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Marie Antoinette

Chapitre 5

Lesbienne
L’intégration

Je me rhabille et la suis sous le regard amusé des filles. Une fois à table Julie se penche vers moi.
 –Tu fais l’admiration de toutes ici, personne n’a joui à chaque fois qu’une d’entre nous venait la voir, tu es la première.–Et j’aurais encore joui si ça avait continué.–Personne n’en doute, mais tu n’as plus qu’un quart d’heure pour manger.  J’enfile le repas vite fait, je suis quand même un peu dans les vaps. Une fois au bureau, je reprends mes esprits et travaille normalement. A dix-sept heures, tout le monde sort, je prends ma Camaro cabriolet de mille neuf cent soixante-quatorze pour rentrer à l’appartement, Gabrielle me fait signe. –Tu vas où ?–Parking St Georges, j’ai un garage au premier sous-sol.–Tu peux me prendre, je n’ai plus de voiture, je vais Rue St Antoine du T.–Monte, tu habites dans cette rue ?–Oui, au sept.–Nous sommes voisine, j’habite rue de la Pomme, côté rue de Arts. Je démarre, mais je vois qu’il y a autre chose qui l’intéresse, elle ne quitte pas mes cuisses des yeux. J’ouvre mes jambes le plus possible, je lui prend sa main gauche pour la poser entre mes cuisses, elle tombe sur une fontaine de cyprine. –Vas-y, tu peux me caresser, je sais que tu en as envie, mais je suis vierge et je pense qu’Irène t’a donné mes limites.–Oui, ne t’en fais pas, je n’exigerai rien de toi qui puisse te contrarier, j’aimerais tout de même caresser ton superbe corps.–Ça, il n’y a pas de problème, comme moi le tien, mais je n’irais pas plus loin, je déteste les poils de pubis.–Irène me l’a dit, pas de problème. 
 Elle fait comme Irène, elle trempe ses doigts dans ma cyprine et les lèche pendant tout le trajet. Je dois avouer que j’ai un peu de mal à me concentrer sur la circulation, heureusement qu’il n’y a pas grand monde. Quand nous arrivons dans mon garage, elle descend la première pour venir m’ouvrir la porte. J’ouvre exagérément mes cuisses, elle a ses yeux rivés sur ma vulve ruisselante.  –Tu as une magnifique chatte, je suis déçue de ne pas pouvoir la bouffer, mais je vais m’y faire.–Elle est réservée à mon amour, comme la sienne m’est réservée.–C’est la première fois que j’entends parler de chattes réservées, c’est assez original. Nous sortons du parking pour tomber sur Lamaï qui m’attend à la sortie, je me précipite dans ses bras pour échanger un long baiser. Gabrielle la regarde et me regarde. –Je comprends mieux pourquoi tu te réserves, elle est magnifique, bonne soirée à vous deux.–Merci, à demain, tu as un moyen de locomotion ?–Non, je vais improviser, ce n’est pas la première fois que ça m’arrive.–Je peux te prendre, nous sommes voisines.–Pourquoi pas, huit heures trente, ça te va ?–Parfait, huit heures et demie ici, à demain. Nous rejoignons l’appartement enlacées, le regard de certains passants n’est pas spécialement amical, mais on s’en fout, ce qui compte le plus c’est notre amour. Une fois dans l’appartement nous allons dans notre chambre pour nous aimer et nous aimer encore. Nous passons plus de deux heures dans le lit à nous faire jouir, rien ne nous arrête si ce n’est l’envie de manger. Après un rapide repas, nous retournons dans la chambre pour explorer encore le corps de l’autre, nous sommes insatiables. Nous finissons par nous endormir dans les bras l’une de l’autre vers trois heures. Le réveil est un peu dur mais nous réussissons à nous lever et à aller travailler. J’ai mis une robe, je veux en montrer le plus possible, cette boîte me plait bien, j’aime cette ambiance sexy tout en travaillant. Je récupère Gabrielle qui m’attend dans une jupe plissée très courte et un tee-shirt moulant ses seins ronds pointant leurs tétons durcis. Elle me regarde avec un air un peu amusé. –Je présume que la nuit a été courte, tu as une tête de déterrée.–Oui, nous avons fait connaissance avec nos corps.–Vous vous connaissez depuis longtemps ?–J’ai rencontré Lamaï jeudi dernier, ça a été comme une évidence, je crois que j’ai rencontré la femme de ma vie.–Tu ne trouve pas que c’est un peu rapide comme conclusion ?–Non, j’en suis sure.–Pas l’homme ?–Je ne supporte pas le contact avec les hommes, c’est comme ça depuis toujours. Une fois sorties du parking, arrêtées à un feu rouge, Gabrielle me prend la main droite et la porte sous sa jupe entre ses cuisses, je tombe sur un pubis lisse et doux. –Tu pourras t’occuper de moi maintenant, après ce que m’a dit Irène, je ne pouvais pas en rester là. Je veux ta langue sur mon minou, je veux que tu me fasse monter au septième ciel comme tu l’as fait à Irène hier. –Tu t’es épilée ?–Je suis allé chez mon esthéticienne, elle a été étonnée, j’ai toujours voulu garder mes poils, mais elle m’a tout enlevé. –Je présume que vu ton physique ça ne s’est pas limité à ça ?–Non, nous avons fini par faire l’amour, mais ça, ce n’est pas la première fois. Elle aimerait bien te connaître.–A bon, mais pourquoi ?–Je lui ais raconté ce que m’avais dit Irène, elle aimerait bien vivre la même chose.–Je ne suis pas une machine à faire jouir.–Ça, ça reste à prouver, mais j’attends avec impatience de vivre ce que tu as fait vivre à Irène. –Je présume que je vais être convoquée pour un entretien.–Tu présume bien.  Nous arrivons sur le parking de la société, il y a pas mal de filles dehors qui fument leur dernière cigarette de la matinée, il est interdit de fumer à l’intérieur. Vers dix heures, Gabrielle me convoque pour un entretien, personne n’est dupe, mais tout le monde fait semblant. En fait, toutes les filles ont vécu la même chose, Irène et Florence s’arrangent pour n’embaucher que des lesbiennes ou au moins bi. La fille qui est venue me chercher porte une robe très courte, elle porte une de ses mains derrière son cou, sa robe monte et me montre une superbe fesses bien ronde. Je n’hésite pas, ma main se pose dessus, elle ne réagit pas, au contraire, ses deux mains montent sur sa tête me dévoilant complètement ses deux fesses que je m’empresse de caresser. Arrivées devant la porte de Gabrielle, elle se retourne et me sourit. –Aujourd’hui, je vais aller aux toilettes. Je mets deux secondes à réaliser ce qu’elle veut dire, je lui sourit, elle ouvre la porte sans frapper. Nous entrons dans le bureau de Gabrielle, elle ne fait pas semblant, elle est nue allongée sur le divan derrière son bureau. Tous les bureaux des directrices ont un divan assez grand.  –Tu peux nous laisser Carole, je m’occupe de Marie Antoinette. Carole me sourit et ressort en fermant la porte. Je vais vers elle en faisant passer ma robe par-dessus ma tête. Je trouve sa vulve bien brillante avec un clitoris surdimensionné, il sort de son capuchon d’au moins un centimètre, elle a dû s’exciter en m’attendant. Je m’agenouille à côté du divan, ma bouche parcoure son superbe corps, elle va des jambes aux seins en évitant son sexe. Je vois son ventre commencer à onduler, elle lève un peu les fesses, ma bouche continue son chemins sur sa peau assez douce. Je redescends sur son pubis, elle ondule de plus en plus. Ma bouche se pose sur son périnée, elle ouvre encore ses jambes m’offrant son anus. Je glisse ma langue entre ses fesses, je lui lèche l’anus, elle bouge de plus en plus.  –Oui, j’aime oui, oui. Je continue quelques secondes, mais je veux boire son jus d’amour, ma bouche se colle à son vagin, j’aspire sa cyprine, je me régale de cette crème que j’adore. Elle est de plus en plus tendue, ses jambes sont dures, son ventre contracté, elle se raidi de plus en plus. Je remonte sur son pubis en évitant son clitoris, elle donne de violents coups de rein. –Marie Antoinette s’il te plait, s’il te plait libère moi, je n’en peux plus. Je continue de me contenter des périphériques, je veux qu’elle m’insulte, qu’elle me demande de la tuer. Ses mains tentent de diriger ma tête, mais rien n’y fait. –Putain mais tu vas me faire jouir salope, allez, s’il te plait ma chérie. Cette fois, je cède, ma bouche vient lui masturber son énorme clitoris, j’ai l’impression d’avoir un doigt entre les lèvres. Elle explose dans un gigantesque orgasme, elle hurle son plaisir, toute la boîte sait qu’elle vient de prendre un pied pas possible. Elle met longtemps à se détendre, en attendant, je lui lèche les lèvres pour récupérer sa cyprine. Quand elle est parfaitement détendue, elle me fait allonger sur le divan, elle me caresse sur tout le corps, sa main légère glisse sur ma peau. –Tu as un superbe corps, j’adore le caresser, dommage que je ne puisse pas me goinfrer de ta cyprine. –Chatte gardée. Sa bouche se pose sur mon ventre, elle descend sur mon pubis, elle contourne mon sexe pour arriver sur mes cuisses. Je ne les ouvre pas, c’est un sens interdit, elle le sait, mais je ne veux pas la tenter. Elle se redresse un peu, sa main revient sur ma peau, elle glisse dessus en une caresse aérienne, j’aime cette sensation de légèreté, mais je commence à me liquéfier. Sa main arrive sur mon sexe, deux doigts tournent sur mon clitoris, ils se lubrifient de temps en temps entre mes lèvres pour revenir me faire exploser dans un superbe feu d’artifice. Sa bouche parcoure mon corps en évitant mon sexe, elle me respecte. Quand je suis de nouveau calme, elle se lève, je m’assoie sur le divan. Je peux admirer ses lignes parfaites, elle a un cul de black, bien rond et bien haut, une merveille, presque aussi beau que celui de Lamaï.  Son clitoris dépasse entre ses lèvres, il me nargue, je la saisi par les hanches et plaque son sexe sur ma bouche. Je lui masturbe jusqu’à ce que je l’entende s’exprimer une nouvelle fois mais moins fort tout de même. Je vois qu’elle titube, elle se retient en posant ses mains sur mes épaules. Je lui enlace les jambes pour la maintenir debout. Quand je sens qu’elle est de nouveau lucide, je la lâche, elle m’aide à me relever, elle pose ses lèvres sur mes seins pour en mordiller les tétons, je recommence à mouiller. Elle me fait tourner pour se plaquer sur mon dos. Une de ses mains caresse mes seins pendant que l’autre s’occupe de mon clitoris qui n’en demande pas tant. Je jouis en une minute, je suis prise de tremblements, elle me maintient debout en posant ses lèvres sur mon cou. Quand je retrouve mes esprits, elle me lâche, elle me fait pivoter, ses yeux sont d’une grande douceur. –Irène avait raison, tu es la reine du broute minou, je me contenterai de n’avoir que ta bouche sur mon sexe, c’est trop bon. –Je suis à tes ordre madame la directrice.–Tu oublie tu es directrice qualité, un rôle important dans notre société.  Elle sourit et va chercher sa jupe et son tee-shirt jetés sur une chaise. J’enfile ma robe, elle me caresse les fesses et les seins sous prétexte de l’ajuster. Quand je sors du bureau, toutes les filles me regardent, j’ai l’impression qu’elles sont toutes un peu jalouses, je ne me vois pas être obligée de leur faire à toutes la même chose. Je rejoins mon bureau, il est presque l’heure d’aller manger, je m’attends à recevoir toutes les filles qui ne sont pas venues aux toilettes hier, en particulier Carole. A midi, nous allons au restaurant, cette fois, je ne vais même pas m’assoir, je vais directement aux toilettes, entre dans un box et me déshabille. Contrairement à hier, je suis nue, je me titille le clitoris, je veux être prête à jouir tout de suite. Quelques secondes plus tard une fille entre dans mon box, elle semble étonnée de me trouver nue, mais sa main va tout de suite sur mon sexe et le trouve très humide. Elle fait rouler son doigt sur mon bouton, va de temps en temps le lubrifier et finit par me faire jouir assez vite. Elle sort immédiatement remplacée par une autre, elles doivent être derrière la porte à attendre leur tour. C’est à la sixième qu’apparaît Carole, contrairement aux autres, elle se déshabille et commence par caresser mon corps, ses mains le parcourent lentement comme pour bien s’en imprégner, elle me regarde avec des yeux bleus très clairs. Mes mains glissent sur le sien, je retourne à ses fesses sublimes, ma main droite finit sur sa vulve, elle est trempée.  –J’adore ton corps, tu me plait beaucoup, dommage que ton cœur soit déjà pris, j’aurais bien aimé partager quelque chose avec toi.  Pour toute réponse, je la plaque contre moi et glisse mon doigt sur son clitoris, elle continue à me titiller le mien, je la sens se tendre vers son propre plaisir. Je jouis au moment où son corps se tend lui aussi, je ne peux l’empêcher de poser ses lèvres sur les miennes, nos langues finissent par discuter un petit moment. Quand nos bouches se séparent, elle me regarde. –Tu ne dis pas qu’on s’est embrassé, et que tu m’a fait jouir, ça peut créer des jalousies, ça doit rester entre nous. –Ne t’en fait pas chérie, je serai muette comme une carpe. Nous nous rhabillons, elle sort la première, je rejoins la table une petite minute plus tard. Cette fois, toutes les filles m’ont fait jouir, mais je regarde Carole, cette fille me plait, elle est plus directe que les autres, je pense qu’il va se passer plus que ça entre nous, une amitié un peu plus profonde agrémentée de sexe. Nous retournons au boulot, l’après-midi commence par un coup de fil d’un client qui veut savoir comment je compte faire certifier la société, il est intéressé par notre démarche pour faire la même dans sa propre société. Vers seize heures, Florence me fait venir dans son bureau, je m’attends à devoir la faire jouir comme les autres. Je connais le chemin, j’y vais seule, je frappe, elle vient m’ouvrir, elle n’est pas seule, il y a une très jeune fille très jolie avec elle. Elle lui ressemble beaucoup, elle sont de la même famille, c’est sûr. –Marie Antoinette, je te présente Emma, ma petite sœur, elle vient d’avoir dix-huit ans, elle a eu son bac l’année dernière, elle a fait une année de math à Rangueil, mais ça ne lui plait pas. Je lui ai parlé de toi, et de ton travail, elle semble aimer ce genre d’action en contact avec les gens. Elle aimerait travailler avec toi quelques mois pour voir si ce que tu fais lui plait vraiment. Je te la confie, mais tu ne prends pas de gants avec elle, je veux que tu la considère comme une employée lambda, par de favoritisme.–Ok, je m’en occupe. Elle regarde sa sœur et lui demande de sortir. Une fois dehors, elle vient vers moi. –Je suis la seule dans la société à ne pas connaître ton corps, je sais que toutes les filles t’on fait jouir, et que Gabrielle et Irène sont très heureuse que tu te sois occupé de leur petit minou, mais je ne peux pas me permettre de te demander de me faire la même chose, j’ai un rendez-vous qui suit. Ne t’en fais pas, ce n’est que partie remise, d’un autre côté, Emma aime aussi les femmes, je pense qu’elle ne sera pas hostile à un petit rapprochement avec toi, si tu le désires évidement. Je sais l’amour que tu portes à une femme, Gabrielle m’a parlé d’elle, elle semble avoir pris tout ton cœur. Je te demande simplement d’être gentille avec Emma, c’est une gamine très douce et très aimante quand quelqu’un lui plait. –Je lui aurais quand même donné quelques années de moins, on dirait une adolescente. Ne t’en fais pas, je vais m’occuper d’elle, elle aura tout ce qu’elle désire sauf mon sexe à bouffer. –Je sais. Je quitte le bureau, Emma m’accompagne à mon bureau. Quand je rentre, je constate qu’il y a un nouveau bureau pour elle, les nouvelles vont vite ici.
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