autant.Les gamins se succèdent et comme Julien, ils me tirent des patins comme jamais. On se dévore la bouche, je leur suce et mordille la langue, ils me crachent au fond de la gorge tout en continuant de me traire et de gonfler le plug.Hugo qui est le dernier à me claquer veut continuer de me donner la fessée. Il tient en main le martinet que j’avais commandé sur Amazon. Au tout début de ma relation avec Roger. Il exhibe aussi une petite cravache et le collier qui faisaient partie du même lot.Je me souviens parfaitement de cette commande que Roger m’avait imposée alors que nous nous connaissions à peine. La liste d’articles était longue. Et surtout très inconvenante. Quel pervers ! Des produits à connotation sexuelle des godes, des plugs gonflables, des poires à lavement, ainsi que toute une collection de dessous de salope. L’option point relais n’étant pas disponible j’avais dû accepter à ma grande honte une livraison à domicile en prenant le risque que Marc mon mari ne découvre son contenu.Hugo propose de me donner du fouet ou du martinet pendant que je sucerai la queue de ses petits copains. Bien sûr, Roger approuve l’initiative du petit Hugo. Il explique que j’adore sucer après ou pendant que je reçois une correction, mais, que ce que je préfère, avant tout, après une bonne dérouillée c’est de me faire enculer. Il se propose d’expliquer au groupe comment utiliser la bouche d’une femme, mais avant il faut, précise-t-il « préparer et bien contrôler le cul de Marie ».
— Allez Marie à quatre pattes, le cul bien en l’air ! Je sais que t’as fait un lavement tout à l’heure en l’honneur de nos invités, mais je veux être sûr que t’es bien propre du cul. Et puisque tu dois t’occuper de tous nos besoins. Pas vrai ma petite pute ?Ils s’étaient tous disposés en cercle autour de moi, à quatre pattes, je restais ainsi immobile, attendant la suite. La tête posée par terre, mes fesses étaient vraiment très relevées. Je sentais les regards appuyés des hommes de plus en plus excités. — Ma petite pute je vais te laver le cul avec ma pisse, tu vas être bien propre du cul pour tes futurs petits élèves après. — Vous allez voir les gars, je vais vous montrer et puis vous prendrez votre tour. Tiens Hugo, prends son mobile et appelle son mari. Cette grosse salope aime avoir son mari au téléphone pendant qu’on lui fait ça.Roger m’enlève le gode et me met directement sa grosse bite dans mon cul bien ouvert.— Voilà c’est bien, je suis au fond de ton cul ; garde bien le cul en l’air Marie je vais te remplir de pisse !Et de fait, ce porc se met aussitôt à me pisser dans le cul. Je sens mon ventre gonflé d’urine chaude. Clément, un nouveau venu qui me paraît encore plus jeune que ses camarades se présente. Comme ses petits camarades, il a la bite à l’air. Il tient mon mobile, me l’agite sous le nez puis s’agenouille devant moi. Les fesses sur les talons, les mains posées sur ses cuisses, il m’attire à lui. — Lèche-moi la queue salope, j’appelle ton mari. Tu fais tout ce que je te dis ou j’enclenche la vidéo.Je fais ce qu’il dit. Je suis à la bonne hauteur pour lui lécher les couilles. Roger me pisse toujours au cul et ne s’arrête qu’après avoir complètement vidé sa vessie.— C’est bon j’ai fini de pisser ! Je vais lui placer le gode dans le cul pour qu’elle garde bien tout.On va attendre que ça la nettoie bien ! Allez les gars à qui le tour !Et voilà que j’ai maintenant Marc, mon mari en ligne. Je ne sais pas trop que dire, il y a du bruit et je suis un peu paniquée.— Allô, mon chéri, c’est toi ? Tu me manquais... une seconde, des clients viennent d’entrer...
Clément dépose le mobile au sol. En baissant la tête pour parler à mon mari, j’ai délaissé sa belle paire de couilles bien dures un instant. Maintenant, il frotte sa queue contre ma chevelure.— Ah non ! Non ! Ce petit salaud est en train d’éjaculer dans mes cheveux. Trop tard pour le reprendre en bouche. Dans le même instant, un nouveau petit jeune s’est approché.— Moi c’est Théo, Madame Marie. Je m’excuse, mais j’ai une grosse envie. Il enlève le plug et commence aussitôt à m’uriner dans le derrière. Il a réussi à m’enfoncer sa queue, empêchant toute évacuation et de fait, son urine vient s’ajouter à celle de Roger. C’est le cul rempli de pisse que je dois continuer à parler à mon mari. Je réalise que tous les jeunes qui m’entourent ont braqué leurs portables sur moi. Clairement, ils ne veulent rien rater de la conversation qui va suivre. Les deux petits derniers, Nicolas et Antoine se présentent et tout en caressant mon gros ventre ils me murmurent à l’oreille qu’eux aussi veulent prendre leur tour pour me faire pipi dedans.
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