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Marie Antoinette

Chapitre 10

Lesbienne
La vie continue
 Elle fond en larmes, Carole la serre contre elle, elle l’amène vers la table qui a été maintenant dégagée et l’allonge sur le dos. Une multitude de mains se promènent sur son corps, elle ferme les yeux, elle veut se concentrer sur elle-même. Carole pose ses lèvres sur ses seins, elle les titille avec sa langue, une autre fille embrasse son pubis, les mouvements de Gabrielle lui font comprendre qu’elle peut aller plus bas. Sa bouche atterri sur son sexe, elle lui lèche ses lèvres, son périnée et se redresse, une autre fille prend le relais. Elles se sont concertées, c’est évident, elle veulent la faire jouir mais pas à répétition, quelques fois seulement mais très fort. Je vais voir Julie, je l’amène dans notre bureau, je la déshabille, j’enlève ma robe. 
 –A nous deux, c’est ton tour. Je m’accroupie devant elle pour gober son sexe ruisselant, je me délecte de sa cyprine, j’adore cette crème que seules les femmes peuvent offrir à leurs amantes. Elle pose ses mains sur ma tête, elle me caresse les cheveux. –Oui ma chérie je t’aime, oui, oui. Je suis étonnée mais je continue, je la sens se tendre vers un plaisir qui l’envahi d’un seul coup. Elle jouit en plaquant ma tête contre son sexe. Quand elle revient à elle, je me redresse, elle me regarde, je pose mes lèvres sur les siennes, nous échangeons un baiser tendre, mais je sens qu’il y a quelque chose d’autre dans son baiser. Quand nos têtes se séparent, je le regarde dans les yeux, je veux savoir. –C’est quoi ce ma chérie je t’aime ?–Excuse-moi mais dans le bonheur que tu me faisais vivre je n’ai pas pu m’empêcher de te dire ce que je ressens vraiment pour toi. Je t’aime Marie Antoinette, je t’aime comme une folle, tu as complètement cannibalisé mon cœur, je ne vis que pour être à tes côtés. Et je ne suis pas la seule, Elodie a les mêmes sentiments que moi pour toi. Nous t’aimons, mais pas comme une copine, nous t’aimons d’amour, d’un amour fort et profond.  –Tu sais que je vis avec une femme et Emma, je suis très heureuse comme je suis, mon cœur n’est pas extensible.–Nous le savons, mais saches que nous t’aimons comme jamais nous n’avons aimé, tu es notre amour commun, c’est pour ça que nous avons décidé de vivre ensemble il y a trois mois, notre amour pour toi nous a rapproché. Mais nous aimerions tant que tu viennes nous voir chez nous, juste pour te prouver notre amour, te rendre heureuse, faire de ton corps le théâtre de l’amour. –Je ne sais que penser de ce que tu viens de me dire, mais sache que mon attitude ne changera pas vis-à-vis de vous, vous serez toujours avec moi, vous savez très bien que je vous aime, mais pas du même amour. Sauf que le matin, un petit baiser serait peut-être le bienvenue. Elle me saute dessus pour poser ses lèvres sur les miennes, sa langue force ma bouche pour venir titiller la mienne qui l’accueille avec grand plaisir pour une longue promenade à se chamailler. Après ce baiser, nous nous rhabillons, elle passe devant moi, je lui donne une tape sur les fesses, elle frétille du popotin. –Encore, encore. Nous arrivons dans la salle pour entendre Gabrielle exprimer sa joie de jouir. Elle est toujours allongée sur le dos, je vois que Juliette sa secrétaire est entre ses cuisses, elle se redresse en souriant, c’est la première fois que nous l’entendons jouir, une autre fille se place entre ses cuisses, elle reste deux ou trois minutes, elle laisse sa place à une autre fille, au bout de cinq filles, je vois que Gabrielle commence à se tendre, les filles reproduisent ce que je fais, elle la font languir, je vois son ventre se raidir, elle doit avoir certains muscles qui lui font mal. Une fille se penche sur elle, je vois qu’elle a une certaine expérience, Gabrielle se tend de plus en plus jusqu’à exploser dans un gigantesque orgasme, cette fois, elle hurle son plaisir. Son corps est secoué de spasmes, une multitude de main la caresse, elle se détend lentement, je la regarde bien, elle semble complètement dans un autre monde. De nouveau une fille vient se mettre entre ses jambes, quelques minutes plus tard, une autre la remplace, mais Carole vient vers nous, Julie va remplacer la dernière fille, Carole me regarde.
 –Nous avons toutes participer à la joie de Gabrielle, mais nous voulons conclure en apothéose, nous aimerions que la direction participe, d’abord toi, Irène, Florence et Emma.–Mais Emma ne fait pas partie de la direction, comme moi.–Ne me prend pas pour une conne, je sais très bien que tu as racheté la boîte, j’ai une copine qui travaille dans ta banque, je sais depuis que tu es arrivée dans la boîte que tu es riche comme Crésus.–Malheureusement pas tout à fait, et tu en a parlé à qui ?–A personne, pourquoi l’aurais-je fait, c’est à toi de le dire, et je crois que c’est l’occasion idéale.–Tu es une sacrée louloute toi, je saurai m’en souvenir. Elle pose rapidement ses lèvres sur les miennes et fait demi-tour, elle s’arrête, me regarde. –Au fait, Emma en dernier c’est parce qu’elle nous l’a demandé. Quand la dernière fille se redresse, je prends sa place, je me goinfre de sa cyprine, mais je sens qu’elle commence à ne plus pouvoir tenir, elle commence à souffrir. Je me redresse, Irène prend ma place une minute, suivi par Florence à peine plus, c’est Emma qui se penche sur son sexe en dernier. Elle commence par la lécher, je pense que Gabrielle a reconnu la langue de son Emma adorée, elle a du faire ce qu’il faut pour ça. Gabrielle se tend de plus en plus, Emma la maintient sous tension, c’est devenu une pro de la minette. Quand elle sent que Gabrielle m’en peut plus, elle la fait jouir, c’est une explosion de joie, son corps se tend, toute les filles viennent embrasser son corps secoué de spasmes à tour de rôle. Beaucoup posent leurs lèvres sur les siennes une seconde, Emma lève la tête et vient s’allonger sur elle. Elle referme ses bras sur ce corps qu’elle aime tant. Elles restent un long moment enlacées, à s’imprégner du corps de l’autre qu’elle ne reverrons plus.  Je demande à tout le monde de se calmer, elles me regardent un peu interloquées, seule Carole sourit. –Je crois qu’il est temps que vous sachiez comment la société a trouvé une solution pérenne.  Tous les regards se tournent vers moi, je me retourne vers Florence. –Madame la directrice générale, peux-tu leur dire ? Elle s’avance en souriant, elle regarde toute l’assemblée, je sais qu’elle aime ces moments où elle maîtrise, elle en devient particulièrement bandante.  –Et bien mes amies, Irène, Gabrielle et moi-même ne sommes plus les propriétaires de la société, c’est une tierce personne qui nous a bouffées toutes crues. Tout le monde la regarde, je vois des visages inquiets.  –Ne vous en faites pas, c’est en fait Marie Antoinette qui a racheté notre dette et qui est devenue la propriétaire de la société, mais je vous rassure, vous ne risquez rien, à toi Marie Antoinette.–Il se trouve que j’ai pu injecter l’argent qu’il fallait pour sauver la société, mais je n’ai pas une âme de directrice générale, bien que j’ai le titre de celui de la qualité, je n’ai pas envie de diriger une entreprise comme celle-là. Florence et Irène restent donc à la direction, ce n’est pas de leur faute si nous avons failli disparaître, c’est une entreprise insolvable qui a d’ailleurs entraîné d’autres faillites. Je dois vous annoncer aussi que Gabrielle sera remplacée par une personne venant de l’extérieur, et pour qu’il n’y ai aucun mal entendu, c’est la personne qui partage ma vie au même titre qu’Emma.  –Et d’où tu le sors ce fric ?–De mon compte en banque évidemment. Tout le monde comprend que c’est un sujet à ne pas aborder, Carole vient vers moi, à voir ses yeux, je crains le pire qui effectivement arrive, elle m’enlace et me colle sa bouche contre la mienne. Sa langue force le passage, je ne peux que répondre à ce baiser sincère, je comprends pourquoi elle agit comme ça. Quand nos bouches se séparent, elle regarde tout le monde. –Je vous avais bien dit que cette nana était super en plus de son cul d’enfer, et vous avez intérêt à lui rendre ce qu’elle vous a donné.  Je vois que le regard de certaines change, elle savent maintenant à qui elles doivent leur boulot, pourtant il n’est pas question que je change d’attitude. Mais le temps passe, il ne reste plus qu’une petite demi-heure avant que le taxi n’arrive. Gabrielle est assise sur la table. Elle ouvre ses bras, toutes les filles se précipitent dedans. Elle embrasse tout le monde, je sens qu’elle est malheureuse de partir mais que cet au revoir lui a rempli le cœur de joie. Elle se sait aimée par toutes celles qu’elle a dirigé et qui malgré ça l’aime, ça veut dire qu’elle a été une bonne patronne. Vingt minute plus tard, le taxi arrive, Gabrielle est prête, tout le monde l’accompagne, le taxi se demande ce qu’il se passe, quand elle entre dedans, elle ouvre la fenêtre pour nous faire un signe avec un des maillots dans sa main, tout le monde entonne ce n’est qu’un au revoir. Je vois pas mal de filles qui pleurent, cette femme était vraiment aimée de toutes, elle était proche des personnes, bienveillante, et surtout juste et douce, sauf si tu faisais une connerie. Toutes espèrent qu’elle sera heureuse dans sa nouvelle vie. Nous retournons dans la salle, le traiteur est déjà revenu pour tout emballer, tout le monde participe, une jeune fille vient vers moi pour m’enlacer. –Merci Marie Antoinette, merci d’avoir sauvé mon travail, je dois faire vivre mes parents, merci. Elle pose ses lèvres sur ma joue et s’en va, je suis un peu émue, je ne m’attendais pas à ce genre de rapport.  Lamaï doit intégrer la société aujourd’hui, toutes les filles l’attendent, elles savent que nous vivons ensemble avec Emma. Quand elle descend de la voiture, je vois des tête étonnées, personne ne s’attend à voir débarquer une splendide asiatique, qui plus est en micro-jupe et tee-shirt moulant ses seins érigés. Elle les a excités avant d’arriver, c’est un peu un jeu pour elle. Je vois deux filles la regarder en se léchant les babines, je reconnais Louise qui me regarde en souriant. Elle a le poste de directrice comme Florence, Irène et moi. Quand elle s’installe dans le bureau de Gabrielle, je vois que Juliette n’apprécie pas beaucoup, elle était très attachée à Gabrielle. Mais elle doit satisfaire à la tradition toute directrice qu’elle est. A midi, Julie lui prend la main et l’entraîne vers les toilettes, elle n’en revient que trois quart d’heure plus tard un peu dans les vaps. Le lendemain, c’est celles qui ne l’on pas vue la veille qui se succèdent dans les toilettes. Seule Juliette n’a pas participé, je sais qu’elle ne va pas rester, elle ne supporte pas le départ de Gabrielle, tant pis pour elle. Les mois passent, j’ai dû acheter une voiture plus grande pour nous trois, une Jaguar XJ8 de deux mille un, celle de jade m’avait beaucoup plu. C’est Emma qui a hérité de la Camaro, Lamaï ne conduit pas. Juliette nous a quitté, c’était prévisible, c’est Carole qui est devenue le bras droit de Lamaï, elles s’entendent très bien, il faut dire que Carole est une fille intelligente et fiable, elle me l’a prouvé. Lamaï m’a même dit qu’elles se faisait des petits plaisirs de temps en temps. Murielle aussi a quitté la société pour aller travailler chez Jade avec Chloé avec qui elle vit maintenant, ça aussi c’était prévisible. Lors d’une réunion de direction, il s’avère que le rivetage nous pose des problèmes, les machines sont vieillissantes, plus assez précises, l’entretien coûte cher, il faut les remplacer, ça demande un énorme investissement. Nous décidons de supprimer cette activité et de développer le câblage. C’est un succès, nous avons de nouvelles commandes.  En deux mille dix Irène nous quitte, elle aussi a rencontré un homme avec qui elle veut vivre, mais à Marseille nous sommes obligées de réorganiser la société. Florence l’inamovible reste à la direction, je prends la place d’Irène, Emma la mienne. En juin deux mille treize, nous nous marions, c’est Emma et Florence qui sont nos témoins. Fin deux mille quinze, lors d’une discussion entre amis, je réalise que je suis en fait seule, bien sûr j’ai mes amours qui me rendent heureuse comme une folle, mais je n’ai personne pour me succéder, à ma disparition, personne ne pourra profiter de ce que je possède et je ne veux pas tout donner à l’état. C’est Lamaï qui me donne la solution, il faut que j’ai un enfant, mais il n’est pas question qu’un homme m’engrosse je suis toujours vierge à trente et un ans et je compte le rester, il faut que je réagisse. La nouvelle loi sur les couples homosexuels nous ouvre la voie, maintenant, nous pouvons adopter, nous pouvons le faire étant mariées depuis plus de deux ans. Nous nous inscrivons comme potentiellement adoptantes, nous ne sommes pas trop exigeantes, nous adopterions un enfant jusqu’à cinq ans, nous savons que le nouveaux nés sont très recherchés.   Mais entretemps, les rapports sont devenus plus serrés, j’éprouve une profonde tendresse pour Florence, j’ai même le sentiment que c’est plus que ça. Tous les matins je vais la voir pour qu’elle puisse me caresser les fesses et les seins et que je puisse la faire jouir. Il nous arrive souvent de passer un moment sur son divan pour faire l’amour, cette fille m’émeut, je ressens un profond sentiment pour elle. Il y a aussi d’autres personnes pour qui j’éprouve beaucoup de tendresse, ce sont Julie et Elodie. Lamaï et Emma savent ce que m’a dit Julie, elle ne voient pas d’inconvénient à ce que j’aille passer une nuit chez elles, mais j’hésite, je ne veux pas leur donner de faux espoirs. Un soir, Julie et Elodie viennent vers moi au moment où je pars avec Emma et Lamaï. –Marie Antoinette, nous voudrions te demander quelque chose, mais entre nous trois, peux-tu venir dîner avec nous ce soir, ça nous ferait extrêmement plaisir, dis oui, dis oui s’il te plait.  Je regarde Emma et Lamaï qui me sourit, ça veut dire oui. –Ok les filles je serais chez vous vers vingt heures. Elle sautent de joie et vont vers leur voiture. Le soir je vais chez elles, je ne prends pas la voiture, ce n’est pas très loin en métro, je sais que je ne rentrerai pas cette nuit chez moi, j’ai laissé la voiture à Emma. Quand j’arrive chez elle, elle me sautent dessus, elles sont nues, elles annoncent la couleur. Je suis submergée de baiser sur le visage et le cou. Elle me déshabillent, des mains me caressent sur tout le corps. –Merci d’être venue, tu ne le regretteras pas.–Je vous aime les filles, pas comme vous m’aimez, mais ce soir, je suis votre chose, vous pouvez disposer de moi comme vous voulez, je ne vous arrêterais pas, moi aussi j’ai envie de sentir vos corps contre le mien, vos bouches sur mon sexe comme ma bouche sur les vôtres, mais vous savez que j’aime deux autres femmes, elles font partie de mon être, je ne peux pas vous aimer de la même manière.–Nous le savons amour, mais tu es venue, tu nous prouves que tu nous aimes, c’est la seule chose qui compte pour nous. Tu nous aimes, nous t’aimons, nous serons toujours avec toi quoique qu’il arrive. Et nous avons une surprise pour toi. Je les regarde étonnée, Elodie va au fond du salon pour ouvrir une porte, Carole apparaît splendidement nue, elle vient m’enlacer et m’embrasser.  –Moi aussi je t’aime tu es dans mon cœur depuis longtemps, je peux rester avec toi mon amour ?–Bien sûr chérie tu peux rester et me faire ce que tu veux avec Julie et Elodie, moi aussi je t’aime et tu le sais. Elles m’allongent sur leur lit, c’est la bouche de Carole qui se pose la première sur ma vulve, sa langue la prospecte dans tous les sens. Je passe une nuit à jouir comme une folle, elles n’arrêtent pas de me câliner, me caresser, me faire l’amour, je me gave de leur cyprine, comme elles se gavent de la mienne. Vers six heures, je suis complètement lessivée, je réalise que je ne pourrais pas aller bosser demain, je ne pourrai pas mettre un pied devant l’autre. Elles consentent tout de même à me laisser dormir. Je me réveille peu de temps après sous les caresses et les baisers des trois, elles me regardent tendrement, je suis au milieu de femmes qui ne veulent que mon plaisir, mais il faut aller bosser. Je veux me lever, elles m’en empêchent. –Ou vas-tu ?–Bosser bien sûr.–Un premier mai à dix heures, mais tu ne vas pas nous la faire tout de même, en plus, tu es incapable de te lever toute seule. Surtout que demain, c’est samedi, tu restes là jusqu’à que l’on daigne te libérer.
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