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Marie Antoinette

Chapitre 6

Lesbienne
L’amour
 La routine s’installe au bureau, je prends tous les jours Gabrielle, elle me fait le plein une fois sur deux, elle passe son temps de trajet à me titiller le clitoris, elle m’a fait jouir plusieurs fois, à chaque fois à un feu rouge au milieu des personnes qui traversaient la rue. Je n’ai toujours pas fait jouir Florence, nous n’avons jamais le temps. Emma est une charmante jeune fille, mais elle fait un peu tâche dans la société, elle est habillée comme une mémère, jupes mi cuisses, corsage boutonné jusqu’au cou ou robes aux genoux un peu amples. Je m’attache de plus en plus à cette ravissante jeune fille, ce qui semble être réciproque. Mais elle ne sait pas se mettre en valeur, Florence est à bout, elle n’arrive pas à la décoincer. J’en parle à Lamaï qui me dit qu’il suffirait peut être de la faire venir ici et de lui faire voir comment mettre son corps en valeur. Mi-octobre, je prétexte la consultation d’un document chez moi pour l’amener à l’appartement. Je ne pense pas qu’elle est dupe, mais elle m’accompagne. Quand nous sortons du parking, Lamaï est là comme tous les jours, nous partons enlacées, Gabrielle nous laisse et Emma nous accompagne. Une fois à l’appartement, Lamaï se déshabille comme d’habitude, j’en fait autant. Emma nous regarde, elle semble hésiter, Lamaï vient vers elle.
 –Tu fais comme tu veux, si tu ne te sens pas à l’aise reste habillée, mais ce serait dommage, je devine un merveilleux corps sous cette robe un peu moche, voire très moche, montres toi plus, tu es si belle.  Elle la regarde, me regarde, déboutonne sa robe et l’ouvre. Elle nous apparaît en soutien-gorge à armatures et culotte assez couvrante sur un corps blanc comme la mort, je viens vers elle en souriant. –Tu permets que je m’occupe de ces horribles choses qui cachent ton corps ?–Oui, tu peux me les enlever, mais je ne sais pas comment je vais réagir, je suis très excitée, ma culotte est trempée. Tu sais que je suis lesbienne, et être au milieu de deux si belles filles nues ne peut que m’exciter, je suis assez tendue. Je lui fait glisser le slip le long de ses jambes découvrant un pubis lisse et bien bombé lui aussi blanc. En effet, il a une énorme auréole sur l’entre jambe de la culotte et elle dégage une forte odeur. Ma tête va d’elle-même sur sa vulve, ma langue se glisse entre ses lèvres liquéfiées, elle lui titille le clitoris érigé, elle avance son bassin en posant ses mains sur ma tête. –Oh oui, si tu savais depuis combien de temps j’attends ça, j’ai envie de ta langue ma chérie, oui, fais-moi jouir, aime moi, je ne vais pas tarder. Je suis un peu déstabilisée par ma chérie et aime moi, mais effectivement, elle jouit en moins d’une minute. Lamaï l’a enlacé pour la soutenir, mais aussi pour lui enlever son horrible soutien-gorge et lui caresser ses seins ronds et toniques. Elle semble au comble du bonheur. Nous l’emmenons dans notre chambre en la portant plus ou moins, elle est stone, Lamaï l’allonge sur le dos en lui écartant un peu les jambes. Nous nous reculons un peu pour admirer le magnifique corps de cette fille qui nous regarde en souriant. Il faut qu’elle aille au soleil, ce corps est trop blanc. Elle n’a que trois ans de moins que nous, mais elle paraît si jeune que j’en ai des remords. Elle semble attendre la suite des événements, Lamaï se glisse entre ses jambes, Emma me regarde. –Maintenant je comprends pourquoi tu ne veux pas te donner complètement aux autres filles, je me sens privilégiée de pouvoir recevoir la langue de ton amour sur mon petit bouton. Je crois que je vous aime, vas-y Lamaï, je suis à toi, mon corps t’appartient, même si je sais que le tien ne m’appartiendra jamais. Encore une déclaration d’amour un peu intempestive, mais je me remémore les premières phrases de Lamaï me concernant, je relativise, et si c’était la personne qui peut compléter notre couple, son ciment. Lamaï se déchaîne sur son sexe elle se tortille dans tous les sens, connaissant mon amour, je sais qu’elle ne va pas jouir tout de suite. Je me penche sur elle pour lui mordiller ses tétons raides. Elle donne des coups de tête à droite et à gauche, elle est complètement dans son trip, je caresse ce corps divin, rien ne remplace la jeunesse, cette peau est sublime de douceur et de fermeté, peut-être dû à l’absence de soleil. Lamaï met dix bonnes minutes à la faire jouir, elle finit par tomber dans les pommes, mais elle, elle met un peu plus de temps à émerger, j’ai eu un petit coup au cœur. Quand elle ouvre les yeux, c’est pour nous regarder avec un regard clair, lumineux, elle vient de vivre le plus beau moment de sa jeune vie.  Je ne veux pas rester en marge, je viens me positionner entre ses jambes et entreprends de lui titiller les lèvres encore maculées de cyprine. Elle ne réagit pas tout de suite, mais ma langue a vite fait de déclencher une réaction de son corps. Au bout de quelques secondes, son corps s’anime, son bassin ondule, elle me donne son sexe à bouffer, mais je sens qu’elle aimerait autre chose que nous ne voulons pas lui donner. Je me délecte de sa cyprine, ma langue se glisse entre ses lèvres, elle lui titille l’urètre, le périnée, l’anus. Je vois Lamaï au bout du lit, elle me montre son sexe et la bouche d’Emma, je comprends qu’elle veut faire une exception pour cette adorable fille, je lui fait oui de la tête. Elle monte sur le lit en écartant les jambes et vient présenter sa vulve au-dessus de la tête d’Emma.  
Elle a les yeux fermés et ne bouge pas, mais l’odeur du sexe de Lamaï lui fait ouvrir. Elle voit cette magnifique vulve brillante au-dessus de sa tête, elle se redresse un peu pour me regarder étonnée. Je lui sourit, elle comprend et s’empare des hanches de Lamaï pour plaquer son sexe contre sa bouche. Elle se déchaîne sur ce sexe qu’elle croyait inaccessible, je vois que Lamaï apprécie beaucoup ce qu’elle lui fait, mais je veux la faire jouir comme elle n’a jamais joui de sa vie. Je fais glisser ma langue le long de ses lèvres, je lui titille le périnée, elle réagit violemment, Lamaï finit par jouir, Emma la libère et se concentre sur ce que je lui fais. Son corps bouge de plus en plus, je le sens se tendre à l’extrême, ses fesses décollent du lit, son corps n’est qu’un arc tendu qui ne demande qu’à se détendre, mais moi, je ne veux pas qu’il se détende, je veux que son corps lui fasse mal, qu’elle me supplie de la libérer. Ses jambes se referment sur ma tête. –Je t’en supplie chérie, fais-moi jouir, fais-moi jouir, je vais mourir, chérie, mon amour, fais-moi jouir. Je continue de faire circuler ma langue autour de son sexe, elle n’en peux plus, son corps est tendu à l’extrême, c’est Lamaï qui vient à son secours, elle dirige ma tête sur son clitoris. Je ne peux résister, ma langue le titille, mes lèvres le masturbe, elle est littéralement emportée par un tsunami qui disperse son corps autour de l’univers. Elle essaye de se soulever, mais tombe inerte sur le lit, elle perd conscience une nouvelle fois. Elle revient à elle au bout de quelques secondes, Lamaï s’allonge sur elle, elle pose ses lèvres sur les siennes, elles échangent un long baiser, je sens que cette fille va faire partie de nous, moi aussi j’ai envie d’elle, de l’embrasser, de la caresser, de la câliner, de la rendre heureuse, je crois que cette fille va partager notre vie. Quand Lamaï se redresse, elle m’attire sur elle pour échanger un merveilleux baiser, je sens les mains de Lamaï glisser sur mes fesses, elle ne perd pas une occasion de me les caresser. Evidemment, je n’ai pas de document à lui montrer, mais elle partage notre repas et notre lit. Après le repas, nous retournons dans la chambre, elle se donne, elle sait que nous voulons la rendre heureuse, je lui donne mon sexe à brouter, elle en semble très fière. Nous l’avons fait jouir plusieurs fois jusqu’à deux heures, il faut dormir, au bout de la nuit le devoir nous attend. Nous décidons avec Lamaï que maintenant que notre amour est confirmé et fort, nous pouvions laisser certaines femmes nous brouter le minou. Le matin, à l’entrée du parking, Gabrielle nous regarde arriver dans sa jupe raz la chatte et son tee-shirt moulant avec un petit sourire en coin. Emma est métamorphosée, elle porte une de mes jupes la moins courte, deux centimètres sous les fesses, elle doit s’habituer à se montrer, un string ficelle, ce qui la change de ses culottes et un tee-shirt moulant ses sublimes seins sans soutien-gorge. Je crois que Florence ne va pas reconnaître sa sœur.  –Alors les filles la nuit a été courte et agitée à voir vos visages.–Assez, mais nous sommes quand même en forme, et nous allons le prouver de ce pas. Nous descendons dans le parking, Gabrielle regarde Emma autrement, elle semble bien lui plaire. Moi aussi je la regarde, elle a des jambes magnifiques mais d’une blancheur à faire peur, il faut vraiment qu’elle voit le soleil. Je viens vers elle. –Notre Emma te plait bien hein ?–Comment as-tu fait pour faire d’une fille qu’on ne regarde pas une splendeur. –En lui faisant l’amour à deux jusqu’à deux heures cette nuit.–Extraordinaire, personne ne va la reconnaître.–Même pas Florence. Emma s’arrête, quand nous sommes à sa hauteur, elle me saute dessus, sa jupe se soulève montrant ses fesses à Gabrielle qui semble apprécier.  –Chérie, je veux revenir chez toi ce soir, c’est possible ?–Bien sûr ma chérie, à moins que ta sœur ne s’y oppose.–Elle n’a pas intérêt à refuser, sinon, je lui arrache les yeux.–Oh là, du calme chérie, tu deviens un peu agressive tout à coup.–Je ne veux pas qu’on me sépare de vous deux, je vous aime toutes les deux et je veux rester avec vous, toute ma vie si je peux et si vous me voulez. –Un peu de calme ma chérie, il est vrai qu’il se passe quelque chose entre nous trois, mais laissons le temps au temps, pas de précipitation.  Elle se tourne vers Gabrielle. –Ça n’empêche pas les petits extras, je câlinerais bien cette splendide femme pendant le voyage jusqu’à la boîte moi. Je suis scotchée, jamais je n’aurais imaginé la timide Emma parler comme ça à l’associée de sa sœur. Nous embarquons dans la voiture, elles se mettent derrière, pour une fois je n’ai pas une main qui me titille le clitoris pendant que je conduis. Elles se font jouir deux fois pendant le trajet, elle ne se réajuste qu’une fois en vue de la boîte, elles sont radieuses. Nous arrivons sur le parking de la société, Irène se précipite sur nous, elle semble catastrophée. –Gabrielle, il faut qu’on se réunisse, Florence nous attend, c’est très grave. Gabrielle suit Irène, elles se précipitent dans le hall et se dirigent vers le bureau de Florence pour s’y engouffrer. Tout le monde se regarde, personne ne sait ce qui se passe, on ne les a jamais vu dans un tel état de panique. Mais une autre personne attire l’œil, c’est Emma dans sa nouvelle tenue, toutes les filles viennent la féliciter et en profiter pour laisser traîner leurs mains sur ses fesses, c’est nouveau pour elle, mais elle semble apprécier. Nous finissons par rejoindre nos bureau, mais l’ambiance est un peu plombée. Emma se précipite aux toilettes, certainement pour se masturber. Je vois que les deux lignes de téléphone sont occupées en permanence, ça dure plus d’une heures, vers dix heures trente, elles sortent du bureau et nous demandent de venir dans la salle de réunion. Une fois tout le monde présent, Florence regarde l’assemblée, elle est livide. –J’ai une très mauvaise nouvelle à vous annoncer, la société Louvète nous a plantées, elle n’a pas honoré ses cinq dernières échéances. Vous savez que nous faisons plus de trente pour cent de notre chiffre d’affaires avec elle, nous sommes à découvert de plusieurs centaines de millier d’euros. Notre banque nous a soutenue jusqu’à maintenant, mais elle ne veut plus le faire. Elle nous donne jusqu’à la fin du mois pour régulariser notre compte ce qui est impossible, nous ne pourrons pas y arriver, pas assez d’en cours, c’est la fin. J’en suis désolée, la boîte va certainement être liquidée, nous allons toutes nous retrouver au chômage.  Plusieurs filles éclatent en sanglots. Tout le monde retourne à son bureau, je vais vers le bureau de Florence, je frappe, personne ne répond, au bout de deux fois, j’ouvre, je vois Florence effondrée sur son bureau en pleurs, je viens vers elle. –Que viens-tu faire ici, laisse-moi à mon chagrin s’il te plait, je ne veux voir personne, laisse-moi pleurer tranquillement.–Je suis là pour peut-être trouver une solution avec vous trois. Elle se redresse, me regarde étrangement, des larmes coulent sur son visage. –Et comment pourrais-tu trouver une solution, tu n’es dans la société que depuis cinq mois ?–Oui, mais j’ai appris à aimer cette société et les personnes qui la composent, je n’aimerais pas la voir disparaître.–Et alors ?–Alors ? Ce que tu ne sais pas, c’est que je n’ai pas besoin de travailler pour vivre, je suis ce qu’on appelle une femme riche, très riche même. Il s’élève à combien ton découvert à la banque ?–Deux cent quatre-vingt-dix mille euros, sans compter les agios, au moins vingt mille euros.–Je peux te donner cet argent, on fait comment ? Elle me regarde, elle ne semble pas trop bien comprendre ce que je lui propose. Elle prend le téléphone interne et appelle Irène et Gabrielle. Deux minutes plus tard, elles sont là. Florence me regarde, elle regarde ses amies. –Les filles, Marie Antoinette nous propose de combler notre découvert, que pouvons-nous lui offrir en échange.–Mais le découvert est supérieur à nos avoirs, c’est pour ça que la banque nous abandonne, le capital n’est que de cent cinquante mille euros, cinquante milles par personne. Nous ne pouvons offrir que ça.–Donc, vous seriez prête à céder vos actions pour sauver la société ?–Bien sûr.–Oui, moi aussi si c’est pour sa survie.–Et bien Marie Antoinette, tu peux être la nouvelle propriétaire et unique actionnaire de notre société si tu le désire en sachant que tu dois investir le double de la valeur intrinsèque de la boîte. Tu peux faire ce que tu veux de nous, l’important c’est que ce que nous avons construit survive.–Il n’est pas question de vous voir partir, je ne suis pas là pour vous remplacer. Je peux investir cette somme, il ne me faut qu’un ou deux jours pour la réunir, ma banque s’en occupera, je vais mettre les deux banques en relation, mais il y a une condition, c’est de virer la banque actuelle.–Tu va être la patronne maintenant, tu peux faire ce que tu veux. –Je crois que vous n’avez pas bien compris ma démarche, je ne veux pas être la patronne, je ne veux diriger personne, je ne saurais pas le faire, je ne suis pas assez retord pour ça. Il faut des personnes d’expérience, et le mieux, c’est la continuité. Donc, Florence à la direction, Gabrielle à la gestion industrielle et Irène à la gestion commerciale, que vouloir de mieux. Vous restez à vos postes, je ne serai que la propriétaire, rien de plus, et je continuerai la démarche qualité, personne ne doit connaître notre deal pour l’instant, vous êtes d’accord ? Elles viennent toutes m’enlacer, je vois dans le regard de Florence une immense tendresse, elle ne se voyait pas s’en sortir, ses larmes ont séchées. –Bon, ça me tombe sur la tête comme un tsunami, il faut m’aider mesdemoiselles, je ne pourrai rien faire sans vous. –Ne t’en fais pas, nous serons toujours là, tu es notre providence.–N’exagérons rien, il se trouve que j’avais des grands-parents extrêmement riches, et comme mes parents et mon grand-père ont disparus dans l’accident d’avion de la TWA en mille neuf cent quatre-vingt-seize, j’ai hérité d’une énorme fortune à la mort de ma grand-mère l’année dernière, j’étais sa seule héritière. –Pourquoi ta grand-mère n’était pas dans l’avion ?–Parce qu’elle détestait les américains, il n’était pas question d’aller voir ces salopards comme elle disait, elle n’a pas fait le voyage, moi, j’étais en colonie de vacances, j’avais onze ans, c’est ma grand-mère qui m’a élevée.–Et pourquoi es-tu venue travailler ici ? –Juste pour ne pas me faire chier toute la journée, je n’avais pas de passion, pas de hobby, rien pour m’occuper. Il fallait que je bouge, et comme j’aime le contact, les rapports humains, j’ai répondu à votre annonce et me voilà.  –Je dois te dire que c’est ta tenue qui m’a convaincu, je voyais ton diplôme mais c’est surtout ton joli minou que tu me montrais ostensiblement qui m’a convaincu. Comment peux-tu venir à un entretien d’embauche avec une jupe raz la chatte sans culotte ?–Juste parce que je n’avais pas besoin de travailler pour vivre, donc je suis venue à un entretien d’embauche comme j’aime être habillée, si ça ne plait pas, tant pis, je vais voir ailleurs. Mais toi, tu m’as reçu en short hyper moulant qui te rentrait entre les fesses, à la couleur près, on aurait dit que tu étais à poil. –J’avoue que j’adore recevoir les candidates dans cette tenue, comme ça, je peux voir si les femmes les excitent. Et toi, je t’ai excité, tu ouvrais tes cuisses de plus en plus, j’avais envie de te sauter dessus, je voyez tes lèvres briller devant mes yeux. Quand tu as quitté le bureau, je me suis masturbée comme une folle. –Je ne voyais pas ton sexe, mais très bien tes seins que tu n’arrêtais pas de me montrer. –C’est ma technique d’embauche, je veux voir jusqu’où je peux aller avec les candidates, avec toi, j’ai cru que j’allais devoir te bouffer la vulve.–A ce moment, tu aurais pu, je n’ai rencontré mon amour que le soir de notre entretien, j’avais acheté du champagne pour fêter ça. –Putain, la loose !
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