Le réveil sonna, il était cinq heures. Alex avait un rendez-vous important en cette fin de semaine, et il devait prendre un avion tôt vers l’Italie. Je sentis qu’il se levait pour s’enfermer dans la salle de bain, et soupirai avant de me lever à contrecœur. Je partis dans la cuisine et lui préparai son petit déjeuner. Il sortit quelques minutes plus tard et m’appella alors de l’entrée. "- Marie, tu es là? — J’arrive, dis-je entrant dans la pièce. — Bonjour ma chérie...Je suis désolé de te l’apprendre comme ça mais je dois partir plus tôt que prévu.— Tu as quand même le temps de déjeuner? Dis-je. -Bien sûr."
Quand il partit je me mis à mon bureau. Alex gagnant bien sa vie je pouvais tranquillement pratiquer mon activité favorite : l’écriture. Parce qu’à mes heures perdues je me mettais à écrire des nouvelles que je rassemblais pour les publier. Mais ce jour là, j’avais une envie beaucoup plus érotique et il me fut impossible de me concentrer. Après de longues minutes où j’essayai tout pour me calmer, je décidai d’enfiler une tenue de sport et faire un jogging dehors. Une fois rentrée, je filai me détendre dans un bon bain chaud. Plongée dans l’eau chaude, je sentis tout mon corps se détendre, mes yeux se fermèrent et ma respiration se fit plus calme. Des flash-backs de notre dernière soirée me revirent. Mon Dieu! Je ne savais pas si c’était le fait que mon mari me vit nue à la merci d’une femme, ou moi ayant découvert mon côté soumise, mais mon corps se mit à brûler de l’interieur. Je sortis de mon bain, enfilai un peignoir et vins m’allonger sur le lit. Je fermai les yeux et mes mains glissèrent naturellement sur mon corps. Je défis le peignoir et glissai mes doigts entre mes jambes… Je m’imaginai à nouveau soumise devant Alex, à la merci d’une femme...Une femme, je me mordis les lèvres en repensant à la dominatrice. Ce fut alors le déclic : j’allais offrir à Alex une autre soirée de rêve.
Je pris la voiture et remarquai que par chance mon homme avait bien enregistré l’adresse. Une fois là-bas, je rentrai et la réceptionniste de l’accueil me sourit. Je lui expliquai mon projet. Elle me sourit et m’expliqua le déroulement des différentes soirées possibles. Quelques jours plus tard j’invitai Alex à me rejoindre là bas…
On toqua tous les deux à une porte et je me mis totalement dans mon rôle de soumise modèle. J’avais pour cela une robe d’été cachée sous un manteau. J’entrai avant Alex et tombai sur une femme portant une robe en cuir noir moulante et un joli collier de perles. Je passai doucement devant elle, mais cette dernière m’arrêta, avant de retirer mon manteau de manière vive. Sa main frappa ma joue me faisant sursauter, avant que ses doigts ne glissent entre les bretelles de ma robe et les descendent. Ma poitrine nue se dévoila. J’avais, pour l’occasion, revêtu un corsage sombre qui ne recouvrait pas ma poitrine. Je lèvai les yeux sur ma maîtresse qui me prit les joues et d’un geste vif m’obligea à retirer totalement ma robe. Sa main gantée de cuir passa dans mes cheveux puis sur ma joue. Avec la cravache qu’elle tenait en main, ma maîtresse fit de petits mouvements autour de mes cerises. Elle me força à ouvrir la bouche et elle glissa sa cravache entre mes dents, lui laissant tout le loisir de me glisser un collier de cuir autour du cou. Sa main passa sur ma poitrine et elle plongea son regard dans le mien avant de prendre la laisse reliée au collier. Sa main se posa sur ma tête, me faisant bien comprendre que je devais me mettre à quatre pattes. Ce que je fis sans tarder. Ma maîtresse tira sur la laisse m’obligeant à la suivre à quatre pattes, avant d’entrer dans une autre salle ou elle m’attacha à une croix de Saint-André. Des bracelets de cuir m’empêchèrent de bouger.
Ma respiration s’accélèra et la cravache de ma maîtresse glissa sur ma joue. Elle était douce ; sa main était sous mon menton. Le premier coup sur ma poitrine fut léger, mais je ne me fis pas d’illusion. Ma maîtresse fit pleuvoir de petits coups sur mes seins. Les coups électrisèrent mon corps, la cravache remonta doucement sur ma joue et me frappa une fois. Le regard de ma maîtresse plongea dans le mien alors qu’elle continuait de me caresser avec la cravache. Puis son regard dans le mien, elle glissa la cravache entre mes dents. Elle était à quelques centimètres de moi. Nos poitrines se frôlèrent presque et son index tourna autour de mes tétons qui étaient durs comme des noyaux de cerises. Sa main prit quelque chose sur une petite table à côté d’elle. Un rapide coup d’oeil me fit remarquer qu’elle enfilait une ceinture ou un gode noir était posé. Ses mains se lèvèrent alors pour me libérer. Ma maîtresse mit l’une d’elle sur ma tête, m’obligeant à me mettre a genoux. Le sexe factice glissa à l’entrée de mes lèvres et j’ouvris doucement la bouche, les yeux levés sur ma maitresse. Commençèrent alors de petits va-et-vient et sa main passa dans mes cheveux avant d’accélérer dans ma bouche. Assis confortablement, Alex pouvait aisément voir la salive qui coulait de mes lèvres et tombait sur mon menton et ma poitrine. Quand ma maitresse n’était pas dans ma bouche elle m’obligeait à lécher le sexe factice. Ce que je faisais avec grand plaisir. Puis sans rien dire, ma maîtresse s’écarta et me fit grimper sur un lit se trouvant dans la pièce et m’allongea dessus. Alex s’approcha de moi et me caressa la joue. Ma Maîtresse s’agenouilla, écarta ma culotte, dévoilant mon intimité. Puis elle humidifia ses doigts avec sa salive et me caressa doucement avant de remplacer ses doigts par le gode. Ma Maîtresse fit tourner en moi le sexe factice, alors que son autre main me claquait de temps à autre ma cuisse. Ses allées et venues se firent alors plus douces avant qu’elle laisse le gode en moi. Je fermai alors les yeux, savourant le plaisir m’envahir. Alex passa sa main sur ma gorge et serra doucement. Je me sentais monter au Paradis et ma maîtresse continua à me caresser de plus en plus profondément. Quand elle se mit à accélérer, mon regard monta sur mon mari qui avait toujours sa main sur ma gorge, avant de descendre sur ma poitrine. Sa main pinça mes tétons et joua avec ma poitrine. Le plaisir qui montait en moi fut stoppé par une claque sèche sur mon entre-jambes à fleur de peau. Je n’étais plus qu’un objet entre leurs mains. D’un geste ma maîtresse m’obligea à me mettre à quatre pattes. Le sexe factice s’activa en moi me faisant gémir de plaisir. Mes yeux se lèvèrent vers Alex qui me caressa la tête comme si j’étais un animal… Les allés et venues s’arrêtèrent un instant et ma maîtresse laissa couler un peu de salive avant de reprendre le mouvement. La tête me tournait et mon regard était toujours levé vers Alex, qui m’obligea à le baisser. Sa main ferme prit mes cheveux, avant qu’une de mes mains glisse sur mon ventre pour que je puisse me caresser. Mes yeux roulèrent alors que je jouissais.
La maitresse me libéra et nous accompagna vers l’entrée de la pièce pour que je puisse me rhabiller...
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