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Marie Antoinette

Chapitre 13

Lesbienne
Sklerijenn
 Je vais dans la chambre pour enlever mon string et me titiller le clitoris, je m’arrête quand je constate que je mouille bien. Quand je m’assoie de nouveau, je ne serre pas mes jambes, je lui offre une vue imprenable sur ma chatte, elle doit briller comme une étoile. La femme me regarde, elle me sourit et ouvre un peu ses jambes, sa vulve aussi brille comme une étoile. Lamaï a tout vu, elle pose sa main sur une de ses cuisses.
 –Enfin, vous êtes dures à la détente toutes les deux. Vous avez trouvé ma tenue normale ? Je viens chez des lesbiennes à moitié à poil et vous ne réagissez pas ?–L’enjeu est trop gros.–Je te l’accorde, mais ce que j’ai vu est très bon ne t’en fais pas, je mettrai un avis favorable à votre dossier.  Elle me fait lever pour me faire passer ma robe par-dessus ma tête, elle regarde Lamaï. –Montre-moi cette splendeur, je ne crois pas avoir déjà vu un plus beau cul que le tien, à poil chérie.  Son langage a radicalement changé. Lamaï se lève et enlève sa robe. Elle me rejoint pour lui déboutonner la sienne et la laisser tomber à terre. Elle est très belle, ventre plat, seins ronds et hauts pas trop gros, comme je les aime. Je promène mes mains sur sa peau qu’elle a très douce imitée par Lamaï. Nous l’emmenons dans la chambre, nous l’allongeons sur le lit, elle ouvre un peu ses jambes, je me penche sur son sexe odorant. Elle est tellement excitée qu’elle jouit assez vite, je suis un peu frustrée. Lamaï la fait jouir aussi, elle nous regarde et me fait signe de venir à côté d’elle. Elle m’ouvre les cuisses et plonge sur ma vulve. Sa langue a une certaine expérience, comme je suis moi aussi très excitée, je jouis assez vite. Elle se jette ensuite sur Lamaï, elle la fait jouir aussi assez vite, nous étions toutes très excitée. Quand elle fait mine de se redresser, je plonge de nouveau entre ses cuisses. Cette fois, je ne la fait languir un maximum, elle hurle son plaisir. Lamaï remet elle aussi le couvert, elle prend son temps pour la faire jouir, je la vois se tortiller dans tous les sens, elle vient de jouir, ça va être long. Elle donne de violents coups de rein, Lamaï maîtrise parfaitement, on ne la lui fait pas. Elle jouit une nouvelle fois comme une folle, elle est complètement stone, elle met un certain temps à récupérer.  –Merci les filles, vous m’avez gâté, je vais regretter de ne pas devoir revenir faire des contrôles, c’est trop génial.–Mais tu peux revenir quand tu veux, nous serons toujours prêtes à bouffer un si beau cul. Tu t’appelles bien Béatrice ?–Oui.–Alors, à bientôt Béatrice. Lamaï l’enlace et l’embrasse, elle semble surprise mais répond à son baiser. Quand elles se séparent, je l’enlace pour l’embrasser à mon tour. Nous aimons bien titiller les langues de nos amantes, elle semble apprécier. –Je vous garantis que je reviendrai, au revoir les filles et au fait, un détail, vous avez oublié d’enlever les brosses à dents des tantes. J’espère qu’elles m’accueillerons comme vous quand je reviendrai. 
Elle nous quitte à dix-huit heures toujours un peu stone. Nous allons vérifier, effectivement il y a quatre brosses à dent dans la salle de bain, nous éclatons de rire.  Les filles reviennent une demi-heure plus tard, elle sont contente d’apprendre que l’avis sera très favorable. Nous leur racontons comment ça s’est passé, elles regrettent de ne pas avoir été avec nous. Le vendredi suivant, la sonnette retenti à dix-neuf heures, nous venons juste de rentrer de faire des courses. Je vais ouvrir pour tomber sur Sklerijenn qui me semble un peu à la ramasse. Je la fait entrer, elle se déshabille et pose un sac dans l’entrée, elle semble un peu triste. Elle m’enlace pour m’embrasser, nos mains redécouvrent le corps de l’autre. Quand elle voit Lamaï, elle se précipite sur elle. Elles échangent un long baiser tout en se caressant. Je la présente à Emma et Florence, tout le monde s’assoie. –C’est super de vous voir toujours ensemble.–Et pour longtemps, je peux te l’assurer.–J’en suis sure. –Tu es rentrée d’Espagne ?–Oui, il y a un mois et demi, j’avais fait une fausse couche, ça s’était très mal passé. S’en est suivi une double hydrosalpinx, c’est une infection très grave des trompes. Ça n’a pas été diagnostiqué à temps, résultat ablation des trompes parcoeliochirurgie, je ne peux plus avoir d’enfant. –Coeliochirurgie ?–Oui, on n’ouvre pas le bas ventre, je n’ai que trois petite incisions en haut du pubis, ça ne se voit presque pas, tenez, regardez. Elle se penche en arrière en tirant sur la peau de son ventre pour nous montrer son pubis, en même temps, elle nous expose sa chatte qui brille beaucoup pour quelqu’un de calme. Effectivement, on ne voit que trois petites cicatrices à peine visibles, nous ne les avions même pas remarquées. –Tu vas retourner à Valence ?–Non, j’ai tout quitté depuis trois ans, raz le bol de l’informatique, j’ai fait une formation de puéricultrice à Barcelone. Je suis rentrée il y a six semaines, depuis une semaine, je commençais à avoir des problèmes, des douleurs en bas du ventre. Les médecins espagnols m’ont fait comprendre que je serais mieux dans un hôpital en France, je pense qu’ils ne voulaient pas être responsable de cette opération connaissant les conséquences. –Tu crois ?–Oui, les médecins de Purpan m’ont dit que ça faisait plus d’une semaine que ce n’était plus sauvable quand je suis arrivée. J’ai même eu de la chance que ça ne soit pas plus grave, mais maintenant ça va je suis complètement remise.–Et le père ?–Il m’a largué quand il a su que j’étais enceinte en me traitant de salope qui voulait le piéger.–Je vois qu’il n’y a pas qu’en France qu’il y a des salops. –Il y en a partout, mais ça ne m’a pas gêné, de toute manière, je l’aurais largué, il était un peu trop macho. –Et que comptes tu faire.–Trouver du travail ici, je veux revenir à Toulouse, cette ville m’a manquée comme je ne l’aurais jamais cru.–Et oui, c’est une ville qui t’accroche.–J’y suis née, même si mon prénom ne l’indique pas.–Quel genre de travail ? –M’occuper de gosses bien sûr, je suis puéricultrice ne l’oublie pas, mon diplôme est valable en France, je n’ai pas pu avoir le mien, mais je veux vivre avec eux.–Et un seul gosse à plein temps, ça t’intéresserait ?–Toi, je te vois venir, tu as quelque chose à me proposer, mais je ne vois pas de gosse ici.–Pas pour l’instant.–Explique toi, l’une d’entre vous est enceinte ? Nous lui expliquons la situation, elle semble intéressée, elle serait ici à plein temps, elle disposerait de sa chambre et elle s’en doute un peu, de temps en temps de nos vulves et de notre lit. –Bien sûr que ça m’intéresse, je ne suis pas à quelques jours près.–Attention, rien n’est encore décidé, on peut ne pas l’avoir.–Attendons la décision de l’ASE.–Ok, tu restes ici ce soir, tu as tes affaires ?–Elle sont dans mon sac, j’ai tout donné en Espagne, je ne veux rien de là-bas. Elle va prendre son sac et me suis dans une chambre d’amis, elle pose son sac sur un fauteuil de la chambre et me pousse sur le lit, elle se jette sur moi, je m’y attendais un peu, elle se colle à moi. –Si tu savais combien de fois j’ai pensais à vos corps somptueux en me masturbant, vous m’avez tellement manqué mes chéries. –Alors, laisse-moi un peu de place. C’est Lamaï qui s’allonge à côté de nous, elle devait se douter de ce qui allait se passer. Elle pose ses lèvres sur les fesses de Sklerijenn pendant que celle-ci colle sa bouche à la mienne. Elle bouge sur moi pour que nos peaux glissent l’une sur l’autre, d’un seul coup, sa bouche me quitte, elle s’est redressée, quatre nouvelles mains glissent sur son corps, Florence la regarde. –Tu crois que tu peux débarquer chez nous et t’accaparer Marie Antoinette et Lamaï comme ça ? debout, il n’y a pas assez de place ici, tout le monde dans la chambre. Le caractère de chef de Florence a parlé, tout le monde se lève et se retrouve dans notre grand lit. Seulement, ce n’est plus Sklerijenn qui mène la danse, nous l’allongeons sur le lit en lui écartant les jambes et les bras, elle ne peut plus bouger. Nous nous succédons sur sa vulve, nous voulons voir jusqu’où on peut aller avec elle, j’ai déjà une petite idée après notre première expérience. Elle rentre dans le jeu, elle se laisse faire, elle ferme les yeux avec un petit sourire en coin, à croire qu’elle savait ce qui allait arriver. Qu’à cela ne tienne, nous allons lui montrer de quel bois nous nous chauffons. Nous passons toutes l’une après l’autre sur sa vulve et sur ses seins que nous léchons, suçons, mordillons. Elle jouit pratiquement toutes les dix minutes, nous nous relayons pendant deux heures, elle nous en demande encore. Cette fois, c’est moi qui suis aux manettes, mais je décide de ne pas la faire jouir, je l’excite mais insuffisamment, elle se tend, sent qu’elle approche de l’orgasme, mais j’abandonne, je lui titille le nombril, je sens que ça commence à l’énerver. Sauf que ma langue commence à fatiguer, je regarde Lamaï, elle a compris ce que je veux faire, je lui laisse la place. Au bout de plusieurs minutes, c’est Florence qui prend le relais, Sklerijenn devient folle, elle se cabre, soulève ses fesses à vingt centimètres du lit, essaye de plaquer nos têtes sur son clitoris, mais nous l’en empêchons. Emma prend le relais de sa sœur, elle doit la faire jouir, mais elle s’amuse à le faire languir elle aussi, Sklerijenn pète les plombs. –Mais vous allez me faire jouir espèce de salopes, ça vous amuse de me torturer, fais-moi jouir putain, fais-moi jouir, je vais crever d’attendre.–Les salopes te saluent bien pétasse, tu voulais jouir, et bien tu jouiras quand nous le déciderons. Elle se détend d’un seul coup, elle abandonne son corps à la langue d’Emma. Mais la petite est devenue une spécialiste de la vulve, elle recommence à explorer cette vulve odorante, je vois que Sklerijenn recommence à bouger, mais j’ai l’impression qu’elle a compris et qu’elle a décidé de se laisser aller à son plaisir. Son corps recommence à bouger, Emma la câline en la faisant monter en pression. Je vois que ses muscles du ventre se contractent, elle lève doucement ses fesses, Emma remonte sur son clitoris, elle finit par exploser dans le plus formidable orgasme auquel j’ai assisté dans ma vie. Elle n’est qu’un pantin désarticulé hurlant son plaisir, elle gesticule pendant qu’Emma lui aspire le clitoris jusqu’à ce qu’elle s’écroule sur le lit dans les pommes. Nous nous penchons toutes sur son corps que nous embrassons partout, elle ouvre les yeux sur Lamaï, l’agrippe pour échanger un long baiser. Quand Lamaï se redresse, elle prend le bras de Florence pour la plaquer contre elle et l’embrasser. Je suis Florence sur ses lèvres jusqu’à ce qu’Emma me remplace. Quand leurs bouches se séparent, elle la regarde. –Toi, tu es une tueuse, mais je veux que tu me tues tous les jours.–Avec grand plaisir ma chérie. Leurs bouches se soudent de nouveau, quand elles se séparent, nous aidons Sklerijenn à se relever, il faut l’aider pour aller sur la terrasse, nous l’allongeons sur un transat. –Mes chéries, il ne fallait pas, maintenant, je ne m’en irais jamais de ce paradis, j’ai eu le plus puissant orgasme de ma vie, merci ma douce Emma, merci.–Mais tu as ta place ici si nous obtenons la garde de Clémence, et je crois que ça devrait se faire. Mais si nous ne l’obtenons pas, tu auras une chambre où t’abriter quand tu le veux. Elle fond en larmes, Florence va la prendre dans ses bras, elle la serre contre elle. –Ne pleures pas ma chérie, ici, c’est l’auberge espagnole, tu y amène ce que tu veux et tu y reste aussi longtemps que tu veux.–Tu la fous mal de me parler d’auberge espagnole, ils m’ont éjecté de leurs auberges les espagnols. –Au moins, tu n’as pas perdu le sens de l’humour, vient dans mes bras chérie, tu y seras bien. Sklerijenn se blotti contre Florence qui la câline, lui caresse les cheveux en y déposant des baiser comme une mère ferrait pour calmer son enfant. –Là, oui comme ça chérie, tu es bien, je suis là, ne t’en fais pas. Je découvre un nouvel aspect de cette femme décidément très surprenante, elle est capable d’une empathie extraordinaire alors qu’elle fait tout pour paraître autoritaire. Je vois que Sklerijenn a fermé ses yeux, on le sent extrêmement bien contre la peau de cette femme qu’elle ne connaît pas. Seulement, il faut bouffer, Emma me fait signe, nous allons préparer le repas, Lamaï met la table et prépare la salade. Quand tout est prêt, nous rejoignons Florence et Sklerijenn. Je suis stupéfaite de voir Sklerijenn dormir dans les bras de Florence qui la caresse doucement, elle nous fait signe de ne pas la réveiller, j’ai l’impression que Florence vit un des plus beau moment de sa vie, on sent qu’elle est heureuse dans cette situation. C’est Sklerijenn qui débloque la situation en se réveillant. Elle tend son bras pour le passer derrière la tête de Florence et l’attirer sur elle. Elle se blotti contre elle. –Merci maman, j’étais si bien dans tes bras, comme quand j’étais petite.  Florence ouvre de grands yeux, nous sommes toutes scotchées, mais que se passe-t-il ? Sklerijenn se redresse, elle voit Florence et devient rouge comme une pivoine. –Mais qu’est-ce que j’ai dit ?–Rien de grave ma chérie, c’est ton cœur qui a parlé, tu as cru être dans les bras de ta maman, si tu veux qu’on recommence, je serai là pour toi quand tu veux. Sklerijenn a les larmes aux yeux, elle me regarde et me tend un bras, je viens vers elle. –Je suis si bien ici, vous êtes des amours, comment pourrais-je vivre ailleurs.–Mais personne ne te le demande ma chérie, tu as ta chambre, et tu sais très bien que nous savons partager, dans tous les sens du terme.  Cette fois elle éclate en sanglots en se blottissant contre Florence qui la serre, elle la maintient contre elle. –Ok ma chérie, maintenant, il faut réagir, tu es une grande fille, lève-toi et viens manger avec nous. Je reconnais bien là ma Florence directrice générale. Sklerijenn la regarde, elle lui sourit et se lève, elle n’est pas très stable, Florence la maintint debout. Elles s’assoient côte à côte, je pense qu’Emma a une concurrente. Elle vient d’ailleurs se mettre de l’autre côté de Sklerijenn. Une de ses mains glisse sur sa cuisse, elles se regardent et se sourient, une certaine complicité est évidente, elles ont le même âge. Leurs mains glissent sur la cuisse de l’autre, d’un seul coup, Florence n’est plus son centre d’intérêt, ce qu’elle a l’air de bien prendre. Une fois le repas fini, elles se lèvent, se prennent la main et vont dans la chambre de Sklerijenn, Florence sourit en nous regardant. –Il n’a pas fallu longtemps pour qu’elles se trouvent ces deux-là. –C’est le moins qu’on puisse dire.
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