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Marie Antoinette

Chapitre 8

Lesbienne
La confirmation
 Le lendemain, arrivées sur le parking, Florence veut me voir avec Emma pour le travail. Elle prétexte un problème de qualité pour que personne ne trouve ça suspect. Une fois dans le bureau, elle vient vers moi pour m’embrasser et laisser courir ses mains sur mon corps. Une fois nos têtes séparées, elle me regarde.
 –Tu as dit que j’étais toujours la patronne n’est-ce pas ?–Oui, bien sûr.–Alors, tous les matins, je t’ordonne de venir dans mon bureau m’embrasser et me laisser promener mes mains sur ton sublime corps, tu sais que de temps en temps je jalouse ma sœur qui peut te câliner toute une nuit.  Emma nous regarde, elle ne comprend pas très bien le langage de sa sœur. –Vous pouvez m’expliquer, c’est quoi ces questions de patronne ?–Ma chérie, c’est un peu pour ça que je t’ai demandé de venir. Marie Antoinette a racheté la société, c’est elle la solution pérenne, elle est propriétaire de la boîte depuis hier. Ça sera officiel demain, mais tout reste comme avant sauf pour Gabrielle qui nous quitte, elle va rejoindre son futur mari à Fort de France.–Gabrielle nous quitte ?–Oui ma chérie et ça n’a rien à voir avec les événements d’hier, elle avait décidé de partie depuis plusieurs mois. –Elle va me manquer.–A nous aussi.–Mais tu ne dis rien à personne tant que nous ne l’avons pas décidé, ok ?–Bien sûr. Emma regarde sa sœur qui sent qu’elle doit nous quitter, elle sort du bureau. J’enlace Florence, nous échangeons un long baiser, mais elle a vraiment quelque chose à me demander. –Lamaï et toi, vous en êtes où avec Emma ?–Je pense qu’elle va partager notre vie, elle entre doucement dans notre couple, et nous rentrons dans sa vie. Nous l’aimons, ça nous est tombé dessus, mais cette gamine est extraordinairement attachante, câline, tendre, aimante, elle est devenue indispensable à notre équilibre. 
–En plus, elle aime le sexe.–Tu as déjà fait l’amour avec elle ?–Non, jamais, et ça n’arrivera jamais, c’est ma sœur cadette et je l’aime comme une sœur aime une sœur. J’ai fait l’amour avec notre sœur aînée Clémence et ça s’est très mal terminé, nous ne nous voyons plus, je veux rester proche d’Emma. –Je te comprends, promis, je viendrai tous les jours t’embrasser.–Et n’oublies pas Irène. –Ça va de soi. Je quitte le bureau pour aller chez Irène, elle est avec sa secrétaire, elle se lève et vient m’enlacer pour poser ses lèvres sur les miennes. Nous échangeons un long baiser, ses mains se glissent sous ma jupe pour me caresser les fesses en les exposant au regard de sa secrétaire. Je vois qu’elle n’a même pas l’air étonnée, elle continue de vaquer à ses occupations. –Ne t’en fait pas ma chérie, Solange me connaît depuis pratiquement cinq ans qu’elle travaille avec moi, plus rien ne l’étonne. Je vois que Solange nous regarde en souriant, c’est une très belle fille, elle porte une robe assez ajustée qui dévoile de belles formes, on voit très bien qu’elle ne porte pas de sous vêtement comme la plupart des filles ici d’ailleurs. Irène la regarde, elle lui sourit, Solange se lève et vient vers moi. Je me souviens que c’est une des premières à m’avoir fait jouir dans les toilettes le premier jour. Elle me regarde droit dans les yeux. –Je peux ?–Bien sûr, tu connais le chemin. Elle porte sa main sous ma jupe, son doigt vient me titiller le clitoris, Irène écarte les pans de mon corsage lui offrant mes seins, elle pose ses lèvres dessus en me gobant les tétons. Elle me les titille avec sa langue, je sens que je ne vais pas tarder à jouir. Je réussi à glisser mes mains sous sa robe pour lui caresser les fesses, elle semble apprécier. Irène s’accroupie derrière moi, elle m’écarte les fesses pour poser sa langue sur mon anus, je frissonne, sa langue s’excite sur ma rondelle jusqu’à ce que j’explose dans un superbe orgasme. Solange me caresse la vulve à main plate, ça m’aide à revenir à moi. Elle retourne à son bureau en se léchant la main et les doigts. Elle s’assoie sur son fauteuil en posant les jambes sur les accoudoirs. Sa vulve brillante comme le soleil est grande ouverte, elle porte sa main dessus et se titille le clitoris. Elle se masturbe devant nous, rien d’étonnant apparemment, Irène la regarde faire en souriant, elle va s’assoir sur son fauteuil, se met dans la même position pour se masturber elle aussi. Elles sont face à face et se sourient, elle jouissent pratiquement en même temps, à croire qu’elle le font souvent. Cette boîte n’est remplie que de fondues du sexe.  Je me rajuste et vais rejoindre les filles dans mon bureau. J’ai une tendresse particulière pour Elodie, Murielle et Julie, elles m’ont tout de suite acceptée comme responsable de leur service après le départ de l’ancienne responsable. Elles me sont dévouées et très attachées, toujours prêtes à me rendre service. Emma n’est pas là, elle est avec Gabrielle pour montrer notre démarche qualité à un futur client. A midi, nous allons au restaurant, vers la fin du repas, je fais signe à Elodie assise en face de moi de me suivre aux toilettes. Une fois dans le box, je la déshabille pour la caresser sur tout le corps, elle se laisse faire en fermant les yeux. Je m’accroupie devant elle pour lui bouffer la vulve. Elle ne résiste pas longtemps, elle jouit en silence raide comme un bout de bois. Je me redresse en lui faisant face, elle m’enlace, je vois qu’elle a envie de m’embrasser, je ne dis qu’au point où nous en sommes, plus rien n’est interdit. Nos bouches se soudent dans un baiser torride, elle me caresse les fesses, elle veut me titiller le clitoris, mais je l’en empêche. Quand nos bouches se séparent, elle se rhabille. –Voilà, tu m’as fait jouir il y a presque six mois, c’était à mon tour.–Et j’en suis particulièrement heureuse. Elle pose une dernière fois ses lèvres sur les miennes deux secondes et quitte le box, je reste seule. Je remonte au bout de deux à trois minutes, Murielle et Julie me regardent, il est évident qu’Elodie vient de leur raconter ce qui vient de se passer entre nous. Elles semblent un peu jalouses que je ne les ai pas fait venir, je pose une main sur la cuisse de Murielle je me penche vers elle. –Ne t’en fais pas Murielle, demain c’est ton tour et Julie le jour d’après, je n’aime pas manger tous mes desserts en même temps.  Elles se décontractent et sourient, comme elles sont de chaque côté, je leur caresse une cuisse en remontant jusqu’à l’aine, surprise, Julie porte un mini-string.  –J’avais mes règles mais c’est fini, demain il n’y aura plus rien, promis.–En tout cas après-demain, j’ai besoin de liberté. Nous prenons notre café dans la bonne humeur avant de rejoindre notre bureau. Pour la première fois, sur le chemin du retour, je laisse traîner une main sur les fesses de Julie, elle se trémousse pour me faire comprendre que ça lui plait.  Emma a déjeuné avec Gabrielle, Florence et Irène, je la laisse de plus en plus seule face à ses responsabilités. Elle apprend très vite, nous l’avons inscrite à la formation de l’AFNOR. Le soir, nous rentrons tranquillement, Gabrielle et Emma sont comme d’habitude derrière en train de se faire jouir, maintenant il n’y en a qu’une qui jouit, l’autre se couche sur son sexe pour lui bouffer le minou, elle ne peuvent pas le faire tête bêche, c’est chacune leur tour. Nous avons découvert qu’Emma était une folle de sexe, elle adore jouir et faire jouir, mais qu’entre femmes. Arrivées au parking, comme d’habitude, j’attends que Gabrielle m’ouvre la porte, je fais de grands mouvements avec mes jambes pour qu’elle puisse bien voir ma vulve en général très brillante. Lamaï nous attend toujours à la sortie du parking, nous allons chez nous enlacées sous le regard pas toujours sympathique des passants, mais on n’en a rien à foutre, on s’aime, c’est le principal. Elle pourra rejoindre la société dans quinze jours, elle a mis ses congés au bout du préavis, sa boîte est d’accord pour raccourcir son préavis, son adjoint qui va prendre le relais.  Une fois dans l’appartement, tout le monde à poil, une visite crapuleuse sous la douche et au lit pour une bonne heure d’amour. Quand je bouffe la chatte d’Emma, elle bouffe celle de Lamaï qui me bouffe la mienne, nous sommes devenues les spécialistes du cercle à trois.  Le lendemain, j’ai un rendez-vous chez un client qui veut des précisions sur notre démarche qualité. J’enfile une robe courte mais cachant deux centimètres de mes cuisses, la plus longue que je possède. Murielle m’accompagne, sachant qu’elle venait avec moi, elle s’est habillée plus sage que d’habitude, jupe mi-cuisses et corsage. Nous arrivons devant une sorte de maison transformée en bureau, avec derrière un grand hangar, il y a deux voitures garées, une XJ8 et une Clio. Nous sommes reçues par une très jeune femme assez petite en pantalon très ajusté, il lui moule ses fesses bien rondes et hautes, une vraie poupée. Murielle me regarde en se léchant les babines, je lui sourit en me penchant à son oreille. –Tu aimerais bien lui enlever ce maudit pantalon à cette jolie poupée.–Oui, et m’occuper de ce qu’il y a à l’intérieur. Nous arrivons devant une porte fermée, une voix assez forte sort du bureau, à priori, ça chauffe à l’intérieur. Nous attendons à la porte, quand la voix s’arrête, la jeune femme frappe. –Entrez !! Nous entrons dans un bureau pas très grand, quand je vois la femme assise derrière un bureau design, j’hallucine, c’est la femme qui m’a caressé les fesses dans le supermarché le jour de mon entretien, elle aussi me reconnaît et éclate de rire. La fille et Murielle se demandent ce qui se passe. La femme se lève et vient vers moi en ouvrant les bras. Elle porte une robe assez moulante arrivant en haut des cuisses, mais assez classe. On devine un superbe corps dessous sans sous-vêtements. Elle m’enlace pour me faire deux bises. Elle se recule un peu. –Toujours aussi belle, et je dois dire que ma main est toujours attirée par tes belles fesses. –Elle se souviennent de ta main, mais elles ne sont pas là pour ça.–Dommage, assieds-toi sur ce fauteuil, et vous mademoiselle vous en avez un autre.  Nous nous asseyons autour d’une table en verre, rien n’est caché. La jeune femme nous quitte en refermant la porte discrètement. Une fois assises, elle me regarde. –Ne t’en fais pas, je réglais un problème de délais non respectés avec un fournisseur qui ne sait pas encore qu’il est devenu un ex-fournisseur. –Je n’ai qu’à bien me tenir si je comprends bien.–Je dois dire que le responsable cette société commençait à me gonfler les burnes comme ils disent. Ce n’est pas la première fois, mais cette fois-ci, il me met en porte à faux avec un de mes gros clients et je n’aime pas du tout ça. Moi c’est Jade et la jeune fille, c’est ma nièce Chloé, et vous deux ?–Marie Antoinette et Murielle, elle paraît bien jeune pour travailler.–Juste vingt ans, je sais elle fait très gamine, personnellement je l’envie un peu. Je suis plus décontractée maintenant que je sais que cette femme est capable de poser ses mains sur les fesses d’une inconnue et de lui titiller l’anus en plein hypermarché. Evidemment, personne ne serre ses cuisses, c’est un festival de vulves de plus en plus luisantes. Nous lui décrivons notre démarche, ça a l’air de lui plaire d’autant qu’elle désire engager sa société dans la même démarche. Le problème c’est qu’elle n’a pas les moyens d’avoir une équipe complète, elle doit sous-traiter et a pensé à nous. Vers onze heure, on frappe à la porte, Chloé entre. –Je réserve pour midi Jade ?–Oui, quatre personnes dans le petit salon, tu viens avec nous, change toi. Chloé s’en va, nous continuons pendant une bonne heure, nous décidons qu’Emma et Murielle viendrons deux jours par semaine pour aider à la mise en place de la démarche qualité avec au bout une certification. Je vois les yeux de Murielle briller, elle doit penser au petit cul de Chloé qu’elle va pouvoir admirer et plus si affinités. Vers midi, nous sortons pour aller déjeuner, Jade prend sa voiture, la Jaguar est la seule voiture qui puisse contenir confortablement quatre personnes. Chloé s’est changée comme lui a demandé sa sœur, elle porte une micro jupe avec un tee-shirt qui lui moule ses seins dont les tétons pointent. Je monte devant, Murielle et Chloé derrière, la robe de Jade est remontée au-dessus de son sexe, elle la laisse comme ça. Au bout de trois minutes de route, je regarde dans le miroir de courtoisie, Murielle a déjà sa main sur la cuisse de Chloé qui lui caresse un sein. Je pense que la collaboration de ces deux personnes va très bien se passer. Nous arrivons dans un restaurant assez huppé, le maître d’hôtel vient vers Jade. –Bonjour mademoiselle Jade, je vous ai réservé le petit salon comme demandé, le chef vous a préparé quelque chose. Nous le suivons, il nous mène à un salon d’une dizaine de mètres carrés avec une table ronde au milieu qui ne peut contenir que quatre convives et deux divans en angle contre deux murs aveugles. Nous nous installons, Murielle rapproche un peu sa chaise de celle de Chloé, elles se sourient, le courant est vraiment passé entre elles. Le maître d’hôtel revient avec un plateau contenant quatre verres de kir royal, il les dépose devant nous. –Offert par le chef. Nous dégustons notre apéritif, je suis étonnée de ne pas voir de carte, Jade s’en rend compte. –Je suis une habituée, Thierry, le chef et propriétaire de ce restaurant est mon cousin germain, nous avons été élevés ensemble, je le considère comme mon frère, c’est le seul homme qui peut toucher ma peau, même nue. Il nous a préparé un repas, nous n’avons pas le choix, ici, quand je viens, c’est menu fixe qu’il élabore lui-même, mais je pense que tu ne le regretteras pas. Un homme grand et athlétique rentre dans le salon, elle se lève et se jette dans ses bras. Ils s’enlacent et s’embrasse fraternellement, on sent de l’amour entre eux. Quand il la libère, c’est Chloé qui vient l’embrasser, Jade nous regarde.  –Je vous présente Thierry mon cousin et mon frère de cœur.  Il vient nous saluer et embrasser Chloé, ses yeux ne quittent pas nos cuisses dénudées jusqu’au sexe. Une fois qu’il a fait le tour de la table, il nous regarde. –Je vous ai préparé quelque chose de léger. En entrée une mousse d’asperge aux crevettes suivi d’un dos de sandre en matelote nouille à l’ancienne, d’un Crumpets au roquefort pour le fromage et pour finir des petits pots de crème brûlée aux abricots confits. Le tout sera arrosé d’un Chablis léger. Ne vous en faites pas, il n’y a rien de lourd, tout ça va passer comme une lettre à la poste. Jade sourit, elle connaît son cousin, je pense qu’il ne vas pas nous goinfrer à midi. En fait, le repas est léger, fin, en un mot, sublime. Mais Murielle et Chloé n’ont pas arrêté de se caresser je pense qu’elles ont même joui, c’était très discret. A la fin du repas, Jade me prend la main et m’amène sur un des divans. –Bon, maintenant, il est temps passer aux choses sérieuses, enlève moi cette superbe robe qui me cache ton corps. Ne t’en fais pas, tout le monde me connaît, ils savent ce qui va se passer ici, personne ne viendra nous interrompre.  Chloé fait ma même chose avec Murielle, nous nous regardons toutes les deux, elle me sourit, elle est bien dans sa peau. Elle se déshabille en même temps que moi, c’est la première fois que je la vois intégralement nue, elle est superbe. Nous nous allongeons chacune sur un divan, Jade et Chloé se déshabillent aussi, encore deux canons aux culs d’enfer. Je ferme les yeux en attendant la suite, je sens le corps de Jade se coucher sur le mien, des lèvres se posent sur les miennes. Une langue entre dans ma bouche, titille la mienne jusqu’à entretenir une longue conversation. Je me laisse un moment aller à ce plaisir de se sentir désirée, de sentir l’envie chez la partenaire, de sentir un corps de femme nu sur mon corps de femme nu.
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