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Marie et le sculpteur aveugle

Chapitre 3

EXHIBITION FORCÉE

Erotique
CHAPITRE 3

PREMIÈRE SÉANCE DE DESSIN Le lendemain après-midi, je rejoins Lucien pour voir s’il a besoin de moi et sinon, me baigner à nouveau.

Quand j’arrive, il est sous son olivier à boire sa citronnade. 
Je lui parle de l’incident de l’épicerie et de ma rencontre avec son frère et me rétorque juste. « Ah, que devient-il alors ce vieux pervers ? »
Je suis assez sidérée par sa réplique. Je me demande s’il a bien compris que j’ai failli passer un sale quart d’heure si son frère n’avait pas été là. Alors, je change de sujet.
« Au fait, je peux voir la sculpture du jeune homme de l’autre jour ? »
« Comment sais-tu que c’était un homme ? »Mince ! Je me suis trahie ; j’essaye de faire bonne figure.« Ah ?  C’en était un alors ?  Je me disais que comme vous m’avez comme modèle, vous n’aviez pas besoin d’une autre fille…hum »
« Bonne déduction... Mais déjà livrée, désolé. Par contre, serais-tu disposée à poser avec ce jeune homme ?  J’ai une commande pour un couple »
Mon sang ne fait qu’un tour et mon cœur s’emballe !  
« Heu... nus aussi ? »«  C’est toujours pour ces clubs dont je t’ai parlés...alors, les vêtements dans ce genre d’endroit… ce qui m’arrange d’ailleurs, c’est toujours compliqué à sculpter »
« Je...je ne sais pas... c’est quoi comme pose ? »
« Le client y réfléchit encore mais étant donné le genre de clientèle de ces Clubs, ne t’attend pas à une pose très romantique... »
« Oh là là...mais... il est d’accord lui ? »
« Oui, il m’a déjà répondu »
« C’est pour quand ? »
«  Je te préviendrai ; et il y aura un bonus pour tous les deux »
J’ai l’esprit embué, la gorge sèche et le front qui transpire à grosses gouttes mais il m’interrompt dans mes pensées.
« Tu peux te baigner et si tu veux et on reprend mon visage après »
« Super! Avec plaisir »
Je retire mes deux vêtements et plonge dans l’eau azur un bon moment où je batifole avec régal avant de le rejoindre dans son atelier.J’enfile juste le Marcel trop long qui couvre presque mes fesses.   C’est tellement jouissant de se balader nue ou à moitié nue sous ses yeux et qu’il ne peut pas me voir.Je m’assois à nouveau sur le tabouret face à la sculpture partiellement achevée.
« Tu n’as pas les bonnes formes des joues et du menton ; regarde, je vais te montrer »Je ne m’attendais pas à ce qu’il s’asseye de nouveau derrière moi... il va sentir que je ne porte presque rien...mais c’est toujours moins embarrassant que rien du tout.Il se colle à moi et suis prisonnière de ses bras puissants qui m’enserrent.  Ses fortes cuisses dans son pantalon en lin trop large sont collées contre les miennes.Je peux même sentir son sexe coincé contre mes fesses !  Mais il ne semble pas bander.Je mouille comme une folle alors qu’il me guide la main et alterne entre la sculpture et son visage.
« Tu sens-là, ce renfoncement ? »   Me dit-il d’un souffle qui m’effleure le cou et en guidant ma main sur son visage.Des rides sexy, des arrondis, de ravissantes imperfections m’apparaissent.Toujours otage de ses gros bras, je me contorsionne comme je peux sur le tabouret pour me retourner, et remarque alors les détails qui m’avaient échappé.  Dans cette inconfortable position retournée, mes seins sont carrément sortis des bretelles du Marcel…Heureusement que je suis la seule à le voir. Je lui tâte le creux de sa joue plusieurs fois pour vérifier et reviens sur la glaise pour obtenir le même relief parfait.Je ne m’aperçois pas qu’il a progressivement lâché ma main alors que, concentrée, je continue de lui palper le visage et de revenir sur la sculpture.Il reste collé à moi pour s’assurer que je m’applique, que j’ai bien compris, pour vérifier et me corriger.
Mais à aucun moment il n’a de geste désobligé. Il est trop professionnel pour ça.   Je rajuste mon T-shirt mais mes seins gigotent tellement dans le Marcel qu’ils jouent à cache-cache selon que je me penche à gauche, à droite... en avant mais surtout lorsque je me tortille en me retournant pour lui palper le visage.  Le Marcel se tirebouchonne et à chaque fois, mes seins sortent prendre l’air. S’il pouvait voir ça j’me dis !
C’est à cet instant que quelqu’un frappe à la porte.  Avant que j’ai le temps de me lever pour aller enfiler mon short resté sur le bord de la piscine, il crie: «  Entrez »
C’est son frère !
« Bonjour frangin, ça faisait un moment »    « Sers toi de la citronnade; excuse-nous, on est en train de travailler »
 Ils échangent quelques amabilités et prennent de leurs nouvelles respectives.
« Je te présente Marie, mon nouveau modèle et voisine »« Oui, on se connait... elle ne t’a pas raconté sa mésaventure ? »« Si, si, tu as encore joué au bon samaritain... »
Son frère, la cinquantaine, s’appelle donc Robert et mine de rien, il ne regarde pas que les sculptures que renferme l’atelier...
J’ajuste mon Marcel comme je peux mais je n’arrive pas à faire rentrer la totalité de mes gros globes.   Sur les côtés, les larges rondeurs latérales de mes seins débordent outrageusement par les grandes échancrures...Et sur le devant...j’ai grande peine à occulter mes tétons en totalité…
« Dis-moi, tu crois que - si Marie est d’accord bien sûr - on pourrait combiner une séance de pose ?  Tu la sculpterais pendant que je ferais mes esquisses ? »
« Étant donné que je ne te verrai pas, si tu n’es pas dans mes pattes, ça ne me dérangera évidemment pas » réplique Lucien.  « Et toi Marie, tu toucherais le double »
Lucien est comme un maitre, comme un père, comme celui que j’aurais voulu avoir finalement. Je me sens si bien et en confiance et j’ai tellement besoin d’argent pour la rentrée que j’accepte.
« Je dois sculpter quelqu’un d’autre dans les jours suivants mais ensuite j’ai aussi une commande d’une jeune fille seule mais la pose est assez osée... »
« Ça n’en sera que plus stimulant ! » répond Robert d’un air enjoué et excité.
« Est-ce que tu crois que je pourrais faire quelques rapides esquisses maintenant pour prendre la mesure du sujet ? »
« Bien sûr, je vais remettre ma tête inachevée au frais et j’ai quelques coups de fils à passer ; elle est à toi ! »
L’EXHIBITION FORCÉE
 Je reste interdite, assise sur mon tabouret à moitié nue. Je suis penchée en avant, les cuisses écartées et les mains devant mon sexe qui tiennent et tirent sur le vêtement. Les auréoles de mes mamelons sont visibles de chaque côté des bretelles hypertendues et mes tétons jouent à cache-cache derrière.  Je regarde fixement le peintre qui m’a sauvé d’une agression avec une candeur juvénile qui semble fortement l’inspirer…Ses yeux brillent d’excitation.
« Viens par-là et grimpe sur ce podium.  C’est quoi cette sculpture là-bas ?  C’est toi ? »
Tout en m’asseyant sur le podium en bois en serrant les cuisses et en tirant sur mon Marcel pour me couvrir un peu, je vois qu’il fait allusion à la sculpture de l’autre jour que Lucien est en train de peaufiner avant livraison.Très gênée par cette pose indécente, je murmure un petit « oui... »
Plus je tire sur mon Marcel, et plus je l’étire du haut ce qui augmente l’échancrure. Un téton passe inopinément la bretelle et se dénude sous ses yeux. Je rougis comme une pivoine !
« Eh bien, ça me parait être un très bon début ça ; comme tu connais cette pose par cœur, elle sera parfaite pour me faire une idée... »
« La... la même pose ?! »
« Oui, cette pose met bien en valeur tout tes attributs, en particulier tes courbes que je vais prendre grand plaisir à dessiner ; elle est parfaite pour moi ; vas-y, grimpe sur le podium. Tu peux rester habillée si tu préfères »
Habillée ?  C’est vrai qu’il n’a pas encore vu que je ne porte pas de culotte !Le podium est rond et peut tourner facilement d’un simple effort.  Lucien s’en sert pour orienter ses sculptures.
Je grimpe donc et me mets lentement à quatre patte, mais bien face à lui...Je tire en arrière sur mon T-shirt comme une forcenée pour pouvoir couvrir mon postérieur mais le compte n’y est pas...« Cambre toi bien... comme la sculpture... allez... »
Finalement, à court de solution, j’obéis et comme mes bras sont posés droits sur le podium, je dois lâcher mon Marcel qui remonte donc automatiquement jusqu’à la moitié de mes fesses, exposant totalement ma fente...enfin, s’il fait le tour ou tourne le podium.Mais sur le devant ce n’est pas mieux...Le Marcel baille outrageusement.  Il est tellement grand et échancré qu’il tombe sous moi façon hamac...touchant presque le plancher du podium.  Mes seins pendent à l’air libre et sont visibles sous n’importe quel angle.Jovial, il prend son temps et s’assoit sur un tabouret, puis prépare une toile et son fusain avec des yeux brillants qui ne me lâchent pas.
« Tu avais raison de garder tes vêtements... je n’aurais jamais imaginé qu’un Marcel pouvait dégager un tel érotisme.  Surtout ne change rien ; je me demande juste si tu portes aussi un vieux slip d’homme… »
 Je ne sais plus où me mettre mais il m’arrache un petit sourire.
« Non, ne dit rien, laisse-moi la surprise »
Je rougis à mort et me tors la bouche dans tous les sens comme une gamine puérile. Il ne va pas être déçu !
«  Je vais commencer par une rapide esquisse de ton joli petit minois »
Il se positionne face à moi et me recoiffe en tirant bien mes mèches sur mon front dont certaines rebelles restent devant mes yeux.
« Très sexy finalement… »Puis, il commence à dessiner furtivement avec des gestes amples et sûrs.Nul doute que ce n’est pas un débutant.
Il se rapproche et son visage n’est qu’à une coudée du mien.  J’évite de le regarder dans les yeux et fixe le mur de l’atelier.
Au bout d’un moment, je demande.
« Je... je peux voir ? »
« Tiens, regarde... »
Le dessin est encore grossier mais les traits de mon visage, les proportions, tout y est et on reconnait instantanément que c’est moi.« Ohh c’est superbe, vous avez du talent »
« De l’expérience surtout. Je vais me reculer un peu pour faire les épaules et les bras et... tout ce qui sera dans ma ligne de vision évidemment... »
L’allusion à mes seins qui pendent entre mes bras est tellement grosse que je réplique sans réfléchir en fronçant les sourcils avec une moue dubitative... « Évidemment... »
 Il ne dit rien et sourit à son tour, concentré sur son travail.
Puis, sans crier gare, il attrape le podium et le fait tourner.   Il me scrute le flanc envisage de me dessiner de profil. La vision de ma poitrine nue dans l’échancrure du T-shirt et mon flanc dénudé au niveau du postérieur semblent l’inspirer au plus haut point.Il hésite longuement.

J’espère qu’il va s’en contenter et me laisser partir ensuite car je redoute qu’il préfère un angle plus…postérieur dans l’axe arrière !Il hésite toujours lorsque soudain, il continue de faire tourner le podium jusqu’à qu’il se positionne juste derrière moi...plein axe !!
Je déglutis à l’idée du spectacle que je lui offre !
« Mon Dieu, mon Dieu... » lâche-t-il dans un souffle d’admiration.
 « Tu as raison, un slip d’homme ou n’importe quoi d’autre qui aurait occulté cette vision, aurait été un crime »
Je suis cramoisie et gigote un peu d’embarras. Mes joues me brulent littéralement. Le dos cambré, le cul rebondi bien en l’air, les cuisses assez écartées...  Je sens littéralement ses yeux cochons me pénétrer la chatte !Il continue : « Et toute rasée.... oh oh…Mon Dieu, mon Dieu... » 

Je baisse la tête de honte et rentre un peu mon cul en arrondissant mon dos mais il se lève immédiatement pour corriger la pose en appuyant fortement dans le creux de mes reins pour m’obliger à me cambrer à nouveau. « Garde bien la pose.  Elle est tout à fait appropriée »Je sens mes fesses s’écarter et ma moule ressortir en s’arrondissant comme un bel abricot joufflu...
« Je vais essayer cet angle de vue...mais il me semble que sur la sculpture, les cuisses sont plus écartées ?  Je me trompe ? »
Je soupire en baissant la tête et écarte encore plus mes genoux pour desserrer mes cuisses à contre cœur. Mon bel abricot se fend en deux. Les grosses lèvres de ma chatte s’ouvrent carrément ... Pendant de longues minutes, je reste ainsi, offerte, mon postérieur grand ouvert ; l’idée de son regard vicieux qui dévore mon intimité ainsi exposée me rend folle d’excitation et je commence à mouiller.  Pourvu que ça ne se voit pas !  Je me mords les lèvres et pense à autre chose mais je ne vois que ses yeux avides qui fixent mon entrejambe...Soudain, il se rapproche et je peux même sentir son souffle !
« Qu’est-ce... qu’est-ce que vous faites ? » je demande un peu inquiète.« Je dessine quelques détails... cette partie de l’anatomie féminine est plus complexe qu’on ne le croit... »Je prie le ciel que ça ne s’éternise pas car des gouttes de cyprine se mettent à suinter et même couler...
« Voilà... j’ai terminé.. Tu peux aller te baigner, ça te fera du bien par cette chaleur car tu sembles transpirer abondamment... »
Je me relève avec un sentiment d’humiliation totale et je pars en courant me jeter dans la piscine.  J’en oublie même d’enlever mon T-shirt !
Cette séance d’exhibition forcée m’a rendu folle d’excitation.
J’ai une envie dingue de me masturber dans l’eau comme je le fais souvent mais il y a une personne voyante à proximité aujourd’hui.
Je retire mon Marcel trempé et le jette au loin lorsque je m’aperçois que Robert me suit dans le jardinet et s’assoit sous l’olivier où Lucien le rejoint.
« Alors, comment est-elle ? » demande Lucien qui lui sert une citronnade.
« Un bijou rare. Elle est très sensuelle dans ses formes je dois reconnaitre »« Oui, j’avais remarqué aussi et un client qui a vu la première sculpture s’en est réjoui ; mais et le visage ?   C’est ce j’ai le plus de mal à discerner »
« Eh bien, son visage est très très mignon, un peu rond comme si elle n’était pas encore complètement sortie de l’adolescence, de grands yeux innocents en amandes avec de beaux sourcils fins, un petit nez légèrement retroussé, une bouche boudeuse formée de lèvres assez épaisses et une belle dentition toute blanche avec ses deux canines légèrement écartées ; trop sexy…sans compter cette coiffure de garçon mais avec une frange en bataille qui couvre le front. Bref, elle est magnifique, sans doute la plus belle de tous les modèles qui ont posées pour toi.  Et moi aussi d’ailleurs. »
« Je m’en doutais, sa bouche pulpeuse dégage une grande sensualité au toucher mais pour le reste, je suis content d’avoir ton avis, quoiqu’un client m’a mis la puce à l’oreille. Il semble totalement entiché d’elle »
Je reste debout dans l’eau en barbotant les bras appuyés sur la margelle de la piscine à les écouter avec attention mais reste interloquée par une telle franchise et analyse froide à mon sujet alors qu’ils savent que je les entends.Je suis tellement surprise d’en apprendre davantage sur mon physique que j’en sais moi-même...et que plusieurs hommes me complimentent à ce point. J’en suis toute retournée.
Ces deux-là ont un sens de l’observation et du toucher sans pareil.
« Oh, je dirais même que sa sensualité se dégage à tous les niveaux... » Il me fait un clin d’œil.Je rougis et m’enfonce dans l’eau pour disparaitre.
« Donc tu veux passer demain pour cette pose dont je t’ai parlé ? »
« Eh bien si notre charmant modèle en est d’accord bien sûr... »Je refais surface alors qu’ils me dévisagent.
« Heu... ben oui on avait dit ? »
« Parfait !  Tu veux rester pour diner ? »« Pourquoi pas... »
Mince, il s’incruste !  Comment je vais ressortir de l’eau maintenant.... En plus, mon short et mon T-shirt trempé sont hors de portée...
L’ORGASME FORCÉ
Je repars nager mine de rien et les entends discuter encore de mon anatomie.  Il faut dire qu’en nageant, je ne peux pas empêcher mes fesses bombées de s’exposer hors de l’eau...et la nage sur le dos n’est pas mieux...Un aller pile, un retour face.... J’espère qu’il apprécie.
Le temps passe et je tourne en rond.  Il va bien falloir que je sorte à poil devant lui et en remettre une couche sur ma gêne.« Tu ne prends pas de douche aujourd’hui Marie ? » me lance le sculpteur.
« Je me doucherai chez moi, vous pourriez m’envoyer une serviette s’il vous plait ? »
« Je t’en apporterai une à la sortie de ta douche »
Je me sens piégée et sa proposition ressemble à un ordre.
Je barbote le temps de réfléchir. La douche est carrément coincée contre le mur derrière leurs chaises et la table.Me doucher devant son frère à deux mètres...Il va avoir le temps de me reluquer à nouveau...mais de toute façon, après ce que je viens de lui montrer sur le podium...
Je me résous à sortir, grimpe à l’échelle et peux déjà sentir le regard appuyé de Robert dans mon dos et mes fesses...
Je marche vers eux, sans pouvoir stopper le balancement indécent de mes seins de gauche à droite et suis obligée de passer juste entre leurs chaises pour atteindre la douche contre le mur.  Je dois même me contorsionner pour éviter la petite table et me pencher pour ne pas renverser la citronnade.  Robert me saisit la jambe comme pour m’éviter de tomber et a tout le loisir de me mater de près et me tâter la cuisse.  Je me réfugie sous la douche en leur tournant le dos et me rince rapidement en serrant bien les jambes comme une gentille fille bcbg que je pense sincèrement toujours être, lorsque Lucien lâche froidement :« Tu ne te masturbe pas aujourd’hui ? »Sa phrase me glace le sang et me brule les joues !  Mon cœur manque de s’arrêter.   Je me demandais depuis longtemps s’il s’en doutait mais de là à me le dire en face et devant son frère !!Je me sens tellement humiliée.   « Co...comment ça ?? »« A chaque fois, j’entends le bruit de l’eau de la douchette qui fait de petits mouvements réguliers pendant de longues minutes… Je ne suis pas idiot » Je ne réponds pas, coupe l’eau et ramasse mon short et mon Marcel pour rentrer chez moi quand Robert lance :
« Ça fait longtemps que je ne t’ai pas vu sculpter.   Tu as toujours autant de doigté ? »
 « Viens là » dit Lucien d’un ton péremptoire qui ne laisse guère de place à la contestation.
Je m’avance penaude jusqu’à lui en me cachant pathétiquement les seins et le sexe avec les vêtements.
« Assis toi sur mes genoux »
J’hésite mais m’exécute, intimidée.  Il me positionne dos à lui, face à Robert qui sourit.   Je sers les cuisses et me couvre la poitrine.Il m’enlève les vêtements des mains et saisit mes bras qu’il tire en arrière, exposant mes seins dégoulinant encore de l’eau chaude de la douche.  Il me fait poser mes mains en arrière sur ses cuisses. Je baisse les yeux…puis la tête, tellement embarrassée.
« Eh bien, je procède d’abord par une prise de proportions générales...comme ça »
Il joint le geste à la parole et passe ses mains sur mon corps en commençant par mes épaules, en descendant sur mes flancs jusqu’à la taille,  puis caresse mes hanches et avance sur mes cuisses jusqu’aux genoux qu’il saisit fermement et...écarte de force malgré ma timide résistance, écarte encore et encore jusqu’à ce que mes cuisses soient grandes ouvertes...face à Robert qui, fasciné par le spectacle se penche en avant et pose son menton dans ses mains, les coudes appuyés sur ses genoux pour mieux voir.
« Elle est rasée in-té-gra-le-ment... c’est tout simplement magnifique »« Tu n’oublieras pas de me rendre mon rasoir au fait » ajoute Lucien.Je rougis tellement que je ne sais plus où me mettre.  Mon regard fuit au loin.
 Jusqu’à présent, mes rapports avec la nudité étaient limités aux visites chez le toubib et à deux expériences sexuelles, très pitoyables avec un garçon l’année dernière. C’est vous dire...Très pitoyables car le mec en question était tellement pressé que j’en garde une immense frustration et déception.  On n’a même pas eu le temps de se déshabiller complètement...Par contre, cet abruti est allé sans vanter dans tout le lycée. Les quolibets et sarcasmes me sont tombés dessus pendant des semaines. Un cauchemar.  
Alors, me retrouver entièrement nue entre les mains expertes et démoniaques de ce sculpteur qui m’a déjà fait jouir plusieurs fois - sans le vouloir (?) - et me retrouver tout aussi nue et ainsi exposée devant cet autre monsieur d’un certain âge, constitue un choc, une expérience incroyable qui me procure une excitation folle.  Je me sens comme un jouet entre leurs mains.
« Ensuite, j’appréhende les détails... »
Il englobe mes seins et les soupèse, les malaxe, les triture, s’amuse à les tapoter en dessous pour les faire sauter en l’air... « Il faut bien prendre la mesure des volumes »Robert est aux anges et une bosse se forme sous son pantalon...Je tente de resserrer mes genoux, mais Robert avance alors son siège et insère ses pieds contre les miens pour m’empêcher de les refermer.
Je me sens totalement contrôlée ; Je sais où le Prof veut en venir mais je ne compte pas lui donner ce plaisir et tente de résister aux attouchements insupportables qu’il me prodigue.  Mais malgré ma résistance cérébrale, mon corps en décide autrement et mes jus affluent instantanément sans que je puisse y faire grand-chose. Je respire fortement et laisse échapper d’entre les lèvres de ma bouche entrouverte un soupir qui trahit clairement mon état.

Je n’ose plus regarder Robert et ferme mes yeux à moitié.Les mains de Lucien passent et repassent inlassablement sur mes tétons qui deviennent tout durs et gonflent indécemment jusqu’à des proportions honteuses...Ils les coincent entre ses doigts et les fait rouler dans le V de son index et son majeur. Ils se tordent de plaisir.Et là, comme pour m’embarrasser encore un peu plus, il ajoute.
« Elle a des tétons si gros...Je ne sais pas encore si c’est leur état naturel au repos... »
Robert sourit.  Je ne sais pas quoi répondre tant je suis gênée.
Puis ses mains descendent et font le tour de mon ventre dont il décèle mon excitation de par ma respiration profonde dû à la montée du plaisir et de la griserie de cette exhibition forcée.
Sa main droite s’immisce alors entre mes cuisses et glisse sur mon sexe trempé ; pas seulement par l’eau de la douche. Ma volonté de résistance m’abandonne, me soumettant lentement, lâchement et inexorablement au plaisir grandissant qui m’envahit.
Il s’attarde et englobe mon sexe sur lequel il exerce une pression.  Il me tient le sexe ! La paume de sa main reste là, sans bouger, appuyant fortement sur toute ma chatte béante. Mon gros bouton est aux anges et m’envoie des ondes de plaisir et de chaleur indescriptibles qui me font perdre la raison.  Je me cambre par réflexe, projetant ma poitrine en avant tout en contractant mon abdomen.Toujours appuyée en arrière sur ses cuisses, mes mains se crispent sur son pantalon que je froisse. Je tremblote de bonheur.

J’ai honte mais me laisse faire tellement c’est bon.  Dans un premier temps, j’ai essayé de refermer mes cuisses, comme pour signifier mon désaccord.  Mais maintenant, Robert n’a plus besoin de me les tenir...Je me surprends à carrément osciller du bassin pour mieux venir à sa rencontre !
« Incroyable... » lâche Robert hypnotisé par mes réactions.
Je baisse les paupières pour éviter de lire ma honte qui se reflète dans son regard mais Robert me prend le menton et m’intime de le fixer.« Regarde-moi dans les yeux avec tes grands yeux de petite biche innocente. »
Maintenant, Lucien me masturbe ouvertement le bouton !  Je gémis et me tortille sur ses genoux et sens venir le plaisir qui envahit mon ventre implacablement jusqu’à embraser mes joues toutes rouges.Je regarde sa main experte qui s’active doucement sur mon intimité qu’il semble encore mieux connaitre que moi. La présence à quelques centimètres de Robert qui ne loupe rien du spectacle, les yeux brillants d’excitation me transcende.
Une forme de grosse saucisse se dessine le long de sa cuisse sous le fin tissu de son large pantalon.
Encore quelques secondes et je sens que je vais jouir, là, comme ça, devant ces deux messieurs d’âge mûr. Robert me lance : «  Ne détourne pas ton regard...je veux voir à quoi il ressemble lorsque tu jouis »
« Aaaah !! »
C’est la phrase de trop !
J’atteins ma limite et peux à peine me retenir.  Ils le savent. Je suis au bord de l’explosion lorsque Lucien me dit alors:« Qu’attends tu pour te finir ? »Et au même moment il retire sa main, me laissant pantelante, ma chatte en feu implorant désespérément le coup de grâce !« Qu…quoi ?? »
Le salaud , le pervers !Haletante, je reste interdite quelques secondes tellement je n’y crois pas.Au bord de l’orgasme, presque paniquée, je cherche sa main d’un regard suppliant que le peu de dignité qui me reste me retiens de rattraper pour qu’elle m’achève !Par automatisme, je continue pathétiquement de bouger mon bassin d’avant en arrière...dans le vide ! Comme si je chevauchais un sexe invisible. C’est pathétique, c’est abominable !
Robert me caresse la joue.  Je me frotte la joue frénétiquement sur sa main en désespoir, me rapprochant de n’importe quel contact charnel, comme pour lui demander de prendre la suite de son frère.
Mon corps est sur le point d’exploser comme un pétard allumé dont la mèche fait du sur place mais il me laisse ainsi, dans une frustration insoutenable. Le sculpteur me teste et veut voir si je peux me contrôler, si ma volonté est plus forte que l’appel sexuel de mon corps à me finir...Je suis dans un tel état que je ne peux pas rebrousser chemin.
Mon choix honteux est alors vite fait...

Pour mon plus grand déshonneur, je descends timidement ma main sur ma chatte et m’humilie à me finir en me masturbant devant eux...
Mes doigts plongent entre mes cuisses grandes ouvertes et titillent mon bouton à toute vitesse alors que je m’enfonce deux doigts profondément pour me finir avec une ardeur frénétique indécente, avilissante et dégradante....

J’explose très rapidement d’un terrible jouissance et lâche un long cri tout en me déhanchant, toujours assise sur ses genoux.
 Je suis prise de convulsions. Lucien me tient par la taille pour que je ne m’écroule pas à terre.  Robert me tient la tête et me force à le regarder droit dans les yeux jusqu’à la fin de mon orgasme.  Des larmes coulent sur mes joues.
C’est alors que les deux hommes me pelotent et triturent mes mamelons en même temps. 
Je ferme les yeux et pars dans un nouveau spasme orgasmique. 

Je m’enfonce à nouveau plusieurs doigts dans ma fente trempée et m’astique encore et encore alors que mon corps tressaute dans tous les sens sous la puissance de cet interminable orgasme.  Robert m’enserre la tête et dépose un baiser sur mes lèvres alors que Lucien écrase mes globes dans ses puissantes mains.
Je n’arrive plus à m’arrêter tant c’est bon et l’idée de ce qu’ils pensent désormais de moi me rend encore plus dingue.
Ils doivent me prendre pour une nymphomane ! Ou pire…
Je finis par m’écrouler sur le gazon, entre eux, debout sur mes genoux.
Je relève doucement la tête, bouche grande ouverte, les yeux embués, le cœur palpitant, en sueur, rassasiée, épuisée...humiliée dans l’extase.
« Incroyable... » lâche encore dans un soupir d’admiration Robert dont le pantalon en lin boursoufflé par sa saucisse géante, présente une belle tâche humide !Il ne semble pas porter de sous vêtement.  Je vois distinctement la forme de son gros gourdin parallèle à sa cuisse gauche bouger par petites saccades.Je prends alors conscience d’un sentiment étrange et confus d’être à la fois manipulée et d’avoir un pouvoir insoupçonné sur les hommes.Il doit être diablement frustré à ce stade...me dis-je. « Elle semble prendre un vrai plaisir à poser pour toi... C’est bien »
« Oui, je dois avouer que parmi tous les modèles que j’ai eus, et Dieu sait qu’il en est passés, Marie est de loin la plus… comment dire… réactive ! »
« Oui, quel tempérament ! Et je vois que tu n’as rien perdu de ton toucher… »Je reprends mes esprits et n’ai qu’un souhait, aller me cacher ! 
Je ramasse mon short et mon T-shirt et m’éclipse en bafouillant « Par...pardonnez-moi »
«  Te pardonnez ??  Mais de quoi ?  Tu aimes la vie, tu la croque à pleine dents, tu es belle et laisses parler tes pulsions, crois-moi, il n’y a rien de plus sain et de plus naturel, alors profites en quand tu en as l’occasion... c’est tout » me lance Lucien d’un ton si naturel.Et Robert, d’ajouter malicieusement : « Et moi je te pardonne, Marie pleine de grâce et de sensualité… »
J’enregistre, passe la haie à poil et rentre chez moi les idées en vrac quand j’entends quelqu’un sonner.  Je passe rapidement mon short et mon T-shirt et entrouvre la porte.
COMMENT REVIGORER ALAIN
C’est Alain... «  Heu tu tombes mal » je lui sors net.
Mais il fait une drôle de tête. « Qu’est-ce qui t’arrive ? Ça ne va pas ? »
Il m’explique avec des signes mais je ne comprends pas tout.  L’état de sa mère s’est aggravé et...un terme médical que je ne saisis pas.
Du coup, je me sens coupable de ne pas le laisser entrer, mais dans ma tenue....J’ouvre la porte alors qu’il me dévisage de la tête aux pieds avec de grands yeux...
Je ferme vite le dernier bouton du short que j’avais à peine eu le temps d’enfiler et ajuste tant bien que mal le Marcel trempée qui colle parfaitement sur mes seins et mes tétons qui pointent encore tout fiers et tout durs de leur récente stimulation...  Je croise mes bras devant ma poitrine et l’invite à entrer dans le petit salon.Il prend le livre de la langue des signes qu’il m’a offert et me montre.  Mince ! Sa mère est atteinte d’un cancer en phase terminale.Une larme coule sur sa joue.  
Bouleversée, je le prends dans mes bras pour le réconforter.  Il fond en larmes...On reste ainsi plusieurs minutes, serrés l’un contre l’autre alors qu’il m’explique qu’elle n’en a plus pour longtemps. Je n’y tiens pas et lui demande franco : « Et ta copine, elle ne peut pas te consoler ? »Il me regarde avec un air tellement ahuri que je me demande si je n’ai pas gaffé.  « Quelle copine ? »  en se demandant sincèrement de quoi je parle.Mince, je me serais trompée ?  Je n’insiste pas et lui dis d’oublier.Il redresse la tête d’un signe interrogateur et me fixe dans les yeux, nos bouches à quelques centimètres.Je m’en veux de lui avoir sorti ça ; si ça se trouve, c’est juste une connaissance, rien de plus.Et moi qui le soupçonne de m’avoir menti.  Je me trompe peut-être complètement.Il m’embrasse alors passionnément.  Je recule pour reprendre mes esprits car je ne veux pas aller plus loin pour l’instant ; Je suis encore traumatisé par ma première expérience sexuelle et ce que je vis avec le sculpteur depuis plusieurs semaines et maintenant avec son frère est tellement fort et m’embrouille tellement que je ne veux rien entreprendre d’autre pour l’instant.
Il parait déçu et triste et me regarde interdit.  Son regard se porte alors sur ma poitrine dont les tétons pointent indécemment au travers du tissu.  Il semble hypnotisé. Instinctivement, il approche ses mains qu’il pose alors sur mes seins et les presse un peu en fermant les yeux.  Il entre alors dans un état second. Un moment de calme, de félicité et de bonheur absolu. Je suis tellement étonnée de déclencher une telle réaction de contentement que je n’ose pas lui en priver.

On dirait que je lui sers de thérapie pour soulager sa détresse…Je vois une boule déformer son pantalon.   Je prends ses poignets car je m’apprête néanmoins à lui repousser les mains mais, je réfléchis à deux fois en voyant son air épanoui de béatitude et de nouveau son regard de cocker implorant. Finalement, j’ai tellement pitié de lui que je le laisse faire et pose à mon tour ma main sur son pantalon. Je vais juste lui donner un peu de plaisir, je me dis. Je lui dois bien ça.
Ma main tâte la bosse qui grossit à vue d’œil.  C’est dur comme du bois. Il réagit si vite ! Son sexe grandit sous ma main au travers du vêtement et se durcit entièrement presque instantanément.

Il continue de me peloter les seins mais j’écarte ses mains baladeuses et lui fais comprendre de me laisser faire.    Pour ça, j’ai l’idée de prendre une bretelle de mon jean et de lui nouer les poignets dans le dos. Il est si surpris mais ça m’amuse de le voir attaché comme moi je l’étais dans l’atelier.  J’ai trouvé que ça donnait une excitation supplémentaire et je me demande si ça va lui faire le même effet.
  Je l’aide alors à retirer son pantalon. Il est debout et porte un caleçon. Son sexe pousse dessus si fort qu’il forme une tente. Il s’attend à ce que je lui retire mais je lui malaxe le sexe au travers.  Il ferme les yeux de bonheur et se laisse faire.   Je le masturbe au travers du tissu qui mouille de plus en plus.  Il fait des mouvements d’avant en arrière avec son bassin pour accentuer l’effet de la masturbation et respire fortement tellement il a une envie dingue de sexe. C’est impressionnant.
 Dans le prépuce semi-ouvert, je vois l’amorce de son gland luisant au travers du tissu devenu transparent. Il est beau et rose.  Je m’agenouille et le grattouille sous les bourses et sur la partie visible du gland.
Le sexe gonfle d’un coup un peu plus forçant le prépuce à reculer légèrement et dégageant un peu plus le gland mouillé. Alain déglutit et me regarde avec reconnaissance mais en m’implorant de le masturber vraiment. Je lève la tête en souriant et fais glisser doucement mon T-shirt de côté pour dégager mes seins mouillés et luisants qui de toute façon avaient du mal à rester cachés dans ce Marcel trop grand.

Il les voit enfin pour la première fois et les scrute en louchant avec des yeux brillants d’un gamin devant un pot de confiture.  Sa queue toujours prisonnière du caleçon n’en peut plus, saccade et cherche la sortie...
Je n’ai pas touché à un sexe d’homme depuis ma première expérience raté de l’année dernière.Je baisse alors lentement le caleçon, forçant son gourdin tout dur à se plier vers le bas...Aussi, quand le bout de sa queue passe l’élastique, elle saute d’un coup violent et me claque en pleine figure comme un ressort !  J’ai un petit mouvement de recul et de surprise tant elle est longue, dure et puissante.
Sa queue est belle, fine et douce et bave de toute sa mouille en saccadant.  Je la prends alors à pleine main et commence à le masturber lentement.  Il trépigne et s’agite.  Le jus coule abondamment de son gland que je décalotte alors complètement révélant toute la beauté nue de cette belle prune si lisse et violacée que ses jus viennent lubrifier.Ma main glisse avec aise sur toute la longueur de la hampe qui vibre de plaisir entre mes doigts gluants.  
Je lui prends les bourses dans mon autre main et les masse gentiment tandis que j’accélère le mouvement.  Il souffle comme un bœuf et se balance sur ses jambes dans tous les sens, ses poignets tirent sur ses liens comme pour se libérer.   Ça m’excite trop aussi !  J’ai un parfait contrôle sur lui.  Mmmm, je me surprends car je ne déteste pas jouer aux dominatrices !Et j’imagine en partie ce que devaient ressentir Lucien et son frère tout à l’heure…Je le regarde dans les yeux en souriant.  Il me fixe d’un regard apeuré.

Je le branle alors franchement en resserrant mon étreinte sur son gland qui coulisse dans le fourreau de ma main qu’il pistonne comme un forcené !C’est maintenant lui qui se branle, qui me baise la main en donnant de grands coups de reins puissants qui me font presque peur ! Il respire si fort que son ventre se creuse profondément.  Je ne bouge plus ma main.
Soudain, il se repositionne sur ses jambes arqués et flageolantes pour garder l’équilibre devenu instable car il est secoué d’un violent spasme au moment où une puissante giclée de sperme me lacère le visage.
Je suis surprise par une telle décharge aussi brutale et me recule alors que sa queue crache un autre jet encore plus long et massif qui vient s’écraser comme du plâtre sur mes seins luisants...Je n’ai pas lâché son sexe que je continue de masturber lentement mais fermement.
Il gesticule dans tous les sens pour maintenir son équilibre précaire et jouit à n’en plus finir en vidant tout son foutre qui me gicle au visage, dans les cheveux et sur ma poitrine à demi nue. J’en ai partout.      Je prolonge le massage de son sexe encore quelques minutes et m’émerveille de voir sa bite continuer de baver un long filet de sperme qui pendouille de son gland et se balance au-dessus de mes seins jusqu’à ce qu’il s’étire tellement que le bout glaireux vient s’agripper à l’un de mes tétons...J’ai trop envie de le lécher mais je me dégonfle. Je n’ai encore jamais fait ça mais j’aimerais connaitre le gout que ça a.   Je ne pourrai pas y résister la prochaine fois, c’est sûr.
Je me relève et l’étreins pour lui faire un gros câlin.  Je sens le sperme couler sur mes joues alors que son sexe encore dur se tord sous la pression de mon corps et dégouline sur ma jambe.
Je lui défais les liens et lui libère les mains.  Il m’enlace amoureusement et on reste ainsi un long moment sans rien dire.  Surtout lui.   Je rigole...
Je sens son sexe toujours tout dur. Je pensais qu’après un tel orgasme, un homme débandait... Du coup, je descends ma main pour vérifier et je l’attrape entre nos deux corps collés.  Oui, il est toujours aussi dur. Je suis surprise.  Il sent ma main sur son sexe et se met à le frotter sur moi ...
J’ai l’impression qu’il a encore envie.... Je n’en reviens pas ! Du coup, il me prend par les épaules et m’enlève mon T-shirt maculé de foutre et me pousse sur lit où il m’allonge sur le dos, puis grimpe à califourchon sur moi.  Il me fait signe de me taire.  Il enlève son T-shirt à son tour.  Il est entièrement nu. Son corps est trop beau. Il est parfait.
Je le laisse faire ne sachant pas ce qu’il veut de moi.  Il m’enserre la taille de ses cuisses nues et s’avance avec son sexe bandé qui se balance au-dessus de ma poitrine et qui s’écoule encore de liquides divers...  Puis, une fois positionné, il se penche en avant jusqu’à ce que son sexe se retrouve pile poil entre mes deux gros globes.  Je lui souris à nouveau et je prends mes seins dans les mains pour les resserrer sur son sexe qu’il se met à faire coulisser.
Il semble hypnotisé par sa queue prisonnière de mes seins. Il commence alors un mouvement d’aller-retour et son excitation monte, monte.  Il me pistonne littéralement la poitrine, les yeux exorbités rivés dessus !  J’ai du mal à tenir mes seins qui remuent d’avant en arrière, tellement il me baise puissamment !  Il les prend à pleines mains et les pétrit comme un obsédé, un dératé lorsque j’ai l’idée de cracher sur son gland pour le lubrifier encore mieux.  Il me regarde éberlué et son excitation atteint son paroxysme.  Je rigole et l’encourage. 

« Va-y.... baise mes seins, c’est bon hein ? »
Il me regarde encore plus choqué et excité. Je vois son gros gland rouge luisant entrer et sortir du tunnel de chair sous mes yeux, juste sous mon menton.  Il pousse son sexe aussi loin qu’il le peut alors que je resserre mes globes le plus fort possible sur sa bite affolée.« BAISE mes gros seins, vas-y, lâche tout dedans ! » je lui crie, en souriant, car ne pensant pas que ça pourrait l’exciter.Erreur. Il me fixe dans les yeux, redouble encore son rythme comme un malade en manque.

Et soudain…, avant que je ne comprenne quoi que ce soit, je me prends une nouvelle et énorme rasade de foutre crémeux en pleine figure !  Il éjacule de toutes ses bourses en plusieurs giclées et m’arrose le menton et la bouche de foutre chaud alors qu’il continue de baiser et baiser encore inlassablement mes deux superbes globes pendant de longues secondes jusqu’à rassasiement complet.  Je serre toujours mes nichons aux tétons si gros et si durs et regarde son sexe ralentir tout en continuant à se déverser doucement sur mon torse.J’en suis toute retournée de lui avoir donné autant de plaisir sans rien faire.
Je sors alors ma langue et goute enfin à ce nectar inconnu qui coule de mes lèvres. 
Le gout est acre mais j’adore l’odeur et je la respire à plein poumon.La même odeur que le sperme que j’ai trouvé dans la cuisine du sculpteur.
Il semble tellement repu et relaxé.   Mais il s’aperçoit qu’il en a mis partout et se précipite pour m’essuyer et tout nettoyer.Je le remercie.Un peu plus tard, une fois rhabillés, si on peut dire pour moi, on mange un morceau ensemble.
Il me parle de sa mère et de ce qu’il va devenir..."après".   Moi, je finis par lui parler du sculpteur...Il me pose des questions et de fil en aiguille, comprend que je pose... nue.  Il me sourit et me dit qu’il aimerait bien voir ça...Je lui dit alors qu’il n’est pas le seul car l’autre jour j’ai failli surprendre un voyeur...Il me sourit timidement.« Je suis contente que j’ai pu te donner autant de plaisir en tout cas... »
Il s’apprête à s’en aller.« Dis, t’aurait-pas d’autres vêtements à me prêter ?  Parce que j’ai plus que ce Marcel...J’peux pas sortir faire des courses comme ça... »Il me sourit et me répond qu’il me va à ravir et qu’il ne faut rien changer et qu’il m’apportera juste des provisions ! Et une belle rose…« Pervers » je lui réponds en le tapant amicalement.  « Fiche le camp d’ici » je lui dis en souriant.
Je lave mon T-shirt, me douche et m’affale dans le lit pour une bonne nuit réparatrice.Je suis contente de lui avoir donné ce moment de plaisir. 

Il avait l’air moins triste en sortant de chez moi qu’en arrivant…c’est sûr. 

Je m’endors, satisfaite de ma bonne action.
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