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Marie et le sculpteur aveugle

Chapitre 4

LE VOYEUR

Erotique
CHAPITRE 4

LE NOUVEAU CLIENT
Les jours passent avant que le sculpteur soit prêt pour cette fameuse séance qui m’excite comme une puce.Avec la chaleur et le fait que personne ne peut me voir, la plupart du temps, je ne prends même plus la peine de porter de vêtement quand je me rends chez Lucien.Maintenant, j’adore trop me balader à poil en extérieur et nager nue.Je me sens en communion avec la nature, avec le soleil.De toutes façons, à part Lucien qui ne peut me voir, il n’y a que Robert et Alain qui pourraient débarquer à l’improviste mais qui ont déjà eu tout le loisir de me reluquer sans vêtements.Bon, ça me gênerait quand même encore, mais je me surprends tellement d’avoir perdu ma pudeur maladive.Je me sens si bien ici.  Je n’ai plus de migraines ou de boule au ventre comme au lycée ou chez moi avec mes parents adoptifs.Quel contraste, quel pied, quelle expérience incroyable !

Depuis quelques jours, Lucien sculpte quelqu’un d’autre et a fermé non seulement les volets mais aussi les portes...J’ai peur qu’il se doute que je cherche à les espionner.Un jour, je lui demande :« Et le jeune homme ? Vous croyez que je pourrais assister à une séance un jour quand vous le sculpter ? »« C’est drôle... il m’a demandé la même chose... »« Comment ça ? »« Il m’a demandé s’il pouvait te regarder quand je te sculpte »«Il ne manque pas d’air de vous demander ça »«Il ne manque pas d’air ?  Mais tu viens juste de me demander la même chose »
Il m’a encore cassé ce vieux malin.  Je veux lui demander ce qu’il a répondu mais le téléphone sonne.  C’est un client qui lui demande quelque chose on dirait mais le sculpteur semble réticent à accéder à sa demande.  La conversation s’éternise. Je repars plonger et me rafraichir dans l’eau transparente qui me tend les bras.
 Tans-pis pour le jeune homme modèle, je verrai peut-être les sculptures finies.
Les jours suivants, je me tâte pour aller acheter quelque chose. D’un côté Alain m’apporte toujours des vivres – et sa rose traditionnelle - et même d’autres livres que je dois avoir pour la rentrée et que j’ai commencé à potasser, mais de l’autre, je dois absolument trouver des fringues dignes de ce nom ! Je ne peux pas sortir quasiment à poil. Ça va bien dans le jardin mais comment sortir dans cette tenue ?  J’ai trop peur d’attirer les regards et de faire à nouveau une mauvaise rencontre.
Finalement, je me rends compte que je suis prisonnière et dépendante d’Alain et du sculpteur...***********************************************************************A L’HÔTEL Dans la chambre de l’hôtel, sans discontinuer, Marie déroule son histoire qui m’émoustille tellement que je me surprends à sentir mon slip s’humidifier et mon sexe gigoter et enfler en fonction des moments les plus intenses… Elle raconte son histoire avec une telle passion, une telle immersion, qu’elle ferme les yeux presque constamment.  A certains moments où elle se revoit en pleine jouissance, j’ai le sentiment qu’elle est dans le même état qu’à l’époque des faits !***********************************************************************La fin du mois de Juillet approche.  Il fait toujours aussi chaud et je profite toujours autant de la piscine avec le même bonheur.
Régulièrement, on reprend la sculpture de son visage qui avance bien et pour me familiariser avec l’anatomie du corps humain, on a attaqué le buste.  Je dois dire que j’étais très timorée.  Déjà de le voir torse nu...puis de lui palper les épaules, le torse, le dos... Mais j’apprends tellement. C’est un bon prof et j’ai de la chance d’avoir ces cours particuliers.  Particuliers...oui, on peut l’interpréter de deux façons.Bizarrement, le sculpter semblait me faire plus d’effet à moi qu’à lui !  Il faut dire que j’adore le toucher.Son corps est bien proportionné, solidement bâti, puissant et ne me laisse pas indifférente.Pas comme lui on dirait. Depuis le début, il semble ne pas vraiment réagir à mes touchers.  
Pourtant quand je vois l’effet que je fais à son frère et à Alain...Tout en lui prenant ses mesures avec mes petites mains, je décide d’aborder le sujet.« Mais quand vous sculpter vos modèles, et que vous les toucher ainsi, ça ne vous fait rien ? »Et là, il se lâche d’un coup.
« On peut dire ça...Lorsque j’ai eu mon accident aux yeux, j’aimais éperdument une femme et à cause de la perte de ma vue, je l’ai quittée pour ne pas lui infliger mon handicap toute sa vie.  Elle n’était pas d’accord et m’a supplié de rester mais je savais que ce serait une erreur et un fardeau pour le reste de sa vie.    Je suis donc parti loin, jusqu’ici, le cœur brisé à jamais, j’ai changé de vie et depuis, je suis resté abstinent et me suis, disons, interdit toute relation…car de toute façon, les femmes ne me font plus vraiment d’effet »
« Vraiment ? Comme c’est triste ! Vous n’avez plus eu de relation avec une femme depuis 20 ans alors ??   Pourtant... »« Pourtant ? »« Pourtant le premier jour, je me souviens quand je vous ai interrogé sur une prof, Mme...heu Bourrique ? »« Oui et bien ? »«  Je vous ai demandé maladroitement si elle était… bonne... et vous m’avez répondu, oui, les deux !  J’ai pensé que vous aviez eu une aventure avec elle »« Il y a deux Mme Bourrique dans cette école.  La mère en sculpture, la fille en graphisme ; Elles sont talentueuses toutes les deux.  Et pas pour ce que tu crois. Du moins, je n’ai jamais vérifié »
« Je... je suis désolée » Il reprend.« Ça ne veut pas dire que je reste totalement de marbre.  J’adore palper un corps mais surtout, ça m’amuse beaucoup de sentir qu’un modèle réagit à mes palpations. Et avec toi, je peux dire que je suis servi »
Je rougis à mort !« Avec moi ?  Vous voulez dire que les autres filles que vous avez eus comme modèles ne réagissaient pas comme moi ? »« Elles réagissaient aussi, oui…mais pas aussi rapidement, pas avec autant de spontanéité, pas avec autant de plaisir, avec autant d’intensité …tu es unique »Je suis morte de honte. La couleur de mes joues ne redeviendra normale que dans plusieurs heures je me dis !« Je n’arrive pas à me contrôler…c’est plus fort que moi, quand ça part…ça part… »« Et c’est ce qui me plait en toi. Ressentir la progression du plaisir qui monte en toi sous mes palpations est extrêmement gratifiant et le point d’orgue est l’orgasme que je sais que tu essayes d’éviter pour ne pas te sentir gênée. Lorsqu’après tes efforts désespérés, ton corps t’échappe finalement, et que la jouissance te submerge, alors là, tu n’imagines même pas ce que je ressens »Son analyse est comme toujours claire, synthétique et si…révélatrice de mes faiblesses…
Du coup, je n’ose pas lui demander ce qu’il ressent ! Je reprends le travail et termine le buste qu’il examine ensuite avec ...pas grand-chose à redire.Il ne me complimente pas mais s’il ne dit rien, c’est que c’est pas mal.  Je ressens alors une certaine fierté.
« On terminera le bas du corps une prochaine fois. En fait, j’ai eu une commande pour une réplique du David de Michel-Ange mais sans les bras et les jambes ; j’ai pensé qu’on pourrait utiliser ta sculpture maintenant que tu as fini ma tête et mon torse. »
« Heu...oui, il manque donc... heu... »« Le bassin et l’amorce des cuisses »« Voilà, c’est ça... » je conclue un peu surprise et toute rouge en m’imaginant la scène ! « Dites… Elle s’appelait comment ? Votre fiancée… »« Marion »« C’est joli… et elle était si belle en plus » « Comment ça ?  Comment pourrais-tu le savoir, je n’ai gardé aucune photo ; à quoi m’auraient-elles servies… »« Ben si, y’en a une où vous êtes tous les deux… enfin, je suppose que c’est elle car vous étiez très jeune…et très beau si je puis me permettre... »« Une photo de moi et Marion ??  Impossible ; qu’est-ce que tu racontes ? »« Ben si, sur la cheminée ; venez-voir…enfin, je vous conduis »« Je sais très bien aller à ma cheminée tout seul ! » fait-t-il agacé par cette découverte.« Voilà… » Je lui donne la photo encadrée.« Mais qu’est-ce que ce cadre fait chez moi… J’avais tout jeté.  Et tu es sûr que c’est moi sur la photo ? Avec une femme ? »« Oui, on reconnait d’ailleurs bien le paysage ; c’est les falaises d’Etretat.  Ça vous rappelle peut-être quelque chose ? »« Etretat ?? »  Il est visiblement troublé. « Vous…vous connaissez Etretat ? »« Oui…Nous y sommes allés un weekend mais… enfin ! C’est extraordinaire, comment cette photo peut-elle être là… »« Je ne sais pas Prof ; en tout cas, vous faites un couple magnifique et c’est bien qu’il reste encore cette photo »Le Prof reste prostré la photo à la main en réfléchissant.  Il fixe la photo en la caressant comme s’il voulait la « voir », s’en imprégner. Je l’abandonne à ses songes.Le temps passe et un jour, alors qu’il était occupé les mains dans la glaise, le téléphone sonne. Il me demande de répondre et de faire patienter.Je décroche... « Mr Lucien, alors où en êtes-vous avec ma nouvelle commande ? »
« Heu... excusez-moi Monsieur, mais Mr Lucien ne peut pas vous répondre pour l’instant »« Qui êtes-vous ? Oh ?? Vous…vous êtes...Marie ? Son modèle ? »« Heu...oui, c’est ça »« Oh Marie, vous tombez bien, je voulais vous parler mais ce vieux brigand ne veut jamais vous appeler »« Ah bon ? Mais qu’est-ce que vous vouliez me dire ? »« Je voulais vous dire que je suis un grand fan, en fait, tous ceux qui ont vu votre sculpture sont tombés littéralement amoureux de vous ! »« Aaah ?? » je fais à la fois si surprise et flattée.« Oui, et j’ai fait une proposition originale à Mr Lucien mais il me retourne un non catégorique à chaque fois »« Quelle proposition ? »« Eh bien je lui ai proposé de venir sculpter dans notre club devant toute notre clientèle.  Ce serait une attraction à la fois originale, érotique et technique. Bref, les clients me relancent continuellement alors je voulais vous poser la question directement depuis si longtemps... »« Ah ben, je ne sais pas moi... C’est quand même embarrassant de poser devant tout le monde »« Mais non, mais non, les clients sont des amis et des amateurs de belles choses et pour 500 Frs, ça laisse à réfléchir non ? »« 5…500 Frs ??!! »« Oui, chacun évidemment »Je reste suffoqué par l’importance de la somme.« Marie ? Vous êtes là »A ce moment, Lucien déboule et m’arrache le téléphone des mains.« Qu’est-ce que vous êtes encore en train de manigancer ?  C’est à moi que vous devez vous adresser. »Du coup, je m’éclipse sur les talons, l’esprit en ébullition et les yeux qui tournent avec des Dollars.
Lucien raccroche un peu plus tard, visiblement agacé. Je repars me baigner sans moufeter. Et on n’abordera plus le sujet...

TROISIÈME SÉANCE
Les jours passent et vient un après-midi où Lucien me fait sortir de l’eau.Enfin!Je prends une douche vite fait et je le rejoins dans l’atelier.
J’attends ce moment avec une telle impatience et excitation mais nervosité aussi.
Il a donc préparé une forme dégrossie de glaise pour cette nouvelle pose qu’il a lui-même qualifiée... de osée et pour laquelle il a convié son frère qui en profitera pour faire des esquisses.
« Tu vas t’allonger sur le dos sur le podium »   « Je peux voir la photo ? »« Hum...non, je préfère pas.  Allonge-toi et laisse ta tête dépasser dans le vide.  Laisse-la tomber en arrière. »« Mais, il est plus petit ce podium ?  J’ai les pieds dans le vide »«  Oui, oui, tu remontes les jambes, les pieds à plat sur le podium et tu écartes bien...genre table de gynécologie si tu vois ce que je veux dire »
« Oui... c’est... c’est très exposé...votre frère va venir ? Vous êtes sûr ? »
« Normalement, oui. Bien.  Maintenant, tu écartes les bras à l’horizontal, et lèves les avant-bras verticalement »
« Ok...c’est tout ? C’est bizarre comme pose »
« Je sais... je t’expliquerai plus tard ; maintenant, tu ne bouges plus, on y va »
« Le jeune modèle va venir plus tard ? »« Non »Je suis à la fois déçue et soulagée.  Faire entrer un nouveau venu dans l’atelier alors que je pose ainsi me rendait fébrile...« Il viendra quand alors ? »« J’ai déjà presque fini avec lui ; pour le moment »« Fini ? Ah bon ? Je croyais qu’on devait poser ensemble... »« Oui mais à la fin, quand je réunirai les différentes statues pour les ajuster »J’en reste là, à demi renseignée. C’est donc lui qu’il a sculpté pendant plusieurs jours. La préforme de la glaise ayant été préparée, le plus gros du dégrossissement n’est plus à faire et il s’attaque de suite à peaufiner les parties les plus évidentes de mon anatomie.   Il commence à me palper de la tête aux pieds, puis la taille, la hauteur des genoux, l’angle de mes jambes qu’il agrandit encore...reviens sur mes hanches, mes épaules, mes bras.... Au bout d’une heure, il commence à s’attaquer aux " détails" comme il dit.C’est là que je commence à mouiller...C’est là aussi que mes bras fatiguent et que je me résous à lui faire remarquer.
Il a tout prévu.  Il descend le trapèze du plafond auquel je peux m’agripper.  
Il commence alors à me palper tout le corps avec beaucoup plus d’insistance en démarrant par le bas, les flancs, les épaules, la tête...Ses mains me pelotent un peu partout.  Je me sens comme un jouet, ou plutôt une poupée qu’il malaxerait sensuellement avec ses mains humides de glaise.
Soudain, son frère fait irruption et me découvre dans cette pose très exposée...« Formidable... » dit-il sur un ton enjoué en tournant tout autour de moi et en fixant lourdement mon entrejambe..Je ressens toujours la même gêne quand il passe et repasse devant mes cuisses écartées mais un peu moins que la première fois cependant.
De toute façon, avec la tête penchée en arrière qui déborde du podium, je ne peux pas le voir.
Robert s’installe et demande à son frère si on peut mettre un peu de lumière.
« Bien sûr, il doit y a voir des spots rangés dans une armoire du salon »
Il revient avec tout un tas de gros spots à trépied qu’il installe autour, puis les allume et les règle.Je me sens comme une bête de foire avec les spots dans la figure alors que ces messieurs sont dans la pénombre; Je les distingue à peine maintenant.
« Pour l’éclairage, c’est parfait »
Tandis que Robert n’en finit pas de commencer, Lucien s’attaque à mon buste...Comme précédemment, je ressens un profond plaisir de me faire palper les seins et ma chatte ne tarde pas à s’humidifier.Robert s’assoit sur un tabouret et attaque enfin sa première esquisse vue de 3/4 de profil.
Lucien termine mes bras et s’attaque à mes jambes.  Je me sens bien entre ses mains et le regard affuté du frère sur mon corps ainsi exposé en pleine lumière m’excite au plus haut point.   Robert change de toile et d’angle de vue et demande.« Tu crois qu’on pourrait la huiler un peu ? Pour l’éclairage, les reflets sur la peau seraient tellement plus chatoyants... »
« Ça ne me dérange pas » réplique Lucien.
Sans même me demander mon avis, Robert qui avait semble-t-il préparé le coup sort une grosse bouteille d’huile de massage et commence à m’en enduire le corps en commençant par les bras.  Les bras qui fatiguent et mes doigts maintenant huilés qui glissent du trapèze. A peine j’en fais la remarque que la solution tombe comme un couperet.«  Attache là » lâche Lucien laconiquement à son frère. La réplique me fait frissonner et mouiller encore plus sans que je sache vraiment pourquoi.
Sitôt dit, sitôt fait avec un empressement mal caché de Robert qui une fois mes mains liées au trapèze, s’active avec enthousiasme à me beurrer partout...Je vois une boule se former dans son pantalon taché (d’huile…?) alors qu’il se délecte d’étaler le liquide doré sur tout mon corps....
Il me pelote plus qu’il l’étale mais je ne proteste pas parce qu’avec les palpations combinées de Lucien, je suis aux anges et me laisse faire. 
Quatre mains se baladent maintenant sur tout mon corps nu et entravé et je commence à vraiment me tortiller de plaisir.Je mouille comme une folle quand ils me pétrissent les seins de leurs quatre mains, passant et repassant plus que nécessaire jusqu’à ce que mes tétons grossissent et durcissent sous leurs tripotages pervers. Être attachée et complètement offerte m’électrise littéralement et je m’abandonne avec bonheur à leurs caresses incessantes.
Quand Lucien passe sur l’intérieur de mes cuisses, je suis déjà dans un état d’excitation inavouable et je sais que je ne pourrai pas me retenir longtemps.
 «  L’huile donne des reflets qui mettent en valeur ses courbes, quelle beauté.. » fait Robert avec une sincérité désarmante alors qu’il enduit mes jambes et remonte vers mes cuisses en prenant tout son temps...
Les mains du sculpteur alternent avec la sculpture tandis que celles du peintre continuent de s’attarder sur l’intérieur des cuisses, s’approchant innocemment de mon intimité  grande ouverte.
Je respire de plus en plus fort, ma poitrine se gonfle et mes tétons pointent en l’air avec une dureté et une grosseur outrageante sous  les yeux de Robert qui se délecte de toutes mes réactions.
Au moment où ses mains glissent dans l’aine, celles de Lucien reviennent et soudain, leurs quatre mains se mettent à passer doucement sur mon sexe offert !  Je n’en peux plus. Le plaisir est indescriptible.   Les caresses sont ininterrompues et mon gros gland boursouflé d’excitation se prête et se dresse indécemment aux frottements huilés de leurs mains.  J’oscille du bassin pour le presser encore plus fort.
Je relève la tête et me mets à gigoter dans tous les sens, tire sur mes liens et suffoque de plaisir.  Robert me sourit et s’attarde bien sur mon clitoris tandis que Lucien, imperturbable revient à la sculpture.    Je me retiens le plus possible de jouir sous le regard goguenard du peintre mais mon corps n’en fait qu’à sa tête.  Lucien sourit à son complice de frère. Ils prennent un plaisir évident à m’emmener au septième ciel !
Soudain, pour faire de la place aux mains de Lucien qui reviennent emprisonner mes fesses et fouiller la raie de mon cul, Robert enfonce ses doigts dans ma chatte !! 

J’EXPLOSE instantanément !
Je me cambre dans un violent spasme en lâchant un gémissement rauque de ma bouche grande ouverte et m’agrippe au trapèze de toutes mes forces.
Ma tête bascule en arrière tandis que mon sexe se contracte longuement sur ses doigts qu’il retire plein de cyprine et porte à sa bouche.Mon corps se fige en l’air un instant et retombe, inerte, sur le podium en bois.  Mes bras ne tiennent que par les attaches en cuir.
 « Fantastique....Elle a meilleure allure maintenant.... Ces reflets huilés font ressortir toute sa sensualité et ses courbes si avantageuses...ça va être terrible ! » dit Robert sans autre forme d’émotion, feignant d’ignorer totalement l’orgasme qui vient de me submerger.
Lucien, concentré comme à son habitude ne relève pas non plus.
Robert s’assoit juste à côté du haut de mon corps et fait l’esquisse de ma tête renversée alors que je transpire à grosses gouttes. Mon cœur et ma respiration reprennent doucement leur rythme de croisière. Je ne me plains même pas de ne plus sentir mes mains dans cette longue position inconfortable tant je me sens rassasiée, en pleine béatitude.
« Tu peux baisser les bras, j’ai fini ce côté-là » dit Lucien en me détachant.
 Je baisse mon premier bras et le ramène le long du corps mais lorsque je veux faire la même chose avec l’autre du coté où Robert est assis, celui-ci le guide ...entre ses jambes !
Il pose ma main juste sur le gros bourrelet que fait son sexe dans son pantalon, le long de sa cuisse.
Je suis troublée et ne sais comment réagir alors que, sans un mot, il continue de dessiner.
Il bande à mort ! Je me sens obligée...d’autant plus obligée après son intervention dans l’épicerie.   Et je sais qu’il va prendre un immense plaisir...
Je racle alors doucement mes ongles sur sa verge au travers du fin tissu.  Il s’arrête de dessiner un instant et déglutit alors que son sexe se tortille, engoncé dans le pantalon.Mes doigts le caressent et cette bosse en forme de grosse saucisse se met à grossir encore et à bouger...
Je tourne la tête et nos regards se croisent.   Il me sourit et dit « Je n’ai jamais eu autant d’inspiration ! Tu es unique Marie »
Je lui retourne un sourire, flattée du compliment tout en lui triturant négligemment le gland au travers du tissu qui s’imprègne de sa mouille...
Il ne sourit plus.  Il gesticule sur son tabouret et a du mal à respirer tandis qu’il essaye de se concentrer sur son dessin.  Je continue de le grattouiller avec mes ongles, sur toute la longueur, puis sur le gland que je distingue au travers du tissu mouillé et transparent.
Il ne porte pas de caleçon.Je m’attarde un instant sur la base du gland et le masturbe lentement en le regardant innocemment dans les yeux, la bouche ouverte, la tête en arrière et le buste huilé bien gonflé surmonté de mes deux tétons encore tout en érection.Les siens - les yeux, pas les tétons - sont exorbités ! Il est crispé sur sa planche et ne dessine presque plus. Je lui souris de plus belle en me pinçant les lèvres comme une petite fille qui a fait une bêtise.  Je crois qu’il a vraiment adoré ma moue… Il est soudain pris d’une légère convulsion qui fait déraper le fusain sur la toile et je sens son foutre chaud passer au travers des fines mailles du tissu par vagues successives et se répandre en une grosse tache gluante sur la cuisse du pantalon.  Il retient un petit grognement qu’il étouffe en se grattant discrètement la gorge. Il est tout rouge. Lucien, affairé sur sa sculpture n’a apparemment rien remarqué. Je souris toujours et continue de lui masser la base du gland, sur le frein. Il a l’air d’aimer ça... Son sexe a encore quelques soubresauts et du sperme crémeux continue de traverser le tissu et d’agrandir la tâche.  Il reprend un semblant de dignité par une profonde et lente respiration.
« Bien. Ça c’est fait » dit-il d’une voix rauque et en se grattant à nouveau la gorge.Il devait être drôlement excité pour que ça parte comme ça aussi vite et avec quelques attouchements seulement.
Je suis trop contente de lui avoir donné ce plaisir et lui envoie un grand sourire complice.  Il hoche la tête pour me complimenter en retour.
« J’ai terminé »  Il a des gouttes de sueur qui dégoulinent de son front et sur ses joues en feu.
Il faut dire aussi qu’il fait une chaleur suffocante dans l’atelier.
« Pas moi » claque Lucien un peu aigris.
« Cette pose est plus compliquée que prévu » ajoute-t-il.
« Ah ? A cause des bras en l’air ?  D’ailleurs pourquoi a-t-elle les bras en l’air, c’est curieux » dit Robert.
 « Oui, moi aussi je trouve ça bizarre comme pose » j’ajoute.
« Justement, c’est compliqué parce qu’elle s’intègre dans un ensemble »
« Comment ça ? » demande Robert.
Lucien hésite à répondre.« Un ensemble de personnes »
« Il y a une interaction avec d’autres personnes à sculpter ? » demande Robert.
« Mais je croyais que c’était une pose d’une fille seule ?...ils sont où les autres alors? Ils font quoi ? » je demande curieuse.
« Le jeune homme de l’autre jour viendra bientôt pour faire les ajustements »Soudain, je sens l’excitation m’envahir encore...
« C’est une sculpture compliquée qui va prendre sa place en plein milieu d’une salle d’un Club assez connu dans la région.   On reprendra demain ; tu peux y aller Marie ; tu étais parfaite. »
«  Je n’aurais pas dit mieux » ajoute Robert avec un sourire coquin et en me faisant un clin d’œil.
Mais je ne sais pas quoi penser car je n’ai pas bien compris ce qui m’attend...  
Par contre, l’idée de la venue du jeune homme et de poser avec lui m’émoustille terriblement.
Je me redresse et manque de me ficher parterre tellement je glisse à cause de l’huile.  Je passe sous la douche extérieure un long moment tandis que les deux frères discutent à l’intérieur.
L’huile est difficile à enlever.  Je suis encore sous la douche à me savonner quand ils viennent me rejoindre.
« Marie » dit le sculpteur, « il faut que je te parle »
Je suis surprise et coupe le robinet.  Je cherche une serviette mais n’en vois pas. Je reste debout, nue, dégoulinante et encore brillante de l’huile qui reste sur mon épiderme avec les deux frères devant moi.
« Vois-tu je vais avoir un problème à un certain moment... »« Lequel ? »«  Eh bien, comme expliqué tout à l’heure, cette commande comporte plusieurs personnages ...  Alors, je peux te sculpter séparément comme j’ai fait aujourd’hui mais le problème, c’est pour le jeune homme que j’ai dupliqué quatre fois dans des poses différentes et que je dois ajuster à ta sculpture à la fin... »
« Oui ?  Eh bien... je ne vois pas le problème »
« Le problème est que : ce jeune homme est supposé être en "action"... si tu vois ce que je veux dire... »« Ben...non, il va prendre la pose que vous lui demanderez je suppose ? »« Oui, oui, la pose, oui, mais...pour un homme, il y a un détail important lorsqu’il est en action... »« Aah... ce détail-là, oui... »  Je rigole. «  Mais... en quoi ça me concerne ?  C’est son problème ! »
«  Oui et non...tu es la seule source disons « d’inspiration » pour résoudre ce problème justement... la question que je veux te poser sans détour est donc : est-ce que tu crois que tu provoquer une érection à un homme sur commande ? »
S’il savait je me dis...Il a qu’à demander à son frère...
Je vois Robert à coté qui se retient de rire.  Je souris et réponds : «  Je crois que vous pouvez être rassuré sur ce point... »
« Parfait » conclut Lucien laconiquement.
Je ne trouve pas de serviette et ramasse mes affaires avant de les saluer.Je sens le regard concupiscents de Robert sur mes fesses lorsque je marche vers mon jardinet. Mais comme je l’ai dit déjà, ma pudeur s’éloigne un peu plus chaque jour et je n’en ai non seulement cure, mais ça me fait sourire de l’effet que je leur produis.
Après ce nouvel et puissant orgasme à quatre mains, je me couche nue sur mon drap tant il fait chaud, façon étoile de mer et m’endors comme une souche, contente d’avoir satisfait son frère sauveteur.

LE VOYEUR, TRAITRE  ET MODÈLE
Après une nuit de sommeil profond et un bon petit déjeuner, je suis d’attaque pour la suite mais sous son olivier, Lucien semble tracassé par quelque chose.
« Ça ne va pas ? »
« Assis toi »  Je regarde autour de moi, mais l’autre chaise est rangée.« Heu.. Sur vos genoux ? »
Il me sourit «  Ah oui, c’est vrai, je n’ai pas sorti l’autre chaise »« Comme tu veux, je dois te parler »« Encore ? » je fais en décidant de m’assoir sur la table face à lui.
« Jusqu’à présent, je n’ai sculpté entièrement que des modèles féminins »
« Ah bon ? » Je fais étonnée « Mais vous avez dit que vous aviez fini quatre poses différentes du jeune homme »«  Oui, enfin, j’ai bien sculpté des corps masculins entier mais en fait…pas entièrement ; en tout cas pas le sexe.... Surtout en érection... »
« Ah... »Silence pesant.  Je ne sais pas quoi dire et comment résoudre son problème.
« Mais toi ? »« Hein ?? »« Je suppose qu’en tant que femme, tu ne verrais pas d’inconvénient à le faire ? »« Mais... mais je... je n’ai jamais sculpté cette partie »
« Eh bien, il y a un début à tout. Moi j’ai essayé la première fois avec ce jeune homme, mais j’ai tout de suite vu que ce n’était pas mon truc ; pourtant, il faut que je finisse cette commande et je ne vois que toi pour terminer ces "détails" pourtant bien visibles et indispensables dans ce genre de clubs »
« Mais, je risque de tout rater ! »« Marie ; d’abord, tu as du talent ; je le vois bien ; tu es assidue et tu as déjà pas mal de connaissances.  Tu vas rater le premier, oui, et sans doute le second et le troisième aussi peut-être.  Mais toi seule peut y arriver. Je te payerai grassement parce que je vais toucher une belle somme pour cette sculpture »
« Mais si je saccage vos sculptures, vous vous rendez compte ? »« Non, cet appendice masculin peut-être sculpté séparément et rattaché.  Je m’occuperai de ça moi-même, ne t’inquiète pas »
« Je... dois m’entrainer sur quelqu’un avant ? »  je demande cramoisie.
Il sourit «  Tu t’entraineras, comme tu dis, directement sur le jeune homme »
« Ce sera pour quand ? »« Dès que tout est prêt ; je te ferai signe »
J’acquiesce et repars chez moi soucieuse en me demandant comment je vais faire.
A propos de jeune homme, Alain n’est pas passé ce même soir. Ni le lendemain matin de cette belle et nouvelle journée d’ailleurs. Je suppose qu’il doit être bien occupé avec sa mère malade et ça me rend triste.
Il fait encore très chaud et je décide d’aller me baigner dès midi.  Je m’y rends en passant quand même un pantalon avec les bretelles que j’ai réparées car mon short et T-shirt sont au lavage.    J’ai donc même pas de haut mais comme on n’attend personne normalement aujourd’hui. Lucien boit son habituelle citronnade sous le bel olivier ; Je le salue aimablement, tombe le jean et plonge dans l’eau turquoise.   Après quelques brasses, je lui demande « Est-ce que votre frère va revenir ? »
« Pourquoi ? Il te manque déjà ? »« Heu... »    Il est encore cassant ce matin je me dis...« Ben juste pour savoir »«  C’est un vieux pervers je t’ai dit... »« Mais... il est gentil…il m’a bien sortie du pétrin... »« Et il a immédiatement profité de l’occasion... »
Bon, passons à autre chose...« Au fait et le jeune homme ?  L’autre jour vous m’avez dit qu’il vous avait demandé de regarder quand vous me sculpter »« Oui, et ? »«  Qu’est-ce que vous lui avez répondu ? »«  Je lui ai dit que ça ne posait pas de problème »« Vous lui avez donné votre accord ? Sans me demander ?? »« Pas exactement, mais étant donné nos légères difficultés à communiquer, je pense qu’il y a eu un malentendu mais de toutes façons, comme vous allez poser ensemble je ne vois pas ce qui te dérange »« Comment ça des difficultés de communication ? »« Oui, je suis aveugle et lui est muet ; je sais, c’est pas banal mais il écrit en braille avec ma machine »
« Muet ?? QUOI ?!   Ne me dite pas que c’est Alain votre modèle ?? »  « Ah vous vous connaissez ? Ah ben c’est encore mieux alors »« C’est le fils de ma logeuse ! Non mais quel hypocrite !! Il va m’entendre ! Il est muet mais pas sourd ; Bon, ben en attendant, je ne veux pas que vous le laissiez me regarder quand je pose pour vous »« Ah mais il est déjà venu »« QUOI ?? Mais... mais comment ça ? ! Mais...mais depuis quand ?? »« Depuis la séance où t’as entendu des bruits mais ne t’inquiète pas il est très discret, puisqu’il est muet… »«  QUOI ?? C’était lui le voyeur dans la cuisine ?? Et vous...vous… vous le laissez me mater à mon insu pendant que je pose ? »
« Il voulait voir ma technique et poser pour moi, mais étant donné nos infirmités respectives, ça n’aide pas à communiquer alors on ne s’est pas bien compris mais comme il est très discret, je n’ai pas pensé que ça t’embêterait d’autant que, je te le répète, vous allez poser ensembles…alors inutile dans faire un fromage... »« Mais il était où ??  Je ne l’ai même pas vu ! Il se cachait pour mieux se masturber, c’est ça ? Et moi je n’ai pas le droit de le regarder se faire sculpter alors ? »« Mais si... mais tu ne me l’as jamais demandé avant »« Ben si, justement mais le téléphone a sonné »« Et t’es partie de baigner... Par contre, tu t’es même introduite en douce une fois - pour te masturber d’ailleurs je suppose - alors j’ai fermé la porte les jours suivants. À sa demande. »Je suis verte de rage.Le carillon sonne.« Tiens, ça doit être lui »« Lui ?? Mais, je croyais que vous n’étiez pas encore prêt et que vous me préviendriez ? »« Eh ben, je te préviens là.  On va donc pouvoir finaliser ce dont on a parlé »
Je suis scotchée et m’étrangle de rage alors que Lucien entre dans la maison pour ouvrir la porte.
Je sors de l’eau et me sèche rapidement sans me doucher pour enfiler mon jean à bretelles mais sans haut.   J’ajuste les bretelles comme je peux mais sans grand espoir de parvenir à cacher mes tétons et les rejoins dans l’atelier les bras croisés sur ma poitrine et furax.
Je suis sur le point d’engueuler tout le monde mais là, j’ai une double surprise !  Alain me fait face en souriant et en me regardant de bas en haut de son regard si profond qu’on pourrait si noyer, laissant trainer ses beaux yeux plutôt sur le haut...Mais il y a aussi Robert !    Lucien ne m’a rien dit et je ne suis pas contente. Je m’apprête à gifler Alain quand Robert s’avance vers moi et me fait un élégant baise-main qui me décontenance et m’oblige à découvrir ma poitrine.« Comment va ma princesse aujourd’hui » demande-t-il d’un ton enjoué et obséquieux en me prenant les deux mains avec délicatesse, m’empêchant de couvrir mes seins et tout en remontant ses yeux sur moi, s’attardant sans gêne sur ma poitrine à peine cachée derrière les bretelles.
Je me sens troublée et quand même flattée. Alors ma colère en prend un coup d’autant qu’avant que je puisse mettre les choses au point avec Alain qui arbore toujours son sourire désarmant, Lucien donne les ordres sans me laisser parler.
« Bien, alors voilà ce que j’attends de vous.  Les statues sont pratiquement terminées.  Il manque juste le « détail » dont on a parlé et ensuite l’ajustement entre tous les personnages.   Alain, tu vas te déshabiller pendant que Marie va prendre sa place devant la glaise que j’ai préparée »
« J’ai donc 4 hommes en réalité, mais on utilisera le même..."appendice" qu’on dupliquera, ce sera donc plus facile et vite fait »
Pendant que je m’assoie sur le tabouret et que je dégrossis la boule de glaise, Alain se présente entièrement nu devant moi.  Son sexe est au repos et il ne sourit plus. En fait, il n’en mène pas large et ça m’amuse.    Sans doute la présence de Robert n’y est pas étrangère, mais qu’est-ce qu’il vient faire là celui-là ?  La réponse vient de lui-même.« J’espérais que Marie allait poser avec le jeune homme ? »
« Sans doute cela viendra bientôt mais il nous faut régler ce détail.  Alors, tu es en place ? » demande Lucien qui ne voit rien.Alain répond qu’il est intimidé.  «  Qu’est-ce qu’il dit ? Tu peux traduire Marie ? Je crois que tu parles un peu le langage des signes maintenant ? »
Je rigole. Il a besoin d’un interprète j’me dis !
« Comment ça se présente ? » insiste-t-il.Je regarde le sexe flasque d’Alain. « Mal » je réponds froidement.
« Eh bien mets y du tiens Marie ! »
Je soupire.   « Ben j’ai pas envie » je lâche mécontente.
« Très bien ! » réplique Lucien visiblement agacé.« Nous allons procéder autrement ; grimpe sur le podium et reprend la position »
« Ah, très bonne décision ! » se réjouit Robert.
Je m’exécute à contre cœur sans même enlever mon jean, mais la position allongée bras écartés ne donne aucune chance à mes seins de rester hors de vue de mes minces bretelles qui glissent sur les côtés de mes rondeurs ainsi exposées.« Tu y es ?  Maintenant, Alain, tu vas prendre la position d’un des types qui se fait masturber sur un côté.  Marie va te prendre le sexe en main et comme ça, je vais pouvoir finir de sculpter ses mains que j’avais laissées en attente »
Alain se met en place avec son membre mou que j’hésite à attraper. Pourtant, il est beau et fin et me donne envie...
« Il est en place ? »
« Il est en place »
« Alors vas-y ; pendant ce temps, là je sculpte ta main et quand il sera prêt, tu pourras le sculpter et alterner avec ta pose »
Eh bien, quel travail... Je dois poser et sculpter en même temps et faire l’interprète en plus !   Et il s’attend à ce que je le masturbe ! Il mériterait que je lui demande un triple salaire !Je lui prends le sexe à pleine main et le tripote.  
Lucien s’apprête à me tâter la main tandis que Robert sort une petite toile, histoire de figer la scène dont il détecte tout de suite le potentiel et qui commence à l’émoustiller...
Je commence par les bourses et les prends en main pour appréhender la forme et les proportions.  Il n’en faut pas plus pour que son membre se dresse et se gonfle comme un ballon et durcit à une telle vitesse que j’en reste coi…  Je me redresse et reproduis ses formes dans la glaise puis me rallonge et retourne sur le sexe tendu.
Je le masturbe un peu, le palpe bien pour prendre les proportions et m’apprête à quitter la pose à nouveau pour commencer à le sculpter quand Lucien pose ses mains sur la mienne pour faire la même chose.  Il s’attarde et n’ayant rien d’autre à faire, je reste avec le sexe bandé d’ Alain dans la main alors qu’il amorce de légers mouvements.  Il le fait doucement coulisser dans mon fourreau...
Lucien repart à sa sculpture et j’en profite pour me rassoir vite sur le tabouret pour attaquer la mienne.  
Je dois me pencher en avant et sur les côtés de mon petit podium pour tailler tout autour de la forme dégrossie. Ce faisant, mes brettelles s’écartent et glissent de mes épaules et mes seins ballottent érotiquement sous les regards conjoints d’Alain et Robert qui s’est repositionné de façon à bien les voir.Mais je m’aperçois qu’il plonge aussi ses yeux pervers dans le bas de mon dos lorsque mon jean trop grand baille indécemment et laisse voir la raie de mes fesses nues façon plombier.
Robert bande aussi dans son froc !
Je mets trop de temps à dégrossir et le sexe d’Alain se ramollit.
Alors, je reprends la pose et le prends en main sous les yeux avides de Robert et le serre entre mes doigts. Immédiatement, le membre se raidit à nouveau. Je le masse un peu et il commence à reprendre sa taille adulte...
J’attaque maintenant le gland et passe mon doigt tout autour pour bien mémoriser la forme.  Alain halète et me regarde avec des yeux lubriques.
Je rajuste pathétiquement mes bretelles sans succès mais pour bien signifier à Alain ma mauvaise humeur et qu’il n’attende rien d’autre que de rester à bander en l’air.Je sculpte la forme à l’identique dans la glaise tandis qu’Alain ne peut plus cacher son excitation.Il trépigne tandis que Lucien a encore besoin de palper ma main.Je me remets en position et il se masturbe encore un peu dans ma main immobile tandis que Lucien termine de me palper ma main.   Je vois bien qu’Alain prend un grand plaisir. Il pousse son sexe de toute sa longueur à l’intérieur du fourreau formé par ma main et mouille abondamment.
"Tout va bien ?" demande Lucien.
"Impeccable" Je réponds sarcastiquement.
Alain respire fort mais je l’ignore superbement et continue mon travail dans un style très professionnel...  Sauf que je suis torse nue maintenant ; à force de changer de pose, mes bretelles sont tombées sur les côtés et je n’ai pas le temps de les réajuster.Robert dessine fébrilement et sous son pantalon, son sexe est devenu énorme.Mes doigts tâtent maintenant l’arrière du gland d’Alain qui se trémousse dans tous les sens.  J’inspecte le frein du gland pour bien reproduire ce détail essentiel.   Il grogne et lâche une espèce de cri guttural rauque et sourd que seul un muet peut reproduire ; presque surréaliste.Je n’avais pas compris à quel point il était excité.C’est pourquoi alors que j’étais bien concentré à toucher son gland, j’ai sursauté quand il éjacule !  Une grosse décharge de semence blanche, chaude et épaisse inonde ma main !Sa queue saccade et tire de longues et épaisses salves à n’en plus finir.  Ma main et mon avant-bras sont couverts de sperme qui commence à dégouliner sur mon froc. Il vacille mais finit de jouir.Son sexe crache les dernières gouttes et... se ramollit.« Mince... » je fais.« Quoi donc ? » demande Lucien qui ne se doute de rien.
Je regarde son sexe qui débande.« Heu... je crois qu’on a un problème... »« Quel problème ?  Moi j’ai fini les mains »
Robert évalue la situation et pose sa main sur mon épaule.  Je me retourne et avec la tête du gentil type qui veut vous venir en aide, il me montre sa grosse queue qui gigote sous son pantalon avec un air interrogatif... « Si ça peut aider ? »  Me fait-t-il comprendre.
Lucien avait raison... c’est un vieux vicieux et opportuniste.
Je dois dire que me voilà bien avec la bite d’Alain toute molle qui pisse d’un filet de mélange de mouille et de foutre qui pendouille devant mon visage alors que j’étais en train de faire son gland.
Je hoche la tête à regret et Robert s’empresse de sortir sa grosse queue de son froc.  Elle me saute presque au visage tant elle est dure !Alain est en train de s’essuyer.« Alors ?  C’est quoi le problème ? » insiste Lucien.
« C’est résolu » je réponds en regardant l’impressionnant engin plus gros que celui d’Alain et qui se balance indécemment sous mes yeux.
Je me mets à nouveau en position.  Mon froc qui ne tient plus, glisse de plus en plus et se retrouve à mi- fesses. J’ai beau le remonter à chaque changement de pose, il reprend sa course vers le bas de plus belle. Je transpire de plus en plus.  Robert regarde mes fesses à moitié nues et ça le fait encore plus bander. Finalement, c’est ce qu’on voulait, non ?Un gland étant un gland, je le décalotte doucement et reprends mon inspection là où je l’avais laissée ; c’est à dire faite de petits attouchements -" techniques" évidemment - sur le frein du gland qui semble décidément être très sensible pour ces messieurs car à son tour, Robert s’agite beaucoup.
Mais je n’en ai cure, je dois finir.  Je repars sur ma sculpture et à chaque fois que je l’abandonne, ça semble être un vrai supplice pour lui mais je me dis qu’il le mérite bien ce vieux cochon !
Je termine les grosses veines et retourne sur sa bite pour vérifier que tout est bon.  Je repasse mes doigts sur ses bourses, sa hampe, passe et repasse avec mes mains enduites de glaise onctueuse.... Il respire profondément et gémit.... Je fais glisser mes doigts autour du gland qui est tout rouge et luisant. Des gouttes de mouille coulent du méat.  J’enrobe le gland de mes doigts fins pour bien m’assurer que le volume et les courbes de ma sculpture sont bien identiques et au moment où je regarde le beau gland gonflé à mort, le méat grand ouvert, juste en face de ma figure et à quelques centimètres, je glisse mon index sur son frein et là...
Sans prévenir, il EXPLOSE ! Je me prends une méchante décharge de foutre en pleine figure !Surprise, je tombe en arrière alors qu’il m’asperge de puissants jets de crème blanche sur les seins.  Je pousse un petit cri.  Dans ma chute, mon jean a encore glissé et je me retrouve avec le bas ventre exposé, à la limite de ma fente...Il a les yeux exorbités et jouit intensément sur ses jambes flageolantes.  Son sexe qui saccade tout seul en l’air, continue de cracher de longs jets gluants qui maculent tout mon corps.Il semble tellement frustré que j’ai lâché son engin en plein orgasme...
« Qu’est-ce qui se passe ? » demande Lucien qui entend du bruit.
« Rien, j’ai...j’ai fini » je réponds en regardant mon corps couvert de foutre en différents endroits.  Je sens du sperme couler de mon sourcil gauche alors qu’un autre morceau glaireux se balance de mon menton.
« Parfait », enchaine Lucien « On va pouvoir terminer les ajustements »
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