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marie, ma meilleure amie

Chapitre 9

Hétéro
1er août. Plus qu’un mois. Et un mois que cette histoire folle durait. Nous aimions ça, pourquoi s’en priver ?
Je m’étais acquitté de ma dette envers Marie un soir où nos parents étaient en ville. Après la vaisselle, nous allâmes nous installer devant la télé de notre chambre, pas celle du salon pourtant plus grande, mais parce que cela nous donnait un raison de rapprocher les lits et de regarder n’importe quoi en mangeant des chips. Ou faire autre chose dans le domaine du n’importe quoi d’ailleurs.Ce fut un de ces soirs. Film nul, comme ceux de l’été. Marie en nuisette, moi en boxer.Il fallait que ça se fasse par surprise. Doucement, je m’approchai d’elle, mes mains vinrent prendre ses jolis seins. La nuisette ne tarda pas à glisser le long de son corps. Ces courbes que je connaissais maintenant par cœur, je ne me lassais pas de les regarder...Je l’allongeai sur le dos, comme la première fois, avec son étau entre ses cuisses pour fouiller de ma langue son intimité et lui arracher des cris de plaisir. Mais cette fois ce serait différent. Pour solder cette dette, je devais faire quelquechose de nouveau pour elle aussi.Et j’avais mon idée.
Au bout de quelques instant de caresses buccales, je me mis nu à mon tour, et m’allongeai sur le lit, sur le côté, ma bouche vers son sexe, mon sexe vers sa bouche, et repris ma manœuvre tranquillement, comme si de rien n’était.Elle ne fut pas longue à comprendre, et très vite, je la sentis empoigner mon sexe et y appliquer quelques coups de langue bien pensés. Je roulais alors sur le dos, l’entraînant sur moi, toujours dans la même disposition. Elle était alors assise sur moi, son sexe sur mon visage, son sexe que je léchai avec ardeur. Elle s’occupant du mien avec délectation, me faisant un bien fou. Cette position inversée lui permettait de faire coulisser ma verge tout le long de ses lèvres, rapprochant l’éjaculation chaque fois un peu plus. Je m’appliquai de mon côté, titillant à la fois le clitoris et l’anus de ma partenaire.La jouissance intervint en même temps pour nous deux.
— Alors, satisfaite ?— Ho que oui, je vais continuer à t’accabler de dettes...Je l’embrassai.— Je t’aime.Elle ne répondit pas, mais me sourit. Un sourire pur.C’était dit. La balle était dans son camp.
1er août. Je repensais à cette soirée où je lui avais finalement avoué mes sentiments. J’en étais sûr, c’était elle, l’ami d’enfance que je voyais tous les étés, c’était elle que j’aimais. Tant pis pour le reste.
Cette soirée allait être une première à sa manière aussi.Nous nous étions couchés tard, mais le sommeil ne venait pas. Nous discutions avec Marie, nos lits étaient rapprochés, comme lorsque nous étions petits.— Dis Marie...— Oui ?
— Ce qu’on fait là, tu crois que c’est mal ?— T’as honte ?— Non absolument pas. Je me demandais si c’était normal.— Moi j’ai pas de regrets pour ce qu’on fait, on se fait du bien, on est d’accord. Pour un peu nos parents aussi !— Ouais c’est vrai.— Il y a un truc qu’on a pas fait...— Ouais je sais.— Ça te fait peur ?— Non.— On le fait ?Au moins c’était direct.— Heu, posé comme ça... Tu y as bien réfléchi ?— Je n’arrête pas d’y penser depuis que nos parents nous ont interrogés en fait.— Ouais moi aussi.— Alors tu veux le faire ?— Je sais pas, là ça fait très "c’était prévu", j’ai peur qu’on regrette...— Alors fais comme si j’avais rien dit...Elle avait envie. Elle était prête. Moi je ne sais pas. Avec une autre fille c’est sûr je ne serais pas fait prier, mais là c’était Marie, et j’allais être "sa première fois".— Faut que je t’avoue un truc quand même.— Oui ?— En fait, avec ma mère... J’ai bluffé, j’avais pas de capotes.— Hihi j’en étais sûre. Quel joueur de poker !— Mais du coup pour ce qu’on veut faire... Ça craint un peu. Tu prends la pilule OK, mais quand même...— Hé qui t’a dit qu’on devait le faire sans capote ?Elle souleva son matelas. Une boîte de Durex toute neuve. Douze, ça devrait faire l’affaire. Décidément ce matelas...— T’as eu ça où ?— A la pharmacie monsieur, me répondit-elle en déposant un baiser sur mes lèvres.— Fermons à clé...— La chambre ? Et s’ils essayent de venir ?— Je préfèrent qu’ils supposent plutôt qu’ils nous surprennent.— Pas faux.Elle se leva, alla à la porte et fit tourner la clé sans faire de bruit. Elle retira sa nuisette et sa culotte en revenant. J’avais retiré mon boxer. Elle vint s’assoir à côté de moi, nue.— Tu as envie ?— Arrête de me demander où je te sautes dessus, lui répondis-je en la renversant sur le lit.Je l’embrassai, ma peau devenait moite, la sienne aussi. Je caressai son corps sans discontinuer, partout. J’avais envie d’elle.Bisous dans le cou, sur les seins, sur son ventre, j’étais déjà à son sexe, qui était déjà trempé.— Je veux que tu me le fasses maintenant.Sa voix tremblait.J’attrapai la boîte de préservatifs, en sortis un. Facile à ouvrir, j’avais déjà essayé d’en enfiler un chez moi. C’est marrant, et très excitant.Mais ce soir, j’avais une autre idée.— Tu me la mets ?— J’ai jamais fait.— On en a douze, on a de la marge... Et je pense que tu vas très bien te débrouiller...Elle sourit à ma remarque, se redressa, me prit la capote des mains et ouvrit le sachet. Odeur de caoutchouc lubrifié. Odeur de sexe.Elle étudia rapidement le petit anneau, le réservoir et le déposa sur mon gland. J’eus peur une seconde que ce fut le mauvais côté, mais non, elle fit dérouler l’enveloppe le long de ma verge, délicatement, en prenant soin de ne pas l’abîmer. Pour ce qui était des préliminaires, Marie m’avait sucé plus tôt dans la soirée, au sortir de la douche, fellation que j’avais rendu discrètement à table en passant ma main sous sa jupe pour caresser son sexe. Fous que nous étions.J’introduisis un doigt dans son intimité, elle était chaude et douce.Marie se mit sur le dos, genoux repliés, jambes légèrement écartées, m’offrant son sexe, m’offrant sa virginité. Je vins me glisser entre ses jambes, tout en l’embrassant, je sentais mon sexe encapoté frotter contre son pubis. Puis, d’une main leste, Marie prit mon sexe, et le guida à sa vulve.— Promets-moi que c’est la première fois.— Je te le promets.Elle poussa mon sexe en elle. Doucement d’abord, je sentis mon pénis s’enfoncer doucement dans son vagin, rencontrer une légère résistance, puis plus rien. Marie gémit un peu, une petite grimace de douleur sur son visage.— Pardon, m’excusais-je, je t’ai fait mal ? Tu veux arrêter ?— Surtout pas ! gémit-elle dans un souffle, juste... mal... début...Elle se laissa aller, et moi aussi, elle prit mes fesses dans ses mains et poussa davantage mon sexe en elle. Nous ne faisions qu’un.Je lui fis l’amour encore un peu, en missionnaire, le temps pour elle de se lasser de cette position, elle me fit basculer.Elle était sur moi, ne tarda pas à s’empaler sur mon sexe et à opérer des mouvements rapides, ses beaux seins en avant, à portée de main. Je ne me privai pas. Je la caressai, pris ses fesses pour accompagner ses mouvements et la faire gémir un peu plus. Je la sentais vraiment bien. Elle se pencha vers moi, toujours pénétrée de mon sexe, et m’embrassa.— Tu regrettes ?— Pas du tout mon abricot.Longtemps que je l’avais pas sorti celui-là. Le moment n’était pas mal choisi j’avais trouvé.Elle se redressa encore, cette position favorisait son orgasme, qui ne tarda pas à venir. Même à travers la capote, je sentis ses vibrations vaginales.Elle se retira. Je n’avais pas encore joui. Elle se mit à quatre pattes sur le lit, me présentant ses fesses.— C’est pour toi cette fois.J’avais compris le message. Je viens me placer derrière elle, et la pénétrai une troisième fois. Cette levrette fut délicieuse, je prenais ses hanches et guidait la pénétration, le mouvement, elle se redressait parfois pour m’embrasser, je lui prenais les seins. Enfin dans un ultime coup de reins, je plaquai mes mains sur ses fesses douces, et éjaculai, dans la capote, mais en elle. Elle ne bougea pas. Le temps se suspendait.Nous restâmes quelques instants dans cette position, moi en elle avec mon sexe qui se dégonflait progressivement. Elle fermant les yeux et profitant de l’instant. Je me retirai.Le réservoir de la capote était gonflé de ma semence, je retirai le préservatif.
Marie s’était allongée près de moi, une main sur son ventre, les yeux perdus dans ses pensées.— A quoi rêves-tu ? lui demandai-je doucement.— Je pense à nous.Silence. Elle le brisa rapidement.— Tu sais je ne t’ai pas répondu la dernière fois...— Pour ?Mais je savais très bien de quoi elle me parlait.— Pour ta déclaration. Ça me fait mal, mais moi aussi je crois bien que je t’aime...Feux d’artifice dans ma tête.— ... mais ça me fait souffrir car dans un mois, on va se quitter encore plus liés que d’habitude et nous ne nous verrons plus...— Je sais.Une vague venait d’éteindre les pétards. Cette évidence qu’elle venait d’énoncer, j’essayais de me la dissimuler depuis des jours et des jours.— Profitons de ce qu’il nous reste alors, proposai-je.— J’y compte. Tu crois qu’on doit le dire à nos parents ?— Ils s’en doutent un peu de toute manière non ? Autant leur dire après.
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