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Marie Antoinette

Chapitre 4

Lesbienne
Le boulot
 Lamaï l’amène dans notre chambre, nous l’avons faite jouir pendant deux heures sans discontinuer, elle a fini par demander grâce, elle s’est endormie dès que nous l’avons laissée seule. Nous sommes retournées à la cuisine pour préparer quelque chose à manger. Nous avons dressé la table pour trois. Quand tout a été prêt, je suis allé chercher Sklerijenn, elle dormait profondément. Elle est venue au radar à table, mais elle a très vite retrouvé ses esprits, c’est une fille très vive, pétillante, intelligente, très décontractée. Elle nous plait beaucoup, il va falloir voir comment va se passer la suite. C’est elle qui nous donne la réponse, elle doit partir demain à Valence, se former à la programmation pour sa société, ça devrait durer assez longtemps, plusieurs années, je suis un peu déçue, comme Lamaï, mais d’un autre côté, ça nous libère d’un choix. Une nouvelle fois, elle veut remettre sa robe après le repas, mais nous l’emmenons de nouveau dans la chambre pour la faire exploser dans une multitudes d’orgasmes. Vers dix-huit heures, elle est complètement HS, mais elle doit se rendre chez sa mère qui l’attend pour dîner. Elle enfile péniblement sa robe, nous l’accompagnons jusqu’à chez sa mère qui n’habite pas très loin de chez nous. Elle nous embrasse tendrement, ses yeux brillent, elle est aux bords des larmes. 
 –Merci mes chéries, j’ai passé la plus belle journée de ma vie, je n’aurais jamais cru vivre un tel moment. Je ne vous oublierez jamais, vous êtes dans mon cœur pour la vie. Nous la laissons devant la porte de sa mère et retournons chez nous pour nous aimer, nous en avons besoin après cette journée spéciale. Le week-end n’a été qu’amour et amour. Nous ne sortions de notre lit que pour manger et prendre une douche de temps en temps. Le lundi arrive trop vite, je dois aller à mon boulot, je suis sur le point de renoncer pour me consacrer à Lamaï, elle me fait comprendre qu’il n’est pas question qu’elle quitte son boulot et que je vais m’emmerder toute la journée si je n’y vais pas. Elle s’habille boulot, jupe mi cuisses, corsage très sage, une vraie cadre responsable !! Pour ma part, c’est assez différent, corsage ouvert jusqu’au nombril, jupe raz la chatte, évidemment cul nu. Quand j’arrive, je vois que pas mal de nanas m’attendent, je pense que la femme qui m’a reçue a parlé de moi. Aucunes des nanas n’a de short, elles sont toutes en jupes ou robes hyper courtes, je vois une multitude de naissances de fesses, je commence à mouiller sérieusement. Une fille de mon âge vient vers moi. –Suis moi, Florence veut te voir.–Et c’est qui Florence ?–Tout bonnement la patronne, la directrice générale, elle veut faire ta connaissance, elle n’était pas là jeudi.–Ok, je te suis. Elle me fait entrer dans une grande pièce, au fond, un bureau derrière lequel il y a une très jolie femme d’à peine vingt-cinq ans. Elle a un visage d’ange et un sourire extraordinaire. Elle se lève, elle est à peine plus grande que moi, poitrine tendant sa robe ouverte jusqu’en bas des seins que l’on devine ronds et fermes, et cul moulé par le tissu tendu, elle est nue dessous, c’est sûr. –Assois toi Marie Antoinette, ici tout le monde se tutoie, je voudrais qu’on se connaisse un peu plus, je te libère dans une petite demi-heure. Je m’assois sans serrer mes jambes, elle s’assoit devant moi sans serrer les siennes. Je vois qu’elle ne porte pas de culotte, son pubis est bien lisse, mais extrêmement blanc. Ses lèvres sont discrètes mais assez brillantes, comme les miennes je suppose. Nous discutons d’un peu tout, j’apprends qu’elle a vingt-six ans, comment est née la boîte, ce qu’elle compte en faire avec ses associées, je suis rassurée, je ne suis pas tomber sur une boîte de fous qui veulent la rentabilité à tout prix. Nous n’avons jamais serré nos jambes, je connais sa vulve jusqu’au plus petit détail, il en est de même pour elle. Nous nous séparons au bout d’une grosse demi-heure, elle me sourit, je connais ce genre de sourire, elle espère me mettre dans son lit très vite, je dois dire que je ne suis pas contre, mais il y a un pacte entre Lamaï et moi et je compte bien le respecter. Il n’est pas question qu’elle pose ses lèvres sur mon sexe toute patronne qu’elle est. J’arrive dans la pièce qui va me servir de bureau, il y a déjà trois filles, toutes plus canons les unes que les autres, je ne vais pas pouvoir bosser entourée par ces filles. Les bureaux sont ouverts devant, elles ne serrent pas les cuisses de sorte que je peux voir qu’elles n’ont pas de culotte, et qu’elle sont toutes glabres, ça promet. –Marie Antoinette, je te présente Elodie la blonde, Murielle l’autre blonde et Julie la troisième blonde, tu as pu remarquer qu’ici, à part deux filles, nous sommes toutes blondes. Il y a un dossier qui t’attend sur ton bureau, et c’est urgent. Je m’installe, je prends le dossier, je le lit et très vite je me mets au boulot, je ne penses plus à ces canons qui m’entourent, nous travaillons toutes en silence. Je me jette dans le boulot, c’est ce qui me manquait, une activité, l’oisiveté n’est agréable que très peu de temps. Vers dix heures trente, les filles se lèvent. 
–Suis nous Marie Antoinette, c’est l’heure du café. Nous allons dans une espèce de hall assez grand avec des sortes d’alcôves, Elodie prend deux cafés sur un comptoir et va vers une table dans une des alcôves.  –Suis moi, nous serons mieux sur cette table. Nous nous installons, elle reste pratiquement collée à moi, je vois où elle veut en venir, je la laisse faire. Une main se pose sur ma cuisse, j’ouvre ostensiblement mes jambes, elle me regarde en souriant. –Tu aimes les femmes, nous le savions rien qu’à ta tenue, venir habillée comme tu l’es en sachant qu’il n’y a que des femmes dans cette société, c’est de la provocation.–Oui, j’aime les femmes, mais surtout une femme, je ne suis pas complètement disponible pour les autres.–Et c’est quoi ta disponibilité ?–Tout sauf me brouter le minou, ma chatte est réservée à mon amour, aucune bouche excepté la sienne. –S’il n’y a que ça, on s’en contentera, mais ta bouche pourrait très bien atterrir sur ma chatte, pas de problème ?–Aucun, j’adore le jus de chatte, tu pourras tout me faire en respectant ma virginité, je suis vierge et je compte bien le rester.–Moi aussi, nous sommes d’accord, et je peux t’assurer que beaucoup d’entre nous sont comme nous excepté Gabrielle et Irène qui se font baiser par des hommes de temps en temps.–Et c’est qui Gabrielle et Irène ?–Les deux associées de Florence, c’est Irène qui t’a reçu jeudi. Je peux te dire qu’elles aiment se faire bouffer la chatte, tu ne vas pas tarder à t’en rendre compte, elles ne devraient pas tarder à te convoquer dans leurs bureaux. –Si elles ne sont pas poilues, ça me va.–Alors, tu vas avoir un problème avec Gabrielle, elle a une touffe d’enfer.–Et bien, je refuserai, je ne supporte pas les poils, et si elle n’est pas contente, elle n’a qu’à me virer.–Oh là, calmes toi, elle n’exigera rien de toi. Sa main remonte le long de ma cuisse pour arriver sur ma vulve bien humide. –Je peux te titiller ton bouton d’amour ?–A condition que je te titille le tien.–Bien sûr. Je pose ma main sur sa cuisse, je remonte vers son sexe que je trouve lui aussi bien mouillé. Je lui titille le clitoris pendant qu’elle me fait la même chose. Nous sommes en train de nous exciter le clitoris, jambes ouvertes devant le reste de la société, quiconque passe à côté de nous peut voir nos doigts sur le sexe de l’autre. Ça n’a pas l’air de gêner Elodie. J’ai le temps de voir passer pratiquement une dizaine de filles devant nous avant de céder à un superbe orgasme en même temps qu’Elodie. Je pense qu’à l’exception de la direction, tout le monde est passé à proximité de notre table, à croire que c’était préparé. Une fois le café bu, nous retournons au bureau, Murielle et Julie sont déjà là, je fais en sorte qu’elle puissent admirer mes fesses et mon pubis avant de m’assoir derrière mon bureau. Il n’a pas de panneau devant de sorte que tout le monde peut voir ce qu’il y a dessous. Evidemment, je ne serre pas les cuisses, je vois pratiquement toute la société défiler devant la porte vitrée.  –Ne t’en fais pas, elles veulent te voir, mais ce sera fini demain, tu en as pour la journée, nous y sommes toutes passées.  –Je ne m’en fais pas et ça ne me dérange pas, je dirais même que ça m’excite, je commence à dégouliner ferme, je vais tâcher le siège.–Tu n’es pas la seule, moi aussi je dégouline à la pensée de ce qui va se passer à midi, mais je ne t’en dirais pas plus. Une fille entre dans le bureau, elle me regarde. –Marie Antoinette, Irène veux faire plus ample connaissance avec toi, suis moi.  Le sourire d’Elodie en dit long, je pense que l’entretien se concentrera sur nos sexes, mais j’aime ce genre d’entretien. Je suis la fille, elle fait valser sa jupe plissée me dévoilant de superbes fesses un peu blanches à mon goût. Irène est au milieu de son bureau, elle porte une robe hyper courte qui lui moule superbement le corps. La fille nous laisse et ferme la porte, Irène vient vers moi. –Tu dois te douter de la teneur de notre entretien, les filles ont dû t’en parler.–Oui, mais je dois tout de suite mettre les choses au clair, j’aime une femme de tout mon être, nous sommes libres, mais je ne suis pas entièrement disponible. –C’est-à-dire ?–Que mon sexe lui est réservé, aucune bouche ne peut y poser ses lèvres, c’est réciproque, et je tiens à respecter ça.–Aucun problème si ta bouche peut aller sur mon sexe, tu sais que tu me plais beaucoup, tu le sais depuis jeudi n’est-ce pas ?–Oui, je m’en suis rendu compte, mais toi aussi tu me plais beaucoup, seulement je réserve mon sexe à mon amour.–Et je le respecte, tu peux faire valser ce qui dissimule ton superbe corps ? J’enlève ma jupe et mon corsage pendant qu’elle fait passer sa robe par-dessus sa tête. Elle est magnifique mais blanche comme un linge, c’est une mode ici. Je m’approche d’elle pour poser mes lèvres sur ses seins fermes et tendus. Elle prend ma main et m’entraîne derrière son bureau, il y a un divan assez large, elle s’y allonge en mettant une jambe sur le dossier m’offrant son sexe grand ouvert. –Puisque je ne peux pas m’occuper de ton sexe, peux-tu t’occuper du mien ?–Avec joie. Je plonge dessus, ses lèvres sont très humides et très odorantes, je me délecte de son jus d’amour, mais je ne fais rien pour l’amener à l’orgasme, je veux qu’elle me demande de la faire jouir. Ma langue batifole entre ses lèvres, son périnée, son anus qui me semble très sensible, son pubis lisse et très doux. Elle se tortille dans tous les sens, elle lève ses fesses pour m’offrir encore plus son sexe de plus en plus mouillé. Je ne cède pas, ma langue évite soigneusement les alentours de son clitoris, mais je me réserve de lui bouffer quand je l’aurais décidé.  –S’il te plait Marie Antoinette, s’il te plait, s’il te plait. Je ne cède toujours pas, ma langue lui titille l’anus, elle se tortille encore plus, je sens son ventre se raidir, elle doit commencer à avoir mal, je décide de la libérer. Ma bouche se pose sur son clitoris gonflé pour l’aspirer et le rejeter plusieurs fois de suite. Je lui masturbe son bouton d’amour avec mes lèvres. Elle se cabre, ses jambes m’entourent la tête, elle veut me décapiter. –Oh oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Elle ne crie pas, elle murmure son bonheur, elle est tendue comme un arc. Son corps se détend doucement, je la lèche entre les lèvres, je récupère un maximum de cyprine. Quand je sens son corps complètement détendu, je veux me redresser mais elle m’attire contre elle et me fait remonter sur son corps. Elle m’allonge sur le divan à côté d’elle. –Je peux avec mon doigt ?–Oui, mais attention, je suis vierge. Sa main se pose sur ma cuisse, elle remonte jusqu’à mes lèvres, un doigt se pose sur mon clitoris, il roule un peu dessus, il va se lubrifier entre mes lèvres, elle le porte à sa bouche. –Comme ça, je connaît tout de même ton goût. Son doigt retourne sur mon bouton, il le titille, mais en douceur, il s’égare de temps en temps sur mon anus et mon périnée, je commence à me liquéfier, je sens que je coule comme une fontaine. Elle remet son doigt entre mes lèvres et le porte à nouveau à ses lèvres. Elle répète assez souvent ce geste jusqu’à ce qu’elle insiste un peu sur mon clitoris pour me faire exploser dans un gigantesque feu d’artifice. Sa bouche se pose sur mes seins, elle les mordille, décuplant mon orgasme. Quand je reviens à moi, elle me fait mettre sur le ventre pour embrasser mes fesses et glisser sa langue entre elles. Elle me les écarte avec ses mains et me lèche l’anus, j’en ressens un violent frisson. C’est la première fois qu’une personne me fait ça et je dois dire que j’adore. Elle se couche sur moi, je sens ses seins sur mes omoplates, son pubis sur mes fesses, elle pose sa bouche sur mon cou pour un rapide baiser. Elle se redresse, me fait lever et me regarde droit dans les yeux. –Tu m’as fait jouir comme rarement j’ai joui, j’espère que Gabrielle saura t’inspirer comme moi.–Si ce qu’on m’a dit est vrai, je ne toucherai pas à Gabrielle.–Et pourquoi ?–Elle est poilue, je déteste les poils, je ne peux pas supporter de les sentir entrer dans mon nez.–Je vois, je suis comme toi, je ne lui fais jamais de minette, elle comprendra, mais je vais quand même lui dire comment tu m’as fait monter au septième ciel. Elle se colle à son corps derrière moi, ses mains glissent sur mes seins, mon ventre, mon pubis pour remonter sur mes seins. –Tu es très belle, je pense qu’on se reverra de temps en temps.  –Je l’espère. Nous nous rhabillons, je la quitte, à aucun moment nos lèvres se sont rencontrées, je pense qu’elle veut garder une certaine distance tout de même. Je retourne à mon bureau, les filles ont un certain sourire en me voyant rentrer dans la pièce. –Alors, cet entretien, instructif ?–Extrêmement, et je peux vous dire qu’elle a beaucoup apprécié, on devrait encore s’entretenir.–Tu verras, c’est une fille super, une patronne comme on en fait pas, mais il faut surtout toujours rester à sa place, pas de familiarité.–Je sais me tenir ne t’en fais pas. Nous allons manger à midi, la boîte ferme une heure, il y a un petit restaurant juste à côté. Une fois assise, Elodie me prend la main et m’entraîne vers les toilettes. Une fois dedans, elle me fait entrer dans un box et ferme derrière elle. –Putain, j’attends ce moment depuis ce matin.  Elle se jette sur mon corsage qu’elle ouvre pour venir embrasser mes seins. Sa main glisse vers mon pubis pour me titiller le clitoris qui ne résiste pas longtemps, je jouis très vite. Elle ouvre la porte pour sortir, je veux remettre mon corsage quand je vois apparaître Julie qui se jette elle aussi sur mes seins tout en me titillant le clitoris. A ma grande surprise, je jouis une nouvelle fois assez vite. Quand elle sort, je n’essaye même pas de remettre mon corsage, j’attends Murielle, mais ce n’est pas elle qui apparaît, je ne connais pas cette fille, mais elle s’occupe de moi comme les autres, elles se sont donné le mot. Je ne fais rien pour les empêcher de me faire jouir, bien au contraire. Ce n’est qu’au bout de la septième qu’apparaît Murielle, elle me fait la même chose que les autres et je jouis de la même manière mais en ouvrant la porte, elle me regarde. –Je suis la dernière pour aujourd’hui, tu peux te rhabiller.
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