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Marie, enfin ma salope

Chapitre 3

Trash
4 semaines sans osé retourner la voir. J’avais violé le cul de Marie, avec son consentement bien sur, mais elle avait tout de même franchement dégusté. Cette amie de longue date sur laquelle je fantasmais depuis si longtemps avait accepter de devenir ma soumise, pour retrouver un plaisir sexuel qu’elle avait perdu. Elle était devenue tout simplement accroc à ma queue.
J’avais des remords de lui avoir fait subir cela, je l’avais sodomisé violemment et ensuite elle m’avait nettoyé la queue encore pleine d’excréments sans rechigner. Chaque fois que je la croisais, je la sentais mal et je dois bien avoué que je n’étais pas très à l’aise non plus... Mais je n’en laissé rien paraitre.
Elle n’était jamais venue vers moi pour prendre sa dose de sexe, peut être avait elle peur de subir des choses encore bien pire que la dernière fois, et elle avait raison. Mes fantasmes envers elle était sans limites. Ses cheveux blonds jusqu’aux épaules, son corps long, un peu sec d’une femme de 35 ans, sa bouche pulpeuse, ses yeux clairs, son cul bombé dans ses jeans moulant, son visage d’ange, autant de choses qui m’inspirait tant et tant d’humiliations possibles... Mais après 4 semaines sans nouvelles, j’ai pensé qu’elle avait eu son compte et ne voulait plus continuer cette aventure.
Je me trompais !
Un matin, ma femme venait de partir au travail et je m’apprêtais à partir également, lorsque j’ai ouvert ma porte, elle était la devant moi, dans un imperméable, du rouge à lèvres (elle n’en mettait jamais) et en me voyant, son visage s’est detendu, elle sourit et ouvrit son manteau... Elle était entièrement nue.
Baises moi, s’il te plait ? Je n’en peu plus, je me masturbe 6 fois par jours en pensant à nos dernières fois. S’il te plait, je t’en prie. Pourquoi n’es tu jamais revenu ? J’ai besoin de jouir maintenant, vite.
Elle enchainait les mots qui soulignait son manque, son entre cuisse était déjà toute mouillé. Je suis resté le visage impassible, elle était vraiment toute à moi.
Tu es prêtes à tout pour sentir ma queue en toi n’est ce pas ?
Oui, s’il te plait, je t’en prie !
Entre !
Elle était la au milieu de mon séjour, dans une totale détresse. Elle voulait jouir par tous les moyens, son corps avait oublié le sexe depuis longtemps et je lui avait fait un electro-choc. Elle me faisait pensé à une drogué, son visage soulignait le manque qu’elle affrontait.
Tu es prête à tout n’est ce pas ?
Oui ! Oui ! Fais moi tout ce que tu veux, mais je te veux en moi.

Je me suis approché d’elle, avancer ma main vers son sexe et l’ai à peine touché qu’elle lança sa tête en arrière en gémissant. Elle était trempé ! J’introduit sans mal mon majeur dans son sexe, elle ne se tenait plus, elle s’appuya sur une chaise et jouis dans la seconde...
Et bien, dire que tu aimes le sexe est un mensonge, tu es prêtes à tout pour le sexe !
C’est bon, encore ! Baises moi s’il te plait baises moi !
Pourquoi est ce que tu ne vas pas te prostitué dans les bois, tu auras toutes les bites que tu veux ?
Je ne veux pas que l’on me reconnaisse, j’y ai bien pensé, mais je perdrais tout à faire cela... J’y ai pensé ! Sacrifier ma vie pour jouir encore et encore.
Et tu étais au le bord de le faire n’est ce pas ?
Oui j’allais le faire, mais avant je voulais savoir pourquoi est ce que tu m’avais abandonné ?
Le plaisir monte si on attend, visiblement l’attente à été un peu longue pour toi.
Je mentais, tandis que je voulais arrêter cette histoire passionnelle, de son coté l’attente l’avait rendu totalement folle, elle n’avait pensé qu’à cela et été prête à se faire limer par n’importe qui pour assouvir son désir. Désir que j’avais contribué à déclencher.
Mets toi à quatre pattes au sol, la tête par terre.
Elle savait que j’allais la sodomisé violemment, c’est ainsi que j’avais procédé la dernière fois, et elle avait souffert. Mais elle s’exécuta immédiatement, une fois de plus le désir était bien plus fort que l’appréhension.
Elle était là par terre attendant mon bon vouloir, son cul en offrande. Elle poussa même le vice jusqu’à faire des mouvements que je ne lui demandais pas. Elle positionna ses mains sur ses fesses et les écarta tout en ondulant sa croupe.
Défonces moi ! détruit moi le cul ! Je suis ta chienne, ta salope. Je suis ta pute.
elle qui ne voulait pas de vulgarité lors de notre dernière fois, elle avait passé un cap !
Elle introduisit un doigt dans son anus puis le porta a sa bouche.
La scène était surréaliste, je restais debout à côté et seule elle se faisait son film porno. Elle n’avait plus besoin de personne pour s’exciter.
J’ai juste ouvert ma braguette sorti ma queue qui commençait à raidir et je lui ai envoyé un grande claque sur les fesses. Elle a poussé un cri
Oui !!!
J’ai ensuite posé mon gland sur son anus, je n’avais pas fait de mouvement qu’elle commençait à vouloir s’empaler seule. Je lui ai renvoyé une claque !
reste à ta place ! C’est moi qui dirige la séance !
Je voyais son visage, sa joue droite était plaquée sur le sol, elle avait la bouche légèrement ouverte et commençait à pleurer.
Tu vois ce que tu es devenue et tu n’aimes pas ça n’est ce pas ?
Je suis une salope maintenant, prête à n’importe quoi pour me faire baiser.
Et en disant ses mots elle a éclaté en sanglots. C’était très excitant de voir une femme à ce point soumise et offerte à qui voulait la prendre. C’est le moment que j’ai choisi pour m’introduire en elle par la petite porte, son anus s’est ouvert et elle a absorbé ma bite sans broncher. Ses larmes se sont arrêtés et elle a retrouvé le visage du plaisir.
J’avais plein de fantasmes a réalisé avec elle, certains faisable, d’autre moins, surtout qu’il nécessitaient la présence de plusieurs hommes...
Je vais te faire prendre par plusieurs hommes, je vais tout filmer. Des hommes bien mieux membrés que moi. Je veux te voir avec tous tes orifices ouverts et recouverte de sperme.
J’avais à peine fini ma phrase qu’elle jouit en criant. Incroyable Marie.. En quatre semaines elle avait bien changé. Je la sodomisait et elle jouissait, surement de la pénétration mais également de mes mots qui l’excitaient.
Elle avait déjà jouis deux fois en à peine 10 minutes depuis son arrivé, elle commençait à être fatiguée et cela se voyait. Avec mes mains sur ses hanches, c’est moi qui la tenais en place.
Ma queue dans son cul ne lui faisait plus aucun effet. Je me suis retiré et ma bite était couverte de sécrétions. Je l’ai pris par les cheveux et j’ai tiré d’un coup sec pour la remettre à genoux. La violence de l’acte lui fit pousser un cri de douleur. J’ai introduit ma queue tout au fond de sa gorge sans aucun ménagement.
“ton cul était sale, il faut me nettoyer maintenant. Marie ne t’endort pas, je commence tout juste avec toi ”. Son visage marquait le dégout, mais dans sa folie sexuelle elle m’astiquait le manche comme jamais auparavant, elle en voulait encore et encore malgré son état de fatigue.
Ma queue ressortit de sa bouche propre et luisante. Je me suis alors empressé de la remettre au chaud dans son cul ouvert. Elle repositionna sa joue contre le sol et saisit ses fesses avec ses mains pour les écarter, j’avais une vue parfaite sur ma verge qui entrait et sortait de tout son long. La folie commençait également à me gagner, elle souhaitait l’humiliation totale, elle adorait cela ! Tout en continuant de la labourer, j’ai placé mon visage au dessus du sien à une cinquantaine de centimètre à la verticale et j’ai lâché ma salive sur elle.
Lorsqu’elle senti mon cracha, elle ouvrit les yeux et les tourna vers moi, elle venait de comprendre ce que je lui avait fait. Je suis ressorti à nouveau, une fois de plus l’ai ressaisit par les cheveux encore plus violemment et j’ai réinséré ma queue dans sa bouche. Je tirai sur ses cheveux pour qu’elle me regarde, ma queue était totalement dans le fond de sa bouche et elle avait les yeux sur moi. J’ai alors lâché un autre cracha qui tomba entre ses yeux.
Tu touches le fond Marie !
Ses yeux partirent en arrière, elle jouissait pour la troisième fois la bouche pleine de ma queue et le visage couvert de la salive. J’étais impressionné de l’image que j’avais devant moi. Cette mère de famille de 35 ans était en faites une bombe qui ne demandait qu’à exploser... Où est ce qu’elle allait s’arrêter... Je me demandais si un jour, je n’allais pas la retrouver dans un bordel ou pire ?
Cette pensée leva chez moi une excitation qui me fit jouir instantanément, à peine avait elle fini de jouir, vidée, que je balançait la purée.
Gardes tout dans la bouche, n’avales pas encore
Et Marie à bout de force se remplissait de mon jus sans grimacer. Elle avait le visage même de la dépravation.
Montres moi !
elle ouvrit la bouche remplis de sperme et me fixait avec ses yeux clairs. L’instant dura une éternité. J’imaginais tout ce qu’elle ne pourrait plus refuser venant de moi, l’emprise que j’avais sur elle et l’avenir sexuelle que j’allais lui apporter.
Tu es belle Marie ! Tu l’as toujours été, mais dans cette position tu deviens une vrai icône. Gardes cela dans ta bouche jusqu’à chez toi, une fois chez toi, prends une photo de ton visage bouche ouverte pleine, avales et reprends une photo. Et tu m’envoies les deux !
Elle était à bout, elle n’en pouvait plus. Elle s’est relevée, m’a regardée, les joues gonflées et a remis son imperméable. Elle avait du mal à marcher, tant par la fatigue que par ce qu’elle s’était prise dans le cul... Et elle est partie.
Quelques minutes plus tard, je recevais un texto d’elle bouche ouverte remplis de sperme et de salive, elle s’était tout de même nettoyé le visage de mes crachats. Puis dans la foulée un autre texto d’elle bouche vide... Elle aurait pu tout recracher entre les deux photos, mais j’avais tellement la main sur elle, que je suis sur qu’elle s’était exécutée et avait avalée tout ma semence.
A peine deux minutes plus tard, je reçu un autre texto.
“Je t’en supplie, n’attend pas trop longtemps avant de m’utiliser”
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