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Marie et moi sur les chemins de la perversion

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Cet apéritif coquin m’avait donné faim. Nous nous mîmes à table. Pendant le repas Marie me parla d’une conversation qu’elle avait eue avec une femme sur MSN.Celle-ci qui habitait Paris l’avait demandée en contact en voyant sa photo de profil (c’était une photo que j’avais prise d’elle lors de son anniversaire où elle portait la robe de notre première rencontre. Dedans elle était craquante, car elle avait un décolleté mettant en valeur sa poitrine et assez court pour dévoiler largement le haut de ses cuisses). Lorsqu’elle demanda à cette femme pourquoi cette demande de contact, celle-ci répondit qu’elle avait été troublée par cette photo. Elles avaient discuté un peu et elle avait appris qu’elle était mariée. Sa photo de profil que Marie me montra plus tard représentait deux jolies cuisses gainées de bas, cela l’interpella. Elle me raconta qu’elles avaient discuté un moment et que, découvrir qu’elle pouvait séduire une femme l’avait elle-même surprise. Au fil de la discussion, cette femme l’avait elle aussi séduite même si Marie n’avait jamais eu de tendance lesbienne. Cette femme, qui disait-elle, n’avait jamais été attirée par les femmes, l’avait presque draguée.Je vis dans cette discussion l’occasion de la mener vers de nouveaux horizons."Tu aurais envie d’essayer avec une femme?" Dis-je."Je ne sais pas, mais Élise (c’était le nom de son contact ) m’a troublée à force de compliments. Et elle a de jolies jambes sur sa photo de profile..." répondit-elle en riant.
"Méfie-toi des faux profils ma chérie. Si tu viens à rediscuter avec elle demande-lui une autre photo pour vérifier que c’est bien elle..." Dis-je pour conclure.Nous finîmes notre repas, il était temps d’essayer le reste des jouets achetés à la boutique Tentation. Je prenais le coffret des accessoires SM et lui tendit le masque."Il est temps de nous amuser. Monte dans la chambre et ne garde que ton porte-jarretelles, tes bas et remets tes cuissardes. Tu te tiendras au milieu de la pièce, mettras le masque et tu m’attendras debout les mains sur la tête." Ordonnais-je."Encore? " dit-elle."Oui ma salope. La soirée n’est pas finie. "Répondis-je en souriant. Elle monta et je la laissais attendre 10 minutes, le temps de prendre un café.
Je montai alors les marches doucement et arrivai dans la chambre. Je pris le collier et mis le reste des accessoires sur le lit. M’approchant d’elle, je la sentis frémir d’impatience. Lorsque le cuir du collier effleura son cou, elle eut un léger sursaut. Après lui avoir attaché le collier, je pris les deux bracelets et les refermaient autour de ses poignets. Sa respiration s’accéléra; ses pointes de seins étaient tendues; elle appréciait visiblement cette situation.Malheureusement la chaîne prévue pour relier les poignets était trop longue pour l’usage que je voulais en faire. Je pris donc un de ses bas dans la commode, puis le passant dans les anneaux des poignets et dans celui de son collier que j’avais positionné côté nuque, je fis un noeud. De cette façon, ses coudes remontaient très haut et sa poitrine serait offerte à tous mes caprices.Je me mis face à elle et déposait sur ses lèvres un baiser."Tu es prête ?" Lui demandais je."Oui" dit-elle."Écarte tes cuisses et cambre tes fesses!" Ordonnais je.
Elle écarta ses jambes et se cambra. On pouvait voir sa chatte entrouverte dans cette position signe du plaisir naissant. Je pris sur le lit le martinet puis m’approchant d’elle, je le fis glisser lentement sur ses seins faisant passer les lainières sur leurs pointes à plusieurs reprises, puis sentant celles-ci exacerbées, je lui fouettais doucement son sein droit; elle gémit ; ne lui laissant pas le temps de réaliser je fis de même sur le gauche; elle gémit de plus belle."Ça te plaît chienne?" Lui dis-je."Oui encore! " répondit-elle.Je repris donc, alternant caresses et coups de martinet un peu plus vigoureux sur ses seins jusqu’à ce que ses gémissements se transforment en cris. Ses seins avaient rosi et leurs bourgeons avaient viré au rouge cramoisi. Le simple fait de les effleurer du bout des doigts provoqua en elle des tremblements de ses jambes et de son bassin."Continue! " demanda-t-elle.
Je lui donnais un léger coup de martinet sur les fesses et lui répondit:
-" Demande-moi cela comme une soumise Marie... sinon j’arrête...»
"S’il vous plaît, Maître, continuez à me caresser comme une salope, donnez-moi encore le martinet. " reprit-elle.Je fis de nouveau glisser le martinet sur ses seins puis descendit jusqu’à sa chatte. Je fis alors aller et venir le manche et les lanières le long de sa fente et sur son clito, et très vite son bassin suivit leurs mouvements, sa chatte restant coller à ceux-ci. Le manche fut vite trempé de mouille.Je cessais alors ma caresse et lui assenai un coup de martinet ferme sur sa fesse droite, il fut accueilli par un "Hoooo!" de surprise par Marie qui se cambra un peu plus. Puis je fis glisser les lanières du martinet sur cette fesse en une caresse perverse à l’endroit où elle commençait à rosir. Je levai alors le bras et frappait sa fesse gauche cette fois-ci."Oui encore ! Plus fort!" m’encouragea-t-elle.Je continuais donc en prenant soin d’alterner les coups sur chaque fesse. À chaque coup elle tendait plus son cul et ses fesses zébrées de rouge à la rencontre du martinet. Je voyais maintenant son anus ridé palpiter à chaque coup. Elle cria grâce au bout de 10 coups. Je caressais alors son cul meurtri, il était brûlant, je glissais un doigt entre les deux globes de ses fesses jusqu’à atteindre son petit trou, il était humide et lorsque je le massais du bout de mon index il répondit à ma caresse en palpitant. Je le fis alors descendre jusqu’à sa chatte qui déjà ruisselante n’attendait que cela pour s’ouvrir. Joignant mon majeur à l’index je les enfonçais jusqu’à la garde au fonds de son sexe, mon pouce reposant sur son petit trou. Cette intromission fut accueillie d’un gémissement de plaisir par Marie. Je me mis alors à la branler violemment. Chaque fois que mon pouce touchait son cul celui-ci s’ouvrait. J’allais de plus en plus vite, mes doigts étaient trempés jusqu’à ce que dans un cri elle jouisse, jambes tremblantes, en émettant un long jet de cyprine sur le parquet.
Je dus la retenir pour qu’elle ne tombe pas, tellement l’orgasme était fort.
Je la fis assoir sur le bord du lit pour qu’elle reprenne ses esprits. J’en profitais alors pour retirer mon pantalon et libérer mon sexe qui était tendu à mort." Maintenant je vais baiser ta bouche ma salope...mais avant tu vas goûter au dernier jouet qu’on a acheté..." dis-je.Je pris sur le lit les pinces à seins reliées par une chaîne. Elles étaient réglables et pour une première fois je les desserrais. Elle émit un petit cri tout de même lorsque je posais la première."Ça va" lui demandais-je."Ça fait mal, mais c’est un mélange de douleur et de plaisir, comment te dire? Je sens des ondes de plaisir qui vont de mes seins à ma chatte et elles augmentent avec la douleur...c’est bizarre..." répondit-elle.Je mettais la seconde pince et lui ouvrait largement les cuisses. La voir dans cette position obscène mains attachées derrière sa tête à son collier, yeux bandés, les pinces reliées par la chaîne tirant sur ses tétons et la chatte ouverte et luisante me donna l’envie d’immortaliser cet instant par une photo que je pris avec mon téléphone.
Je m’approchai alors d’elle jusqu’à ce que ma bite touche son visage. Yeux bandés, elle ouvrit la bouche pour essayer de la gober, mais je m’amusais à l’éloigner pour qu’elle ne l’a saisisse pas."Tu veux quelque chose ?" Demandais-je?
— Oui maître, je veux votre bite, s’il vous plaît...
"Tu veux que je te baise la bouche comme une chienne" continuai-je."Oui, baisez-moi comme une salope..." répondit-elle.Je la laissai alors saisir sa proie entre ses lèvres. Elle commença à enrouler sa langue autour de mon gland puis se penchant, elle aspira ma colonne de chair et commença à faire de doux allers-retours sur mon sexe. Profitant du fait qu’elle était entravée, je décidais de lui faire avaler plus profond mon sexe. Je saisis alors la chaîne qui reliait ses seins et m’en servit pour la faire aller plus avant en tirant sur ses tétons prisonniers des pinces sans écouter ses plaintes étouffées par ma bite. Puis je commençais à donner des coups de bassins pour aller de plus en plus profonds dans sa gorge. De la bave coulait sur mes couilles et ses yeux larmoyaient, mais elle continuait à empaler sa bouche sur ma colonne de chair sur un rythme de plus en plus soutenu si bien que les pinces à force de tirer sur ces tétons se détachèrent. Sentant mon plaisir venir, je saisis alors sa nuque et enfonçais mon chibre jusqu’à la garde au fond de sa gorge où je jouis en longs jets chauds criant mon plaisir.
J’avais pris mon plaisir, mais pas elle, et elle méritait une récompense. Je la fis se lever puis lui donnais un baiser plein de fougue, nos salives se mélangeant je sentais le goût du sperme que je venais de lui donner. "Tu mérites une récompense mon amour, je vais te faire jouir comme jamais encore je l’ai fait..." Dis-je.
Je la pris par son collier et la guidait jusqu’au lit ou je la fis se positionner en levrette toujours entravée. Ma bite n’ayant pas repris forme, je pris le Magic rabbit et lui enfoncais dans la chatte jusqu’à la garde. Je mis le papillon vibro qui touchait son clito en marche et activitais la partie gode en mode va-et-vient maintenant le jouet de façon à ce qu’il reste bien au fonds de sa chatte. Elle commença à gémir rapidement. De ma main libre je versais alors un peu de gel sur son trou du cul, puis commençait à l’étaler sur son anus. Je fis peu à peu pénétrer le gel pour dilater son cul avec mon index. Elle gémissait de plus en plus. Je pouvais maintenant rentrer mon doigt jusqu’à la garde, sentant qu’elle n’allait pas tarder à venir, je remis de gel sur son anus dilaté et mis le vibro à la vitesse maximum. Cette fois-ci je présentais deux doigts à sa croupe et les pressais sur son trou annelé qui résista dans un premier temps, mais finit par céder à ces envahisseurs que je fis aller et venir doucement pour qu’elle s’habitue à ces intrus.
Ses gémissements se transformèrent en un long râle lorsqu’elle fut prise par son orgasme. Je sentis son vagin se contracter à travers la fine paroi de ses intestins et je laissais mes doigts fichés en elle le temps qu’il passe. Mon sexe étant de nouveau en érection, je décidais alors de déflorer ce trou auquel je n’avais encore jamais goûté. Je pris un peu de gel pour lubrifier mon gland et me positionnant derrière Marie qui ayant toujours son jouet en action dans sa chatte, continuait à gémir doucement. Je le guidais vers son petit trou que mes doigts venaient de quitter.Je fis une poussée lente pour ne pas lui faire trop mal, mais elle cria lorsque mon gland força l’entrée. Je marquais une pause pour qu’elle s’habitue au nouvel intrus puis reprenais ma lente progression jusqu’à y avoir introduit la moitié de mon sexe. Je commençais alors à faire de courts allers-retours jusqu’à ce que ses gémissements se transforment en cris."Vas-y encule moi!" criait-elle." Baise ta chienne!"Je sentais son conduit se lubrifier et m’enfonçai alors plus profond dans ses intestins. Quand je sentis mes couilles toucher ses fesses, je pris un rythme plus rapide. L’effet conjugué de ma bite et du jouet que je sentais bouger dans sa chatte la faisait gémir de plaisir. Au bout d’une dizaine de minutes, je finis par jouir une nouvelle fois au fond de son cul.
Nos sens apaisés, je lui retirais son masque des bracelets, le Magic rabbit et son collier. Nous nous enlaçâmes sur le lit et échangeâmes un long baiser plein de fougue."Je t’aime." Lui murmurais-je."Moi aussi, mais tu m’as éclaté le cul salop !" répondit-elle en souriant.
"Oui, mais tu as aimé ma salope, reconnais le..." dis-je."Oui j’ai adoré que tu me traites comme ça. Je t’aime..." répondit-elle.Nous échangeâmes un nouveau baiser langoureux et nous endormîmes épuisés.À suivre....
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