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Marie-Line, une autre maîtresse. Sexe, liberté, rencontres…

Chapitre 1

Divers
Je suis un homme marié, aujourd’hui de 67 ans, et j’ai déjà publié ici trois récits. Si vous lisez deux de ces récits, vous verrez que j’ai eu pendant au moins trois une maîtresse, Corinne, collègue de travail, femme mariée également, bi, extrêmement salope, avec qui nous avons vécu des fantasmes incroyables : exhibitionnisme, échangisme avec un autre couple, etc. « Salope », pour moi, n’a rien d’insultant ni de rabaissant. C’est juste le mot exact pour désigner une femme qui adore le sexe et les rencontres, au point de le mettre au-dessus de tout, en particulier de son couple et de son mari. Corinne, quand on baisait ensemble, me disait en me regardant vicieusement qu’elle était ma salope. Et ça me faisait bander un maximum. Pour les hommes, on peut dire salaud, vicieux, baiseur, queutard, etc. Les mots n’ont pas d’importance, ce qui compte est la réalité qu’ils désignent.Revenons-en à moi : je n’ai jamais pu me contenter de l’amour d’une seule femme (la mienne). Je l’aime et elle me fait divinement l’amour. Elle me suce très bien et elle adore se faire enculer et nous avons vécu, plus jeunes, quelques très belles expériences d’exhibitionnisme en voiture et sur des parkings, à trois, avec une collègue à elle que j’avais baisée sous ses yeux, et avec un ami à moi (voir « Ma femme en toute intimité »). Mais je n’ai jamais pu m’empêcher d’avoir de multiples aventures à côté, hommes, femmes et couples (je vous raconterai une autre fois mes aventures avec Françoise, jeune mère célibataire, véritable femme fontaine). Je suis très voyeur également et aussi exhibitionniste. J’aurais des tonnes d’histoires à raconter, en particulier sur les aires d’autoroute, que je fréquente pas mal de par mon métier. Je suis aussi musicien et j’ai fait du bal à un certain moment. Là, c’était grandiose. J’ai baisé à couilles rabattues pendant plusieurs années. Des jeunes, des femmes mariées… Je me rappelle une fois, un couple qui dansait et chaque fois que la femme était tournée vers moi, elle me faisait un clin d’œil que son mari ne pouvait pas voir. Elle était grande, brune, les cheveux longs, une belle robe moulante, longue et assez fendue sur le côté… Peut-être deux heures après, le mec a eu envie d’aller se coucher et la femme a décidé de rester (la scène était facilement décryptable à distance, malgré le bruit). Et quand elle a été seule, à un moment, je suis descendu de scène en la regardant droit dans les yeux, et je suis allé dans le camion stationné derrière la scène. Évidemment, au bout de deux minutes elle est venue et nous avons baisé comme des tarés : elle m’a sucé divinement et je l’ai baisée tout en lui enfonçant trois doigts dans le cul. Dans ces cas-là, je pouvais prendre tout mon temps car de toute façon je rentrais très tard chez moi (dans la nuit) et ma femme dormait à poings fermés. En plus de Corinne, j’ai eu une autre maîtresse, pendant un peu plus d’un an (Corinne était au courant mais pas jalouse). Marie-Line était célibataire, elle avait dix ans de moins que moi. Très belle femme, brune (le contraire de Corinne qui était une vraie blonde), pas très grande, mince, de gros seins fermes (et naturels), un très beau cul et une chatte assez poilue (alors que Corinne n’avait qu’un très fin duvet blond qui laissait voir intégralement ses lèvres et son clitoris). Avec Marie-Line, nous faisions l’amour une ou deux fois par semaine, comme des fous. Elle avait de très jolis sous-vêtements en dentelle noire. On s’embrassait fougueusement. Puis on se dévorait pendant de très longs moments. En particulier, elle me faisait mettre à quatre pattes, me demandait de me cambrer au maximum, m’écartait les fesses et me suçait le cul pendant de très longs moments, délicieux, qui semblaient ne jamais s’arrêter. Elle m’enfonçait très loin sa langue et la tournait délicieusement dans mon anus. C’était là l’une de ses caresses préférées, même si elle me suçait très bien la bite aussi (et avalait tout jusqu’à la dernière goutte). Je crois pouvoir dire que j’ai une sacrée expérience en matière de sexe. Eh bien, je n’ai quasiment jamais trouvé personne qui me suce le cul avec autant de plaisir, de savoir-faire et même d’ardeur (une fois, lors de l’un de mes déplacements à Poitiers, à l’hôtel, j’avais donné rendez-vous à avec un homme qui m’avait dévoré le cul pendant un très long moment, chose que fait mon bel amant parisien quand nous avons l’occasion et le plaisir de nous retrouver). Il faut dire que cette caresse est absolument sublime. Je faisais souvent part d’un fantasme à Marie-Line : me faire enculer par un mec bien monté pendant qu’elle me sucerait la bite à fond. Elle était tout à fait d’accord pour le réaliser, mais malheureusement cela n’a jamais pu se faire. Ensuite, elle s’allongeait sur le dos et je devais la prendre d’une certaine manière pour l’amener à la jouissance. Au moment de l’orgasme (ou des orgasmes car elle en avait souvent plusieurs, coup sur coup), elle se mettait à hurler son plaisir de toutes ses forces, littéralement possédée (je pense que ses voisins connaissaient tout de sa vie sexuelle et certaines fois, lorsque nous avons baisé à l’hôtel, toutes les chambrées alentour en ont largement profité). C’était divin ! Nos séances duraient des heures. La différence avec Corinne, qui ne cherchait qu’à s’éclater comme la bonne salope de femme mariée qu’elle était, c’est que Marie-Line devint amoureuse de moi. Mais c’est une autre histoire… Tous les deux, nous avons passé du très bon temps. À cette époque, j’ai changé d’emploi pour en prendre un autre à Montpellier. Le changement de poste s’étant fait soudainement, ma femme n’avait pas pu me suivre tout de suite et était restée une année supplémentaire dans la ville où je travaillais précédemment. J’avais trouvé un petit appartement meublé sur la côte, près de Montpellier. J’y ai passé une formidable année de liberté, de sexe et d’amour. En semaine, il m’arrivait souvent le soir de faire un tour dans les dunes du Petit-Travers (proches de Carnon) où l’on faisait toutes sortes de rencontres torrides : hommes, femmes et couples. J’allais souvent rencontrer des hommes. En pleine nuit et en pleine nature, ces rendez-vous étaient très excitants. Je déambulais dans les dunes, entièrement nu, et lorsque je rencontrais un (ou des) homme(s), on se branlait, on se suçait, on se caressait le cul. Il y avait beaucoup de groupes d’hommes qui baisaient ensemble : je me souviens de sept ou huit mecs disposés en cercle, qui se branlaient et s’embrassaient à pleine bouche, pendant qu’un autre mec, à genoux, les suçait alternativement en passant de l’un à l’autre ! Plusieurs fois, j’ai vu des mecs se faire prendre tout en suçant d’autres. Je participais autant que je pouvais et n’hésitais pas à me faire enculer. De l’autre côté de la route, il y avait des petites dunes jusqu’à la plage et là aussi, la nuit, il y avait des scènes très hard. J’allais souvent m’y promener. Une fois, je venais à peine de me garer que j’ai vu une voiture décapotable qui s’apprêtait à démarrer, avec deux très belles femmes à bord (40-45 ans), habillées très sexy et apparemment très chaudes, qui embrassaient à pleine bouche un mec et lui disant « Merci pour ce beau moment ! ». Je me suis souvent branlé en pensant qu’ils avaient baisé tous les trois à la vue de tous, avant de regagner leurs domiciles et peut-être leurs conjoints… Quelle belle perspective !À l’époque, grâce au Minitel, je faisais aussi de très bonnes rencontres. Je me souviens, entre autres, de cet homme d’une trentaine d’années, bi, vivant en couple mais souvent libre le soir tard, qui me recevait de temps en temps chez lui, à Pérols, travesti, très féminin, en jupe courte, string, entièrement épilé et que j’enculais à fond en regardant des vidéos X, ou encore de ce jeune black de 18 ans que j’avais invité chez moi, mince et très bien monté, et avec qui nous avions fait un 69 d’enfer. Mais le week-end, Marie-Line venait me rejoindre. Enfin pas tous les week-ends car je rentrais aussi chez moi de temps en temps. Mais assez souvent, je prétextais du travail pour rester à Montpellier. Et là, le vendredi soir, Marie-Line me rejoignait pour un week-end torride, en amoureux. On se faisait de bonnes bouffes, bien arrosées, puis on baisait comme des fous. Les volets ouverts. Même dans le noir, au rez-de-chaussée, avec la lumière du réverbère en face de mon appartement, tout se voyait. Une fois, entièrement nus, sur le lit, debout, moi derrière elle lui malaxant ses seins lourds à pleines mains, nous nous sommes exhibés devant ma petite voisine du dessus, étudiante, qui venait de garer sa voiture et que j’avais une envie folle de sauter. Je l’avais d’ailleurs dit à Marie-Line qui avait rigolé à cette idée. Une autre fois, nous sommes allés baiser sur la plage. Marie-Line m’a sucé à fond, moi debout et elle accroupie, nue, au clair de lune : je pense que les pêcheurs présents sur les rochers de la digue n’ont pas trop dû regarder leur bouchon à ce moment-là (on les devinait à leur bouchon lumineux. Marie-Line ne les avait pas vus mais, moi, je savais qu’ils étaient là, nombreux, à mater). Une autre fois, nous avons baisé, entièrement nus, sur le sable, dans un endroit un peu retiré. Et au bout d’un moment, un autre couple est venu baiser à quelques mètres ! La résidence où j’habitais avait ceci de particulier que les volets, roulants, étaient percés de petits trous. Souvent le soir, tard, dans l’année, alors que tout était très calme (comme il s’agissait d’une résidence de vacances, la plupart des logements étaient vides), j’allais faire un tour au pied des immeubles (protégés par des haies de buissons et dans l’obscurité). Je m’approchais doucement des rares fenêtres éclairées (j’enjambais les balcons des terrasses) et je venais mater par ces petits trous de belles filles nues, ou des couples qui baisaient. J’ai passé ainsi d’excellents moments car il y avait 4 ou 5 appartements (locations à l’année) avec de très jolies jeunes filles (étudiantes déambulant seins nus et en petite culotte, s’épilant, etc.) et des couples très chauds (deux appartements à côté du mien, au rez-de-chaussée aussi, un couple illégitime, assez jeune, se retrouvait de temps à autre et baisait comme des tarés). Assez vite, j’ai compris que je n’étais pas seul à faire le voyeur. J’avais repéré, en effet, une ombre qui se déplaçait furtivement au pied des immeubles. Un jour, nous nous sommes rencontrés et nous avons discuté. Cet homme, de mon âge, était aussi très voyeur et nous avons pratiqué cette activité ensemble. Il avait repéré quelques appartements très chauds qu’il m’a indiqués et il était encore plus téméraire que moi. Un jour, je l’ai prévenu que Marie-Line devait venir le week-end et que, s’il voulait, il pourrait venir nous mater. Le soir venu, j’ai baissé mon volet, mais pas à fond, afin que les petits trous restent bien ouverts et j’ai laissé la lumière allumée. À un moment, j’ai vu que le volet bougeait légèrement. J’ai compris : il était là à nous mater (mon appartement était en rez-de-chaussée). Alors, nous sommes partis dans une baise effrénée et Marie-Line, qui n’était au courant de rien et nous croyait seuls, m’a très longuement dévoré le cul. J’étais très heureux de m’exhiber et aussi de l’exhiber, elle, cette belle salope. Je m’arrangeai pour que sa chatte et son cul soient bien tournés vers le volet. Comme le lit n’était qu’à 50 cm de la baie vitrée, le spectacle devait être superbe ! J’imaginais mon comparse se branlant énergiquement (il m’a avoué ensuite avoir joui à plusieurs reprises).Bref, j’ai passé une année de rêve, de plaisir, de liberté, d’amour, de sexe total, sans limites et sans tabous, avec Marie-Line et de nombreux autres hommes. Malheureusement, comme je l’ai dit plus haut, Marie-Line est devenue très amoureuse et attendait de moi que je quitte ma femme pour vivre avec elle. Je n’ai pas osé franchir ce pas et je l’ai perdue de vue. Cela ne m’a pas empêché de vivre par la suite pas mal de belles aventures, surtout avec des hommes. Mais je la regrette vraiment. Je ne pense pas qu’elle vienne sur ce site et qu’elle lise ce texte. Mais si elle le fait et qu’elle se reconnaît (j’ai changé son prénom), qu’elle sache que je garde un excellent souvenir de cette époque et de ces aventures, même si elle est aujourd’hui mariée.
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