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Marie retrouve son ex

Chapitre 1

Il n'a pas trop changé

Voyeur / Exhibition
Quand nous étions plus jeunes, au début de notre histoire, Marie et moi cherchions à établir une vraie complicité sexuelle où nous oserions "tout" nous confier. Mais si je mets le "tout" entre guillemets, c’est qu’il reste forcément, au fond du jardin dit secret, quelques arpents qui demeurent inaccessibles à l’autre... et peut-être à soi-même, aussi. Ce bon vieil inconscient garde ses mystères, y compris pour son propriétaire... 
Un soir, j’avais dû demander à mon épouse de me parler de l’amant qu’elle avait eu avant moi... Il s’appelait Jérôme, un peu plus âgé qu’elle, c’était se souvenait-elle un vrai coquin, fétichiste des lingeries, et je n’avais pas trop de mal, du coup, à comprendre pourquoi dès le début de notre relation Marie avait consenti sans protestation aux bas, porte-jarretelles, culottes fendues qui n’avaient à l’époque pas trop la cote auprès des jeunes femmes féministes... Partis de quelques confidences, nous étions vite arrivés aux portes d’un véritable jeu érotique, qui se répéta de nombreuses fois je ne m’en lassais pas. Marie  me parlait de lui en me chuchotant à l’oreille des détails scabreux, qu’elle disait d’une voix qui me rendait marteau. Elle disait son prénom, me racontait comment ils faisaient l’amour, ce qu’il lui demandait, et comment elle le faisait. Elle me masturbait lentement, insistait sur des détails, avec une voix vicieuse et sensuelle. Ca me rendait brulant. Je me souviens d’une fois où mon éjaculation fut si violente que le sperme gicla jusqu’à mon oeil! Elle me racontait les positions préférées de Jérôme, la taille de son sexe. Un peu plus imposante, plus longue plus grosse aussi que la mienne. Il aimait le cul, cela nous faisait un point commun, en dehors d’elle. Et s’ils n’étaient pas restés ensemble très longtemps, ils en avaient fait suffisamment pour m’offrir des détails que je n’allais pas oublier... Elle ne lui avait refusé qu’une fantaisie, aller ensemble en club échangiste. Elle ne se sentait pas prête à franchir le pas des relations à plus de deux; et il n’avait pas plus que cela insisté. Cela serait mon privilège à moi, dont je vous parlerai peut-être. Une autre fois. Il n’empêche, dans ma vie fantasmatique, Jérôme a pris durablement la place de l’homme qui me met en danger, celui d’un rival, mais qui en même temps m’excite. J’ai mis longtemps à reconnaître qu’au fond, à cette époque, j’aurais du faire preuve d’un peu de lucidité: proposer à Marie de me présenter son ex... Et voir ce qui pourrait arriver. Mais on est parfois timoré quand on a vingt-deux ans. Du moins, je l’étais, à cette époque où nous n’étions qu’aux premiers temps de la révolution sexuelle post 68...Il y a quelques temps, probablement pour sortir un peu de cette fichue routine où souvent les couples finissent par s’enliser, j’avais suggéré à Marie, d’un ton facétieux : "et que devient-il d’ailleurs, ce Jérôme dont nous parlions autrefois? Tu n’as jamais eu envie de retrouver sa trace, sur internet? Cela ne te dirait pas de le chercher sur Google? 
Pour être tout à fait honnête, je m’en serais bien chargé en catimini, mais je ne connais pas son nom patronymique. Sur le même ton, j’ai continué:— Imagine si tu le retrouvais? Tu pourrais reprendre contact? Peut-être qu’il aimerait cela, rebaiser avec toi... Et toi avec lui?
Elle m’a regardé avec de grands yeux étonnés, et j’ai décrypté qu’elle trouvait mon idée saugrenue. Pas un instant je n’ai songé qu’elle ait pu songer à la mettre en pratique. Mais vous le devinez, la suite allait me prouver que non. Mais je l’ignorais à cet instant, et me contentai de savourer deux ou trois semaines durant, seul, ce fantasme masturbatoire...                                                                                                                   ***Mais voilà qu’une fin d’après midi, alors que je suis seul au logis, Marie m’appelle à l’heure où elle doit normalement quitter son travail :
— Chéri je serai là dans une demi-heure. Peux tu s’il te plait mettre un peu d’ordre dans le salon? Car je vais venir avec une collègue. 
Je dis OK. Je range un peu le bordel ambiant, songeant qu’il est bien rare que ma femme amène quelqu’un (ou une) à la maison... Probablement une discussion de travail, un dossier à finir... Le boulot, ça compte beaucoup pour elle...Un peu trop, à mon goût. J’aère le salon, passe un coup d’aspirateur. Vous me verriez... Un vrai grillon du foyer.
On sonne. Je viens ouvrir et Marie est là dans le hall. Sauf qu’à ses cotés ne se tient pas " UNE collègue", mais un homme, d’âge mûr dont le visage m’est inconnu. Il a les cheveux poivre et sel, sans barbe, sans moustache, sans lunettes. Bien mis, fière allure. Ne me demandez pas la couleur de ses yeux, contrairement à bien des gens, c’est un détail qui ne parle jamais. Je suis un peu surpris, je suis certain qu’elle a dit "une" collègue. Je le suis plus encore lorsqu’elle me dit dans un large sourire, et le regard direct, assuré "Chéri, je te présente Jérôme"... 

Je fronce les sourcils. Elle lance amusée de mon étonnement, "oui oui, celui auquel tu penses..." 

— Bonjour, dis-je... - et je saisis instantanément le sens de l’expression "se sentir un peu con"- .... Hé bien, entrez... 

Marie: - je vous laisse faire connaissance, sers donc un verre, dégelez la glace, je reviens dans dix minutes, un truc à finir... Je sens du très louche arriver. Je n’en reviens pas. Elle aurait donc osé???
Je dois me ressaisir. Un whisky? malt? Jack? un rhum? Ok pour un malt. Auchentoshan, cela vous convient? J’ai parfois entendu parler de vous, dis-je souriant, le parfait benêt... C’était il y a longtemps! 
— Oui, répond Jérôme, c’est qu’elle m’a dit. A vrai dire j’ai été surpris quand elle m’a appelé au bureau il y a deux semaines. D’une part je n’y vais plus beaucoup, je vais bientôt fermer le Cabinet . Et puis, après toutes ces années! Nous avons bu un verre la semaine dernière, elle ne vous l’a donc pas dit?
— Non, je réponds. Et je ne vous cache pas que c’est inattendu de vous rencontrer!
— J’espère que cela ne vous dérange pas, au moins! Elle m’a dit que l’idée venait de vous, que vous "mouriez d’envie" de voir à quoi je ressemblais... — Hum, pas faux, avoué-je un peu perturbé et amusé à la fois... Elle parlait de vous en des termes... disons... élogieux!
— Ah. Tant que ça ne vous rendait pas jaloux!! 
Ce type est sûr de lui, ça devrait m’agacer, mais honnêtement quelque chose dans sa décontraction découragerait toute agressivité. Il est... cool. 
Une voix féminie se rapproche, légèrement narquoise. - Alors, ces messieurs font-ils connaissance?
Là c’est le choc. Marie arrive vétue d’une nuisette transparente noire. En dessous, elle porte un ensemble noir également, sauf le porte jarretelles qui est rouge. Les bas noirs sont résille. Elle fait vraiment pute. Je remarque qu’elle a gardé aux pieds ses bottines. Elle vient s’asseoir à côté de Jérôme, en face de moi... Ces deux détails n’ont rien d’anodin. Quand elle me parlait de lui, elle me précisait qu’il aimait qu’elle garde ses bottines pour baiser. Et puis, il lui avait demandé de mettre le porte jarretelles rouge de sa "copine officielle". Et j’en avais acheté un à Marie, dans un sex-shop de Pigalle, lui précisant bien que j’avais été inspiré par ce détail de leurs relations...
— Comme je te l’ai dit lorsque nous nous sommes vus, il y a quelques jours, mon mari m’a questionné tant et tant de fois sur l’histoire que nous avons eue, que je me suis dit après tout, oui... pourquoi pas tenter des retrouvailles? Tu m’as rassurée, tu ne m’as pas trouvé pas trop vieillie...  Un vrai Gentleman! Alors je me dis qu’il est encore temps de prendre un peu de bon temps, qu’en penses tu? Luc ne sera pas contre. En tous cas, s’il l’est, il est trop tard! Il fallait qu’il tienne sa langue avant... 
— Mais toi tu peux me faire goûter la tienne...
Sur le fauteuil d’en face, je ne dis rien, c’est presque comme si je n’existais plus. Il semble que je n’ai aucun contrôle sur la situation. Il la pelote, lui roule des pelles la complimente sur son ensemble, lui dit qu’elle est très excitante, lui demande de vérifier, ce qu’elle fait en flattant la grosse bosse dans son pantalon de costume. Elle se fait peloter, ils se lèvent, elle lui enleve son pantalon, le salaud porte un caleçon de soie, et sa bite sort par la braguette. Elle est manifestement raide, dure, virile. Ma femme le complimente, le branle lentement, et lui dit en gloussant "tu n’as pas changé..." 
Ce n’est que plus tard, que je penserai à ce détail absurde, cette chanson de notre jeunesse... "Non je n’ai pas changé, je suis toujours celui qui t’a aimé..." 
Leur excitation monte... Je bande mais mollement, à la fois terriblement excité et tremblant. Ma femme a vraiment l’air salope, et elle le sait... elle se met à genoux devant lui, le suce un peu lui soupèse les couilles, puis me regarde, et lâche texto, sure d’elle-même comme je l’ai rarement entendue:— Nous allons aller dans la chambre, Jérôme et moi... Nous allons baiser dans le lit conjugal. On va bien s’envoyer en l’air, et toi, tu restes là. Jusqu’à ce que je t’envoie un SMS. Alors tu auras le droit d’entrer dans la chambre; mais uniquement pour faire ce que je te demande. D’accord, chéri? C’est mon idée. Et nous allons la suivre...
— d’accord...
— Viens Jérôme, suis-moi.
Et je reste là seul, comme un con... les tempes en feu. dix ou vingt minutes passent... un SMS arrive: "j’ai besoin de toi. Viens avec ton téléphone. Et frappe, avant d’entrer!.."
... Dans ma propre chambre! N’importe, je m’exécute... Au point où nous voici rendus. Ils sont là tous les deux sur le lit, en position de 69, elle au-dessus. Jérôme manifestement lui lêche la chatte, le clito, et peut-être aussi l’anus...tant qu’il y est... D’une main, il flatte le haut de ses bas, tire sur les jarretelles, en bon fétichiste savourant son vice.
— J’avais besoin de toi, me dit Marie. Tu vas prendre de belles photos de sa bite, tu te souviens lorsque je t’en parlais, comme ça t’excitait. Longue... et grosse, aussi, regarde. Et ses belles couilles aussi. Prends tout bien en photos, tu adoreras les regarder, plus tard. Ce sera ton souvenir... Et puis prends-en aussi quelques-unes pendant que je le suce, et que je caresse bien ses bourses, de ma main... 
Elle l’avale bien... J’obéis. Elle gémit. Lui, ne dit rien. "Il me lêche merveilleusement, tu sais, je suis totalement trempée... Bon. Ca suffit... Laisse-nous! je te rappelle un peu plus tard"...
Alors je quitte la chambre... je regarde les photos, cette fois je bande vraiment, ils sont en train de me faire cocu, tous les deux, et je n’ai que ce que je mérite, je me suis branlé tant de fois en y pensant...
Dix minutes passent. Bip. SMS. "On a besoin de vous, là!"
J’arrive, je frappe, elle me dit d’entrer, je m’exécute. A présent Jérôme, totalement à poil est sur le dos. Et elle au-dessus de lui, le chevauche, sa position préférée. 
— Chéri, me dit-elle tu vas pouvoir filmer cette fois. Me regarder bouger sur sa bite, je l’ai bien dans ma chatte, j’ai déjà joui avec sa langue , mais je crois qu’il va bien me prendre, à fond, sa queue est bien raide. C’est bon? Tu filmes? Alors filme bien ta femme qui te fait cocu avec son ancien amant! Tu sais que j’ai mis ce porte jarretelle rouge parce qu’il m’en avait fait porter un, celui de sa femme, ça l’excitait. Tu te souviens, Jérôme. Et j’ai gardé mes bottines aussi. Il aimait me baiser avec mes bottes, ce vicieux... J’aime ce côté catin que ça me donne, ah vas y jérome baise moi bien, c’est bon, j’en prends plein mon vagin, regarde chéri il me suce les tétons, tu vas avoir une belle petite vidéo porno, je suis sure que tu adoreras te branler en la regardant. 
— Allez laisse nous maintenant. Je te rappelle plus tard. Tout à l’heure...Elle fait exprès de "parler cochon". Les anglais disent "Dirty Talk". Elle sait que j’adore qu’une femme dise des mots crus au lit. Ce n’est pas vraiment son genre, mais elle joue un rôle. Et la garce le joue bien. On est à fond dans le cliché candauliste, le mari soumis qui n’a plus un mot à dire, et ne peut plus qu’obéir. La femme qui dirige et sait pertinemment, et très précisément où elle va, dominante. Qui a dit qu’il faut toujours refuser les clichés?
De nouveau, me voilà seul. Je me rends compte que j’ai joui dans mon caleçon sans même me toucher, tellement perturbé... La salope! on peut dire qu’elle m’a pris à mon propre piège! je n’en reviens pas de cette idée qu’elle m’impose. C’est d’un pervers, quand même!
Un moment passe. Nouveau SMS: "vous êtes attendu pour une aide immédiate". Je frappe à la porte. Qu’a-t-elle organisé à présent?
— Entre! cette fois, Marie est à quatre pattes sur le lit, son large cul cambré, encadré par les jarretelles sur ses cuisses, et la pièce de tulle rouge qui les maintient.  et Jérôme toujours au mieux de sa forme. Pubis fourni, quelques poils sur le torse, le ventre assez plat, ce n’est pas mon cas. Rien à faire, il est bien mieux conservé que je ne le suis. "Jérôme a très envie de m’enculer, chéri... Et je n’ai rien contre! Tu sais, quand je te racontais qu’il m’avait sodomisée, à l’époque, j’inventais... Pour t’exciter... Mais à présent, ce n’est pas pareil, n’est-ce-pas? Il y a des choses qu’on peut offrir à son amant, sinon, à quoi bon? 
Et la voilà qui continue, lascive, lubrique...
— Alors je me suis dit que tu serais content de bien préparer mon petit trou. Le gel est dans le tiroir, tu vas bien me lubrifier, pour qu’il puisse m’enfiler. Et si tu veux, ajoute Jérôme, tu peux aussi préparer ma queue, tu verras que ta femme me fait un effet qui n’est vraiment pas du chiqué.
Alors voilà. Je passe le gel sur l’anus de ma femme, un doigt dedans aussi... Puis deux... Je branle la queue de son amant pour bien l’humidifier. Il va l’enculer devant moi. Elle gémit un peu, il entre, il enfonce, lentement mais surement, elle fait des ho et des ha puis se laisse aller! vas-y chéri, vas-y mon amant, prends moi bien le cul, bouge sensuellement j’adore ça, putain... Je me fais enculer devant mon mari c’est bon... Je me touche le clito en même temps, vas y oui comme ça, n’arrête pas, putain tu me remplis totalement, c’est bon ta grosse verge dans mes fesses, regarde Luc, je peux te dire que je ne l’avais pas fait avec lui, mais j’aurais dû, j’aurais pu t’en parler avec plus d’insistance! oh c’est bon, bordel, de me faire prendre les fesses...Il ne la démonte pas, comme on dit. Il va et vient entre ses reins, merci Gainsbourg, sensuel et efficace, sans brutalité excessive. On n’est pas dans ces vidéos où on a l’impression qu’il faut épuiser à tout prix la coquine, et lui montrer qui sont les mâles. C’est plus soft, plus langoureux. Mais elle aime visiblement, ses gémissements ne sont pas feints, elle va prendre son pied. 
Et donc elle jouit de nouveau, et cette fois devant moi... quelle tringlée. Jérome bouge, laisse le flot de jouissance s’apaiser, puis il retire sa queue. Sur le préservatif, quelques marques brunes... Je crois que tu vas devoir nettoyer avec ta bouche... Et me voilà en train de sucer la bite de l’amant de ma femme, de prendre et lêcher le gôut de merde sur sa queue. Ca me dégoute pas, on a déjà tenté de petites incursions dans l’univers scato. Léger, mais suffisant pour s’en faire une idée assez précise. Et tandis que Marie enfonce deux doigts dans mes fesses, de l’autre, elle branle ma bite qui s’est mise à rebander. Elle me traite de mari pervers, de vicieux voyeur, de cochon dépravé... Finalement Jérôme décharge dans ma bouche pendant que Marie triture pince, ma bite. 
L’amant me dit j’ai giclé dans le vagin de ta femme et dans ta bouche. C’est une bonne prise de contact! Très heureux d’avoir ainsi fait ta connaissance. Tu suces plutôt bien, tu sais... 
Il n’est pas du tout condescendant ou méprisant, sympa. Viril et sympa. Il vient de sauter ma femme par les trois orifices... Moi à cet instant j’ai l’impression d’être sur une autre planète. Et je ne suis pas prêt de me remettre de ce scénario enfin réalisé. Jamais je ne l’en aurais cru capable... 

Mais un peu plus tard, vient le temps de la question qui dérange... Et si ils avaient envie de recommencer? Le plus cruel dans l’aventure candauliste., c’est qu’elle se vit forcément avec un arrière gout de danger dans la gorge. Au moins les premiers temps?
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