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Marie Antoinette

Chapitre 12

Lesbienne
Et de quatre !
 Je cogite quand je sens une main sur mon épaule, je me retourne pour me trouver en face de Lamaï qui est venue de mon côté, elle me regarde, elle se penche sur mon oreille.
 –Tu sais, elle me plait bien Florence, je ne l’avais jamais vu comme ça, je ne m’imaginais pas pouvoir la caresser, lui faire l’amour, la faire jouir, j’ai envie d’aller un peu plus loin avec elle, elle est trop belle.–Et qu’est ce qui t’en empêche ?–Je ne sais pas si ça se fait de coucher avec sa patronne, c’est quand même elle qui dirige la boîte dans laquelle je travaille ?–Bien sûr mon amour, mais je te précise que tu couches avec ta vraie patronne depuis que tu es rentrée dans la société.–Putain, j’avais complètement zappé, pour moi, c’est elle la patronne.–Oui tu as raison, c’est elle la patronne pour tout le monde, et je ne changerai pas cet état de fait, elle fait très bien son boulot, je ne sais pas si je serais capable de faire ce qu’elle est capable de faire. –Oui, mais coucher avec elle tous les jours, tu crois que c’est faisable ?–Tu aimerais ?–Oui, cette fille m’émeut plus que je ne saurais le dire.–Je dois te dire que je suis comme toi, j’aimerais bien la voir chez nous tous les soirs, mais tu sais ce que cela implique ?–Oui, nous partager un peu plus et je l’assume, ceci dit, tu resteras toujours l’amour de ma vie et ma priorité.–Comme toi le mien. –Et je ne pense pas qu’Emma soit contre.–Ça, ça m’étonnerais, elles sont folles l’une de l’autre. Pendant que nous échangions ces propos, Emma et Florence se sont misent à côté et se caressent en se regardant dans les yeux. Il y a beaucoup de tendresse et d’amour dans leurs gestes. Je viens poser mes lèvres sur la joue gauche de Florence pendant que Lamaï pose les siennes sur la joue droite d’Emma. –Les filles, on a une proposition à vous faire, vous nous écoutez ou vous vous regardez dans le blanc des yeux jusqu’à demain ? 
Elles se tournent vers moi un peu étonnées, je les regarde en souriant.  –Ma chère Florence, heureusement que tu ne devais jamais toucher à ta sœur cadette, qu’est-ce que cela serait, je me le demande. Elle me regarde étonnée, elle ne s’attendais pas à cette remarque, elle est sur le point de me répondre, mais je pose ma main sur sa bouche. –Juste une question, que dirais tu de venir t’installer avec nous, tu y serais bien accueillie, je ne vois personne ici qui refuserait de te prendre dans ses bras pour te donner du plaisir. Comme ça, tu pourrais être tous les jours dans les bras de ta sœur, comme dans les nôtres. Son visage s’épanoui, je libère sa bouche, elle me sourit et se redresse pour me prendre dans ses bras et me serrer contre son corps. –Décidément, tu es la providence de ma vie, tu es toujours là quand j’en ai besoin.–Je viens d’entendre la même chose de la part de Carole ma chérie, ça devient lassant, alors, c’est oui ?–Évidemment que c’est oui, je viens m’installer avec vous, non seulement pour ma sœur qui a su me faire comprendre ce que je ne voulais pas comprendre, mais aussi, pour toi et pour Lamaï. Je t’aime Marie Antoinette, tu es dans mon cœur, mais tu aimes Lamaï, je le respecte, je sais que tu m’aimes aussi, pas comme elle c’est impossible, je saurai me montrer digne de ton amour. –Ok, mais maintenant, il faut organiser notre vie, d’abord aller chercher tes affaires chez toi, tu as des meubles ?–Oui, mais je les laisse dans la maison, je crois que je pourrais la louer meublée à des ingénieurs qui viennent passer quelques mois chez Airbus ou Latécoère. Les locations courtes durées sont rares, ça devrait marcher.–Ça, c’est une bonne idée, mais d’abord, j’aimerais qu’Emma te libère, elle ne te lâche pas d’une seconde, je voudrais bien me goinfrer de ta cyprine, est-ce possible ma chère Emma ?–Oui ma chère Marie Antoinette, je te laisse ma sœur adorée, fais la jouir comme tu sais si bien le faire.  Florence me sourit, elle s’allonge sur le dos, elle ouvre ses bras, je m’allonge sur elle, elle referme ses bras sur mon corps pour me plaquer contre elle. Nos bouches se soudent, je sens ses seins contre mes seins, son pubis bouger sous mon pubis. Quand nos lèvres se séparent, je redescends vers son sexe, elle bouge son corps, elle veut que je m’en serve, elle me le donne, je suis sa maîtresse, pour une fois ce n’est pas elle la patronne. J’arrive sur son nombril, je m’y attarde, elle bouge de plus en plus, je vois tout de même Emma sur le corps de Lamaï, elle lui fait ce que je fais à sa sœur. Je sens le corps de Florence se détendre, elle ne veut pas jouir tout de suite, elle me laisse l’initiative de la faire exploser dans un délire de joie. Je ne veux pas faire comme d’habitude, je mets ses jambes sur mes épaules, je lui ouvre en grand ses cuisses en repliant ses jambes. Elle m’offre son sexe ouvert et son anus déjà un peu humidifié par sa cyprine. Pour une fois, je me jette sur son clitoris, mais quand je sens qu’elle n’est pas loin de jouir, je le libère et me concentre sur son anus. Je le lèche à grand coup de langue comme un chien qui boit, je glisse ma langue entre ses lèvres, je récupère son élixir d’amour dont je me gave, je vois qu’Emma fait exactement la même chose à Lamaï, elle ne cesse de me regarder pour m’imiter. Le corps de Florence commence à se tendre malgré mes précautions, je vais devoir la faire jouir, je regarde Emma, elle cligne d’un œil, nous fonçons sur les clitoris de nos amantes pour les masturber avec nos lèvres. Elles jouissent en même temps, c’est un délire de soupirs, râles, joie. J’abandonne son sexe que quand je la sens plus calme, je me délecte trop de ce qui en sort. Je remonte sur le corps de Florence, mes lèvres se posent sur les siennes, notre baiser est doux, tendre, je sens qu’elle est heureuse de ce qu’elle vient de vivre, moi aussi, j’adore faire jouir mes partenaires, peur être plus que de jouir moi-même. Au bout de plusieurs minutes, Florence me fait basculer sur le côté, elle est un peu dans les vaps, je me redresse, Emma se lève et va dans la cuisine, je la suis, Lamaï a l’air elle aussi à côté de ses pompes. Nous préparons quelque chose à manger, tout ça ouvre l’appétit. Un petit quart d’heure plus tard, nous dressons la table sur la terrasse, c’est au moment où je mets les assiettes que j’entends Florence exprimer son plaisir, très vite suivi par les soupirs d’aise de Lamaï, nous croyions qu’elles dormaient, mais elle faisaient l’amour, nous sommes vraiment un quatuor. Quelques minutes plus tard, elles sortent de la chambre enlacées, elles viennent s’assoir à la table de la terrasse, je les regarde, elles semblent heureuses, elles nous regardent avec un regard clair et apaisé, elles se sentent bien, comme nous. Nous déjeunons tranquillement, à la fin du repas, je n’ai pas trop envie d’aller dans le lit pour encore faire l’amour, j’ai envie de vivre autre chose avec ces personnes que j’aime.  –Les filles, et si on allait draguer des filles, ça vous dit ? Tout le monde est d’accord, nous allons enfiler des fringues sexy, il faut attirer l’œil. Nous sommes dans l’entrée, nous attendons Lamaï qui a des problèmes avec ses escarpins. Le téléphone de Florence sonne, je vois son visage se décomposer, elle est pâle comme un linge. Quand elle raccroche, je vais vers elle pour l’enlacer. –Que ce passe-t-il mon amour ?–Clémence est morte.–Quoi, Clémence ta sœur, mais comment est-ce arrivé ?–En mettant au monde une fille, je ne savais même pas qu’elle était enceinte. –Elle est où ?–A la maternité, Paule de Viguier à côté de Purpan.–Il faut y aller. Une demi-heure plus tard, nous sommes à la maternité, nous allons voir Clémence, elle est allongée sur une sorte de table, le visage serein, c’est une très jolie fille, comme ses sœurs, elle n’avait que quarante-huit ans. C’était son premier enfant. Nous demandons où est le père, il n’y en a pas, une femme d’une quarantaine d’années se présente à nous, elle est en larmes. C’est une amie de Clémence, elle nous dit qu’elle avait fait cet enfant avec un homme de passage qui ne savait même pas qu’il était père. Elle ne l’avait jamais revu et elle sait simplement qu’il s’appelait Gérard.  –Vous connaissiez bien Clémence ?–Oui, ça fait sept ans que nous travaillons ensemble, nous étions devenues amies, c’était même ma meilleure amie. Elle était si heureuse d’avoir cet enfant, surtout quand elle a appris que c’était une petite fille.–Mais comment se fait-il que le père soit inconnu ?–Votre sœur était devenue lesbienne, vous devez le savoir ?–Oui, comme moi.–Quand elle a voulu un enfant, elle a voulu qu’il sorte de ses tripes comme elle disait. Elle a trouvé un bel homme, nous avions détaillé les critères de choix ensemble. Il devait être grand, blond, athlétique, gentil, pas macho et avec les yeux bleus. –Tout pour faire un bel enfant.–Oui, Il était suisse je crois, elle l’a séduit, c’est fait faire un enfant et une fois sure d’être enceinte, elle l’a largué.–Vous la connaissiez à ce point ?–Je dois vous avouer que nous avons souvent partagé le même lit, nous étions amantes occasionnelles. Elle était si belle, si passionnée, si attachante, vous lui ressemblez beaucoup vous savez ?–Oui, même de caractère, c’est pour ça que ça c’est mal terminé entre nous.–Elle était comme ça Clémence, assez autoritaire et prenant ses décisions sans état d’âme. –Et sa grossesse s’est bien passé ?–Pas du tout, on ne mène pas une grossesse à quarante-huit ans comme à vingt ans. Elle est restée couchée les deux derniers mois, mais les médecins n’étaient pas inquiets pour l’accouchement, je ne sais pas ce qui s’est passé.  Emma est en larmes dans les bras de Lamaï, Florence prend sur elle, mais je sens que malgré la brouille, elle ressent une profonde tristesse d’avoir perdu son aînée. Une femme de l’Aide Sociale à l’Enfance vient chercher le bébé, Florence se présente, mais elle ne peut rien faire, elle doit l’emmener. La femme nous demande comment elle s’appelle, sa mère n’ayant rien dit avant d’accoucher. Florence lui répond Clémence. La femme nous quitte en emportant le bébé, Florence est folle de rage, après avoir dit ce qu’elle désirait pour sa sœur, elle me demande de l’emmener chez l’ex-mari de Clémence qui est avocat. Nous quittons l’hôpital pour aller le voir, elle lui téléphone, il nous attend. Un homme assez grand, taillé comme Rambo, nous reçoit dans un immense cabinet, il semble triste et prend Emma dans ses bras, Florence se tient à l’écart.  –Bonjour les filles, qu’elle tristesse de se revoir dans ces conditions, tu as besoin de moi Florence ?–Oui Gilles, ils gardent le bébé de Clémence, je ne peux pas le récupérer, que peut-on faire ?–C’est la loi, mais tu es prioritaire en cas d’adoption. Je ne comprends pas, elle ne voulait pas d’enfant.–On change tu sais, elle aimait les hommes avant. Florence me regarde, elle vient vers moi. –Tu penses à la même chose que moi ?–Oui ma chérie, bien sûr, ce bébé doit venir chez nous. Elle retourne vers Gilles. –Et si c’était mon amie Marie Antoinette qui voulait l’adopter ?–Elle est mariée ?–Oui, depuis deux mille treize à Lamaï ici présente.–C’est donc possible, mais il va falloir être tenace, elle n’est pas prioritaire.–Et si c’est moi sa tante qui dit que ça doit être-elle.–Ça ne marche pas comme ça, mais je te promets de tout faire pour que ça aboutisse, je dois bien ça à Clémence, même si elle était super chiante, elle a été la femme que j’ai aimé pendant dix ans.–En plus Marie Antoinette est riche, très riche même.–Ça c’est très bon, ça va nous faciliter le travail, l’ASE préfère donner les enfants à des familles aisées, c’est soi-disant plus sûr pour l’enfant. –Tu t’en charge Gilles ?–Bien sûr ma chérie, tu es devenue magnifique, je crois que tu avais onze ans quand je t’ai vu pour la dernière fois, tu rentrais en sixième.–Moi je me souviens d’un grand type costaud qui me faisait voler dans les airs.–Oui, tu adorais ça. Gilles créé un dossier, nous remplissons une tonne de document, nous écrivons des lettres de motivation pour l’adoption, il classe tout ça pour l’ASE. Il nous assure que c’est une priorité pour lui, ce dossier restera sur le dessus du tas. Nous le quittons, Florence est soulagée, elle ne s’attendait pas à un accueil si gentil.  –C’est un mec sympa ton ex beau-frère.–Oui, c’est Clémence qui était chiante, elle a réussi à le dégoûter, pourtant c’est un mec d’une patience rare. J’ai confiance en lui, il va réussir, j’en suis sure. Tu vas l’avoir ton héritière ma chérie.–En plus, c’est ta famille, le lien entre nous. Je suis si impatiente de l’avoir dans mes bras, elle est si mignonne.–Calme toi mon amour, rien n’est fait, attendons des nouvelles de Gilles. Du coup la sortie drague est annulée, la soirée est un peu triste, nous allons nous coucher, bien sûr nous faisons l’amour, nos corps sont insatiables. Je m’endors en voyant ce petit bout de chou dans mes bras, les larmes m’en montent aux yeux, Lamaï s’en rend compte. –Ne t’en fais pas mon amour, nous l’aurons ce bébé, elle va bientôt égayer cet appartement je te l’assure. –Je l’espère tant. Une semaine plus tard, une femme de l’ASE nous téléphone, elle veut voir où sera accueilli l’enfant, nous sommes parmi les prioritaires, Gilles a bien fait son boulot. Nous prenons rendez-vous dans deux jours, c’est le branle-bas de combat, nous achetons un lit, une table à langer, un parc, tout ce qu’il faut pour un bébé. Une des chambres lui est dédié, nous allons acheter deux robes un peu plus sages que celles que nous avons, il faut faire sérieux.  A quatorze heures, on sonne, nous ne sommes que Lamaï et moi, tout ce qui appartient aux autres est planqué. Nous sommes dans nos nouvelles robes, nous avons même mis un string, histoire de ne pas montrer nos chattes. Une jeune femme d’une trentaine d’années très belle et très jolie attend devant la porte, je la fais entrer. Je suis sidérée, elle est en robe très courte, juste en dessous des fesses avec le haut boutonné que jusqu’au nombril. Il est évident qu’elle est nue dessous, un string grand maximum, mais ses seins sont libres et tendent le tissu en faisant deux beaux chapiteaux, on en aperçoit une bonne partie. Elle regarde partout en se penchant, je vois assez souvent ses belles fesses nues, Lamaï lui propose un rafraîchissement, elle accepte volontiers, ce qu’elle voit lui plait, nous nous installons sur la terrasse, il fait beau et chaud. –Cette petite fille sera comme un coq en pâte ici, je suis très favorablement impressionnée, d’autant que ses tantes vous connaissent je crois.–Oui, ce sont des amies de longue date, nous les voyons souvent, elles pourront la voir quand elles voudrons. Elle est sérieuse dans son boulot, mais je remarque quand même qu’elle n’a qu’un string ficelle qui lui rentre complètement dans le sexe et ne cache plus rien, elle est glabre comme nous. Il semble même qu’il la gêne quand elle est assise. Elle nous demande où sont les toilettes. Lamaï l’y conduit, quand elle revient, je ne tarde pas à remarquer que le string a disparu, mais elle ne resserre pas plus ses jambes. Elle sait qu’elle est chez des lesbienne, nous sommes mariées, je me demande si elle ne le fait pas exprès, je veux en avoir le cœur net.
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