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Marie retrouve son ex

Chapitre 3

Parlons-nous, les chéris!

Voyeur / Exhibition
Elle a mon aval. Elle peut me tromper avec mon consentement. Elle a le numéro de portable de son ex, des RTT à récupérer. Des lingeries sexy plus qu’il n’en faut. Et pendant deux semaines... elle ne me dit rien. Elle ne fait pas la moindre allusion... joue avec mes nerfs, ou bien ? Evidemment que j’ai envie de lui demander "comment va Jérôme, à propos ? Tu as des nouvelles ?..." D’un ton badin... Mais en profondeur, tu parles, je crève d’envie de savoir où ils en sont ! Et elle, pour s’amuser, par sadisme, si je comprends bien, fait celle qui aurait tout oublié... A moins qu’elle ne cède à ce petit Satan fameux, diable de procrastination qui dit tu appelleras demain, sachant plus ou moins, - ou fort bien -, qu’il trouvera demain dix nouvelles raisons de repousser à plus tard.
Marie a peu de défauts, mais elle a souvent eu celui-là. Les féministes qui me liront penseront évidemment qu’elle est tout à fait libre d’agir à sa guise et à son rythme ! Qu’elle n’a pas de compte à me rendre ! D’autres, des maris, souligneront que je n’ai pas vraiment à me plaindre. Leurs femmes n’en font pas le dixième pour apaiser leurs lubies vicieuses... Tout cela est rigoureusement juste, inutile de tergiverser. Mais ce maudit désir de vouloir aller plus loin, de prolonger chaque fois par une étape nouvelle, c’est un de mes pires défauts. Autant l’avouer, c’est la nouveauté qui m’excite...
Mais dans un cadre raisonnable, ce qui est déjà un paradoxe, peut-être même un contresens. J’aime que ma femme parle comme une grosse baiseuse, avec des mots précis, cochons... Mais en gardant une voix sensuelle. J’aime l’idée qu’elle s’autorise des envies d’ailleurs, avec ma bénédiction... Mais pas trop loin, voyez ! Dans les limites que je dessine dans ma tête. On est libéral, consentant, libertin même, mais dans le respect de certaines normes sanitaires, n’est-ce pas ! Ma femme dans un gang-bang ? Vous plaisantez, j’espère ! Salope, oui ! mais c’est quand même la mère de mes enfants ! Qui sont grands, laissons-les en paix.
Je pense que bien des hommes sont comme moi. Même quand ils cèdent aux sirènes de la pluralité, au libertinage, ils escomptent quand même que la situation restera à peu près sous contrôle. Si l’on omet les risque-tout, les casse-cous, excités avant tout par une mise en danger frôlant le rail de sécurité.
— Chéri, c’est décidé! Je pars vivre avec Jérôme ! Non seulement il baise mieux que toi, il tient plus longtemps... mais il n’a pas quinze kilos de trop, lui. En revanche, il a des stock options et roule en Mercédès !
... Non. Stop. On la refait.
— Chéri, merci de me laisser prendre du bon temps avec ce bel homme mature, qui est OK pour me baiser, et plutôt très bien ! et qui n’en demande pas davantage ! Il est disponible pour jouer de temps en temps l’étalon viril, sympa, coquin, gentleman, qui pour autant ne cherchera pas à te bousculer de ton petit trône de mari, conciliant et vicieux... mais à temps partiel !
... C’est bon ! On la garde !
Pour l’heure et depuis deux semaines, Marie petite Garce Mature n’a pas évoqué une fois, ni de près ni de loin, le possible deuxième épisode avec le Gentleman en question, qui était sinon programmé, du moins envisagé... J’apprends pendant deux semaines les joies de cette sensation qui gratte: être sur le grill, sans connaître la durée du temps de cuisson...
J’ai compté. Nous en sommes à présent à dix-huit jours... Quand après dîner, rongeant mon frein, je suis au lit, en t-shirt, bouquinant avec lunettes sur le Net, plus tranquille que moi, il n’y a pas. Marie entre, et se place au pied du lit. Debout, face à l’époux.
Dialogue in extenso. Marie et Luc, intérieur, lumières d’ambiance:
— (Ton léger) : Je peux déranger ta lecture, Luc ?— (Détaché. Faussement...): Hmmm... Oui ! Aucun problème.— (Pointe d’ironie): J’admire ta discrétion, mon chéri ! Voilà bientôt trois semaines que nous avons eu cette petite séquence "Jérôme, Le Retour"... et tu n’as pas cherché à savoir s’il y avait de nouveaux épisodes disponibles en téléchargement ? Je te pensais plus curieux !
— (sur le même ton): Je ne voulais pas te mettre la pression, ma chérie. J’ai simplement pensé qu’il fallait modérer mes ardeurs... Toujours vouloir tout diriger, tout manager, tout contrôler... Je n’ai pas bien fait ?— Admettons, mon Lapin... Tu es bien installé, dans notre lit douillet ? me glisse ma drôlesse, en un sourire soudain mutin... Je dois passer un petit coup de téléphone. Mais tu ne me déranges pas, tu peux rester !
Elle a le portable en main. J’ai oublié de préciser - où ai-je la tête-, qu’elle est entrée dans notre chambre d’amour, portant ce kimono rouge que je lui ai offert... pour une Saint-Valentin, si je me souviens bien.
— Allo ? Bonsoir Jérôme... Je te dérange pas ? Tu te souviens, on avait prévu de se parler ce soir, tu es dispo ? OK !
Je n’entends pas ce qu’il lui dit... Option haut-parleur éteinte.
— Oui, c’était très bon, hier après-midi, qu’elle minaude. J’avais oublié que tu étais un aussi bon amant. Tu n’es plus tout jeune, mais quelle énergie intacte...
(...)
— Tu as aimé comme j’étais habillée ? Le porte-jarretelles rouge, c’est un peu notre fétiche, tu sais ! A tous les trois ! C’était déjà la couleur de celui que tu m’avais demandé de porter, dans nos années fastes ! Celui de ta femme, je crois bien... Ca avait tellement marqué Luc, quand je lui avais révélé ce détail ! Ca l’avait excité, tu ne le croirais pas. Du coup, il m’avait acheté celui-là, et il avait précisé, ce petit pervers, "chaque fois tu le porteras, je penserai forcément aux moments où tu baisais avec lui"...
(...)
— Ah ah ! rit-elle, oui, mon mari a une vision toute personnelle du romantisme... Effectivement ! Je voulais te dire que j’ai adoré ce 69. Et quand tu m’as prise debout, je n’avais plus fait ça depuis des années. Ton sexe était si dur, bien en moi... Tu sais, Luc est en train de m’écouter ! Ce vicieux a sorti son zizi, et il se caresse en m’écoutant, le salaud !
(...)
— Oui, oui, il bande assez convenablement ! Il aime manifestement savoir que tu m’as bien baisée hier... Mais, non... non, non... Oui ! — Luc ? Jérôme me demande si je t’ai parlé de notre trio de la semaine passée ! Je ne t’ai rien dit, je voulais te faire un package avec la rencontre d’hier...
Marie a ouvert son kimono. Elle est nue en dessous, et elle a depuis deux minutes la main disponible qui fouille dans ses poils, et glisse entre ses cuisses... Elle s’exhibe au téléphone devant moi...
— Oui, mon amant, je suis en train de me masturber, tu devines tout ! Oui, je repense à ce trio... Valérie, cette douce amie que tu m’as présentée, c’est vrai qu’elle est en surpoids ! Mais elle a une si belle paire de seins ! J’ai adoré les téter pendant qu’elle me branlait et que tu la pénétrais en levrette... C’est une vraie petite docile, obéissante. Bien disponible... Une bonne petite grosse ; nonchalante, on sent qu’elle adore se laisser faire... Oui, j’ai aimé aussi qu’elle me lèche pendant que je suçais ta grosse belle tige... Et qu’elle vienne m’aider ensuite. Toutes les deux, en nous roulant aussi des pelles...
Elle pousse des petits gémissements tout en lui parlant. Elle me regarde droit dans les yeux, excitant l’amant, et le mari. Dont la tension monte.
— Tu te touches, toi aussi ? Oui, Luc se branle en m’écoutant ! Il est encore plus voyeur en audio qu’en vidéo ! Donc, je disais, ce serait une bonne idée de réunir mon mari et ta petite soumise, ils pourraient se tripoter tous les deux, ces gros cochons, et se raconter nous deux, toutes les situations qu’ils imaginent pour nous. Valérie pourra lui raconter en détail notre partie à trois ! J’ai quand même entendu qu’elle savait bien parler cochon, cette petite pétasse... Oh je mouille beaucoup, je crois que je vais aller me faire lécher par mon mari... Il faut quand même ne pas le laisser trop seul, le chéri...— Et puis elle ajoute, oh j’allais oublier ! Merci pour ce rosebud que tu m’as offert hier. Je l’ai porté toute la journée au travail. J’ai bien serré pour qu’il ne s’en aille pas... Attends, je vais le montrer à Luc...
Elle se retourne, se penche en avant, je vois son large fessier, bien charnu, elle en écarte les lobes, des deux mains, le téléphone posé contre les livres sur une étagère de la bibliothèque. Au milieu de la raie, un bijou argenté cache son anus. S’il se met à lui faire des cadeaux, je prends un vrai risque ? Vous croyez ?
Marie lui souhaite une bonne soirée: "bisous coquins partout, à bientôt mon amant !". Et elle vient s’allonger près de moi.
— Maintenant, viens me finir, cette conversation m’a un peu inondée ! Ecoute-moi, lèche bien la chatte de ton épouse. Je vais te parler un peu de la façon dont il m’a sautée hier après-midi. Et elle ajoute... Tu n’auras le droit de te branler que quand tu m’auras fait jouir... Mais je suis tellement chaude que si tu t’y prends convenablement, tu ne devrais pas attendre trop longtemps !
Je suis à genoux devant la fente gluante de ma femme, vicieuse et offerte ! elle est bien humide, ses poils sentent bon la journée de travail, je la soupçonne de ne pas s’être essuyée quand elle est allée aux toilettes... Et elle pisse souvent, et beaucoup...
Je la lèche avec application, sans toucher mon sexe. J’y vais en douceur pour ne pas trop précipiter le plaisir, pendant qu’elle me dit des choses bien crues... " Sa queue était très dure hier. Il m’a demandé de lui lécher les couilles, d’en prendre une dans la bouche. Il sentait ma culotte pendant que je le pompais, il m’a dit que mon odeur intime lui tournait la tête. Elle cesse de parler, elle gémit, se cambre, se braque, et je sens l’orgasme monter alors elle se lâche !
— Oui, j’aime sa grosse bite, elle est plus grosse que la tienne, plus longue aussi, j’aime comme il me fourre, je T’AIME, Luc, mais j’aime que tu me pousses à aller niquer avec lui ! Sa grosse verge, si tu savais ! Elle crie. Les voisins auront du mal à s’endormir.
Je continue de passer ma langue partout tandis que l’énergie retombe un peu. Je tourne le rosebud entre ses fesses, lentement, elle dit je le porte depuis ce matin, je ne sais pas dans quel état il va sortir...
Elle rit, et minaude: - viens, je vais te soulager, mon mari cocu ! Tu aimeras ça, je crois qu’on te présente à Valérie. Vous pourrez vous tripoter, elle et toi, c’est une femme de la quarantaine, une rousse très en chair, comme toi, hi hi. Vous pourrez vous faire des confidences, entre partenaires bienveillants... Elle te parlera bien de lui, et comment j’ai joui avec elle. Tu adoreras.
Je n’ai pas dit un seul mot, vous remarquez. Juste je crie en ahanant, un vrai primate, et je jouis avec force, je mets du foutre partout sur mon ventre, mes cuisses, le drap. Chaque fois qu’elle m’a parlé de lui, c’est pareil: j’ai toujours joui avec une force incroyable. Même quand je pense à eux en train de forniquer, je ne tiens pas longtemps et j’ai des orgasmes étonnants. C’est dingue. Trente ans que ça dure.
Vous trouvez que je devrais m’inquiéter ? Voir un psy ?
C’est ce que j’ai fini par faire. Le sexologue m’a résumé l’affaire: " vous venez juste de vous confronter à cette réalité. Vous êtes un soumis qui s’ignorait. Vous êtes un masochiste qui n’avait pas trouvé le moyen de confronter sa souffrance à son désir. Vous vouliez le danger, l’inconnu, le risque. Vous voici exaucé. Mais toute médaille ayant son revers, il est fort possible que vous deviez en assumer le prix".
Quel sera le montant de l’addition ?
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