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Marie.... si tu savais...

Chapitre 2

Avec plusieurs femmes
Marie si tu savais...Chapitre 2/2.Jean ne se fit pas prier pour venir se coucher entre les deux femmes... Le divan c’est bon pour s’asseoir, mais pour dormir ce n’est pas génial...Cette nuit-là, Marie était totalement désinhibée... Solweig venait de lui offrir une jouissance lesbienne comme elle n’en avait jamais connu... elles cherchèrent ensuite à la partager dans une combinaison classique, tête-bêche, l’une en face de l’autre, mais sur un lit...Repues de jouissances, elles étaient de nouveau dans les bras l’une de l’autre quand Marie aperçut Jean qui les observait par l’entrebâillement de la porte.
Sur un signe des deux femmes, il s’approcha et se coucha entre elles en murmurant à l’oreille de sa femme :
— Marie... si tu savais... comme je t’aime...
Et Jean se tourna vers Solweig pour l’embrasser et caresser doucement ce jeune corps que sa femme semblait vouloir lui offrir.
— Oh oui... aime-la... Elle vient de connaître une terrible désillusion...— Explique...— Plus tard... Pour le moment, elle est en manque d’un homme...— Oui... mais je veux aussi te faire plaisir... Viens te mettre en 69 en dessous de moi... Ton homme ne sera certainement pas contre une levrette... J’en avais un peu marre de la traditionnelle position du missionnaire...— Avec Jean, on ne risque pas la monotonie... Tu verras, il est particulièrement inventif lorsqu’il s’agit de baiser une femme...— Si je comprends bien, tu n’es pas la seule et en plus tu me le prêtes pour un certain temps ???— Oui... Pour tout le week-end si tu veux et même plus... Vous vous occuperez de la voiture lundi matin...— Oh... t’es un amour !!!
J’étais allongée sur le dos et Solweig se mit tête-bêche au-dessus de moi... Une lampe d’ambiance éclairait la chambre... J’avais une vue imprenable sur son entrejambe dont les lèvres étaient finement découpées... son bourgeon d’amour sortait du capuchon et aussitôt, je le gobai entre mes lèvres...
— Oh oui...
Ce furent ses seules paroles, car Jean venait d’enfourner sa bite dans la bouche notre nouvelle amie.
— Suce-moi un peu et ensuite tu vas sentir...
Au moment où j’ai senti que Jean s’enfonçait dans le vagin de Solweig, cette dernière a dit :
— Oh oui... t’as une bite qui va m’envoyer en l’air... MERCI Marie...
Je voyais le sexe de mon mari aller et venir dans celui de Solweig et son bouton d’amour qui pointait en haut de son clitoris.Je me posai la question : mes mains seront-elles suffisantes pour le caresser ou dois-je y mettre mes lèvres... Et bien après quelques secondes d’hésitation, je relevai la tête et je suis venue gober cette excroissance si bonne à goûter et à caresser. Ne suis-je pas moi-même une inconditionnelle de l’autosatisfaction que j’apprécie particulièrement lorsque je suis seule dans un lit... Comme beaucoup de femmes, Solweig ne serait certainement pas insensible à mes entreprises... ce qu’elle me confirma aussitôt :
— Oh oui... mange-moi le clito. C’est très bon... Tu as trouvé mon point le plus sensible...— Et mon homme... il te fait du bien lui aussi ???— Oh oui... je sens sa bite qui va tout au fond de ma chatte...— Tel que je le connais quand il baise une nouvelle femme, il prend son temps... Savoure ce moment !!!
Je suçais ce bonbon comme une friandise et j’avais en premier plan le sexe de mon homme qui allait et venait dans celui de Solweig. Tantôt, il semblait animé d’une frénésie telle qu’on aurait dit un piston bien huilé... Tantôt, il allait doucement, mais entrait au plus profond à tel point que ses bourses me gênaient pour continuer à honorer notre nouvelle amie...Soudain, Jean se tétanisa... Je savais qu’il avait atteint le point de non-retour et qu’il s’apprêtait à inonder de son foutre le fond de la chatte de Solweig dont je mordillai le clitoris... Elle jouit aussitôt, ruant comme une cavale rétive, mais comblée.
— Jean... laisse-moi quelques gouttes...
Ce coquin savait ce que je voulais... Ce n’était pas la première fois où, sortant de la chatte d’une femme, je lui demandais de m’offrir les dernières gouttes de sa jouissance...Mais tous les trois, nous étions repus. J’étais aussi, je l’avoue, fatiguée de mon trajet depuis Paris si bien que désunis, mais proches l’un de l’autre, nous nous sommes endormis, bras et jambes emmêlés... Heureusement que le lit était vaste... Les coquineries que nous venions d’y faire en faisaient un lieu de prédilection...
Le lendemain matin, j’avais encore envie de faire l’amour... mais Jean semblait encore dans les limbes, bien que son sexe présentât une forme très acceptable comme presque tous les matins.Dormait-il encore comme le faisait Solweig qui, sur le côté, offrait la vision de ses petites fesses à mon regard... Je pensais en moi-même que j’avais bien fait de venir à son secours : Cette panne de voiture était véritablement providentielle et la rupture avec son mari, un élément de plus qui l’avait poussée dans mes bras... N’étais-je pas légèrement bisexuelle ???
A voix basse, Jean me dit :
— Marie, j’ai envie de te baiser...— Moi aussi...— Alors... qu’est-ce qu’on attend ??? Viens sur le balcon, l’air frais nous fera du bien...
Nous nous sommes levés sans déranger Solweig qui dormait profondément et nus tous les deux, nous sommes passés sur la terrasse. Comme souvent depuis que nous avions aperçu qu’un voisin nous épiait à la jumelle, je me suis accoudée à la rambarde pour offrir à Jean la vision de mes reins et de mes fesses à laquelle il ne sait pas résister... Le voisin (s’il était là, aurait la vision de mon opulente poitrine agitée des soubresauts que la copulation de mon homme ne manquerait pas de leur imprimer).Son sceptre d’amour était dressé comme si la perspective de m’embrocher ou même l’éventualité d’être vus l’excitaient. J’avais les coudes en appui sur le haut de la balustrade et d’un geste impudique, j’avais saisi mes fesses entre mes mains pour ouvrir ma fente.
— T’es vraiment une salope... Je vais te saillir comme tu le mérites...
D’un seul coup, Jean logea sa bite tout au fond de moi... Je n’aurais pas été en appui sur la rambarde que je me serais affalée en avant tant il y avait mis de l’ardeur... En saisissant mes seins généreux pour faire rouler les tétons, il commença à me copuler, sortant presque à chaque fois pour me pénétrer en force en faisant claquer son bassin contre mes fesses jusqu’au moment où il m’a copieusement inondé la matrice de son foutre... En sentant ces salves, j’ai joui à mon tour dans un grand cri :
— Oooouuuiiii ! C’est boooon !!!!!— Oh... pourquoi ne pas m’avoir réveillé ???— Tu dormais si bien...— C’est de sentir le lit vide qui m’a tiré du sommeil... Laisse-moi goûter le jus qui va s’écouler de ta chatte...— Viens sur le lit... Ici, il fait un peu frisquet... Je ne voudrais pas que tu prennes froid...— Oh... je suis bouillante !!!— Raison de plus ! Jean va nous préparer un petit-déjeuner pantagruélique que nous prendrons sur le lit... T’es d’accord ???— Oh oui... je sens que ça va être chaud... Je n’aurais jamais cru que c’était si bon de baiser ainsi...— Et encore... il y a mieux... Je ne te fais pas de dessin...— J’imagine... Une partie carrée... ou deux hommes pour une femme ???— Tout à fait...— Que de temps perdu... J’étais une petite oie blanche perdue dans son village de campagne quand mon crétin de mari m’a fait la cour et pris mon pucelage au bout de deux semaines...— Ne me dis pas que tu n‘as connu qu’un seul homme ???
Solweig avoua piteusement que c’était le cas... Jusqu’à hier soir, aucun autre homme n’avait posé les yeux sur elle ou tenté un compliment tant son mari veillait jalousement sur elle... Il cachait bien son jeu...
Le petit-déjeuner fut un enchantement... Jean avait préparé sur la table roulante des jus de fruits fraîchement pressés, des toasts grillés, diverses confitures et une pleine cafetière d’où s’élevait un parfum que j’aimais bien. Souvent, avant de boire un café, je reniflais l’odeur qui montait de la tasse... C’était comme une drogue et ma secrétaire le savait très bien... Avant toute réunion, elle m’en apportait une grande tasse fumante qu’elle avait concoctée sur une machine achetée presque à mon intention exclusive : nous n’étions qu’un très petit nombre à pouvoir nous y approvisionner...
Ce petit-déjeuner fut l’occasion de mieux nous connaître... de bavardages en confidences, nous avons appris que le mari de Solweig l’avait quelque peu enfermée dans une tour d’ivoire : il lui avait interdit de travailler (il avait des moyens confortables) et ne connaissait qu’une vie oisive qu’elle passait en visitant des expositions ou des musées... Parfois, suivant les suggestions de son homme, elle achetait des vêtements qu’elle portait une fois ou deux avant de les reléguer au fond d’une armoire... La seule chose que son homme exigeait d’elle, c’était qu’elle porte toujours des sous-vêtements sexys comme ceux qu’elle portait la veille... Elle disait que cela lui faisait l’impression d’être une pute qu’on s’apprêtait à vendre au marché des esclaves...
C’était d’ailleurs presque les seules choses qu’elle avait mises dans ses valises : toutes ces fanfreluches et quelques vêtements confortables qui lui permettraient de recommencer à vivre chez sa tante préférée...
— Si je comprends bien, tout ce que tu m’as dit à propos de ton mari... ce sont des fariboles...— Oui et non... Au début, il était charmant puis au fur et à mesure des mois, il est devenu dominateur, exigeant, bref, je ne me sentais plus à mon aise dans notre relation...— Mais vous étiez mariés !!! Tu as pris la bonne décision en le quittant et tu es tombée à la bonne adresse... Jean est un avocat de renom dans la région... Il va t’aider pour le divorce, car je suppose que ta décision est prise ???— Oui... oui... Je ne veux plus avoir à faire avec ce salaud...— Bon... on parlera de tout ça plus tard... Pour le moment, avoir deux jolies femmes à mes côtés, je pense qu’il y a mieux à faire...— Oh coquin... Solweig te met en forme à ce que je vois entre tes cuisses !!! Je vous laisse, car je pense que tu as laissé la cuisine en désordre comme d’hab’ !!!— J’étais pressé de vous retrouver...— A d’autres !!!
(à partir de là, c’est Jean qui poursuit le récit...)Hier soir, j’ai eu la surprise de découvrir que Marie ramenait à la maison une bien jolie jeune femme... Cela lui arrivait de draguer pour moi, mais quand elle m’a expliqué les raisons de la présence de Solweig, j’ai pensé en moi-même que mon épouse avait été bien inspirée... Une blonde longiligne avec une brune mature, cela ferait un beau duo... mais est-ce que cette nouvelle venue se laisserait circonvenir ???Mais je n’imaginais pas ce qui s’était passé au cours de la nuit !C’était la confirmation des choses et de voir Marie et Solweig s’aimer, c’était vraiment très excitant... et ce matin, bien qu’ayant déjà fait l’amour à Marie, je me sentais très en forme... Cette coquine aurait-elle mis un quelconque aphrodisiaque dans ma tasse de café ???Bref, en bavardant avec Solweig, j’avais la bite dressée, prête à partir à l’assaut de cette jolie blonde que j’avais déjà honorée une fois...
— Tu m’as prise en levrette pendant que je faisais minette à Marie... Je suppose qu’il y a plein d’autres positions ??? Avec mon homme, on ne sortait guère des sentiers battus : le missionnaire était son grand classique, parfois, il ne prenait debout au sortir de la douche...— Si tu veux une démonstration, je ne suis pas contre... D’ailleurs, Marie m’a en quelque sorte donné carte blanche !!!— Oh oui... J’ai envie de savoir, comme cela, je saurai retenir mon prochain amant !!!— Tu vas bien vite en besogne... N’oublie pas qu’au regard de la loi, tu es une épouse adultère...— Je m’en moque... Montre-moi d’autres positions...— OK... pour commencer, on va expérimenter la cavalière... Il y a deux versions...— Ah bon... lesquelles ???— Tu verras en cours de route... Pour l’instant, viens me chevaucher... tu n’auras qu’à te laisser glisser sur ma bite et à monter et descendre à ton rythme. Comme cela, ce sera à toi de doser la pénétration surtout quand tu auras une queue bien plus conséquente que la mienne à absorber...— Oh... c’est bon... je suis bien remplie jusqu’au fond et je te sens bien !!!— Et moi, je me régale de voir tes petits seins tressauter quand ma bite est tout au fond de toi...— Et si on passait à la seconde version ???— OK... Tourne-moi le dos et laisse-toi descendre de la même manière. Tu peux poser tes mains sur mes genoux ou si tu es un peu équilibriste, tu peux assumer la chose sans autre appui...
Désormais, j’avais sous les yeux les petites fesses bien fermes de Solweig qui montaient et descendaient sur mon sceptre qu’elle absorbait entièrement... Je voyais aussi son sphincter qui palpitait et semblait s’ouvrir à chaque pénétration... Bien que n’étant pas un adepte féru de pénétration arrière, j’approchai mon index et je titillai la corolle.
— Oh non... c’est sale !— Ma biche, tu ne sais pas ce qui est bon ! Demande à Marie... elle aime bien de temps à autre se faire sodomiser...— Cela se fait dans les relations amoureuses ???— Oui, pour certaines personnes, c’est une pratique régulière...— Ce qui n’est pas le cas pour Marie et toi ???— Non, il y a bien d’autres plaisirs...— Tu m’apprendras ???— Oui... je crois que tu as beaucoup de choses à apprendre... Bien maintenant, passons à autre chose...— Que vas-tu me faire ???— As-tu entendu parler de la paresseuse ???— NON... c’est quoi ???— Allonge-toi sur le côté et tu verras... c’est très agréable pour les deux partenaires...
Dès que Solweig a pris la position demandée, je suis venu derrière elle et j’ai écarté ses fesses.
— Non, je t’ai dit que je ne voulais pas...— Mais je ne veux pas te sodomiser... N’aie pas peur... Tu verras, c’est très bon...
Donc, ayant écarté ses fesses, je glissai mon bout entre ses cuisses et j’entrais sa chatte qui était humide des précédentes pénétrations... Après quelques mouvements pour trouver le ‘’ bon angle ‘’, je suis allé chercher un des ses petits seins dont j’ai fait rouler le téton entre mes doigts et j’ai glissé l’autre main en passant sous son corps pour aller titiller son bouton d’amour...
— Humm... c’est bon...
Devant cette approbation, j’ai continué à baiser Solweig dans cette position... Je n’en pouvais plus de me retenir et cette fois, je voulais lui inonder la chatte... chose qui n’a pas tardé, car ses petites fesses contre mon pubis me faisaient beaucoup d’effet !!! Peu de temps après, Solweig jouissait à son tour en mordant une de ses mains, certainement pour ne pas manifester sa jouissance à haute voix...
— Alors les coquins... votre exploration de la carte du tendre se déroule bien ???
C’était Marie qui venait nous surprendre...
— Oh oui... Jean m’a déjà montré des positions que je ne connaissais pas, mais ton homme est un coquin...— Ça, je le sais... qu’a-t-il fait ???— Il a voulu entrer un doigt entre mes fesses...— Ah le coquin... C’est avec lui que j’ai découvert la sodomie...— Raconte...— Un soir où nous avions bien fait la fête pour notre premier anniversaire de mariage et bu un peu trop de champagne, il a commencé à me lutiner et je me suis laissé faire... Il avait prémédité les choses, car il a sorti un tube de gel adoucissant et des capotes de la table de nuit. Devant mon air ahuri, il m’a dit de le laisser faire... que je lui en dirais des nouvelles après... Et effectivement, ça a été génial... Il avait dû pratiquer avant de me connaître, car il a été doux et il a su me mettre en confiance... Nous recommençons de temps à autre, mais ce n’est pas vraiment mon truc...— Et ton truc comme tu dis ???— C’est de sentir sa bite longue progresser dans mon vagin et l’ouvrir avant de me baiser en profondeur... Ce coquin m’a même prise en photo avec sa bite plantée dans ma chatte...
Marie s’était quelque rhabillée... elle portait un ensemble que je lui avais acheté il y a quelques mois. Fait de dentelle et de lycra, il moulait son corps au plus près et laissait voir le petit tatouage sur le côté de sa fesse droite... Sa poitrine était prise dans un soutien-gorge noir lui aussi, et ses petits tétons pointaient dans la fente des bonnets... Elle portait aussi des chaussures à plate forme qui la grandissaient encore...
— On se croirait au temps des maisons closes... Tu ne déparerais pas dans le décor !!!— Et alors, ça ne te plaît pas que je sois pute sur les bords ???— NON... tant que je suis le seul à en profiter !!!— Il faudra que je vous raconte une scène que j’ai surprise quand j’ai voulu reprendre la voiture au parking souterrain de la boîte... mais pour l’instant, je pense que vous avez autre chose à faire que de roucouler...— Oui... on doit parler un peu du divorce.— Et moi, je vais me faire plaisir !!! Il parait que tu as acheté une belle machine...— Oui... elle est dans le cagibi, prête à l’emploi... Je pense qu’en lisant rapidement la notice, tu en feras bon usage !!!— Oui... je m’en doute... depuis le temps qu’on parfait d’un tel achat... Mais pourquoi l’avoir fait livrer ici ???— A Paris, tu en abuserais !!!
(Marie reprend le récit).Après un déjeuner frugal et un café bien parfumé, nous éprouvons tous les trois le besoin d’une sieste réparatrice, car la nuit a été courte et pleine de sensations coquines.Nous nous retrouvons Solweig, Jean mon mari et moi dans l’immense lit conjugal où nous nous sommes mis à notre aise.Jean est simplement vêtu d’un boxer où son sexe est très apparent... Solweig est allée chercher dans sa valise un ensemble qui lui va à ravir et qui m’émoustille un tant elle est mignonne parée ainsi : Un ensemble fait d’un mélange de dentelles rouge et noires qui fait un effet ‘’ push-up ‘’ à sa poitrine menue et un tanga dans le même tissu. Quant à moi, j’ai été obligée de me changer après avoir essayé la machine à baiser arrivée en mon absence... J’avais revêtu un déshabillé de dentelle blanche qui tranchait sur ma peau mate de brune, mais il laissait voir une grande partie de ma poitrine... En l’enfilant au sortir de la douche, j’avais pensé que Jean ou Solweig ne seraient pas insensibles à ma tenue. D’ailleurs, j’en avais eu confirmation au cours du repas...
Notre intention initiale d’un repos a été vite balayée quand Solweig m’a dit :
— Regarde ton coquin de mari... Il semblerait qu’il n’en a pas encore assez de nos entreprises...— Oui... Il bande au point que le gland menace de sortir par la ceinture de son boxer !!!— Et si on en profitait ???— Comment ???— Une pipe à deux bouches... ça te parle ???— Oui... je vois... on va le sucer ensemble !!!— Oui, on va se partager ‘’ son service trois-pièces ‘’.
C’est ainsi qu’après avoir ôté le boxer de Jean (qui faisait semblant de dormir) Solweig et moi, nous nous sommes partagé les caresses et les baisers sur le sexe de mon mari... Solweig n’était pas la dernière à lécher et à sucer la tige de Jean qui allait et venait entre ses lèvres pendant que j’embrassais ou caressais ses bourses... Jean se laissait faire... mais il appréciait ce que nous faisions... S’il ne disait mot, son attitude était révélatrice du plaisir que nous lui donnions jusqu’à ce qu’il s’écrie :
— Attention... je vais venir !!!
Solweig qui avait le sexe de Jean dans la bouche a accéléré les mouvements et amplifié la succion... Après avoir goûté ma cyprine, cette coquine avait envie de goûter le sperme de mon homme !!!
— Allez-y si cela vous fait plaisir, mais laissez-en un peu pour moi !!!
En appui sur un coude, je regardais ce couple dont le reflet était multiplié par les nombreux miroirs qui ornaient les murs et le plafond de la chambre... Quand une dizaine d’années plus tôt, nous avions acheté cette résidence secondaire en Normandie, nous avions trouvé cette chambre décorée ainsi et nous en avions conservé l’idée... J’aime bien me voir faire l’amour... donc c’était parfait !!!Et moi, pendant que mon mari inondait la bouche de Solweig, j’avais une main qui caressait mon bourgeon, faisant monter ma jouissance une nouvelle fois... j’étais si bien excitée qu’en moins d’une minute, je jouissais, car je suis très clitoridienne... plus que vaginale...Une sieste qui s’était déroulée comme un véritable enchantement : Jean s’était copieusement épanché dans la bouche de notre nouvelle amie, je m’étais offert un plaisir solitaire rapide, mais efficace, seule Solweig n’avait pas pris de plaisir...
— Mais ma belle, tu n’as rien eu ???— Ce n’est pas grave... J’ai remercié ton homme d’une façon coquine... et le week-end n’est pas fini...— Tu as raison !!! D’ailleurs, ce coquin m’a confié qu’il avait envie de t’initier à la sodomie...— Oh... le coquin... C’est vrai qu’il a tenté de glisser un doigt dans mon anneau plissé, mais ce dernier est vierge de toute pénétration !!!— Ne dis pas que tu n’as jamais été tentée de ressentir ce qu’apporterait une telle pénétration ???— Non, après ces quelques années de mariage, je suis encore bien trop prude, mais vous m’avez ouvert des horizons... Je n‘aurais jamais imaginé tout ce que vous m’avez fait connaître en si peu de temps...— Je vais te prêter un joli petit Plug en silicone, c’est le plus mince que j’ai jamais vu... On va tenter d’ouvrir ‘’ ta porte arrière ‘’. Avec une bonne dose de gel, il devrait entrer facilement !!!— Tu crois ???— On verra bien, mais fais-moi confiance...
Lorsque le soir est arrivé et après avoir bavardé et badiné tous les trois, nous nous sommes retrouvés dans notre grand lit... Depuis la fin de la sieste, Solweig portait dans son sphincter mon gode de poche et avant de le lui retirer, j’ai imprimé à mon jouet quelques mouvements de va-et-vient pour que notre amie ressente ce que cela faisait !!! Son seul commentaire a été qu’elle devrait s’habituer... Donc, elle n’était pas contre l’ouverture de cette voie... Persévérer !!!Jean nous regardait d’un œil intéressé et il tendit la main droite pour venir caresser l’entrejambe de Solweig... plus précisément son bourgeon...La nuit a été un peu plus calme que la précédente : Jean nous a fait l’amour à toutes les deux... et nous avons été gagnés par le sommeil...Le dimanche après-midi, je quitte la Normandie pour regagner Paris... En plaisantant, je dis à Solweig :
— Ne l’épuise pas... N’oublie pas qu’il a deux fois ton âge...— Ne t’inquiète pas, je vais le chouchouter...— Pas trop quand même... Il y prendrait goût !!!
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