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Marie Antoinette

Chapitre 14

Lesbienne
Béatrice
 Nous nous installons sur la terrasse, mais Lamaï a une autre idée, elle prend la main de Florence pour la faire se lever et se dirige vers notre chambre. Elle me fait signe de l’accompagner pour que je participe. Nous l’allongeons sur le lit et l’embrassons sur tout le corps, nous lui titillons les seins et son nombril, elle se laisse aller à son plaisir en fermant les yeux. Son ventre commence à bouger au moment où nous entendons Emma jouir, Florence sourit. Ma bouche arrive sur la sienne pendant que celle de Lamaï se glisse entre ses cuisses qu’elle a un peu ouvert. Nos langue entament une longue conversation, je sens son corps bouger, elle réagit aux attouchements de Lamaï, elle pose sa main sur ma tête pour me plaquer un peu plus sur sa bouche. Son corps se tend lentement, je la sens au bord de l’orgasme, je pose une main sur son sein gauche, je fais rouler son téton érigé entre mon pouce et mon index, elle se tend encore plus, je libère sa bouche au moment où elle explose dans un magnifique orgasme, elle émet un long soupir de plaisir, toujours aussi discrète quand elle jouit. Je lui mordille la poitrine, et donne des coup de langue sur ses tétons. Elle met un bon moment à savourer son plaisir, nous faisons tout pour l’aider. Quand elle est de nouveau sereine, nous entendons Sklerijenn jouir, elle est un peu moins discrète. Florence nous tend ses bras, nous nous allongeons à côté d’elle, elle nous enlace pour nous serrer sur son corps. 
 –Vous êtes mes amours, je vous aime mes chéries, je n’aurais jamais pu imaginer vivre une vie comme celle que je vis. Ça fait dix ans qu’on se connaît avec Marie Antoinette, et mon amour n’a fait que se renforcer, venez sur moi mes chéries, je vous aime tant.  Elle nous serre contre elle encore plus fort, nos bouches la couvre de baisers, elle ferme les yeux, elle est heureuse. Il se fait tard, nous sommes un peu fatiguées, la journée a été dure, nous finissons par nous endormir dans ses bras. C’est l’odeur du pain grillé qui nous réveille, nous nous levons non sans nous être embrassé avec passion. Sklerijenn et Emma ont mis la table sur la terrasse, il fait un soleil magnifique et très bon. Il y a des croissants, Emma est allée les chercher pour sa sœur, nous nous installons pour petit déjeuner. Emma et Sklerijenn n’arrêtent pas de se caresser, se papouiller, s’embrasser furtivement, elles n’arrêtent pas de se sourire, elles s’entendent à merveille. Le week-end se passe bien, nous découvrons une Sklerijenn vive, enjouée, décontractée, serviable, câline, elle papillonne entre nous toutes avec une petite préférence pour Emma, ça se comprend facilement. A la fin du week-end, je sais que ça va bien se passer avec elle. Trois jours plus tard, nous apprenons que nous pouvons adopter Clémence. Nous la récupérons le lendemain toutes les cinq, c’est à celle qui l’embrassera le plus, elle rigole au milieu de nous toutes.  C’est Sklerijenn qui s’occupe de tout pour elle, c’est la seule qui sache ce qu’il faut faire, même si nous ne demandons qu’à apprendre. Nous lui donnons toutes le biberon à tour de rôle, j’ai la vague impression que cette petite fille va savoir profiter de nous, c’est le centre de notre intérêt à toutes. Seule Sklerijenn la voit toute la journée tous les jours, elle est là pour ça, elle ne nous a demandé qu’une somme dérisoire pour s’occuper d’elle. Elle juge qu’elle vit avec nous, qu’elle fait l’amour avec nous toutes, qu’elle profite de tous les avantages de sa situation. Nous décidons de lui ouvrir un compte sur lequel nous versons une somme tous les mois, ce sera son pactole si un jour la vie nous sépare.  La vie s’organise, notre entente est de plus en plus sereine, tout le monde connaît les limites de tout le monde, nous sommes heureuses. Un vendredi soir vers dix-sept heures, nous sommes rentrées du boulot depuis à peine une demi-heure, la sonnette retentie. Je vais ouvrir à poil, comme d’habitude, toutes les personnes que nous connaissons savent que nous vivons nues. J’ouvre, c’est Béatrice qui me sourit en micro-jupe et tee-shirt blanc quasi transparent ne dissimulant quasiment rien de ses seins érigés. Elle tient un sac dans une main contenant deux bouteilles de champagne. Elle vient vers moi pour m’enlacer. Nos lèvres se collent pour un tendre baiser. Je glisse mes main sous son tee-shirt pour retrouver sa peau douce. –Je crois que si tu m’avais accueillie dans cette tenue la première fois, je n’aurais pas pu faire l’inspection, je t’aurais bouffé immédiatement.–Ok, mais tu dois te mettre en tenue de rigueur ici. –Comme ça, je pourrais faire connaissance avec les tantes ?–Oui, et avec la nounou, elles ont elles aussi envie de faire connaissance avec ton corps, nous leur avons décrit. Elle pose son sac, enlève sa jupe et son tee-shirt, toujours aussi belle, elle reprend son sac et entre dans le salon, Lamaï vient vers elle pour l’embrasser. –Tu en as mis du temps à venir nous voir, ça fait plus de deux mois que nous avons fait ta connaissance.–Oui, mais mon anniversaire, c’est aujourd’hui, j’ai amené de quoi le fêter et je suis venu chercher mon cadeau. –Deux bouteilles de champagne, tu nous prend pour des soiffardes.–Je savais bien que vous n’étiez pas que deux, au moins quatre, je n’ai pas oublié les deux tatas qui avaient laissé leurs brosses à dent. 
 Emma se lève, elle vient l’enlacer et faire courir ses mains sur sa peau, surtout celle des fesses. –C’est vrai que tu as la peau très douce, presque autant que celle de Lamaï, et ta bouche, elle est douce aussi ?–Tu n’as qu’à vérifier. Leurs bouches se collent dans un baiser ardent, je vois qu’elles en profitent pour explorer le plus possible le corps de l’autre. Quand leurs bouches se séparent, elle va vers Florence qui s’est levée, mais je sens une hésitation, comme si en était inquiète. C’est la prestance de Florence qui l’impressionne, il est vrai qu’elle en impose même sans le vouloir, on sent chez elle une certaine assurance qui peut déstabiliser. Florence la regarde avec un petit sourire. –Viens mon enfant, n’ai pas peur, je ne mords pas et j’aimerais moi aussi goûter à la légendaire douceur de ta peau.  Béatrice me regarde, elle ne sait plus où elle habite, Florence éclate de rire, elle la prend dans ses bras. –Et bien il faut avoir un peu plus d’assurance mademoiselle, en attendant, embrasse-moi, je veux connaître la douceur de tes lèvres.   Elle se colle littéralement à elle, leurs bouches restent longtemps soudées, quand elles se séparent je vois que Béatrice est troublée, elle regarde Florence avec un regard tendre, doux, comme si elle était amoureuse. Florence lui passe le bras autour de la taille et l’emmène vers la terrasse où elle la fait assoir sur le divan pour rester à côté d’elle, une attitude inhabituelle chez elle –Elles sont fraîches au moins tes bouteilles ?–Oui, elles sortent du réfrigérateur, mais on peut les mettre à rafraîchir encore, il n’est que dix-sept heures trente. Emma les prend et va les mettre au frais, je m’assoie en face de Florence et Béatrice, Lamaï vient s’assoir à côté de moi. J’entends Sklerijenn parler à Clémence, elle la porte dans ses bras, elles viennent sur la terrasse, Béatrice les regarde. –C’est une adorable petite fille, comme sa maman.–Ses mamans, n’oublie pas que Lamaï est aussi sa mère.  Sklerijenn vient vers elle, elle se penche pour poser ses lèvres sur les siennes deux seconde. –Bonjour Béatrice, je te remercie de tout mon cœur.–Mais de quoi ?–D’avoir soutenu le dossier de Marie Antoinette et Lamaï, je sais que ça n’a pas été facile.–Et comment tu sais ça toi ?–Une indiscrétion de quelqu’un qui était présent au moment de la décision. Je sais qu’un couple hétéro la voulait et que c’est toi qui a fait basculer la décision.–Simplement parce que je savais qu’elle serait très bien accueillie et que ses tantes allaient vivre avec elle. En plus, ce couple ne me plaisait pas, ils étaient un peu trop sûrs d’eux, trop prétentieux et je n’étais pas la seule à le penser. Ils pensaient qu’entre eux et un couple de lesbiennes, il n’y avait pas photo. –Alors, je t’ai entendu dire que tu venais chercher ton cadeau ?–Oui, Marie Antoinette et Lamaï connaissent la nature de mon cadeau, j’espère qu’elles ne seront pas les seules à m’en offrir.–Je vois, j’emmène cette petite fille innocente dans sa chambre, elle ne supporterait pas d’assister à vos turpitudes. En plus, je sens que je dois la changer. Sklerijenn nous quitte en souriant, Clémence gesticule dans ses bras, je vois qu’Emma regarde ses fesses onduler devant ses yeux, son regard est celui d’une fille amoureuse. Elles partagent une chambre depuis que Sklerijenn est arrivée, seulement, pas de sexe tant que Clémence ne dort pas, ça limite un peu mais elles le vivent bien. Au moins une fois par jour, nous prenons Clémence pour les libérer et leur permettre de s’aimer tranquillement.  –Viens, j’ai un cadeau pour toi. Florence se lève, prend la main de Béatrice et l’amène dans notre chambre, nous nous regardons, une minute plus tard, nous allons vers la chambre. Quand nous entrons dans la chambre, Béatrice est déjà sur le dos, les bras en croix avec Florence allongée à côté d’elle, elle ne réagit même pas quand nous apparaissons, elle semble hypnotisée par le corps qui est devant elle. Je retiens Lamaï, je réalise que Florence voudrait peut être rester seule avec Béatrice un moment. Nous assistons à une vraie scène d’amour, Florence se redresse, elle caresse doucement le corps de Béatrice qui a fermé les yeux avec un sourire de satisfaction. Ses gestes sont d’une extrême douceur, on sent une immense tendresse pour cette fille. Doucement le corps de Béatrice se réveille, les yeux de Florence sont braqués sur son corps, elle la boit des yeux. Elle se penche sur elle, leurs bouches se soudent, elle s’allonge à moitié sur elle. Béatrice referme ses bras sur le dos de Florence, elle le caresse, lentement, tendrement. Lamaï me regarde, elle se penche à mon oreille. –Laissons-les s’aimer, il se passe quelque chose entre elles, si elles veulent de nous, elles nous appellerons. –Tu as raison mon amour, laissons-les se découvrir.  Nous allons sur un transat sur la terrasse, Emma est allée rejoindre Sklerijenn, elles s’occupent de Clémence ensemble, ça a l’air de lui plaire, on l’entend gazouiller. Lamaï m’allonge pour poser ses lèvres sur ma vulve. Elle promène sa langue un peu partout, je sens que ça va durer, j’adore quand elle me fait ça. Au bout de quelques minutes, je commence à ressentir des ondes de plaisir dans mon corps quand nous entendons Béatrice exprimer son plaisir. –Oui, oui, je suis à toi, je t’aime, je t’aime mon amour, je t’aime.  Je sens que Lamaï est troublée, sa langue change de rythme mais elle se reprend, mon corps réagit lui aussi, je commence à sentir l’orgasme monter en moi. Mais je n’ai pas le temps de jouir que nous entendons un énorme soupir de Florence, nous savons que ça veut dire qu’elle vient de jouir énormément. Ça n’arrête pas Lamaï qui me fait exploser dans un océan de bonheur. Quand je reviens à moi, elle s’est levée, elle me prend la main, nous allons dans la chambre. Florence et Béatrice sont enlacées et s’embrassent, il est évident qu’il y a de l’amour dans ce baiser, Lamaï me regarde, elle paraît étonnée. –Je n’ai jamais vu Florence dans cet état.–Et tu ne la verras plus jamais autrement car je compte bien rester dans cet état le plus longtemps possible. C’est Florence qui s’est redressée à nous, elle nous tend les bras. –Venez mes chéries, je crois que je suis tombée sur la personne que j’attendais. Venez partager mon bonheur, il n’y a qu’avec vous que je puisse le faire. Je viens m’allonger le long de Florence, Lamaï s’allonge le long de Béatrice. –Vous pouvez lui offrir son cadeau d’anniversaire, elle est venue pour ça.  Lamaï pose sa bouche sur ses seins, elle descend lentement le long de son corps, moi, je pose mes lèvres sur ceux de Florence et je lui fais la même chose. Béatrice et Florence sont maintenant allongées côte à côte, elle se tiennent la main, nous nous occupons de leurs corps en même temps, nous voulons qu’elles jouissent ensemble, le cadeau sera d’autant plus beau. Nous les faisons languir un peu, mais nous les faisons jouir au bout de quelques minutes. Elle jouissent en se tenant la main, elles se regardent pour partager leur bonheur. Quand elles redeviennent calmes, nous changeons de fille, Béatrice a un mouvement de recul quand je pose mes lèvres sur ses seins, mais quand elle voit Lamaï faire la même chose à Florence, elle se détend. Cinq minutes plus tard, elles jouissent une nouvelle fois ensemble. Dès qu’elle le peut, Florence se tourne pour se mettre à moitié sur Béatrice et l’embrasser passionnément.  Je suis stupéfaite de la voir comme ça, ce n’est pas la Florence sure d’elle-même qui est devant mes yeux, mais une femme amoureuse et qui semble heureuse de l’être. Nous quittons la chambre, nous les laissons enlacées, bouche à bouche. Un petit quart d’heure, plus tard, elles sortent de la chambre en se tenant la main, elle s’assoient sur le divan, Lamaï va chercher une des bouteilles de champagne et des flûtes. Nous appelons Emma et Sklerijenn, elles viennent avec Clémence dans les bras d’Emma. Lamaï sert le champagne, nous nous faisons passer Clémence qui adore changer de bras, quand Béatrice la prend, elle sourit en la regardant, elle l’accepte, je vois que Florence est au bord des larmes, je ne sais pourquoi, mais je découvre une nouvelle femme qui, comme beaucoup d’entre nous, ne peut pas constamment maîtriser ses émotions, je l’en aime encore plus. Elle recherche tout le temps le contact avec Béatrice qui est comme elle. Leurs bouches se soudent souvent, leurs mains glissent sur le corps de l’aimée, je pense que Béatrice n’est pas prête de quitter l’appartement. Une fois les bouteilles finies, il est temps de préparer à manger, je me penche sur l’oreille de Florence. –On n’a pas besoin de toi, si tu veux aller te reposer dans la chambre, tu as une grosse demi-heure. Elle me sourit, prend la main de Béatrice et l’emmène dans la chambre, Emma me regarde en souriant, nous allons dans la cuisine toutes les deux, Lamaï et Sklerijenn s’occupent de Clémence. –Je dois te dire que je suis très étonnée de voir ma sœur dans cet état, je crois qu’elle vient de se rendre compte qu’elle est amoureuse, j’en suis très heureuse pour elle, elle mérite ce qui lui arrive.–Je suis d’accord avec toi, nous avons une nouvelle Florence, et je dois dire qu’elle me plait beaucoup.–A moi aussi.  Béatrice est restée tout le week-end, elle a emménagé le mercredi dans la semaine, Florence ne supportait pas de ne pas la voir le soir, depuis nous vivons avec elle, elle s’est intégrée au groupe sans difficulté. En deux mille seize, Florence et Béatrice se sont mariées en même temps qu’Emma et Sklerijenn. Il y a en définitive trois couples qui vivent ensemble, trois couples qui savent partager des moments intimes, nous faisons souvent l’amour à quatre ou six ensemble, mais chaque couple a sa chambre avec un grand lit pouvant accueillir les autres. Chaque couple peut s’isoler pour vivre son amour. En deux mile vingt-deux, Clémence est notre bonheur, elle grandi vite, coure partout, se jette constamment dans nos bras pour faire un câlin. Elle a un caractère affirmé, mais elle n’est pas capricieuse, personne ne l’aurait accepté, elle l’a très vite compris. Elle a deux mamans et quatre tatas, ça aussi elle a vite compris comment en profiter. Elle nous mène par le bout du nez, mais nous adorons ça. J’ai une fille, Lamaï a une fille, Emma et Florence ont une nièce, comme Béatrice et Sklerijenn. Elle adore Sklerijenn qui le lui rend bien, elles s’entendent d’ailleurs très bien pour nous faire des farces, elles sont constamment ensemble. Nous n’avons de rapports physiques avec Sklerijenn que quand Clémence dort ou qu’elle est à l’école maintenant qu’elle est en CE un.  Nous sommes toujours ensemble toutes les six, nous sommes heureuses, le groupe est devenu une citadelle imprenable. Nous nous aimons, nous passons nos journées de libres à nous aimer, à nous faire jouir, à nous caresser, à nous câliner. Aucune d’entre nous ne peut imaginer la vie sans l’une d’entre nous. Nos amours individuels se renforcent par notre amour de toutes. Nous sommes heureuses ensemble et nous comptons le rester longtemps avec notre Clémence adorée.
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