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Marie se découvre

Chapitre 1

Les prémices

SM / Fétichisme
Cette histoire a débuté il y a maintenant quelques semaines. Mais il faut revenir en arrière pour comprendre ce qu’il s’est passé. Je m’appelle Marie et cela fait quatre ans que je suis mariée à mon homme Alex, un beau brun barbu qui me fait chavirer. Malheureusement il a un poste de cadre dans une grande entreprise qui l’oblige à souvent voyager en Europe. Mais cela est compensé par son salaire important qui nous permet de vivre dans un luxueux appartement à Paris. Et pour me présenter rapidement, je suis brune aux yeux noisette avec des cheveux mi-longs.
Un jour, alors qu’il avait un week-end de libre avec moi avant de repartir à Berlin, Alex m’emmena dans les boutiques parisiennes pour que je puisse refaire ma garde robe qui, je vous l’accorde, était déjà bien remplie. Je venais de craquer pour une robe noire fendue et des escarpins de la même couleur quand mon homme me fit découvrir une boutique particulière…
La devanture était plus qu’explicite avec des néons rouges, une lumière tamisée et les différents mannequins portant de la lingerie fine. La vendeuse nous sourit et dit d’une voix mielleuse.
- Que puis-je faire pour vous aider? - Choisis tout ce que tu veux ma chérie, tant que cela te fais plaisir… répondit Alex.
Un sourire fendit mon visage et je laissai la vendeuse me montrer ses différents produits. Après une bonne heure d’essayage et de réflexion, l’optai pour deux ensembles : un noir et un rouge. Alex voulant se garder la surprise se contenta juste de payer les produits. Alors que je partais, je vis que la vendeuse se penchait pour chuchoter quelque chose à l’oreille de mon mari. Ayant une confiance aveugle en lui, je ne fus nullement jalouse.

Le soir même, alors que je finissais de préparer le repas, Alex reçut un appel du boulot. Je l’entendis parler une langue se rapprochant du Portugais et quand je déposai le plat sur la table, il venait de finir la conversation. Alors que je le servais, il m’informa que sa boîte était à deux doigts de signer un gros contrat avec une grande entreprise Portugaise et qu’il devait partir le lendemain dans la soirée. On dîna tranquillement et une idée germa dans mon esprit. Ne laissant rien paraître j’attendis patiemment qu’il s’éclipse dans la salle de bain pour enfiler l’ensemble noir. L’armoire de la chambre ayant un grand miroir je pus m’admirer. Je glissai une fourrure de la même couleur que mes vêtements et l’attendis.
Alex sortit quelques minutes plus tard en peignoir. Il venait à peine d’entrer dans la chambre que je m’approchai de lui pour l’embrasser. D’abord étonné, il répondit rapidement à mes baisers puis il me colla contre lui marchant jusqu’au lit. Je le fis basculer sur ce dernier ouvrant son peignoir, descendis sur son sexe avant de le lubrifier de ma bouche et finir par le glisser en moi. On fit l’amour de manière plus sauvage que d’habitude. Il me tortura les tétons de ses doigts et j’eus l’impression d’être à la merci d’un mâle mais plus avec mon époux attentionné. Puis ce fut le déclic ce qui nous fit basculer dans un monde moins sensuel.
A son retour il arriva avec un cadeau et un regard qui en disait long. Je me pressai de l’ouvrir et je découvris un ensemble SM, cravache, bâillon, menottes et foulard pour bander les yeux.
Je mis rapidement ce dernier et il m’attacha sur le lit à quatre pattes. Il me fouetta longuement, me faisant crier de plaisir et de douleur. Il finit par me faire l’amour, je sentis mon corps vibrer de cette nouvelle sensation et à peine quelques minutes plus tard la jouissance nous emporta tous les deux de concert.

Quelques semaines plus tard, alors qu’il allait pas tarder à revenir je reçus une lettre, m’invitant à rejoindre un club libertin pas loin de chez nous. Et avec celle-ci un ensemble de lingerie noire et un chemisier de la même couleur. Je pris ma voiture et me dirigeai vers l’adresse. Arrivée là bas, je donne mon nom à la réceptionniste qui me sourit et me tendit une boite ou reposait, glissé, le foulard qu’il m’avait offert. Je le mis et on m’emmena dans une salle à part et me fit monter sur ce que j’imaginais une table.
Quand le foulard tomba je vis une jolie femme tatouée enfilant des gants et Alex assis pas loin qui me souriait. La femme qui était avec nous, releva ma robe et m’obligea en un geste à écarter mes jambes. Le regard de la femme pénétra le mien et ouvrit mon chemisier. Sa main partit de mon bas ventre et remonta le long de mon corps. J’observai la femme face à moi me mordant les lèvres avant qu’elle me prenne sous le menton m’immobilisant et finisse par me lécher les lèvres.

Ce contact fut électrisant, sa bouche était … Délicieuse. Alors que j’appréciais ce doux goût fruité, je reçus une claque qui me fit sursauter. Puis une deuxième avant que les doigts de ma maîtresse ne rentrent dans ma bouche. Elle y entra sans douceur m’écrasant la langue et me fit tourner la tête. Puis l a ressortit me faisant lécher le gant en cuir, et d’un geste vif retira mon chemisier.
Ses mains me prirent la tête, relevant mon visage sur elle.
- Dis-moi un chiffre entre un et cinq.- Quatre, soufflai-je.- Quatre? répéta ma maîtresse avant que j’opine de la tête.
La première claque me fit sursauter, mais la surprise passée je me mordis les lèvres relevant mon regard vers le sien. Puis une autre et encore une, sa main serra mes joues et elle dit : “ trois.” Je me mordis toujours les lèvres.
- Y a-t-il un problème avec ça ? dit-elle en me serrant les joues.
Je fis non de la tête avant que la dernière claque arrive.
Ma Maîtresse disparut un instant avant de me glisser un billon en boule entre les lèvres et un joli collier relié à une laisse. J’étais à genoux sur la table ou était fixé un sexe factice, tout ceci face à Alex qui nous observait
- Donne-moi la cravache... Dépêche toi ! dit ma maîtresse.
Je me penchai pour la prendre et la lui tendis.Les coups tombèrent, un, deux, trois…
- Avance ! m’ordonna- t-elle.
Quand je fus face à mon mari elle me dit de retirer le bâillon. J’obéis et elle me dit :
- Maintenant tu peux sucer.
Je relevai les yeux sur Alex et glissai ma bouche sur le sexe factice.
- Suce ! ordonna ma maîtresse d’un ton sec en me poussant avec sa cravache.- Encore ! dit-elle en me donnant un coup sur les fesses.
Des larmes commencèrent à couler et plusieurs hauts-le-cœur me prirent, mais ma maîtresse fut sans pitié et je reglissai le gode dans ma bouche. Je m’appliquai longuement dessus et je sentis alors un poids m’arriver dessus. C’était ma maîtresse qui m’écrasait me coupant la respiration, dont le seul moyen de la reprendre était de glisser mes lèvres sur le sexe factice. Ce dernier entra au plus profond de ma gorge et mes yeux ne quittèrent pas Alex un seul instant.
La main de ma maîtresse passa sous mon menton et se leva pour m’obliger à m’asseoir juste devant le sex-toy.
- Assieds-toi dessus.
Le gode glissa en moi doucement et mon regard monta sur ma maîtresse. La cravache passa sous mon menton et par un léger mouvement vers le haut ou le bas guida son allée et venue. Puis alors que le sexe factice était au plus profond de moi, ma maîtresse m’obligea à rester ainsi. Ma grotte intime était brûlante, mon miel intime glissant sur le plastique. Sans crier gare, la cravache de ma maîtresse me frappa le minou, remonta sur mon corps nu puis descendit alors que j’accélérai le mouvement en moi. Ma maîtresse fit le tour d’Alex tenant toujours ma laisse et glissa le bout de la cravache entre mes dents. J’appréciai chacune des allées et venues en moi, comme si je n’eus plus que cela pour me satisfaire. Mais j’ai honte de dire que cela me satisfaisait et, mes gémissements de plus en plus présents en étaient la preuve. Ma main glissa sur ma chatte et je me caressai, mon regard porté de temps à autre sur ma maîtresse.
Cette dernière finit par poser la cravache, monta à quatre pattes sur la table et se baissa pour goûter le sexe de mon mari, ce dernier qui jusque-là s’était contenté de se masturber. La langue de ma maîtresse passa sur le gland d’Alex, saliva dessus et le prit en bouche avant de le masturber. Elle suça Alex pendant deux minutes environ puis elle dit d’un voix autoritaire :
- Tu peux jouir maintenant.
Le plaisir me submergea, et je continuai à gémir sans arrêter mes allées et venues. Mes jambes tremblèrent et Alex finit par me suivre dans la jouissance...
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