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Marie, enfin ma salope

Chapitre 1

Trash
Chapitre 1
Cela fait maintenant 10 ans que je connais Marie. Grande, des cheveux longs blonds, assez fine, très peu de poitrine et des jambes longues comme une journée de juin.
Pendant 10 ans, je n’ai jamais manqué une occasion de lui mater les fesses, et en dix années, elle n’a jamais vraiment changé d’apparence, certes elle a coupé ses cheveux un peu plus court et est devenu un peu plus sèche mais elle est toujours aussi bandant... Curieusement, ma gentille envie envers elle s’est transformée en pulsions plus vulgaires. Je me voyais bien lui labourer l’anus et lui jouir en long jet dans le fond de sa gorge... Mais tout ça resterait probablement pour toujours un fantasme... Ou pas.
En dix ans, Marie et moi avons appris à nous apprécier, je ne fais pas de vague, suis toujours d’humeur égal et évite la flambe. Je pense de plus en plus que j’ai réussi à l’impressionner et qu’elle est maintenant sous le charme. Il me faut donc juste un élément déclencheur.
Une matinée, je me décide et l’appelle prétextant de vouloir lui emprunter l’un de ses ustensiles de cuisine. Je sais qu’elle ne travaille pas et espère pouvoir abuser de la situation. De mon côté c’est devenu intenable, j’ai envie d’elle dès que je la vois.
Je sonne, elle ouvre, me souris
— Bonjour Marie !
— Bonjour ! Je n’ai pas bien compris ce que tu veux exactement et je ne suis pas sur de l’avoir.
Je ne suis pas sur de savoir exactement ce que je veux non plus...
Alors qu’elle commençait a avancer dans le couloir de son entrée, ma phrase la stoppa net et elle se retourna sur moi.
Viens voir ce que j’ai en cuisine, si tu trouves ton bonheur, on ne sait jamais. Qu’est ce que tu veux faire comme recette exactement.
C’est une recette un peu sexuelle.
Marie n’a rien relevé et pourtant je n’avais jamais été crue avec elle. Elle se dirige vers la cuisine, passe devant sa table de salle à mangé et c’est à ce moment que je décide la retenir par le bras.

J’ai envie de toi Marie. Tu es quelqu’un d’intelligent, on s’entend très bien, mais là je te parle uniquement de sexe.. J’ai envie de ton corps tout entier.
Elle était sous le choc, elle ne s’attendait pas du tout à ma déclaration. elle était bloquée contre la table derrière elle.
Je vais m’approcher de toi, t’embrasser et mettre mes mains sur toi, si tu ne veux pas, tu n’auras qu’à me repousser. Il y a 10 ans que je souhaite le faire.
Et je me suis avancer vers elle. Elle ne disait rien, elle était complètement bloquée et j’ai plaquer ma bouche sur la sienne, d’abord doucement sans mouvement, puis j’ai commencé à lui aspirer la lèvre inférieur, mon coeur battait la chamade. J’ai placer ma main droite sur son sein gauche et tout en continuant de l’embrasser je sentais son coeur qui comme le mien battait de plus en plus vite. Elle ouvrit la bouche et sortie sa langue... Et pendant quelques minutes nous nous sommes caressés, debout, habillés, juste pour profiter de cette instant.
Elle se détacha de mes lèvres
Il y a plusieurs mois que je n’ai pas fait l’amour, ce n’est pas vraiment le pied en ce moment.
— et ?
Je ne suis pas sur d’être à la hauteur de tes espérances.
Je ne vais pas être un poète aujourd’hui, je n’en veux qu’à ton corps...
J’ai commencé à lui défaire sa chemise.
Tu prends bien de précautions pour quelqu’un qui a attendu 10 ans.
A ces mots, j’ai tout arracher. Elle poussa un petit cri de surprise.
Je vais te baiser et bien plus !
J’ai soulevé son soutien gorge, en coton blanc, pour lui découvrir la poitrine. Effectivement elle avait de tout petit seins, ornés de vrais tétons qui bandaient outrageusement. La situation commençait à l’exciter franchement. Elle se tenait au rebord de la table et se laissait faire. J’ai commencé par lui lécher les seins et me souvenant de ses paroles précédentes j’ai saisi son téton droit entre mes dents pour le mordre.. Avec modération. Elle poussa un deuxième cri et lança sa tête en arrière.
Lorsqu’elle a ouvert la porte, j’espérais qu’elle porte un jean moulant mais là ou j’en étais, la providence m’avait tendu ses bras: Elle portait l’une de ses longues jupes noires.
Pendant que je lui mordait les seins, je remontais sa jupe et j’avais maintenant les mains sur ses fesses... Ses fesses que j’ai admiré pendant près de dix ans étaient maintenant sous mes doigts. Je les malaxais sans ménagement, c’était un régal ! Je me suis ensuite remis debout face à elle
Je bande comme un âne
elle ne bougeait plus, probablement toujours entrain de ses demander si c’était la réalité
Je l’ai pris par la taille et la fit s’asseoir sur la table
allonges toi !
Elle se tenait toujours au rebord et se laissa aller sur le dos. Je lui ai remonté les jambes pour les passer sur mes épaules et j’ai tiré sur sa culotte de coton blanc pour lui découvrir le sexe. Sa culotte était à mi cuisse, elle était offerte et trempée, la situation n’excitait pas que moi et elle était prête à subir mes assauts.
J’ai déboutonné mon jean, descendu mon caleçon, sorti difficilement mon sexe pour le mettre en place, près pour la pénétration.
Quelques mois sans se faire limer ? Pourtant c’est tout de même super bon, alors pourquoi ?
J’attendait une réponse, mais elle était déjà parti vers le plaisir. L’envie de la prendre était énorme, mais je savais que ses moments là ne sont pas légions et j’ai décidé d’attendre sa réponse. Au bout de quelques secondes pendant lesquels j’avais toujours mon gland collé à son sexe, elle leva la tête, me regarda puis sortie.
Baises moi bordel ! Baises moi !
J’attends une réponse ?
Une réponse à quoi ? Baises moi merde !
Pourquoi attendre si longtemps ?
J’en sais rien moi, moins envie de Sergio, moins envie de le faire... Baises moi bordel ! viens !Pourtant tu as l’air d’aimer cela ?
Et tout en prononçant cette phrase je commençais la pénétration. C’était une fontaine ! J’enfonçait centimètre par centimètre, avec une infini lenteur mais sans marquer d’arrêt. Lorsque ma queue d’une vingtaine de centimètre fut entré de moitié, elle se cambra et poussa un crie sourd. Je continuais mon ascension vers ses tréfonds.
A la vache, c’est bon !Tout ça pour un ustensile de cuisine !
Elle se mis à rire, mais je continuais à m’enfoncer et son visage se crispait de plus en plus. Lorsque toute ma queue était à l’intérieur, je marquait un tant puis reparti vers l’arrière avec la même vitesse.
elle me gratifia d’un : “Elle est énorme, je n’avais jamais été baissé par une queue aussi grosse”
Arrivé à mi course je recommençait à la pénétrer tout en accélérant la fréquence... Après plusieurs va et viens, elle ne parlait plus. Elle était concentrée et son plaisir commençait à venir. Il ne lui fallut pas plus de quelques courtes minutes pour faire surgir un monstrueux orgasmes, qu’elle expulsa avec un hurlement tonitruant. Un instant, je pensais au voisinage, mais un instant seulement. Elle restait inanimée sur la table et je me retirais de son sexe laissant ses jambes choir sur le bord de la table.
J’ai enlevé mon pantalon et me suis assis sur son canapé, attendant que la dame veuille bien prendre la situation en main. Il lui fallut plusieurs minutes pour s’apercevoir que je n’était plus collé à elle releva sa tête et me vit assis toujours bandé.
C’était génial, je ne veux plus me passer de ça, jamais, je veux jouir le plus souvent possibleJe suis là maintenant... Mais moi aussi je veux jouir et pour que tu obtiennes ce que tu veux, il faut me donner ce que je veux... Normal non ?Qu’est ce que tu veux ?Ton corps, chaque partie de ton corps ! Je veux ta bouche, ton cul, je veux abuser de toi de mille façon... Je veux réaliser 10 années de fantasmes.Viens me montrer comment tu suces.Je ne sais pas très bien le faire.Je vais t’apprendre, tu vas devenir une experte, d’autant que ta bouche pulpeuse à l’air d’être faite pour ça.
Elle se dirigeait vers moi, chemise ouverte les seins à l’air, sa jupe était retombée. J’ai ouverts mes cuisses pour lui laisser de quoi s’installer et elle s’agenouilla face à ma queue.
Déjà, le but est d’utiliser le moins possible tes mains, si tu veux êtres une bonne salope, il faut n’utiliser que ta bouche.Je ne suis pas une salope !Tu viens de te faire baisser sur le bord d’une table et sans résister... Je peux t’assurer qu’à partir de maintenant tu es une salope.Bon admettons ! Mais vas y doucement sur les vulgarités quand même
Et là j’ai profité de la main mise que j’avais sur elle pour lui attraper les cheveux de la main droite
tu es une salope, mets tes mains dans ton dos et suces moi ! Et suces en bavant !
L’effet de surprise sur elle fut totale. Elle ne s’attendait pas à ce que je sois autoritaire. Sur son visage, je pouvais lire la stupéfaction, mais aussi le début de la soumission... Un début prometteur. Et elle emboucha ma queue pour commencer ses vas et viens buccaux.
C’est bon salope, tu es une bonne suceuse.
La situation était très excitante, elle faisait exactement ce que j’attendais d’elle... Elle bavait et imprimait un rythme régulier. Elle descendait le plus possible sur ma queue, mais je trouvais cela insuffisant.
Je vais m’enfoncer dans ta gorge, je ne veux pas voir revenir tes mains, il faut que tu supporte ma queue.
Je tenais toujours ses cheveux et poussais pour que toute ma queue entre dans sa bouche, le plus loin possible... Elle y était presque, mais sur le dernier centimètre, ses deux mains sont sortis de derrière son dos pour revenir instinctivement devant son visage
Pas de mains j’ai dis !
Et ses mains sont reparties en arrière.
Des larmes coulaient sur ses joues, je ne bougeais plus, ma queue avait trouvé son fourreau. Je sortie ma bite de sa bouche et lui fit reprendre sa respiration, j’ai attendu qu’elle me regarde, son visage était rougit par l’effort et avec une autorité implacable je lui dis :
Je vais jouir Marie, et tu vas tout avaler !
elle ne broncha pas. Je tenais à réaliser se fantasme, depuis longtemps je m’imaginais remplir sa bouche de sperme...
Elle me suça quelques secondes de plus et j’ai décidé de lui bloqué ma queue dans la bouche pour l’ultime moment... Des flots et des flots de sperme emplissait sa bouche. Je ne savais pas si elle allait le faire, mais j’avais tenté par mon ordre de rendre cela inévitable. Toujours est il qu’elle n’avalait pas au fur à mesure. Mon projet semblait compromis, j’allais devoir l’éduquer.
J’avais fini de jouir, elle retira ma queue de sa bouche puis me regarda, elle avait les joues gonflés par le sperme. Je tachais de garder un air impitoyable et l’observait. Il passa juste quelques secondes, je pouvais voir la détresse dans ses yeux... Et elle fit l’effort, en une seule fois, elle avala tout mon sperme. Elle porta immédiatement sa main à sa bouche et eu un premier haut le coeur, puis un deuxième.
C’était bon Marie ! Vivement la prochaine fois ! Je commencerais toujours par te faire jouir.
Je me suis remis debout pour me rhabillé, elle avait toujours sa main devant sa bouche, le visage rougit par l’effort et de la bave coulait de son menton, la scène était magnifique.
Je me suis dirigé vers la porte pour m’en aller sans lui laissé le temps de réagir, mais elle s’est tout de même remise debout pour me rattraper.
Je veux bien être ta salope, si tu me fais jouir comme ça, reviens dès que tu peux s’il te plait !
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