Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 202 J'aime
  • 10 Commentaires

Marie : 40 ans, vierge et maman

Chapitre 1

Inceste
Nous avons dans la vie des certitudes, des convictions qui semblent inébranlables, pourtant parfois un événement particulier vient brutalement et durablement bousculer nos croyances et nous mène sur un chemin que nous ne pensions jamais prendre. Cette histoire sera le récit de cet événement particulier et de ses conséquences.
—-------------------------
Épuisée et en sueur, Marie finit par quitter le tapis de course, elle attrapa sa gourde et s’hydrata abondamment puis à l’aide d’une petite serviette s’épongea le visage.
— Tu arrêtes déjà ? demanda la femme à côté d’elle.
Marie leva les yeux vers la jeune femme blonde qui marchait en rythme soutenu sur le tapis de course.
— Ouais, je suis vannée, j’ai pas ton âge moi ! répondit-elle en souriant.— OK, j’arrête aussi.
En quittant la machine, la jeune femme fit quelques étirements puis s’hydrata et se sécha, elle avait l’air complètement en forme, contrairement à Marie. La séance de sport étant terminée, les deux amies regagnèrent les vestiaires avec l’idée d’une bonne douche chaude en tête.
Marie avait rencontré la jeune femme blonde il y a six mois lorsqu’elle était venue pour la première fois dans la salle de sport de son quartier. Caroline, car tel était son nom, avait 29 ans et était déjà une habituée. Toutes deux venaient en matinée lorsque la salle était presque vide, elles firent rapidement connaissance, et se voyant deux fois par semaine lors de leurs séances de sport, devinrent amies.
Dans le vestiaire, Marie put enfin enlever sa combinaison moulante de sport qui était trempée et odorante, elle se mit nue sans pudeur, Caroline et elle étaient seules dans la pièce. Elle fila la première sous la douche, bientôt rejointe par son amie. Marie remarqua à plusieurs reprises les regards appuyés de la jolie blonde sur son corps nu, elle s’était rapidement rendu compte de l’intérêt que lui portait Caroline.
Marie était une ravissante femme de 40 ans aux cheveux très noirs et bouclés, à la peau légèrement mate et aux beaux yeux marron très clair. C’était un petit gabarit avec son mètre cinquante-sept et ses 55 kilos. Elle avait de ravissantes rondeurs sur ses hanches et ses fesses et une poitrine bien développée. De petites rides apaisaient à la commissure de ses lèvres et de fines pattes-d’oie aux coins des yeux, loin de la vieillir, lui donnaient un charme supplémentaire.
Marie posa aussi son regard sur le corps nu de Caroline, elle admirait sa silhouette fine et élancée recouverte de très beaux tatouages sur les bras et le dos, son corps était harmonieux avec de jolis petits seins en poire et de belles fesses arrondies. Avec ses cheveux blonds et courts coiffés à la garçonne, ses ravissants yeux bleus et son visage avenant, Caroline était incontestablement une très belle jeune femme.
Une fois douchées, les deux femmes se rhabillèrent, une robe légère et blanche pour Marie et un short et un débardeur coloré pour Caroline. Comme à leurs habitudes, les deux amies allèrent prendre un déjeuner bien mérité après tous ces efforts. Leur endroit favori était une brasserie toute simple juste à côté de la salle, elles se placèrent en terrasse, car c’était une chaude et ensoleillée journée de septembre. Durant le repas, Marie put capter les nombreux regards que lui lançait son amie, elle se sentait flattée, mais elle devait arrêter ce petit jeu avec la jeune femme, simplement elle avait aussi peur de perdre une amie qui lui était devenue chère.
Craignant une scène au restaurant, Marie attendit qu’elles aient fini leur repas et qu’elles se soient installées sur un banc du parc par lequel elles passaient pour rentrer chez elles.
— Écoute Caroline, il faut que je sois honnête avec toi.— Oui ? demanda la jeune femme, soudainement inquiète du ton sérieux que prenait son amie.— Je... je me rends bien compte... enfin vu la façon dont tu me regardes...— Tu as remarqué que tu me plaisais ? Désolée, je n’ai pas été discrète, quand tu m’as dit que tu n’avais jamais eu de mec dans ta vie... j’ai cru que... enfin tu vois. Mais je me doute que ce n’est pas réciproque, je me trompe ? demanda Caroline d’un air triste.— Oui, je suis désolée, mais écoute, ce n’est pas contre toi, ou même le fait que tu sois une femme...— Ce n’est pas toi, c’est moi... laisse tomber, je sais que tu dis cela pour être gentille, mais je connais la chanson.— Non... non laisse-moi t’expliquer, je te le dois parce que tu comptes beaucoup à mes yeux. Vois-tu, je trouve que tu es vraiment une femme magnifique, drôle, intelligente et la compagne qui sera à tes côtés aura bien de la chance, je le pense sincèrement... Mais il faut que tu comprennes, si je ne peux pas être avec toi, c’est parce que je suis... et bien... asexuelle.— Oh ! émit d’un air surpris son amie.— Et je suis incapable d’aimer, enfin je veux dire d’avoir de relations amoureuses, "aromantique" comme on dit maintenant, je crois.— Mince Marie, je suis désolée, et moi qui t’ai draguée ouvertement, j’espère que je ne t’ai pas trop embêtée.— Ah ah non t’en fais pas, tu n’es pas la première, répondit en souriant son amie.
Marie fut ravie que Caroline prenne la chose aussi bien, ne la regarde pas bizarrement ou ne la juge pas comme tant de gens l’avaient déjà fait. Caroline lui avoua qu’elle était la première personne asexuelle qu’elle rencontrait et ne manqua pas de curiosité. Marie lui raconta donc volontiers son parcours.
Marie s’est rendu compte de son "anormalité" lors de l’adolescence lorsque ses amies commençaient à sortir avec les garçons, à parler d’eux, de sexe et de masturbation, des préoccupations qui lui semblaient bien lointaines. Suivant les conseils de ses amies, elle avait essayé la masturbation, mais toucher son corps ne lui avait apporté aucune sensation agréable, ni même nouvelle, aucun désir. En seconde, elle avait essayé avec un garçon de sa classe, elle le trouvait beau et gentil, elle l’avait embrassé et caressé son corps, elle s’était laissée caresser aussi, ils s’étaient même mis nus l’un devant l’autre, elle avait vu avec surprise le sexe de son ami gonflé devant elle sans qu’elle en éprouve quoi que ce soit. Le pauvre garçon avait été bien déçu qu’ils n’aillent plus loin. Plus tard, elle avait parlé de son "problème" à une amie, qui lui avait répondu qu’elle était peut-être attirée par les filles, elle lui avait même proposé qu’elles essayent ensemble.
C’était ce qu’elles avaient fait, mais là aussi les caresses et les baisers ne lui provoquèrent le moindre désir. Son amie avait été déçue, car visiblement pour elle, il ne s’agissait pas vraiment d’une expérience nouvelle et semblait attirée par la jolie brune.
Pensant que quelque chose n’allait pas chez elle, Marie consulta plusieurs médecins dès ses 18 ans. Certains déclarèrent qu’elle n’avait pas atteint sa maturité sexuelle, d’autres qu’il s’agissait d’un problème hormonal, d’une maladie ou encore d’un trouble mental, on lui présenta des opérations chirurgicales ou un traitement médicamenteux pour y remédier. Marie refusa tout cela, mais finit par pousser à 20 ans la porte d’une jeune sexologue. Pour la première fois, elle se sentit écoutée et elle se rappela toujours de la phrase de la spécialiste lorsqu’elle eut fini d’écouter sa patiente.
— Mademoiselle, je crois que vous êtes simplement asexuelle, lui avait-elle répondu avec un sourire confiant.
Asexuelle ! Elle avait enfin mis un mot sur ce qui l’inquiétait depuis des années. La médecin lui avait ensuite annoncé qu’il ne s’agissait en rien d’un problème, d’un trouble ou d’une maladie, mais simplement d’une orientation sexuelle, quelque chose que Marie n’avait pas choisi, mais qui faisait, en partie, son identité, comme d’autres sont hétérosexuels ou homosexuels. Elle lui annonça aussi que l’asexualité pouvait aller de pair avec une incapacité à éprouver une attirance romantique, comme cela semblait être aussi le cas de Marie.
Marie s’est sentie libérée d’un poids, capable de mener sa vie comme elle l’entendait, elle ne chercherait ni époux ni amants, elle n’en aurait jamais besoin. Elle n’avait plus à se cacher ce qu’elle était. Sociable, généreuse et sensible, elle se forgea de solides amitiés. Avec les inconnus, elle évitait de parler de son orientation, mais le confiait facilement à des proches, renforçant ainsi leur amitié.
A son amie Caroline, elle raconta sa rencontre avec ceux qui avaient été ses plus proches amis, Anna et Pierre, ils étaient avec elle en licence de Lettres, tous les deux étaient fous amoureux l’un de l’autre tant et si bien que Anna tomba rapidement enceinte. Marie fut la marraine de leur fils Julien et le témoin de leur mariage. En voyant Anna avec son fils, Marie se prit l’envie d’être mère et pensa un temps à l’insémination artificielle ou à l’adoption, mais le destin tragique s’imposa à elle. Anna et Pierre moururent dans un accident de voiture, alors que Marie gardait le petit Julien, il n’avait que 4 ans, Marie en avait 25. Le couple n’ayant pas de famille, le jeune Julien aurait pu être confié à l’assistance publique, mais Marie décida de le prendre à sa charge et l’adopta officiellement peu après.
Marie souriait toujours lorsqu’elle parlait de son "petit" Julien qui était devenu bien grand à présent, dépassant sa mère d’une bonne tête. Elle était si fière de lui, de son intelligence, de sa bonté et était ravie de leur relation fusionnelle. Comme sa mère autrefois, le garçon faisait des études de Lettres, il était à ce moment-là en seconde année de licence et avait comme vocation l’enseignement.
Caroline fut peinée en entendant son amie parler d’Anna et Pierre, mais elle se rendit compte combien Julien avait fait du bien à Marie, qu’ils étaient là l’un pour l’autre et que son amie n’avait aucun manque dans sa vie, car elle avait de bons amis et un fils qu’elle adorait. La jeune femme blonde regarda son amie dont les beaux yeux étaient humides, elle la prit dans ses bras, la réconforta. Elle lui dit qu’elle était ravie d’être son amie, qu’elle voulait qu’elle le reste. Marie la remercia et elles finirent par se séparer.
Après un dernier signe de la main, les deux femmes se séparèrent en prévoyant de se revoir la semaine prochaine. Marie sortit du parc et prit la direction de son domicile, c’était encore le début de l’après-midi et la chaleur était presque insoutenable. En entrant chez elle, elle décida de se servir un bon verre de vin rouge et de faire couler en bain. Elle s’empara de son casque audio et de son baladeur numérique, se déshabilla puis s’installa confortablement dans sa baignoire, parfaitement détendue. En se prélassant, le casque vissé à ses oreilles diffusant de la musique pour piano de Debussy, Marie pensa à Caroline. Elle était heureuse que la jeune femme reste son amie, elle se demanda si elle n’allait pas prendre son exemple pour l’un de ses personnages de son prochain roman, une ravissante lesbienne draguant dans un club de sport. Elle sourit à cette idée.
Marie était effectivement autrice depuis une quinzaine d’années, elle avait d’abord commencé par travailler dans une maison d’édition après sa licence de lettres et avait écrit ses premiers livres peu après. Elle s’était spécialisée dans les histoires romantiques et un brin érotique. Certains qualifiaient sa littérature de romans de gare et il est certain qu’elle ne recevrait jamais le Goncourt, mais ses romans avaient du succès, ils se vendaient même très bien et lui assurait un train de vie confortable pour elle et Julien ainsi que la possibilité de gérer son temps comme elle le voulait.
Un jour, son éditeur s’était étonné du thème abordé par ses romans lorsqu’il avait appris de sa bouche que son autrice était asexuelle et aromantique, Marie se souvenait parfaitement de sa réponse :
— Eh bien, Harry, il ne me semble pas que nos auteurs de romans policiers soient d’impitoyables meurtriers ou qu’ils aient leur carte de police, n’est-ce pas ? Ou alors on m’aurait menti.
Marie sourit en se souvenant encore de la tête confuse et des excuses de l’homme. Elle ne lui en avait pas tenu rigueur, certaines personnes comprenaient mieux que d’autres. Elle repensa à Caroline et se demanda si elle aurait dû lui dire pour Julien. Non, cela ne la regardait pas finalement, son fils l’aurait peut-être mal pris, ce n’était pas à elle d’évoquer son orientation sexuelle.
Il y a en effet quelques années, au cours de son adolescence, Julien avait ressenti la même absence d’excitation sexuelle et la moindre attirance romantique, lorsqu’il en avait parlé à sa mère, elle avait dû se rendre à l’évidence, lui aussi était asexuel et aromantique. Marie avait d’abord craint que son fils ait du mal à supporter sa différence, pour un jeune homme de son âge, la vie entière semblait tourner autour de la sexualité, mais Julien avait pris comme image celle de sa mère, il n’avait pas honte de son orientation et commençait à en parler à ses plus proches amis.
Tandis que Marie, toujours étendue dans la baignoire, pensait à son fils, elle avait laissé son téléphone dans sa chambre et n’avait pas pu remarquer que son fils avait essayé de l’appeler pour la prévenir qu’il rentrerait de la fac finalement deux heures plus tôt. Le casque sur ses oreilles, elle ne l’avait pas non plus entendu rentrer puis l’appeler. Le jeune homme pensant sa mère partie pour quelques courses en ville avait alors rejoint sa chambre et s’était déshabillé, car il avait chaud et comptait bien filer rapidement à la douche pour se rafraîchir.
Au même moment, Marie trouva l’eau de son bain bien trop refroidie, et voyant l’heure, se décida d’en sortir pour aller préparer le repas, elle avait hâte de revoir son fils et de lui annoncer que Caroline et elle resteraient amis, Julien s’étant aussi beaucoup attaché à la jeune femme, il en serait ravi. Elle sortit de l’eau et posa sa jambe sur le bord de la baignoire juste au moment où Julien ouvrit la porte de la salle de bain et plongea son regard sur sa mère nue devant lui.
La mère et le fils se regardèrent avec surprise, pendant quelques instants, ils furent incapables du moindre mouvement. Tous deux ne s’étaient pas vus ainsi depuis très longtemps, pour Marie, le corps de son fils n’était plus celui d’un petit garçon, mais d’un beau jeune homme. Julien était grand et blond, il avait un visage doux et des yeux d’un bleu très clair, Marie savait qu’il plaisait beaucoup aux filles. Mais ce dont Marie ne pouvait pas quitter ses yeux, c’était le sexe de son fils qui s’était dressé sur la vision de sa mère nue. Marie fut surprise de cette érection, car comme elle, Julien ne semblait pas avoir le moindre désir physique. Le jeune homme semblait tout aussi surpris de sa réaction physique, il rougit et cacha finalement son sexe avec ses mains puis confus, s’excusa et sortit de la pièce.
Marie resta un moment interloquée, elle finit par se rendre compte que son pied était toujours posé sur la baignoire et qu’ainsi, la cuisse largement ouverte, sa vulve avait été pleinement visible aux yeux de son fils, de même que son entière nudité. Elle aussi se sentit confuse, mais surtout il lui arrivait quelque chose qu’elle n’avait jamais ressenti, une chaleur dans son bas-ventre et une envie presque irrésistible de caresser son sexe alors qu’elle avait encore en tête le sexe dressé de son fils devant elle. Prenant conscience de ce que cela impliquait, elle se sentit terriblement honteuse et enfilant un peignoir, fila dans sa chambre.
Durant le repas, la mère et le fils ne purent se regarder dans les yeux, la scène n’avait pas été oubliée. Julien s’excusa d’être entré sans frapper, mais s’expliqua en pensant que la salle de bain était vide. Marie l’excusa, elle savait qu’il ne l’avait pas fait exprès. Mais ce qui les choquait ce n’était pas le fait de s’être vus nus, mais leur réaction et surtout celle de Julien qui était bien plus visible que celle de sa mère. Cette dernière dissimula en effet bien volontiers que son corps avait réagi de la même façon.
— Mon chéri, est-ce que tu es vraiment asexuel ?... Peut-être que tu voulais simplement être comme moi... tenta d’expliquer Marie.— Non je t’assure maman, ça...ça ne m’était jamais arrivé, avoua sincèrement le jeune homme en rougissant.
La conversation devenait bien trop gênante et ils restèrent tous les deux silencieux jusqu’à la fin du repas. Julien demanda la permission d’aller à sa chambre plutôt que d’aider sa mère à faire la vaisselle comme il en avait l’habitude. Compte tenu des circonstances, Marie accepta, mais fut triste que son fils ne lui fasse pas un petit baiser sur le front comme il le faisait chaque soir. Une fois la vaisselle finie, Marie s’installa dans son bureau et tâcha de travailler un peu à son roman, mais elle manquait de concentration. Elle alla finalement se coucher sans avoir revu son fils qui s’était enfermé dans sa chambre.
Allongée dans son lit, vêtue d’une simple nuisette, Marie pensa rapidement à la scène de la salle de bain, l’image du sexe dressé de son fils s’imprima dans sa tête, mais au-delà de ce bout de chair de belle taille dont elle apprécia la beauté et la vigueur, c’est l’image tout entière de son fils qui vint en elle, de son torse, de ses fesses qu’elle avait aperçues lorsqu’il s’était enfui de la pièce, de son visage, de ses beaux yeux, de sa gentillesse, de sa douceur. Son coeur battait à un rythme effréné, de nouveau une chaleur embrassa son bas-ventre. Cette fois, elle ne put résister à l’appel du désir et l’une de ses mains descendit le long de son ventre, elle caressa la toison épaisse, mais proprement rasée de son pubis, puis ses doigts passèrent sur sa vulve, caressant ses lèvres intimes. Un frisson la parcourut.
Pour la première fois de sa vie, Marie s’éveilla au désir, elle savait que l’objet de ce dernier lui était plus qu’interdit, mais elle ne pouvait que se laisser glisser sous les ondes du plaisir qui parcourait tout son corps. Ses doigts pénétrèrent tendrement sa fente et s’insérèrent jusqu’à frotter son hymen encore bien en place, son pouce titilla son clitoris, sa main libre passa sur ses seins, caressant ses tétons dressés qu’elle découvrit si sensible. Marie devait mordre sa lèvre pour ne pas crier tant le plaisir la submergeait. Elle se sentait terriblement honteuse et coupable que ce soit son fils qui provoque ses réactions, mais elle ne pouvait s’arrêter, c’était trop bon, trop intense. Lorsque le premier orgasme de sa vie déferla en elle, elle ne put réprimer un cri de jouissance alors que tout son corps connaissait une sensation nouvelle, un bonheur intense l’envahit.
Mais l’acte n’avait pas encore assouvi ses désirs et il lui fallut encore se masturber longtemps durant la nuit avant qu’elle ne soit rassasiée. Avant de s’endormir, Marie ne put s’empêcher de regarder la vérité en face, elle éprouvait du désir pour son fils, mais aussi, elle s’en était rendu compte, un amour nouveau, un amour absolu.

Diffuse en direct !
Regarder son live