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Marie et moi sur les chemins de la perversion

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Cette histoire vraie fait suite à celle de "Marie la découverte" . J’y raconte les différentes étapes qui nous amenèrent de la pratique des jeux DS au libertinage sans limites.Pour rappel, Marie à 42 ans à l’époque et moi 47 ans. Elle est au sommet de sa beauté : 1m70, cheveux roux, de beaux yeux bleus, une taille encore fine et un magnifique cul. Voici donc la suite...Dans les semaines qui suivirent la découverte de Marie pour les jeux DS, notre vie sexuelle devint beaucoup plus pimentée.Le lendemain, je lui montrais les photos d’elle que j’avais prises pendant nos jeux et celles qu’elle m’avait envoyées de son bureau et lui demandant si elle aimait s’exhiber en photo.Elle me répondit que oui. Se sentir regardée l’excitait et qu’elle était d’accord à ce que je la photographie même dans des positions obscènes si cela me faisait plaisir aussi mais qu’il lui manquait tout de même des tenues sexy pour cela.
C’était un samedi et nous avions tout le temps de faire le tour de ce qu’elle avait comme lingerie, robes et jupes pour faire une petite séance photo et je pourrais en profiter pour lui faire jeter tout ce qui ne convenait plus à son statut de salope soumise.Nous commençâmes d’abord par jeter de tout ce qui n’était pas un minimum sexy dans sa lingerie: culottes soutiens-gorges en coton, collants; ensuite nous profitâmes aussi de l’occasion pour trier son dressing et nous débarrasser de ses robes et pantalons trop sages; il fallait qu’elle soit sexy et désirable dans tout ce qu’elle porterait dorénavant. Je lui ordonnais ensuite de se dévêtir et de me faire un show lingerie. Elle prit dans sa commode un balconnet noir en dentelle qu’elle passa. Il était ancien mais sexy et les bonnets ne correspondaient plus au volume de ses seins si bien que leurs pointes avaient tendance à s’en échapper. Elle allait l’ôter ce que je lui interdis "stop! Garde-le." Dis je. Elle prit alors le porte-jarretelles assorti, le fixa autour de sa taille puis des bas en résille noirs et commença à enfiler le premier. "Regarde-moi! " Dis je. J’avais pris mon téléphone et pris un premier cliché.
— Passe ta langue sur tes lèvres et fais ton regard de salope !
Je fis un nouveau cliché. Elle enfila le second bas me regardant droit dans les yeux avec un sourire coquin. Lorsqu’elle voulut prendre un string assorti, je l’arrêtais et lui demandais de se mettre sur le lit et de prendre la pose. Je pris une nouvelle photo. "Écarte les cuisses!" Dis je.Nouvelle photo, et cette fois-ci, elle me lança un regard vicieux à souhait qui me montrait qu’elle prenait visiblement du plaisir à mon petit jeu..."Mets ta main sur ta chatte!"elle s’exécuta. "Ça te plaît les pauses porno ma salope?" Dis je, "Oui..."répondit-elle,
— Alors caresse ton clito et tes seins pour me faire bander...
Sa main droite glissa sur sa chatte, elle insérait un doigt dans sa fente humide et commença à le faire aller et venir entre son puits d’amour et son clito. Son autre main caressait ses seins dont les pointes qui sortaient du balconnet bandaient à présent.Elle commença à gémir.Je pris une nouvelle photo. "Tu aimes qu’on te mate comme une pute, hein!" Dis je."Ho oui....hummm...j’aime faire la salope pour toi...humm..." répondit elle en suçant les doigts pleins de mouille qu’elle venait de sortir de sa chatte.
— S’il te plaît maître donnes moi ta bite...
Le spectacle me faisait bander à en avoir mal. Je posais mon téléphone, et l’attrapant par les cheveux la fit asseoir au bord du lit.
— Bien ma salope, tu mérites une récompense, suce ma bite comme une chienne!
Elle fit glisser mon pantalon sous lequel je ne portais rien et se précipita sur ma bite tendue. Après quelques coups de langue sur le gland, elle le prit en bouche puis commença à me pomper en me regardant dans les yeux. Je voulais être maître de mon plaisir , aussi lui saisissant la nuque, j’imprimais mon propre rythme à cette fellation lui baisant littéralement la bouche. Je pris mon plaisir dans un grand râle au fonds de sa gorge; mais avide comme une nympho, elle ne lâcha pas mon sexe et continua à me pomper jusqu’à la dernière goutte de sperme. Les sens calmés je décidais alors de lui montrer les photos que je venais de prendre. Elle me complimenta disant que j’étais doué et qu’elles étaient vraiment excitantes; ce à quoi je lui répondis que le modèle y était pour beaucoup avant de l’enlasser et de partager avec elle un baiser fougueux. Je lui tendis ensuite la robe bleue moulante qu’elle portait la veille et lui demanda de la mettre, car je voulais qu’on sorte pour lui trouver une robe sexy.Habitant à proximité de Puget sur Argens nous avions nombre de magasins à notre disposition, car il y a une grande zone commerciale. Je trouvais notamment veste de tailleur simili-cuir noire fermée par des pressions chez Jenifer et coup de chance une jupe moulante assez courte de même matière et fermée de la même manière chez Camailleu.Cela ferait un ensemble très sexy. Nous nous arrêtâmes ensuite chez MGA son magasin préféré où elle s’offrit une jolie paire de cuissardes noires qui iraient très bien avec.Nous allions rentrer quand me vint à l’idée de lui faire visiter le magasin qui est au-dessus de la boutique MGA, une boutique érotique du nom de Tentation. J’avais depuis longtemps remarqué celle-ci, car je passais devant tous les jours pour aller travailler. Maintenant que nous avions changé de vie, nous pourrions y trouver de quoi nous amuser. Naturellement je ne l’y avais jamais emmenée."Ça te dirait qu’on y fasse un tour?" Lui dis je en montrant l’enseigne qu’on voyait au premier.
"Pour quoi faire? " répondit-elle,
— Pour acheter quelques accessoires, viens !
Je la prenais alors par la taille et la guidait derrière le magasin vers une pancarte fléchée indiquant l’entrée. Arrivés derrière le bâtiment, le fléchage nous mena à un escalier en béton qui menait au premier. Je la fis passer devant moi et ma main glissa de sa taille jusqu’à sous sa robe puis remonta à la lisière de ses bas. Elle se figea et je sentis ses cuisses s’ouvrir à la caresse me laissant accès à sa chatte et ses fesses. Je poussais donc mon avantage jusqu’à pouvoir glisser mon index dans son con et positionner mon pouce sur son anus. Heureusement , le muret en béton de l’escalier cachait notre manège à toutes les personnes qui circulaient dans la zone commerciale, car mon avant-bras au passage avait relevé sa robe très au-dessus de son porte-jarretelles et son magnifique cul était à l’air.Je crochetais son cul et sa chatte entre pouce et index. Ce qui lui fit faire un "ohhh" de surprise. "Tu as vu tous ces gens qui te regardent salope?" Lui dis je "ça t’excite de te faire doigter en public?""Oui continue , branle-moi comme une pute...hummm...". répondit-elle.
"Montes les marches doucement, tu vas aimer..." lui ordonnais je. Elle monta l’escalier pour son plus grand plaisir empalée sur mon pouce et mon index. À chaque marche je pouvais sentir sa chatte et son anus se contracter sur mes doigts. Arrivée au premier , elle mouillait abondamment mais il fallait arrêter, car nous étions arrivés au seuil de la boutique et je libérai ses deux orifices et elle remit sa robe en place Lorsque nous ouvrîmes la porte un carillon annonça notre arrivée. Dans la boutique, il n’y avait que deux autres clientes qui plaisantaient devant le rayon des godes. Marie encore excitée par ma caresse interrompue s’arrêta devant le rayon robes club. Elles étaient toutes plus sexy les une que les autres. Nous passâmes au rayon lingerie plein de belles choses aussi. "Finalement," me dit elle avec un sourire," c’est une boutique comme les autres et pas un endroit glauque."À ce moment , la patronne, une petite brune piquante vint à notre rencontre nous demander si elle pouvait nous aider. Je lui répondis que nous recherchions des accessoires pour pimenter nos jeux. Elle nous accompagna alors vers le rayon godes et vibros que venaient de quitter les clientes. Il y en avait de toutes tailles. Le regard de Marie fit le tour du rayon et scato sur le Magic rabbit. La vendeuse l’ayant remarqué prit le modèle d’exposition et le lui tendit. "Celui-ci est un modèle remarquable, il est équipé d’un vibromasseur pour le clito et est de bonne taille . En plus vous disposez de plusieurs commandes pour la partie gode. Vraiment géniale! Plaisir assuré ! Allez y Madame, mettez-le en marche..."dit elle.Marie, confuse et excitée de se retrouver avec ce jouet dans les mains devant cette inconnue ne savait que faire. Elle appuya sur un bouton au hasard et le papillon vibreur se mit en marche.
"Vous pouvez accélérer avec ce bouton..." dit la vendeuse joignant le geste à la parole.Les vibrations augmentèrent. J’étais amusé et excité de voir les deux femmes tester ce jouet. Je commençais à avoir une belle érection. Marie quant à elle paraissait de plus en plus gênée. Était-ce vraiment de la gêne ou du plaisir? Ma décision était prise et je disais à la vendeuse que nous le prenions. "Ce sera tout ? "dit-elle."Non" , répondis je, " nous voudrions voir ce que vous auriez comme accessoires de jeux SM pour madame." Je dois avouer que dire cette phrase fut dur pour moi,car c’était la première fois que j’allais acheter de tels accessoires. Quant à Marie son regard se troubla et ses joues rosirent. Pour la première fois nous révélions nos envies et à une inconnue en plus. La vendeuse ne se démonta pas et le plus naturellement du monde nous guida vers le rayon SM. "Vous êtes dominatrice?" Dit elle à Marie en chemin.
Elle souffla plus que répondit "non" honteuse d’avouer ses penchants pervers pour la soumission."Voilà" dit elle arrivée au rayon. "Vous êtes débutante?" Marie baissa les yeux sans répondre.Elle s’adressa alors à moi. "Je vous conseille ce kit il y a des bracelets pour les poignets et les chevilles munis de chaînes, un collier de soumise, des pinces à seins avec chaînes et un bandeau. Cela peut faire une bonne base... Qu’en pensez-vous?" "Très bien! Qu’en dis-tu? répondis je me retournant vers Marie. Je m’aperçus alors qu’elle regardait les martinets et cravaches. Surprise dans sa contemplation par la vendeuse et moi même elle approuva essayant de cacher sa gêne. "Un des ses articles vous intéresse?...un martinet? une cravache?..." dit la vendeuse."Heu...oui " répondit Marie à voix basse, "ce martinet..." en montrant un petit martinet rose.
Enfin, elle se lâchait! Je pris donc le Magic rabbit, la panoplie et le martinet que je lui offris naturellement. C’était bien plus onéreux qu’un bouquet de fleurs, mais beaucoup plus excitant.Nous retournâmes sur le parking récupérer sa voiture. Nous mîmes dans le coffre de son coupé Volvo nos derniers achats avec l’ensemble que je lui avais trouvé et les cuissardes qu’elle s’était achetées. Elle prit place au volant et moi place passager et démarra. Je posais la main sur sa cuisse et lui disait: "contente de nos achats?"."Oui" répondit-elle écartant légèrement ses cuisses. Je profitais alors de la place laissée libre pour lui caresser sa cuisse gainée de bas remontant peu à peu vers la lisière de ses bas. Elle faisait mine de se concentrer sur sa conduite mais plus je remontais entre ses cuisses plus celles-ci s’ouvraient. Heureusement qu’elle avait une boîte automatique! Je pouvais maintenant voir les jarretelles de ses bas et sa chatte luisante, car la robe au fil de mes caresses était remontée très haut et je n’étais pas le seul à avoir une jolie vue; un motard nous fit un signe en nous doublant à un feu. Une fois sur la nationale 7 en direction de Roquebrune, je posais la main sur sa chatte et glissait un doigt dans sa chatte qui était trempée. Je le faisais délicatement glisser entre ses grandes lèvres sans aller plus profond pour la maintenir au bord du plaisir sans aller plus loin jusqu’à notre arrivée chez nous.Une fois dans notre salon, je lui proposais de se changer et de mettre ses nouveaux achats. Elle fit passer glisser la fermeture éclair de sa robe puis telle une stripteaseuse, laissa glisser celle-ci doucement à ses pieds pour apparaître magnifique dans sa guêpière aux jarretelles de laquelle étaient fixés ses bas couture. Je pouvais voir du canapé où j’étais assis sa chatte gonflée et brillante de mouille suite aux caresses que je lui avais prodiguées. Elle ajusta la jupe en simili-cuir et en ferma 3 pressions sur 5 de manière à laisser apparaître des bas entre les dernières pressions restées ouvertes. Elle enfila la veste et laissa de même 3 pressions ouvertes. Cela lui faisait un décolleté très plongeant laissant apparaître sa lingerie. Elle termina en enfilant ses cuissardes dont les talons de 10 cm augmentaient le galbe de ses jambes parfaites.
"Je te plais ?" dit-elle avec un sourire malicieux." Magnifique! Ne bouges pas je vais prendre une photo.." répondis je. Je pris mon téléphone et pris une première photo. D’elle-même elle prit une autre pose appuyée sur le chambranle de la porte en cambrant ses fesses pour une seconde puis changea de pose pour une autre cette fois-ci de 3 quarts coudes posés sur la table du salon, sa robe dans cette pose remontait et je voyais sa chatte qui ne demandait que moi. Je bandais comme un taureau et lui dit:. " Ne bouge plus!" Je pris ma photo, posait mon téléphone, puis ouvrit ma braguette pour en sortir mon sexe dur comme du bois. Là saisissant par les anches je la pénétrais d’un coup ce qui lui fit pousser un "Ohhh" de bonheur. Je commençais alors à la pilonner comme un bûcheron. Ses cris me galvanisaient, elle me criait de la baiser comme une pute, une salope, une chienne et je fus rapide à me répandre en elle en de longs jets. Nous restâmes un moment prostrés tellement notre orgasme avait été fort puis nous nous séparâmes et elle partit sous la douche nettoyer le mélange de mouille et de sperme qui coulait le long de ses cuisses jusque sur ses bas.Lorsqu’elle revint dans une tenue plus décontractée (jupe courte noire évasée et teeshirt blanc), je l’attendais au salon avec deux coupes. Nous trinquâmes puis échangèrent un long baiser langoureux. Nos verres finis, j’allais chercher le reste de nos achats fait dans la boutique érotique. Je sortais le Magic rabbit de son emballage pour y mettre des piles et profitant de l’occasion, je lui fit remarquer la gêne qu’elle avait eue quand la vendeuse lui avait mis le jouet dans les mains. Elle rit et me dit qu’elle le trouvait très gros par rapport à celui qu’elle avait, qu’il vibrait beaucoup plus que le sien et que cela l’avait excitée. Je me penchais alors et lui murmura à l’oreille: "Tu veux l’essayer pour me faire plaisir.?.." "Maintenant?" répondit-elle,
"Oui ici, je le veux..." lui ordonnais je.Elle prit alors le sextoy, avança son bassin au bord de la banquette, souleva sa jupe et écarta les cuisses. Elle ferma les yeux et approcha le bout du jouet de ses grandes lèvres puis le fit glisser entre elles pour le lubrifier. Une fois bien lubrifié , elle commença à l’enfoncer doucement dans sa chatte. Profitant qu’elle avait les yeux fermés, je pris d’une main mon téléphone pour faire une vidéo pendant que de l’autre je remontais son teeshirt et lui carressais ses seins. Lorsque le jouet fut au fonds d’elle elle mis en marche le papillon vibreur qui était sur son clito. Je lui pinçais alors la pointe de son sein ce qui la fit gémir et donner des mouvements d’avant en arrière au sexe artificiel pour augmenter son plaisir. Au bout de 10 minutes elle atteignit l’orgasme et rouvrit les yeux. Voyant mon téléphone elle demanda: "Tu m’as photographiée ?""Non ma chérie, je t’ai filmée..." répondis je. C’était la première vidéo hard que je faisais d’elle...À suivre.
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