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Marie Antoinette

Chapitre 7

Lesbienne
Patronne
 –Et oui, mais nous ne sommes pas là pour regretter de n’avoir pas su plonger sur ma chatte bien baveuse quand il en était encore temps, les banquiers nous attendent. 
 Florence et Irène téléphonent à leur banquier, je téléphone au mien qui au début ne semble pas très enthousiaste, mais qui finit par accepter après avoir reçu les chiffres de la société. Il nous prend comme client, l’ancienne banque essaye de récupérer la société, mais je refuse il fallait savoir prendre ses responsabilités, ils ne l’ont pas fait quand il fallait prendre des risques. En début d’après-midi, il est évident que la société est sauvée, Florence réuni tout le monde, elle attend que la tension descende, toutes les filles sont tristes et sur les nerfs, beaucoup de larmes sur les joues. Je me glisse dans le groupe à côté d’Emma. –Contrairement à ce que je croyais ce matin, nous n’allons pas déposer le bilan, nous avons trouvé une solution pérenne. L’équipe reste la même, il n’y aura aucun licenciement.  C’est un tonnerre d’applaudissement, toutes les filles se sautent au cou, pour une fois les baisers sont publics, les bouches se soudent un peu partout. Emma plaque ses lèvres contre les miennes pour un baiser passionné. Julie me regarde, elle doit se demander ce que je faisais avec la direction, elle se pose des questions. Mais je ne veux pas qu’on sache tout de suite que c’est moi qui ait racheté la société. Emma pose sa tête sur mon épaule. –On va pouvoir rester ensemble toutes les trois, je suis heureuse.–Mais chérie, même si la société avait disparue, tu serais resté avec nous, il n’est pas question que tu nous quittes pour l’instant.  Elle se blotti encore plus contre moi, je vois que certains regards deviennent un peu goguenards. Florence vient vers moi, elle prend sa sœur par la main. –Suis moi chérie, je veux te montrer quelque chose.  Emma ne peut pas résister, sa sœur a un ascendant certain sur elle, mais elle n’en abuse pas, elle l’aime comme une folle. Elle est très heureuse de voir qu’elle accepte de changer un peu de look. Je réussi à m’éclipser, je veux aller voir Gabrielle qui est retournée dans son bureau, elle semble un peu ailleurs depuis un petit mois, elle est souvent à part, seule. Je frappe à sa porte, elle me répond d’entrer, elle est assise à son bureau et range des documents dans un carton. –Gabrielle, mais pourquoi tu restes seule dans ton bureau ?–Tout simplement parce que je vais rejoindre l’homme que j’aime en Martinique, il est parti il y a une semaine, je devais régler mes affaires ici, mais ça c’est fait plus vite que prévu, je n’ai plus rien qui me retienne ici, je vais le rejoindre. –C’est moi qui te fait partir en ayant racheté la société ?–Pas du tout, je sais que je dois partir depuis plus de trois mois, mais je n’arrivais pas à l’annoncer à Florence et Irène, ce sont mes amies, et je les aurais mises en difficulté, elles n’avaient pas les moyens de racheter mes parts.
–En définitive, cette affaire tombe bien pour toi.–On peut le dire, et ça me gêne, je suis libre, mais je quitte mes amies de toujours, on s’est connues au CM un toutes les trois, on a tout vécu ensemble. Nos premiers émois, nos premières caresses saphiques, nos premiers baisers, nos premiers broute minou, nos premiers orgasmes, toujours unies comme des sœurs.–Florence et Irène sont au courant que tu as un homme dans ta vie ?–Oui, mais elle doivent penser que c’est comme d’habitude, deux trois mois et chao, mais là, ça dure depuis plus d’un an et je suis très amoureuse de lui.–Ne pense qu’à une chose, tu laisses tes amies heureuses, elles vont rester dans leur société, la diriger même si ce n’est plus vraiment la leur. Je peux te promettre qu’elles seront toujours là, j’y veillerai. Je ne veux pas les spolier, je suis la propriétaire, mais ce sont elles les vraies patronnes, l’âme de cette société. Le problème, c’est qu’il va falloir trouver quelqu’un pour te remplacer, nous avons besoin d’une gestionnaire.–Mais dis donc, Lamaï ne fait pas la même chose que moi dans sa société ?–Oui, mais je ne veux pas l’imposer, c’est mon amour, je ne veux pas la mettre en porte à faux dans la boîte.–Tu n’en a rien à foutre de ce qu’on pense, c’est toi la vraie patronne, si quelqu’un t’emmerde tu le vire d’une manière ou d’une autre, tu te poses trop de question ma chérie. D’ailleurs, c’est moi qui vais proposer Lamaï aux filles, ça ne viendra pas de toi. –Tu fais comme tu veux, mais il faut qu’elle soit d’accord.–Ça va de soi, mais je dois voir Florence tout à l’heure, je lui en parle, je ne vois pas ce qui pourrait empêcher son arrivée.–Je ne veux pas qu’on ait l’impression que je place mes pions pour m’accaparer la société.–Mais tu vas en être la propriétaire à cent pour cent dans deux jours, que veux-tu qu’on te reproche, tu es la patronne, tu vas te mettre ça dans la petite cervelle de piaf une bonne fois pour toute ?–Bon, et bien la petite cervelle de piaf te vire, fout moi le camp !! Elle me regarde et éclate de rire, elle vient me prendre dans ses bras pour poser ses lèvres sur les miennes et échanger un long baiser rempli de tendresse et d’amour. Quand nos bouches se décollent, elle me regarde en souriant. –Tu es la nana la plus bizarre que j’ai rencontrée dans ma vie, comme venir bosser quand on roule sur l’or, mais je dois dire que j’aurai regretté de ne pas te connaître, je ne t’oublierai pas.  Ses mains glissent sur mes fesses pendant qu’elle parle, je suis collée à elle, j’en veux un peu plus, cette fille émet des ondes positives qui m’attirent. Je glisse mes mains sous son tee-shirt pour lui enlever, elle se laisse faire, mes mains s’occupent de sa jupe qui tombe au sol. Mes mains glissent sur son corps, fesses, seins, ventre, pubis, tout y passe pendant qu’elle me déshabille. Je lui prend la main pour m’amener sur son divan et l’allonger, je lui écarte un peu les jambes pour poser ma bouche sur sa vulve et la titiller. Mais je veux qu’elle garde un bon souvenir de moi, je bascule pour lui présenter ma vulve au-dessus de sa tête, ses mains s’emparent de mes fesses et me plaque contre sa bouche. Nos langues s’activent sur nos sexes, je sens mon corps s’envoler vers un orgasme dément, je suis heureuse de lui donner ce qu’elle attend depuis longtemps en pensant qu’elle ne l’aurait jamais. Nous explosons en même temps dans un merveilleux feu d’artifice, je sens son corps vibrer sous le mien, je me colle à lui, je veux partager son plaisir. Quand nous revenons à nous, elle se redresse, m’enlace et pose ses lèvres sur les miennes. Son baiser est doux et tendre, ses mains glissent sur mon corps, lentement, comme pour s’en imprégner.  –Tu viens de me donner la preuve de ton amour pour moi, pas cet amour fou que tu éprouves pour Lamaï, mais d’un amour tendre et vrai pour moi, comme celui que je te porte. Tu seras toujours dans mon cœur, je peux dire que je t’aime Marie Antoinette, d’un amour sincère et désintéressé. –Moi aussi Gabrielle, tu vas me manquer, mais je serai heureuse de te savoir heureuse avec l’homme de ta vie.–Je le suis d’autant plus que je suis enceinte de deux mois, mais je te demande de ne rien dire, je leur annoncerai quand je serai en Martinique. Je voulais que tu je sache en premier, toi aussi, tu me manqueras. Nous nous levons en enfilons nos fringues, je la quitte, je suis triste de la voir partir, je ne m’y attendais pas, mais si Lamaï la remplace, je serai tout le temps avec mon amour. Gabrielle va dans le bureau de Florence, je retourne dans mon bureau. Un quart d’heure plus tard, Manon entre dans le bureau avec un air un peu inquiet. –Les filles, les patronnes sont de nouveau réunies, Gabrielle fait une drôle de tête et Irène avait l’air inquiète, je recommence à baliser. –Non, si elles t’on dit que la société était sauvée, ce n’est pas pour te dire le contraire une heure plus tard. Calme toi ma chérie, elle doivent parler de l’avenir.–Toi, tu es là depuis six mois, moi depuis cinq ans, j’ai été la première embauchée par Irène, cette boîte c’est ma vie.–Elle était déjà en short ?–Ma parole, mais tu es complètement à la masse, tu plaisantes alors qu’on a failli se faire foutre au chômage !–Tu dis toi-même qu’on a failli, donc ça ne s’est pas fait, tu ne vas pas être constamment aux aguets pour voir si tout va bien tout de même ? Viens à côté de moi, je voudrais te faire comprendre quelque chose.  Elle vient se mettre entre mon bureau et celui d’Emma, elle est en mini-jupe moulante qui descend à un centimètre sous ses fesses. Quand elle s’arrête entre nous, deux mains se posent sur ses cuisses et remontent sur ses fesses pour les montrer à Elodie, Murielle et Julie. Elle est surprise mais ne bouge pas, Emma fait sauter le bouton de sa ceinture de jupe et descendre le zip, elle tombe à mi-cuisse. Ma main remonte encore pour se glisser sous son tee-shirt qui remonte avec elle, elle arrive entre ses omoplates et tournent vers ses seins dont elle emprisonne le premier rencontré. Manon est nue des seins à mi-cuisse, je la fais tourner sur elle-même, elle présente son corps à toutes les filles présentes. Emma lui caresse les fesses, un de ses doigts vient se positionner entre ses lèvres, elle avance un peu son pubis, elle veut jouir, mais sur un signe de ma part, Emma arrête, je lâche son sein et la regarde. –Tu vois, tu es dépendante de tes envies, tu aurais bien aimé qu’Emma et moi te fassions jouir, pas vrai ?–Oui, je l’avoue, et j’en ai toujours envie.–Pas maintenant, mais je te promets qu’on s’occupera de ton minou bientôt. Elle se rhabille, Emma lui donne une petite claque sur les fesses, elle nous quitte toujours pas rassurée sur l’avenir de la boîte. Deux minutes plus tard, Carole passe la tête en me regardant. –Florence veut te voir, ça paraît urgent. Je vais rejoindre Florence dans son bureau, je constate que nous aurions le temps de faire l’amour, ce qu’elle attend depuis presque six mois. Je frappe à sa porte en me présentant, j’entends la voix de Gabrielle qui me dit d’entrer. Quand j’ouvre la porte, c’est pour voir Florence nue allongée sur son divan avec Irène entre ses cuisses. –Entre ma chérie, tu vois que Florence n’attend que toi, Irène a fait un peu monter la température, viens vers moi, je veux m’occuper de toi. Je m’approche de Gabrielle, elle m’enlève mon corsage et ma jupe, elle pose ses lèvres sur mes seins, elle m’accompagne vers Florence, elle semble déjà un peu partie sous les caresses d’Irène qui me laisse sa place en me voyant arriver. Je m’agenouille entre ses jambes, ma bouche se pose délicatement sur ses lèvres brillantes et ruisselantes de cyprine, elles dégagent une odeur qui m’attire comme un aimant. Ma langue commence à explorer ce sexe qu’elle ne connaît pas encore, elle se glisse dans tous les recoins, titille l’urètre, le vagin, le pubis, l’anus et le périnée, mais évite l’environnement du clitoris. Je suis à genou entre ses jambes, mon sexe et mon anus sont exposés, je sens une langue venir me titiller l’anus, c’est Irène qui me teste, je me redresse une seconde. –Tu peux y aller, demande à Gabrielle, elle sait ce qu’il faut faire. Je replonge sur ce sexe ouvert et accueillant. La langue revient mais cette fois sur mes lèvres trempées. Je me concentre sur Florence qui commence à se tortiller dans tous les sens. Au bout de quelques minutes, je m’allonge sur le divan, interdisant l’accès à mon sexe, je veux me concentrer sur celui de Florence, je veux la faire se désintégrer dans l’espace. Je me concentre sur son anus que je sens extrêmement sensible, son corps se tend, elle tente de m’attirer sur son clitoris, mais je ne suis pas dupe, j’ai suffisamment d’expérience pour éviter les pièges. Je me laisse aller sur ce sexe souple et odorant, je suis moi-même extrêmement excité, je suis au bord de l’orgasme, j’attends ce moment depuis trop longtemps. Mais je ne veux pas la faire jouir trop vite, je vois que Gabrielle et Irène me regardent en souriant, elles doivent se souvenir de ce que je leur ai fait.  –Pitié ma chérie, pitié, pitié. Je ne cède pas à la première demande, ce n’est pas me connaître !! Je continue mes attouchements, elle se donne, son corps se cambre, ses fesses décollent du divan, je me délecte à la voir me supplier silencieusement, c’est peut être mon côté un peu sadique. Mais je ne connaît pas une femme qui m’ai reproché de l’avoir fait languir. Quand je sens qu’elle est vraiment sur le point de craquer, je remonte sur son petit bouton qu’elle a minuscule. Mes lèvres arrivent à peine à s’en saisir, je le titille avec le bout de ma langue, elle explose dans un merveilleux orgasme, tout son corps se donne au plaisir qu’elle ressent, ma langue l’accompagne, je veux qu’elle se souvienne de ce moment toute sa vie, je veux rester dans son cœur, c’est peut-être un peu prétentieux, mais j’aime que les filles que j’ai fait jouir se souviennent de moi. Quand Florence revient à elle, elle me fait glisser sur son corps trempé de sueur, nos bouches se soudent pour un long baiser, quand je relève la tête, je vois qu’Irène me regarde, elle semble un peu perturbée, je me redresse et m’assoie sur le divan.  –Les filles, je suis à votre disposition, vous pouvez faire de mon corps ce que vous voulez, je vous attends de pied ferme.  Florence se lève, je m’allonge sur le dos en ouvrant un peu mes jambes, je sens un corps s’allonger sur mon corps et des lèvres se poser sur ma bouche. C’est Irène qui m’embrasse avec passion. Je l’enlace et caresse son dos et ses fesses douces et fermes. Son baiser dure, mais ses copines veulent aussi en profiter, elle semble quitter mon corps à regret, une bouche se pose sur ma vulve, je me laisse faire, je dois dire que j’ai envie depuis un certain temps de sentir de nouvelles bouches sur mon sexe, je ressens un sentiment de tendresse pour ces trois filles qui ont su sacrifier leurs bien pour la sauvegarde de ce qu’elles avaient construit. Les bouches se succèdent sur mes lèvres lisses et souples, mais elles aussi ont de l’expérience et elles me rendent la monnaie de ma pièce, elles me font languir pendant plus de cinq minutes, je ne dis rien, je sais que je vais jouir comme une folle. J’adore cette simultanéité, une bouche sur la mienne en même temps qu’une autre sur mes seins et une autre sur mon sexe, je me tortille avec bonheur dans tous les sens. Au bout de plus de cinq minutes, j’explose dans un fabuleux feu d’artifice, un véritable tsunami qui m’emporte au-delà de l’univers. Je ne sens plus mon corps, je suis dans une onde de plaisir qui me fait voyager autour de la terre. Je reviens à moi lentement, elles sont autour de moi, elle me regardent avec tendresse, je suis bien, il ne me manque que mon amour pour que mon bonheur soit parfait. Je me redresse pour m’assoir sur le divan, Elles sont toutes autour de moi, Florence me regarde. –Ma chérie, Gabrielle n’a pas de biens, tu le sais, mais Irène et moi possédons chacune une maison, nous avons décidé de les vendre pour te rembourser en partie, au moins le surplus que tu as payé.–Mais vous me prenez pour qui ? Vous croyez que j’ai envie de vous dépouiller. Il n’est pas question que vous vendiez vos maisons, vous savez que je n’ai pas besoin de cet argent, la somme demandée par la banque ne me gêne pas du tout. C’est beaucoup moins que ce que je paye d’impôts tous les ans. Vous gardez vos maisons, c’est le premier ordre que je vous donne en tant que propriétaire, et donc votre patronne, compris ? Je vois Florence avoir les larmes aux yeux, elle me regarde comme si j’étais une extraterrestre, je me lève pour l’enlacer.  –Tu sais que je vous aime toutes les trois, il n’est pas question que je vous prive de quoi que ce soit.–Merci ma chérie, merci, tu es un ange.–Un ange qui peut se transformer en démon quand on le fait chier. Irène vient m’enlacer aussi quand la porte du bureau de Florence s’ouvre sur Emma. Elle me regarde et se précipite sur moi, écarte les filles et me couvre de baisers, je me retrouve allongée une nouvelle fois sur le divan. Je n’ai pas le temps de réagir qu’une bouche se pose sur mon sexe, une autre sur ma bouche, une troisième sur mon sein gauche, une quatrième sur le droit. Je ferme les yeux, je veux savourer ce moment de grâce, je suis l’objet sexuel de quatre femmes qui veulent me rendre heureuse. Mon corps réagit vite, cette multitude de bouche sur lui fait que je jouis assez vite, Emma se goinfre de ma cyprine, elle redresse la tête, ses lèvres luisent, elle vient les poser sur les miennes quand Florence les libère, je me régale de mon jus. Mais le temps passe, il est temps de rentrer chez soi, comme d’habitude j’emmène Gabrielle et Emma, elles sont derrière, elles se caressent, et se font jouir plusieurs fois, ça devient un jeu qui malheureusement va bientôt se terminer.  Arrivées à l’appartement, j’explique la situation à Lamaï, évidemment, elle est d’accord pour venir travailler avec moi, mais elle a un préavis à respecter, nous saurons demain quand elle peut arriver.
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