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Marie-Hélène et les garçons

Chapitre 4

tout a une fin, sauf les saucisses qui en ont deux

Inceste
J’émerge vers les dix heures, c’est dire si mon équipée d’hier soir avec les deux frangins m’a fatiguée. Rien en bouge dans la maison. Je sors acheter de quoi préparer un petit déjeuner version hôtel quatre étoiles.
La boulangère me félicite sur mon teint et ma mine. Je la remercie sans mentionner les raisons exactes de mon excellente humeur.
A mon retour, je tombe sur les deux galopins qui émergent lentement. Ma vue les ragaillardit. Ils m’embrassent à tour de rôle à bouche que veux tu, tout en me caressant. L’inhibition de l’inceste semble les avoir définitivement abandonné, si tant est qu’elle les ait gêné à un quelconque moment.
Je ris en me disant que notre assemblée ressemble franchement plus à un couple triangulaire qu’à une réunion de famille. Après le déjeuner, tandis que je débarrasse la table sous les assiduités des deux jumeaux, Alex, décidément toujours lui, me déclare qu’ils aimeraient profiter de dame nature, leur vie parisienne ne leur procurant pas ce genre de plaisir.
Ils n’ont pas envie de faire beaucoup de route et me demande ce que je pense du parc de la Briantais qui se trouve juste au sud de la ville, pas loin du barrage sur la Rance. Je leur dis que cela me convient tout à fait. Nous réunissons de quoi  faire un pique nique  et nous voilà partis
Pour y accéder il faut prendre la départementale 168 en direction de Dinard puis prendre la petite route sur la droite, 2 kilomètres avant le  fameux barrage.  Il y a là un parking pour les camping cars dont on dit aussi qu’il sert de lieu de rendez-vous pour les couples libertins. Je me demande si mes neveux n’en ont pas entendu parler.
Alex qui commence la conduite accompagnée se charge de nous conduire tandis que j’assure le rôle de copilote.
Je le guide facilement jusqu’à l’aire de stationnement. De là on a une vue panoramique sur le fleuve en contrebas. Mais je sens que ce n’est pas vraiment cela qui motive les jumeaux. Il y a une dizaine de camping cars, plus quelques voitures de promeneurs. Nous nous garons un peu à l’écart, récupérons notre frichti et nous engageons sous les futaies direction la Rance. Nous n’allons pas bien loin.
Nous nous installons dans un morceau de pré bordé de taillis sur trois de ces côtés, le dernier étant ouvert sur la vallée de la Rance qui nous fait  face. Nous savourons une bouteille d’un bon champagne que j’ai emmené pour l’occasion. Le temps est bien meilleur qu’hier et je me décide  à  enfiler mon fameux maillot rose, celui qui plaît temps à mes neveux.
Je leur fais aujourd’hui, le temps de l’effeuillage,  le plaisir  de leur présenter mon côté face, ce qui les ravit. Eux mais sans doute d’autres car j’ai aperçu en me relevant deux ou trois silhouettes masquées partiellement par les feuillages. Cet  endroit semble regorger de voyeurs, ce qui semble logique au regard de sa réputation.
Pas plutôt assise, je sens les doigts d’Alain s’insinuer sous la bretelle gauche de mon maillot. Il la fait glisser le long de mon épaule et fait jaillir mon sein de son alcôve. Il renouvelle l’opération de l’autre côté. Je vais manger la poitrine au grand air, puisque tel est le bon plaisir de ces messieurs. Un regard vers les fourrés me permet de constater que l’opération n’est pas passée inaperçue. La population sous les frondaisons semble augmenter à loisir.
Mes deux lascars ont également constaté le phénomène et entament un processus d’attouchements variés sur mon humble personne. Finalement ce n’est pas seins nus que je vais déjeuner mais dans le plus simple appareil, car Alex me retire mon maillot, non sans une certaine adresse. Les buissons s’agitent de plus en plus dans mon dos.
La faim reprend ses droits.  Les jumeaux marquent une courte pause le temps que nous ingurgitions quelques tartines, accompagné d’un Chablis du meilleur effet, puis un gâteau suivi d’un excellent café, préparé en amont. Rassasiée je m’allonge pour une petite sieste. Alex en profite pour me chatouiller le clitoris. Son frère pose ses deux mains sur mes seins et entreprend de les pétrir. Je renonce à ma sieste.
J’ai droit à un cunnilingus en règle et ma chatte reprend feu. Alain présente son sexe à ma bouche et j’entreprends de lui tailler une pipe tandis que son frère me broute le minou. Je suis tellement en chaleur que je me fous de savoir combien de types nous observent. Leur présence ne fait qu’ajouter à mon excitation. Je jouis plusieurs fois sous la langue de mon neveu tout en continuant d’aspirer le dard de son jumeau.
Alex me prend la main pour m’aider à me relever. Il y a une douzaine de types qui nous matent, certains ne se camouflent même plus et s’avancent lentement vers nous, qui la bite à la main, qui la main sur la braguette. Alex me fait basculer vers l’avant à quatre pattes. Ils laissent aux spectateurs quelques secondes pour envisager ma descente de reins et le petit abricot qui la prolonge. Après ce court répit, il plonge en moi et entame une levrette endiablée tandis que je continue ma fellation sur Alain. Je jouis sans discontinuer, éjaculant des flots incontrôlés de cyprine sur la bite de mon neveu.
Ils n’en ont pas assez, les bougres. Nous sommes maintenant cernés par les voyeurs qui forment un cercle compact et silencieux autour de notre petit groupe.
Alain quitte ma bouche et passe sous moi. Je suis toujours dans la position de la petite chienne quand Alex abandonne mon con pour que son jumeau en profite. Un pénis remplace l’autre, mon plaisir demeure. Tandis qu’Alain me besogne méthodiquement, je sens Alex cracher sur mon fessier. Son index se charge ensuite d’humecter mon petit orifice jusqu’à ce qu’il puisse l’introduire. Il élargit  le passage tant et si bien que, quand il présente son gland, mon anus l’absorbe sans vergogne.
Mes deux neveux me baisent simultanément. On dit que les jumeaux sont à certains endroits particuliers. Je viens d’en rajouter un à la liste. Leurs efforts coordonnés  pour me démonter me font exploser sans relâche. Mes orgasmes se succèdent à grande fréquence, de plus en plus violents.
La scène devient surréaliste quand les mateurs, qui nous entourent et que nous avions un peu oubliés, se mettent à applaudir en cadence  les deux jumeaux pour les encourager. Synchrones, les jumeaux vident simultanément leur foutre dans mes deux orifices. Je suis cuite, au paroxysme de l’extase.
Peu à peu  le petit coin de nature retrouve sa tranquillité. Les voyeurs quittent  un à un les lieux. Alex libère mon conduit anal afin de lui permettre de retrouver une activité plus naturelle. Alain quitte ensuite mon vagin, visiblement à regret.  Je me relève péniblement alors que toutes sortes d’humeurs s’échappent de mes voies encore dilatées.
Il nous reste quelques heures devant nous que nous passerons là, immobiles et enlacés, dans la douceur de ce début d’automne. Bientôt il va falloir nous séparer à regret et nous profitons  de chaque minute qui passe  avec l’envie de la voir  se prolonger à l’infini.
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