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Marie Christine, génèse d'une soumise

Chapitre 3

Allo? non mais allo, quoi!

Voyeur / Exhibition
Ce soir là, j’observai Bob du coin de l’œil tout en lisant un bouquin, il avait l’air de s’ennuyer devant son match de foot. Il sortit soudain de sa torpeur et me déclara:— Marie Christine, va t’habiller. Prends ce que tu veux dans le placard.Je me levais et choisis une tenue. Je pris  une mini-jupe noire à boutons qui pouvait s’ouvrir complétement et un petit gilet chinois, très serré. Il me remontait les seins et me donnait un décolleté plus généreux.  J’enfilai des chaussures à talons hauts, avec une large lanière sur la cheville.-  Tu sais, j’aime bien te laisser choisir ta propre tenue. C’est comme si tu te punissais toi-même.  J’ai une idée amusante pour ce soir. Près de la porte, tu vas trouver un sac à dos. Prends-le, sors et va dans la cabine téléphonique, sur le trottoir d’en face. Une fois là, entre et appelle-moi. C’était le temps béni où les cabines fleurissaient à tous les coins de rue, avant que les portables ne les envoient à la casse!Je savais qu’on voyait la cabine téléphonique depuis notre salon, donc… Je me levai et obéis. Il faisait bon dehors. Il était à peine minuit, et je croisai quelques personnes. Le premier homme ne réagit pas, mais le deuxième sourit et me regarda sans aucune gêne, des pieds à la tête:— Au moins vous assumez!Une fois dans la cabine téléphonique, je posai le sac sur la petite tablette, et fermai la porte.  Après la rue peu éclairée, la lumière de la cabine me paraissait très forte. Je fermai la porte et appelai Bob qui  répondit rapidement.— Ce soir, tu vas te donner en spectacle, je serai invisible. Déboutonne la moitié de ta jupe, à partir du bas.J’obéis. — Tourne-toi vers moi!Je me mis face à la fenêtre de notre salon, sans pour autant voir Bob qui avait éteint la lumière. Dans ma petite cabine de verre au milieu de la rue noire, j’étais visible pour n’importe qui aux alentours.— Très bien. Maintenant, enfonce un doigt dans ta chatte.J’obéis.— Un autre. Encore un.Je me penchai un peu en avant pour glisser un troisième doigt dans mon sexe.— Masturbe-toi comme ça un moment. J’avais le souffle court quand Bob m’ordonna de m’arrêter. Avec un gémissement bas, je retirai mes doigts et attendis.— Ouvre ton gilet et essuie tes doigts sur tes seins.J’obtempérai sans lâcher le combiné. Je sentis mon humidité contre mes seins, qui durcirent.— Bien. Maintenant, retire le gilet.Je le fis glisser de mes épaules, puis passai le téléphone d’une main à l’autre pour le laisser tomber par terre.— Pince-toi les tétons. L’un après l’autre.Ils étaient déjà durs, faciles à saisir. Je pinçai et tirai celui de droite, puis de gauche. — Recommence. Plus fort.Je poussai un grognement de douleur excitée, mais ne faiblis pas pour autant.
— Très bien. Maintenant, regarde dans le sac.J’y trouvai un gode, assez gros, avec une ventouse à la base. Il devait bien faire 25 cm de long et comportait même des testicules. Je compris tout de suite ce que Bob allait me demander.— Colle la ventouse contre une des vitres!Je me mis à sucer le ménisque de caoutchouc et le plaquai contre le verre. J’entendis un petit bruit quand la ventouse adhéra.— Maintenant, penche-toi et prends-le dans ta gorge. C’était trop gros, trop long. Bob devait le savoir aussi, mais il voulait que j’essaie tout de même. Je me mis à genoux, et commençai à lécher le gode, d’abord le gland puis toute la longueur  avec de plus en plus d’énergie.Je parvins à faire rentrer le gland dans ma gorge et le gardai là aussi longtemps que je pus. À bout de souffle, je reculai, puis le repris  plusieurs fois. Bob me dit de m’arrêter et de retirer ma jupe. Je me levai et le fis. Je remarquai alors un homme juste à l’extérieur de la cabine. Je levai le visage et croisai le regard de l’inconnu. Il me regardait avec une sorte d’appétit incrédule. Bob continua:— Et maintenant, baise-toi sur le gode. Penche-toi et baise-toi. Regarde ce voyeur dans les yeux!
Je regardai l’homme au travers de la vitre, me penchai et fis le demi-pas en arrière qui me permettait  de faire entrer le gode en moi. Il glissa en moi d’un seul mouvement et je commençai à m’agiter d’avant en arrière. Je posai une main contre la porte pour mieux me caler à mesure que mes coups de reins gagnaient en force.Un deuxième homme approcha  et ouvrit  sa braguette pour se masturber en me regardant.   Je regardai les deux hommes. Ils étaient fascinés par mes mouvements, par mes gémissements et par le bruit de mon cul qui claquait contre le verre, par le mouvement de pendule de mes seins.Soudain le premier  lâcha de grands jets de sperme, puis le deuxième quelques instants plus tard. Mon orgasme m’arracha un cri rauque et bref, tandis que mon sexe se refermait autour du gode, si fort que la ventouse se décolla. Je tombai à genoux, le pénis de latex à moitié fiché entre les cuisses. Dès que je m’en sentis capable, je me relevai et repris le combiné, que j’avais lâché en jouissant.— Maintenant lèche la vitre là où ils ont joui!Je sortis de la cabine et léchai l’endroit où les deux hommes s’étaient soulagés en me regardant. Je leur souris en pressant ma langue dégoulinante de sperme contre le verre froid.Quelques secondes plus tard,  Bob était là. Il prit quelques photos de moi, à genoux devant la cabine puis il me ramena à la maison et me prit un long moment, allant et venant dans mon cul. Il jouit  sans sortir de mon anus.Finalement c’était une bonne soirée!
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