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Marie Antoinette

Chapitre 9

Lesbienne
Au revoir Gabrielle
 Je promène mes mains sur le dos de Jade, je vois que Murielle fait la même chose à Chloé. Quand nos bouches se séparent, Jade pivote pour me présenter son pubis lisse et bien bronzé. Je me jette sur sa vulve pendant qu’elle m’en fait autant. Je suis très excitée depuis un petit moment déjà, avoir les sexes de trois minettes bien ouverts devant soi pendant plus d’une heure est insupportable pour une lesbienne comme moi. Je jouis assez vite, mais Jade me suit très peu de temps après, elle aussi devait être très excitée. Seules Murielle et Chloé font durer le plaisir, mais elles ont déjà jouit discrètement pendant le repas. Nous continuons de lécher nos vulves, juste pour en récupérer la cyprine qui s’en échappe. Quand elles jouissent, Jade se lève, elle m’aide à me lever, j’ai les jambes un peu molles. Chloé va vers sa tante qui s’accroupie devant elle, elle lui lèche le vagin pour la nettoyer, je fais signe à Murielle de venir devant moi, je lui fais la même chose, pas de jalouse. Murielle pose ses mains sur ma tête, je m’applique à explorer son sexe dans tous les recoins. Je la sens au bord de l’orgasme, j’insiste un peu, elle jouit de nouveau. Une fois remise, elle me regarde.
 –On aurait dû faire ça aujourd’hui aux toilettes du restaurant.–Oui, mais je pense que c’est mieux ici. Elle sourit et enfile ses affaires, une fois toutes habillées, nous sortons, personne ne semble étonné de nous voir un peu stone, Jade va à la caisse et paye. Nous retournons au boulot dans la bonne humeur. –Rien ne vaut une bonne bouffe et une bonne baise, ça requinque. Tout le monde rigole, mais il nous reste quelques détails à régler. Tout est réglé en une petite heure, nous les quittons, je vois que Chloé et Murielle se regardent, elles semblent un peu tristes de devoir se séparer, mais la mission doit commencer la semaine prochaine, dans quatre jours, je ne sais pas si elles auront la patience d’attendre jusque-là. Arrivée au bureau, Julie me montre un document qu’elle a trouvé aux archives, c’est une sorte de procédure qui n’est plus appliquée dans l’atelier. –Regarde Marie Antoinette, c’est une procédure pour faire des tresses avec différents diamètres de câble, c’est le problème que rencontre Louise avec la nouvelle commande de Latécoère.   Je regarde cette procédure, elle me paraît assez logique, je vais dans l’atelier avec Julie pour rencontrer Louise. C’est une de celles qui m’ont fait jouir le premier jour, elle me sourit en me voyant arriver. Elle étudie le document et décide de l’appliquer pour voir si ça fonctionne bien. Je vois toutes ces filles qui assemblent une multitude de câble dans un ordre bien précis, tout doit être absolument irréprochable, c’est pour des avions. C’est un peu pour ça que je mets en place le système qualité, ça confirme à nos clients notre recherche de l’excellence. Il y a longtemps que je n’ai pas vu Louise, c’est la plus vielle de la société, elle a trente-deux ans, une ancêtre pour certaines filles de dix-huit ans à peine. C’est la seule mère de famille, elle a été mariée deux ans, mais son mari n’a pas accepté sa bi sexualité, il l’a quitté, il est parti en Suisse avec une autre femme, elle a eu la garde de sa fille née en quatre-vingt-quinze. Nous retournons au bureau, la journée se termine, Emma rédige sa première procédure, elle y travaille depuis trois jours, elle semble assez satisfaite, je verrai ça demain, il est temps de rentrer au bercail. Je prends Gabrielle comme d’habitude, mais cette fois, c’est le dernier retour, elle s’en va demain, nous devons préparer un pot d’adieu, toutes les filles de la boîte veulent être là pour lui dire au revoir. Un taxi doit venir la prendre demain à seize heures pour l’emmener à Blagnac. Le trajet lui est consacré, Emma se jette entre ses cuisses pour la faire jouir deux fois de suite, elle arrive au parking complètement HS. Il faut que j’attende avant qu’elle ne vienne m’ouvrir la porte. Je reste les jambes ouvertes sans descendre de la voiture, elle met deux secondes à comprendre et s’agenouille à côté de la voiture pour venir me bouffer la chatte. Elle se gave de mon jus d’amour, elle fait en sorte de ne pas me faire jouir tout de suite, c’est de bonne guerre. Je jouis au bout de quelques minutes, elle se redresse le sourire aux lèvres, quand je me lève elle m’enlace pour m’embrasser fougueusement. Ses mains glissent une dernière fois sur mon dos et mes fesses, elle emmagasine des souvenirs. Lamaï est à la sortie du parking, nous nous embrassons avec passion, Gabrielle nous quitte, je la sent un peu triste. Arrivées à l’appartement, nous avons la surprise de trouver Marianne et Capucine sur le palier avec deux bouteille de champagne. Elles entrent en même temps que nous, font voler leurs fringues comme nous. Capucine va mettre les deux bouteilles dans le réfrigérateur, elle revient s’assoir à côté de Marianne. 
–Les filles, on a une nouvelle importante à vous annoncer, vous savez que Marianne a une mère hollandaise. Et vous savez aussi que là-bas, on peut se marier entre gays ou lesbiennes.–Et vous allez vous y marier.–Tu as tout compris, nous partons lundi à Winschoten, la ville natale de sa mère. Le maire veut bien nous marier.–Et c’est où Winschoten ?–Au nord-est de la hollande à l’est de Groningen, seulement quelques kilomètres de l’Allemagne, c’est en dessous du niveau de la mer, il y a à peu moins de vingt mille habitants, c’est tout ce que je sais. Je remarque tout de même que les yeux de Capucine comme ceux de Marianne sont braqués sur la vulve d’Emma, elle semble beaucoup les intéresser. Elles aiment la chair fraîche, mais Emma ne semble pas trop intéressée par ces deux filles qu’elle ne connaît pas, si belles soient elles. Elle est un peu attristée par le départ de Gabrielle, elles s’entendaient très bien, surtout sur les places arrière exiguës de ma voiture. Nous discutons joyeusement, au bout d’une petite heure, je vais chercher une bouteille, Capucine fait péter le bouchon, l’ambiance est à la fête, on entend beaucoup de vive les mariées ou vive la mariée. Une fois les deux bouteilles liquidées, Marianne et Capucine ayant compris qu’elles ne pourraient rien faire avec Emma décident de rentrer chez elles. Quand elles sont parties, je vais vers Emma toujours assise sur le divan. –Tu n’as pas été d’une grande conversation ma chérie, tu es triste que Murielle s’en aille ?–Oui, mais je ne supporte pas qu’on me considère comme de la viande fraîche.–Pourquoi dis-tu ça ?–Tu n’a pas vue comment tes deux copines me regardaient, j’avais l’impression qu’elles se demandaient comment elles allaient me dévorer, je n’ai pas eu le sentiment qu’elles se demandaient si j’étais d’accord.–Chérie, tu t’es vu dans une glace ? –Bien sûr, je ne comprends pas la question.–Deux lesbiennes viennent nous voir, elle tombent sur un super canon à poil qui ne fait rien pour cacher son intimité, comme nous toutes d’ailleurs, et tu crois qu’elles peuvent ne pas avoir envie de toi ?–Bien sûr, et j’avoue que ça ne m’aurait pas gêné de faire quelque chose avec Capucine, c’est leur regard qui m’a gêné surtout celui de Marianne. –Ok, viens dans mes bras, moi aussi j’ai envie de te bouffer. Elle se lève pour m’enlacer, je l’amène dans la chambre accompagnée de Lamaï. Nous l’allongeons sur le lit, elle nous sourit, elle est bien. –Avec vous, je serai toujours la plus heureuse des femmes, venez m’aimer mes amours. Elle nous tend ses bras, Lamaï s’allonge sur elle, elles s’embrassent passionnément, je fais glisser mes mains sur son dos et ses fesses, jamais je ne m’en lasserai. Je m’allonge à côté d’elles, un bras de Lamaï me plaque contre leurs corps, je suis bien contre mes deux amours. Nous nous concentrons sur Emma, elle jouit deux fois comme une folle, elle est complètement stone quand nous allons préparer le repas en la laissant allongée sur le lit. Un petit quart d’heure plus tard, elle apparaît dans l’encadrement de la porte splendidement nue et rayonnante de bonheur. C’est la fille la plus facile à vivre que je connaisse, toujours souriante, gaie, heureuse, je n’ai pas très bien compris son attitude vis-à-vis des filles. Il est vraiment tard, le repas est expédié, une fois le lave-vaisselle rempli, nous allons prendre une douche non crapuleuse et nous coucher pour dormir après un ou deux câlins tendres. Morphée nous terrasse très vite. Le lendemain, nous prenons Gabrielle comme d’habitude, j’ai enfilé une robe en jersey très courte et assez moulante mais qui remonte facilement sur mes fesses quand je marche, je pense que ça va plaire dans la boîte. Gabrielle est elle aussi en robe courte et moulante, Emma est étonnée qu’elle n’ait qu’un baise en ville. –Ne t’en fais pas ma chérie, je n’ai rien oublié, mes valises partent aujourd’hui par un autre avion, Etienne les récupère à Fort de France, je voyage comme ça, je vais passer la nuit dans un hôtel à Roissy. J’emmène avec moi une trousse de toilette, une jupe et un corsage, ça me suffit, je décolle vers onze heures demain. –Surtout que je pense que ce n’est pas très encombrant vu la taille de tes jupes.–En plus, elle est en soie, très légère, assez transparente et sensible au vent, comme mon corsage.–Tout le monde va connaître ton cul et tes seins à Fort de France.–Oui, même dans l’avion, mais ça ne dérangera pas Etienne, il aime que je me montre, mais assez parlé de moi ma chérie, minette t’attend.  Nous sommes à peine sorties du parking qu’Emma plonge une main entre ses cuisses bien ouvertes. Je vois que certains passants ont un peu l’air étonnés de voir ce qui se passe dans la voiture, mais je roule sans état d’âme. Nous arrivons au parking de la société après deux orgasmes, il faut dire que je roulais doucement pour laisser à Emma le temps de la faire jouir plusieurs fois, c’est son dernier voyage. Toutes les filles sont dehors, elles l’attendent, elles viennent toutes l’embrasser, on voit qu’elles sont assez tristes de la voir quitter l’entreprise. Tout le monde retourne à son travail, je vais voir Florence pour qu’elle puisse faire glisser ses mains sur mon corps, ma robe se retrouve au niveau de mes seins, mais cette fois, je m’agenouille devant elle pour lui bouffer la chatte. Elle jouit assez vite, je me réajuste et nous nous quittons en nous promettant de recommencer. Je vais voir Irène pour lui faire la même chose, mais elle n’est pas seule dans son bureau, il y a une autre femme de mon âge que je ne connais pas. –Marie Antoinette je te présente Sophie, ma sœur, elle est de passage à Toulouse, elle se marie dans un mois à Kakadu, je t’interdit de rigoler !!–Mais c’est où ce patelin ?–En Australie, à côté de Darwin, ce n’est pas un patelin, c’est un parc national, elle va épouser le responsable du parc, un très bel australien. –Ok, je repasserais plus tard.–Mais pas du tout, si Sophie est là, c’est aussi pour te connaître, elle a été très impressionnée par ton attitude. En plus, tu n’es pas là pour honorer un contrat ? Je la regarde, elle me tend ses bras, je viens me blottir contre son corps, elle passe ses mains sous ma robe pour me caresser les fesses qu’elle adore. Ses main font remonter ma robe jusqu’à mes omoplates, mais je suis surprise de sentir deux nouvelles mains sur mes fesses, Sophie s’est levée et vient me caresser. Je pressens une petite partie de jambes en l’air, elles m’amènent sur le divan, ma robe atterri sur un fauteuil, Sophie pose ses lèvres sur mes seins, Irène a dû lui dire que mon sexe n’était pas tout le temps disponible. Irène m’embrasse, la bouche de Sophie arrive vers mon nombril, elle le titille, je commence à onduler du bassin, j’ai envie d’une bouche sur mon sexe, je libère Irène. –Vas-y Sophie, fais ce qui te plait avec mon corps, tu es libre. J’ai à peine fini la phrase que sa bouche atterri sur ma vulve, elle l’aspire, elle me lape les lèvres, elle me mordille le périnée, elle connaît le sexe d’une femme, elle sait ce qu’il faut faire, mais nous n’avons pas le temps de traîner, ce que comprend Sophie. Sa bouche remonte lentement sur mon clitoris, elle me le masturbe avec ses lèvres, j’explose dans un magnifique feu d’artifice, je suis bien, mon corps me donne un énorme plaisir, je me laisse aller, je ne veux plus bouger. Quelque minutes plus tard, je me lève, Sophie m’enlace et pose ses lèvres sur les miennes, nous échangeons notre seul baiser. Quand nos bouches se séparent, elle me regarde, son regard est franc et tendre. –Je n’oublierai jamais ce que tu as fait pour ma sœur, je serai toujours là pour toi en cas de besoin, même d’Australie. Après un dernier baiser à sa sœur, Sophie nous quitte, elle doit aller chercher des documents pour le mariage. Je reste seule avec Irène, je l’immobilise et m’agenouille pour lui bouffer la chatte comme à Florence. Elle est surprise mais se laisse faire, elle jouit elle aussi assez vite, je ne prends pas de gants. Une fois toutes les deux en forme, je repense au départ de Gabrielle, j’ai demandé à un traiteur d’amener ce qu’il faut à onze heures quarante-cinq pour fêter son départ dans la boîte. Mais j’aimerais faire quelque chose de plus pour elle, elle quitte la société qu’elle a créé en ayant tout perdu, je trouve ça injuste. –Dis-moi Irène penses-tu que nous puissions proposer quelque chose à Gabrielle pour son départ ?–Et tu penses à quoi ?–Vingt-cinq mille euros de prime de départ, ce n’est pas excessif et je pense que ça peut l’aider dans sa nouvelle vie. C’est la moitié de ce qu’elle a perdu, je pense que ce serait juste.–Toujours la même, tu penses d’abord aux autres.–Si elle vous avait dit qu’elle voulait partir deux mois plus tôt, elle partait avec cinquante mille euros et vous foutait dans la merde, elle n’a pas voulu le faire pour vous épargner et elle perd tout, tu trouves ça juste toi ?–Calme toi ma chérie, je suis entièrement d’accord avec toi, allons en parler à Florence, je ne pense pas qu’elle soit contre.   Elle m’enlace pour poser ses lèvres sur mon cou et me faire de petits bisous. –Je t’aime ma chérie, tu es la plus merveilleuse et la plus généreuse fille que j’ai rencontré dans ma vie.–Ok, allons voir Florence. Nous nous dirigeons vers le bureau de Florence, nous devons traverser l’atelier de fabrication. Je sens ma robe monter sur mes cuisses et mes fesses, je ne fais rien pour la redescendre, je pense que les filles apprécient, elles sont toutes amateures de femmes. Au bout de l’atelier, ma robe est à mi-fesses, je la redescends. Florence est d’accord avec notre proposition, elle va même jusqu’à trente milles. Elle lui rédige un mot de remerciement qu’elle ajoute à l’enveloppe du chèque.  A onze heures, le notaire arrive pour la signature de tous les documents de cession de parts. A onze heure quarante-cinq le traiteur arrive pile à l’heure, nous installons tout dans la salle de réunion qui est la seule assez grande. Florence décide que l’après-midi sera chaumée, nous avons jusqu’à seize heures pour fêter Gabrielle. Toutes les filles arrivent dans la salle, nous leur avions demandé de ne pas lui offrir de cadeau, elle n’aurait pas pu les emmener avec elle. Elles se sont toutes réunies pour lui offrir quand même quelque chose de petit. Elles ont un paquet qui doit faire cinq centimètres de long sur trois de large et de haut, vraiment petit, je ne sais pas ce qu’il y a dedans. Quand Gabrielle entre, c’est un tonnerre d’applaudissement, toutes les filles se précipitent sur elle pour l’embrasser. Elle pleure, elle ne peut pas se retenir. Nous buvons un verre de champagne en grignotant des amuse-gueules, l’ambiance monte petit à petit. Florence en profite pour lui donner l’enveloppe en lui demandant de ne l’ouvrir qu’une fois dans l’avion. Au bout d’une heure, Carole fait calmer tout le monde et prend la parole. –Gabrielle, tu as été une merveilleuse patronne, nous ne sommes pas prête de t’oublier, malgré la demande de tes copines, nous avons quand même décidé de t’offrir un petit cadeau pour que tu penses à nous sur les plages de la Martinique.  Elle vient vers elle et lui donne le paquet, toutes les filles l’entourent. Elle ouvre le paquet pour en sortir deux micro-bikinis string, l’un bleu, l’autre blanc. Ils se composent de deux triangles de trois centimètres de côté pour le soutien-gorge et de quatre pour le string ficelle. Elle sourit en les voyant, une rumeur monte pour finir par une demande. –Essaye les, essaye les, on veut les voir sur toi. Elle nous regarde toutes et enlève sa robe, je suis sure que beaucoup de fille la voient nue pour la première fois. Elle enfile un bikini, il ne cache pas grand-chose, heureusement qu’elle s’épile maintenant, elle fait le tour de la table en tournant sur elle-même pour bien le montrer, elle est sublime dans ce minuscule maillot de bain. Elle enfile l’autre, fait le tour de la table de la même manière. Au moment où elle veut enfiler sa robe Carole vient l’enlacer, elle la regarde dans les yeux.  –Il n’est pas question que tu partes comme ça, nous voudrions toutes te prouver notre amour, tu veux bien ?
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