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Marie et le sculpteur aveugle

Chapitre 6

LE BUS ET LE NOUVEAU CLIENT

Erotique
CHAPITRE 6

VISITE A L’HÔPITAL EN BUS
C’est le son de la voix de Lucien qui me réveille.  Je suis toujours allongée nue sur le gazon. Le soleil est bien descendu.
Combien de temps j’ai dormi ?  J’écarquille les yeux et découvre Alain, debout devant moi qui me surplombe.

« Qu… qu’est-ce que tu fais ici ?? » je lui lance un peu agacée de me surprendre en train de me relaxer nue et en me demandant depuis combien de temps il me reluquait.Je cherche quelque chose pour me cacher un peu, mais je n’ai rien à portée de main.
Et puis finalement, je me dis qu’il tombe bien et je m’emporte : « En plus, tu me dois des explications espèce de menteur, voyeur, et... »
Mais au lieu de me répondre, il me regarde, étonné et m’explique que sa mère est au plus mal et me demande si je peux l’accompagner à l’hôpital.  Je suis prise au dépourvue et me sens tellement gênée d’un coup. Alors, je me ravise et lui assure de mon soutien évidemment.
Je lui rappelle cependant que je n’ai pas de fringues pour sortir.  Il me tend un chemisier et une jupe plissée qui sortent de je ne sais d’où.
Il les a peut-être piquées à sa sœur, qui sait…
Il a l’air si triste et ses yeux sont rouges.  J’enfile la jupe et le chemisier et lui demande quand même s’il a pensé à des sous-vêtements ?  Mais n’ayant rien d’autre dans les mains et devant son air affligé, je comprends que non…Je vais devoir me balader dans les rues sans culotte ni soutien-gorge…
C’est quand même différent de faire ça en petit comité et au milieu du public je me dis. Mais bon.  Il y a pire situation et je me dis et ça va être encore une première pour moi. Et je dois avouer que cette idée m’excite déjà.
 Mais pour le moment, la réalité est que sa Maman est en train de mourir. C’est, j’en conviens, plus grave que de ne pas avoir de sous-vêtements !  Je ferais attention et puis avec cette chaleur, ce sera surement plutôt agréable. Mais me promener dans une ville sans culotte en jupe courte !! Faut oser quand même…
Je salue le Prof rapidement et le laisse à son travail et suis Alain.  J’apprécie de pouvoir le soutenir dans cette épreuve. Je suis contente aussi de sortir un peu de chez moi où j’ai passé les 15 derniers jours entre ma maisonnette et celle du Prof.  Et le fait qu’il ait pensé à moi pour l’accompagner me flatte aussi. Mais je me demande pourquoi il ne demande pas à sa sœur de l’accompagner. 
S’il a bien une sœur…Après tout, c’est peut-être une invention de Robert.Vu son état de tristesse, je décide de reporter mon interrogatoire à plus tard.
J’enfile mes baskets et sort dans la rue.  Je dois dire que je suis contente de sortir in peu de chez moi. On marche longuement dans les rues résidentielles désertes de mon quartier pour atteindre l’arrêt de bus où est assise une mémé.
Le bus arrive et je monte en me tenant ma jupe par derrière. 

Après plusieurs arrêts, le bus se rempli de monde. Des vieux, des plus jeunes, un groupe d’ados aussi qui ne manque pas de me reluquer.
Je n’aurais jamais imaginé que de se promener en public en jupe et sans culotte pouvait me procurer un tel trouble.
Je sens ma respiration plus profonde et mon cœur battre.  Je crois que je mouille un peu aussi. C’est une sensation très excitante.  C’est sans doute le danger que quelqu’un s’en aperçoive qui me met dans ces états. Mais je me rassure ; Alain est avec moi. Je lui demande si c’est loin.  Il me dit qu’on doit faire deux changements.  Il faut compter trois quarts d’heure au minimum. 

« A quand même » je fais. « Je ne voyais pas ça si loin ».
Du coup je propose qu’on s’assoie mais à ce moment, il m’explique, paniqué qu’après le coup de fil de l’hôpital, il est parti si vite qu’il a oublié de fermer la boutique de fleurs. « Mince, il faut y retourner ? » Je demande.

Il me dit qu’il va descendre au prochain arrêt et prendre un autre bus.  Il me met autoritairement dans les mains un sac avec des affaires pour sa mère et me donne le numéro de sa chambre.  Il me rejoindra au plus vite. 
Mon visage se fige ! « Eh mais ça ne va pas » Je lui dis.
« Je ne vais pas aller voir ta mère mourante toute seule sans toi.  Je ne la connais pas moi » Il insiste et me dit qu’il fera fissa et qu’elle a besoin de ses affaires d’urgence.  « Mais tu te rends compte aussi dans quelle tenue je me balade au milieu de tout le monde ? » Il me prend par les épaules et me promet qu’il me rejoindra au plus vite.  Sur ce, le bus stoppe et il descend en me collant un petit bisou rapide sur le front.  Je reste décontenancée et m’assoie penseuse. 

Le bus redémarre. Je ne réalise pas tout de suite que le groupe d’ados est toujours là et qu’ils me reluquent de plus belle. Ils m’observent tous ; certains sont face à moi, d’autres se retournent sur leur siège pour me mater.   Je croise les jambes pour m’assurer de ne rien laisser voir, pose le sac d’Alain sur mes genoux et tourne la tête ailleurs.
Je repense encore à Alain qui m’a planté comme ça mais je me rends compte que c’est la première fois qu’il me demande un service ; après tout ce qu’il a fait pour moi depuis mon emménagement. Je me calme doucement et regarde le plan du réseau de bus et constate que je dois changer dans trois arrêts.  Les ados m’envoient des clins d’œil appuyés et des sourires explicites que j’ignore. Machinalement, je vérifie que ma tenue est bien ajustée et m’aperçois avec effroi que dans la précipitation, j’ai sauté un bouton en boutonnant mon chemisier. Mince !
Du coup, il est entrebâillé et sous un certain angle, on peut voir la rondeur de mes seins nus sans soutif. Ce qu’apparemment les ados n’ont pas manqué de repérer.  Alors, je veux reboutonner mon corsage correctement au plus vite mais suis obligée de défaire les deux boutons du haut pour réaligner celui du milieu… C’est embêtant.  Je vais me retrouver avec le chemisier ouvert presque jusqu’au nombril le temps de les remettre dans le bon ordre.J’essaye de faire ça le plus discrètement possible en tenant bien les deux pans de la chemise serrées.  Je déboutonne tous les boutons depuis le haut et me retrouve avec le corsage qui tient fermé uniquement par ma main gauche. Les ados, fascinés, regardent mon manège.
Je réalise soudain qu’ils pourraient mal interpréter ce que je fais !Il est vrai qu’ouvrir son chemisier – avec rien en-dessous – devant un groupe de jeunes n’est pas des plus malin, mais je ne pouvais pas rester comme ça, avec le corsage qui baillait aux corneilles quand même.
Je m’apprête à reboutonner mais le bus tressaute et passe sur des ralentisseurs. Je me bats avec le premier bouton, le plus bas près du nombril quand le bus passe maintenant dans un nid de poule.
Je décolle presque de mon siège et me rattrape à une barre de maintien mais lâche mon chemisier qui s’ouvre largement.  Mes seins jaillissent alors dans l’ouverture en tressautant !
Les ados sont bouche bée alors que les autres passagers sont plongés dans leur lecture ou regardent par les fenêtres.Je rattrape comme l’éclair les pans de mon corsage ouvert et les referme mais ils ont tout vu !Je dois le reboutonner au plus vite mais on arrive à l’arrêt où je dois descendre et changer de bus.Je me précipite vers la sortie en tenant le sac d’une main et le corsage fermé de l’autre.En passant devant eux, l’un d’eux fait exprès de faire tomber quelque chose qu’il ramasse à mon passage en se tordant le cou pour voir sous ma jupe !Je ne peux rien faire et du coup, il a dû voir, l’espace d’un dixième de seconde, que je ne portais rien !Je me retourne et vois son visage aussi cramoisi que le mien qui confirme bien mes craintes alors que je sors du bus.  Bon, ce n’est pas grave je me dis, je ne les reverrai jamais de toute façon. Sauf que…Sauf que soudain, ils se précipitent tous les trois dehors et me rejoignent à l’arrêt de bus !
Mon cœur se met à battre à tout rompre ; Je suis seule avec eux et la nuit commence à tomber et je ne sais pas quand l’autre bus doit arriver. 
Et en plus, je tiens toujours mon corsage que je n’ai pas encore reboutonné alors qu’ils me dévisagent avec des sourires carnassiers.Ce ne sont pas des racailles, seulement des étudiants apparemment corrects mais qui semblent se laisser emporter par la situation que j’ai créée bien malgré moi. Je m’assoie sur le banc mine de rien et ils restent debout à m’observer sans rien dire, attendant je ne sais quoi. 
Ils sont mignons je dois reconnaitre et je me retiens même de leur renvoyer un sourire. Je voudrais bien remettre mes boutons mais je crains qu’avec leurs regards fixés sur moi, ce ne soit pas le bon moment.  Alors je ne bouge plus, la main serrant bien fort mon chemisier lorsque – Dieu merci – l’autre bus arrive.
Je me précipite dedans en espérant qu’ils poursuivent leur chemin mais ils me suivent encore et montent dans le bus…Le bus est bondé et il n’y a pas de place assise. Je progresse jusqu’au fond en espérant les semer et les décourager en poussant et éloignant quelques passagers, mais quelques secondes plus tard ils me collent à nouveau.
Pour tenir à la fois mon chemisier fermé et une poignée de maintien au plafond, je pose mon sac à terre entre mes pieds.

 Ils m’encerclent debout également et se collent à moi innocemment…Je sens leurs corps se frotter et bientôt à l’occasion d’un soubresaut du bus, une main me tient la taille, prétendant me retenir de tomber.  Je frémis et ne sais pas quoi faire.
Si je crie, je vais avoir l’air maline avec mon chemisier ouvert sans soutif et sans culotte. On va me traiter d’allumeuse et ça va faire un scandale.  Je surveille à quel arrêt je dois descendre mais ce n’est pas avant un bon quart d’heure.  J’espère qu’ils vont s’en tenir à quelques attouchements anodins.Mais rapidement, une deuxième main m’enserre la taille et je me retourne pour leur signifier ma désapprobation du regard mais ça ne les calme pas… Un deuxième me touche une jambe tandis que le troisième me caresse l‘avant-bras qui tient mon corsage.   Me voilà bien…Et Alain qui n’est pas là. 

Je veux me déplacer pour m’éloigner d’eux mais ils se collent à moi pour m’en empêcher.
De toute façon, le bus est bondé et on ne peut pas trop bouger.Du coup, ils me serrent encore un peu plus et je peux sentir le sexe dur du gars qui se colle derrière moi. Je frémis alors que la main qui me caresse la jambe remonte au niveau de ma jupe et que l’autre tire sur mon avant-bras pour me faire lâcher mon corsage.  Je commence à devenir nerveuse et résiste silencieusement. Je me dis que les autres passagers vont s’apercevoir de leur manège et dire quelque chose mais ils sont absorbés par leurs occupations habituelles ne voient rien de la scène et mes trois loustics s’arrangent pour me cacher des autres passagers. Le gars derrière qui me tient la taille, sort le bas du chemisier coincé dans ma jupe et passe en douce ses deux mains sous le chemisier à même la peau. 
Je me débats à nouveau mais je dois dire que ça m’excite ! L’autre remonte sa main sous ma jupe et atteint une fesse qu’il commence à pétrir avec une ardeur peu commune en confirmant aux deux autres que je ne porte pas de culotte !
  A ce moment je vois leurs pantalons grossir et ils ne tiennent plus en place !Du coup, le troisième gars tire encore plus fort sur mon avant-bras et je suis forcée de céder et laisser mon corsage déboutonné sans protection.  Les soubresauts du bus font le reste…  Le corsage s’ouvre petit à petit, dévoilant les rondeurs de mes seins à la limite des auréoles à leurs yeux exorbités. Ils n’en peuvent plus et l’un d’eux le saisit d’un geste nerveux et l’ouvre en grand, libérant ma lourde poitrine à leur vue et sur laquelle il se penche immédiatement pour me sucer un téton. Je veux l’en empêcher mais je suis incapable de résister à cet assaut qui me fait chavirer tous mes sens. Mon sexe s’humidifie malgré moi. Honteusement, je ferme les yeux et me laisse faire. Me retrouver presque nue dans un endroit public avec trois jeunes qui me pelotent me rend dingue.  Leurs yeux impudiques sont scotchés sur mes mamelons exposés.Je commence à haleter lorsque celui qui me tient par la taille déboutonne les deux derniers boutons du bas de ma chemise, et remonte ses mains pour englober mes gros seins qui se trémoussent à l’air libre sous les secousses du bus.  L’autre continue de les sucer l’un après l’autre tout en surveillant que personne de remarque rien.
Mon chemisier est complètement ouvert et glisse de mes épaules qui se dénudent lentement.Ils ne vont quand même pas me mettre à poil devant tout le monde !
L’autre qui me pelote le cul est complètement surexcité.  Il déboutonne sa braguette et sort un sexe tout dur qu’il frotte discrètement sur ma jupe légère alors que ses deux mains empoignent carrément les deux globes fessiers qu’il triture à outrance en enfonçant ses doigts dans la chaire molle. La situation commence à sérieusement dégénérer et par prudence et discrétion, ils me poussent dans un des coins à l’arrière du bus pour mieux se protéger du regard des passagers.Tout en me poussant, le jeune derrière moi abandonne alors provisoirement un de mes seins pour sortir frénétiquement à son tour sa queue toute raide.  Puis sa main revient saisir mon sein et il pousse sa queue dans la raie de mes fesses au travers de la jupe.
Il se masturbe clairement en faisant des va-et-vient tellement puissants que je crains qu’il déchire la jupe !  Je gémis sous leurs caresses et sucions. Mes mamelons sont incroyablement durs et dressés. Mes jambes sont lourdes. J’ai peine à surveiller à quel moment je dois descendre. A force de se frotter sur ma jupe, il la soulève soudain avec son sexe tout en continuant de me tripoter les nichons.
Je sens alors son sexe directement en contact sur mes fesses nues ! Je vacille.

Ma jupe relevée laisse voir mon arrière train à tous ceux qui auraient l’idée de se retourner sur leur siège pour voir ce qui se passe au fond du bus.Mais personne ne semble regarder heureusement.  Le jeune étudiant pousse sa queue dans ma raie et le fait glisser tellement loin que je sens son gland effleurer ma fente. Ça me rend folle.
Ils le voient bien et se sentent encouragés ; ils redoublent de fougue.Celui qui me suce mes tétons et me tient les bras en arrière se frotte aussi le sexe sur ma cuisse mais au travers de son pantalon déformé.Soudain, je vois le nom de la station où je dois descendre pour changer de bus une dernière fois.
Je me débats et leur fais comprendre que je dois sortir.  Chauffés à blanc et voyant que je deviens excitée à mon tour, ils ne veulent pas me laisser partir, mais comprennent que je suis sérieuse, leurs prises se relâchent et j’arrive à m’extraire au dernier moment en rajustant à la hâte ma chemise ouverte et débraillée. Les étudiants restent interdits.Des voyageurs s’en aperçoivent alors et me dévisagent comme une extra-terrestre.Je cours et manque de tomber dans les marches et gagne l’abri où se trouve un groupe de personnes en attente de l’autre bus pour l’hôpital.
Mais les trois étudiants réussissent encore à descendre !  Ils ont rapidement rengainé leur arsenal et me rejoignent de nouveau mais le manque d’intimité et le regard des autres voyageurs sous l’abri de bus les empêchent de reprendre leur tripotage en règle.Cependant, ils se collent à moi et commencent à se monter le bourrichon entre eux.« Regarde, elle aime ça… »  « Évidemment, on voit bien qu’elle cherche ; autrement, elle ne se baladerait pas à moitié à poil dans les bus » « On va finir ce qu’on a commencé… » Ils parlent entre eux en ignorant ma présence alors que j’entends tout ce qu’ils disent.  Peut-être attendent-t ’ils mon acquiescement ?Qui ne viendra pas évidemment, mais je me rends compte que la situation m’excite. Contrairement aux racailles de l’autre jour, ceux-là ne sont visiblement pas violents et sont même très mignons. Est-ce qu’ils s’en rendent compte. Je ne saurais dire, mais mon peu d’empressement à me soustraire à eux ne plaide pas en ma faveur.
Je me retourne, dos à eux et face à un des côtés de l’abri pour remettre ma chemise dans ma jupe mais je n’ai pas le temps de la reboutonner que le dernier bus que je dois prendre arrive.Je monte. Il y a du monde et je ne vois pas de places assises. Je dois encore me tenir à une poignée suspendue.  Je regarde si les trois ados sont montés.  Je l’espère presque ! Je suis folle je me dis. Comment puis-je souhaiter être harcelée ainsi ? Quand je les vois me suivre dans le bus, je suis presque contente mais aussi affolée de ce qui va se passer.  Mon cœur bat à tout rompre et ma libido bondit. 

Ils se collent à moi et m’entrainent vers le fond du bus en tirant sur mon chemisier maintenant entièrement déboutonné que je retiens comme je peux d’une main et en tenant le sac d’Alain de l’autre. Le bus accélère et je n’ai plus de main de libre pour me tenir ; alors deux des étudiants me retiennent de leurs mains salvatrices et baladeuses.

 Des places assises sont libres au fond du bus et ils me forcent à m’assoir sur un siège unique, dos à la route et donc à tous les autres passagers.  Ils s’assoient à leur tour sur une banquette mais face à moi.  Très vite, l’un d’eux allonge sa jambe et l’insère entre mes genoux pour me forcer à les écarter. Je veux me lever pour me soustraire, mais l’un d’eux se met debout et passe derrière moi pour me faire rassoir en gardant ses mains sur mes épaules.  Je me débats mais mollement et juste pour la forme car je suis incroyablement excitée par la situation.
Le jeune derrière moi me saisit alors les bras et les passe derrière mon siège pour les bloquer avec ses cuisses.  Mes bras sont tellement tirés que mes omoplates se touchent presque et je suis complètement entravée.  Ma poitrine se trouve violemment propulsée en avant. Tellement que les pans de ma chemise s’ouvrent largement.  Avec les vibrations du bus, le corsage glisse de mes épaules et mes seins sont exposés à la limite des auréoles de mes mamelons.  L’autre peut reprendre l’ouverture de mes jambes de force. Je résiste mais il est plus fort et lentement, mes genoux s’écartent, découvrant mes cuisses et bientôt mon intimité sans culotte…Leurs yeux sont exorbités à la vue de ma moule nue, mais surtout fraichement rasée !C’est forcément une première pour eux !
Ils sont bouche bée et s’échangent quelques propos salaces qui me laissent sans voix et que je ne peux décemment répéter ici.Je rougis à mort et referme vite les cuisses mais ils se mettent à deux pour me les rouvrir en me faisant signe de ne pas recommencer. Je joue le jeu et ressens une telle excitation de faire ça en public avec le risque d’être vue par tout le monde que ma résistance est de pure forme.Je reste alors ainsi, à exhiber ma moule à leurs regards lubriques d’adolescents boutonneux.Cette exhibition forcée déchaine en moi des vagues ininterrompues de cyprines qui inondent ma grotte.Ils se caressent au travers de leur froc gonflés car deux d’entre eux sont face à certains passagers et ne peuvent pas se dessaper. Trop risqué pour eux.  N’importe quel autre passager qui se tournerait dans notre direction ne pourrait pas me voir puisque je leur tourne le dos, mais pourrait les voir.Soudain, au passage d’un dos d’âne, ma poitrine valdingue et mon chemisier glisse complètement sur les côtés. Mes seins nus explosent à leur vue en totalité et gigotent au rythme des soubresauts de la route...
Leurs yeux ne savent plus où regarder entre ma moule glabre béante et mes gros seins qui se trémoussent indécemment. Le gars se met à les peloter à nouveau et d’être ainsi exhibée et tripotée me provoque une excitation démentielle.J’essaye de ne rien montrer mais je pars au quart de tour et me laisse faire. Il soulève mes seins et les laisse retomber en s’amusant de les voir tressauter.  Les autres rigolent.Puis, il me triture les tétons qui sont si gros et durs qu’ils les pincent et invitent ses copains à les toucher aussi. Je respire fortement.  Un des deux autres resté assis face à moi se déchausse et pousse alors sa jambe entre les miennes.Il l’allonge jusqu’à ce que son pied vienne buter sur ma chatte… et il se met à la presser, à la frotter, à la masturber avec son gros orteil !  Il scrute mes réactions et n’est pas déçu…Je gémis de plaisir et gigote sur le siège jusqu’à me surprendre, par reflexe, à ouvrir encore plus mes cuisses pour lui faciliter l’accès.  Ils n’en croient pas leurs yeux et deviennent fous d’excitation.

Voyant cela, le troisième qui se malaxe le froc se lève et avec l’aide du premier lascar, prend mes pieds pour les soulever et les poser sur la banquette du bus en me forçant à replier mes cuisses de chaque côté de mon corps, ouvrant complètement mon entre-jambe à leur vue.  Mes genoux sont de chaque côté au niveau de ma poitrine. La pose est d’une abominable obscénité. 
Mon sexe rasé est non seulement complètement ouvert et exposé, mais aussi mon petit trou !
Ce qui me cause un sentiment de honte épouvantable alors que le pied de l’étudiant s’en donne à cœur joie.

C’est lorsqu’il s’aperçoit que je mouille comme une fontaine que l’humiliation n’a plus de limite. Il s’exclame, survolté « Les gars ! »
Et montre aux deux autres sa chaussette au niveau de son gros orteil complètement trempée !Totalement exaltés à la vue de mon état, ils lâchent alors des remarques encore plus humiliantes qui ne font que m’exciter encore plus et le fait de ne pouvoir me soustraire de cette pose impudique augmente encore la pression de l’orgasme qui se construit implacablement et accélère l’afflux de mes jus. Celui qui me triture les nichons par derrière se déplace sur mon côté, dos aux autres voyageurs, défait sa braguette et sort son engin qu’il frotte frénétiquement sur mon épaule qu’il dénude en tirant le chemisier vers le bas.  Son sexe trempé mouille toute mon épaule. Il continue de me peloter les seins d’une pleine main en grognant de plaisir et se masturbe de l’autre en frottant son gland sur ma peau nue.
Son excitation est telle qu’en un éclair, il décharge dans mon cou !

Son sperme vient se coller sur mes cheveux et coule dans mon dos mais il n’arrête pas d’éjaculer et dirige son engin sur mes seins, puis ma joue sur laquelle il s’essuie.Mon con dégouline de mouille et mon bouton trituré incessamment par cet orteil vicieux est en feu !  Je me mors les lèvres et me tortille de plaisir sur le siège sans pouvoir refermer mes cuisses.On peut même désormais entendre le clapotement vulgaire de son orteil dans ma fente inondée lorsque le bus s’arrête à un feu ou un stop.
Les deux autres n’en peuvent plus du spectacle.  Tandis que l’un continue de me masturber avec son pied, l’autre se lève également et se positionne debout face à moi. Il sort son engin et se masturbe à son tour, caché par mon siège et moi-même des autres voyageurs qui ne remarquent rien.  Je mesure l’immense plaisir que je leur donne et réciproquement, de voir le second étudiant s’apprêter à éjaculer sur moi me transcende. Je sens l’orgasme monter malgré moi et c’est d’un regard vitreux que je surveille les arrêts de bus sans voir encore celui de l’hôpital.  Le jeune qui me triture ma fente inondée de cyprine, a désormais retiré sa chaussette et me bourre mon orifice de son gros orteil gluant ;

Je suis sur le point de jouir et, honteusement, instinctivement, j’accompagne les va-et-vient de son orteil de petits mouvements du bassin sous leur regard hypnotique. Le premier à avoir éjaculé est toujours derrière moi et me tient les genoux écartés au maximum pour que ses potes puissent profiter au maximum du spectacle pornographique mais de temps en temps, il ne peut résister à me malaxer encore mes seins et mes tétons. 

Soudain j’atteins le point de non-retour et me fige en apnée durant les quelques secondes qui précèdent l’orgasme qu’on ne peut plus stopper. 

Et là. Il me foudroie d’un violent coup. Alors, incapable de me contrôler, je m’abandonne à la jouissance.

Mon corps est pris d’un virulent spasme qui m’arrache un cri. Je jouis sous leurs yeux ébahis et me crispe sur le siège en voulant refermer mes cuisses, mais le jeune de derrière m’en empêche pour permettre aux deux autres de ne rien louper de l’orgasme qui me submerge.Être ainsi forcée d’exposer ce moment de plaisir extraordinaire si intime et si intense à leurs regards lubriques fixés sur ma fente béante, déculpe ma jouissance.  Celui qui se masturbe frénétiquement, fasciné par mon orgasme, se met à éjaculer d’un long trait puissant et incontrôlé qui me zèbre tout le bas ventre ! 
Un deuxième jet atterrit sur ma jupe retroussée.  Les contractures de mon sexe sont telles qu’elles sont visibles et même mon petit trou complètement exposé se met à palpiter sous leurs yeux stupéfaits. Mortifiée de honte, je détourne la tête.

Mon inavouable plaisir à peine achevé, j’essaye de reprendre mes esprits et surveille les arrêts de bus et m’aperçois que je dois descendre au prochain. Je veux réajuster mon corsage mais le dernier qui m’a fait jouir de son pied se lève à son tour et se positionne debout, face à moi. Il sort son sexe incroyablement dur et mouillé et se masturbe.
Il vient de me faire jouir si intensément que je me dis que je peux l’aider mais je suis inquiète de louper mon stop.  Je tends ma main vers son sexe et le saisis et commence à le masturber sous les yeux gourmands et fascinés des deux autres.
Il n’en attendait pas tant.  Totalement surpris par mon initiative, j’ai à peine le temps d’imprimer quelques aller-retours qu’il explose littéralement en poussant un long râle étouffé par le bruit du bus. 
Son premier jet de foutre me gicle en pleine figure !
Mais il veut viser mon con et reprends sa queue en main lui-même pour tirer une seconde salve en plein sur ma fente écartelée. Il est dans un état second et vacille sur ses jambes.
Il continue d’éjaculer pendant quelques secondes quand le bus s’arrête à l’hôpital.  Mince ! Je dois me lever !
Je veux leur dire que je dois absolument descendre ici mais j’ai tellement de foutre sur la bouche que je postillonne du sperme partout !Ils comprennent et me relâchent en me remerciant.  Ils m’aident à me relever et me ramasse même mon sac que je prends à la volée, agrippe mon corsage même pas ajusté sur mes épaules encore nues et cours à plat ventre dans le couloir du bus devant les voyageurs médusés. Je sors in-extrémis lorsque les portes se referment emprisonnant le bas de ma jupe ! Le bus repart et je tire sur ma jupe comme une folle pour ne pas la perdre.  Je lâche le sac et mon corsage sans même me préoccuper s’il y a des passants aux alentours. Ma jupe craque et se déchire !

Je regarde les dégâts et constate que la jupe est désormais fendue sur tout un côté, découvrant ma jambe entière jusqu’à la taille…Je lève les yeux et aperçois les trois étudiants qui me regardent au travers de la vitre arrière du bus qui s’éloigne. Ils me sourient et lèvent le pouce en signe de satisfaction.  Il faut dire qu’en plus de ma jambe nue, je n’ai toujours pas réajusté ma chemise grande ouverte descendue sur les épaules.  Ils profitent et matent une dernière fois ma poitrine dénudée alors que le bus disparait dans la nuit tombante.
Ils vont s’en souvenir longtemps. Moi aussi…
Je regarde autour de moi. Heureusement, je suis la seule à être descendue et l’arrêt de bus est désert.Je crache le plus gros du sperme et m’essuie la bouche comme je peux, puis je reboutonne – enfin – correctement mon corsage et le glisse dans ma jupe déchirée.  Le bas du corsage dépasse par la fente déchirée de la jupe, ce qui permet de maintenir le doute sur le fait que je porte une culotte…ou non. C’est déjà ça.
J’essaye de nettoyer le sperme. Dans dos, je sens que c’est mouillé et que ça colle alors que du foutre coule de mon bas ventre sur mes cuisses.  Mais c’est aussi ma jupe et mon corsage qui sont maculés et malgré mes efforts, je ne fais que l’étaler et ça sent...  Quelle misère… Je me dirige vers l’hôpital et rase les murs aussi discrètement que possible à la recherche des toilettes pour me laver au mieux mais si l’eau rend le corsage à peu près propre, il devient transparent et me colle sur les seins.  Ça s’arrange je me dis !
Je ressors en me cachant la poitrine au mieux avec le sac, puis, renseignements pris, je me retrouve devant la porte de la chambre de la mère d’Alain. Je frappe.Personne ne répond. J’entre.  Alain n’est pas encore arrivé.  Une vielle dame dort dans son lit avec des tuyaux partout.
Je ne sais pas quoi faire, elle n’a pas l’air bien.  Je m’approche et pose le sac auprès d’elle et m’apprête à ressortir lorsqu’elle me saisit le bras. Je sursaute.« Assis-toi » dit-elle d’une voix faible.« Tu es Marie, n’est-ce pas ? »  « Oui » je réponds timidement.« Laisse-moi te regarder » Elle me prend la main doucement et me dévisage. Je suis un peu gênée. Je me penche en avant pour décoller le corsage humide de ma peau.Elle ferme les yeux et je crois qu’elle s’est rendormie.  Je m’apprête à partir à nouveau.  « Tu as le sac ? »  Je lui tends et elle en sort un album photos et me demande de lui tourner les pages.« Tiens, regarde… »  Elle me montre de vieilles photos. Sur l’une d’elle, on voit une jeune femme avec trois bébés ; elle s’apprête à parler mais se rendort alors qu’un médecin entre.« Qui êtes-vous » demande t ’il autoritairement, sous-entendu, vous n’avez rien à faire ici. 
Il me prend au dépourvu. « Vous êtes de la famille ? » insiste t’il.  J’ai à peine le temps de croiser les bras devant ma poitrine. Tiens, ben oui, je vais lui dire que je suis sa fille, ça va le calmer. Mais, avant que je réplique, il me sort : « Ah mais vous êtes sa fille ! Vous vous êtes coupés les cheveux c’est pour ça »Je reste ébahie.  Hein ? Mais qu’est-ce qu’il dit ?  Bon, enfin si ça lui fait plaisir, je ne serai pas éjectée déjà.Le médecin me demande de ne pas lui parler en raison de son état de faiblesse. Puis il repart faire sa tournée et sur ce, Alain arrive enfin.

Il me rapporte qu’il a pu fermer la boutique alors que je lui dis que sa mère dort mais qu’elle a pu me parler un peu. Il semble content.Il remarque ma jupe déchirée.  Je lui explique que j’ai eu un souci avec une porte de bus mais sans faire allusion aux étudiants.
Il rigole et me dit que c’est encore plus sexy comme ça.Je fronce les sourcils et remarque que le corsage est humide.  Je lui dis que je me suis éclaboussée avec le lavabo des toilettes en arrivant.  Il trouve ça super et ajoute aussi que c’est dommage que mon corsage soit fermé bien sagement jusqu’au col…mais qu’il soit ainsi mouillé…ça compense ! S’il savait…En tout cas, le tissu commence à sécher un peu.On reste assis à veiller un bon moment sa mère endormie. Il tient la main de sa mère pendant que je lui tiens la sienne et ça semble l’apaiser.Je repense aux photos et ne comprends pas pourquoi elle m’a montré ça. Elle m’a peut-être confondu avec la sœur d’Alain comme le médecin ? Vu son état… « Dis-donc, tu m’avais caché que t’avais une sœur ? »Il me répond qu’il n’en voyait pas l’intérêt. « C’est vrai qu’elle me ressemble ? »Il feint d’être surpris et me dit qu’il y a une vague ressemblance.  « Et qu’est-ce qu’elle fait ? Elle habite où ? »J’apprends alors que sa sœur mène une vie nocturne peu recommandable.  Elle est danseuse si j’ai bien compris mais pas à l’opéra…Je n’insiste pas.  La soirée se termine et on rentre.  Les bus sont plus rares et presque vides.Alain n’arrête pas de mater mes cuisses, surtout du côté où la jupe est fendue jusqu’à la taille.
Il sait que je n’ai rien en-dessous et je vois bien que ça l’excite.
Dès le premier bus, il pose la main sur ma cuisse, mine de rien et je n’ose pas la lui repousser. Mais dans le deuxième bus, il m’entraine dans le fond, désert et m’embrasse en me pelotant.  Je me laisse faire encore lorsqu’il remarque du sperme séché à plusieurs endroits.  Il m’interroge et je fais l’innocente. « J’sais pas d’où ça vient moi » « Sans doute un pervers qui a éjaculé sur toi dans le bus sans que tu t’en aperçoives » conclut-il tout seul.  C’est bien je me dis, ça m’évite d’inventer n’importe quoi mais surtout de lui raconter ce qui m’est réellement arrivé.« Ça t’excite d’être nue sous tes vêtements en public ?  Dans un bus plein de gens ? »
J’avoue qu’il a touché un point faible dont je ne me rendais même pas compte toute seule. Je réfléchis et en toute franchise et innocence, je lui réponds : « Je te mentirais si je te disais non… » Sans doute encore plus excité par ma réponse, il reprend sa fouille en règle en déboutonnant fougueusement mon corsage.  Décidément… Il ne sera pas resté boutonné longtemps ce soir-là je me dis !J’ai peur que quelqu’un nous voit et je l’empêche d’aller plus loin. « Tu viens de me dire que ça t’excitait… »« Oui, d’être nue sous ma jupe au milieu de la foule…mais là y’a personne et je ne parlais pas de me faire peloter par toi ! » Je fais en rigolant.« Ah, tu veux dire que tu aimerais mieux s’il y avait du monde ?  Et de te faire tripoter par des inconnus c’est ça ?? »
Pffff....Il touche un nouveau point sensible mais je préfère ne pas répondre que de lui avouer ce nouveau fantasme impudique.  Malheureusement, mon silence et mon fard aux joues trahissent ma réponse. Il sourit.De toute façon, on doit changer et prendre le dernier bus.  On descend à l’arrêt où on est seuls dans la nuit à attendre.  Il fait bon. Il y a une légère brise qui soulève ma jupe.  Je me tiens debout devant lui alors qu’il est assis sur le banc.Il me tient par la taille mais bientôt, ses mains glissent sous ma jupe et me caressent les fesses nues. Je trésaille et scanne les alentours à la recherche d’un éventuel rôdeur ou voyeur.Il me tire à lui, debout et m’écarte les jambes.  Il commence alors à me masturber sous la jupe.  Je fonds littéralement.  C’est trop bon, comme ça en plein air, de nuit dans la rue.Je le laisse faire et je sens le plaisir m’envahir doucement. Il me triture le bouton et enfonce un doigt dans ma fente trempée.
Mais le bus arrive et on doit stopper notre jeu érotique à contrecœur.
On se retrouve encore assis au fond sous les lumières blafardes des néons de l’autocar.Il reprend ses caresses et je mouille comme une folle. Il n’y a personne d’autre à part le chauffeur. Alain sort alors précipitamment son sexe de son pantalon. Je le prends dans ma main et le masturbe lentement. Il souffle et gesticule tout en continuant de triturer mes seins dans le corsage déboutonné. Son autre main est sous mes fesses. Je suis assise dessus ! Il m’enfonce à nouveau un doigt dans la chatte et je bouge mon cul au même rythme que lui.  Avec les vibrations du bus, je suis proche de l’extase. Il m’insère alors un deuxième doigt qui me pénètre plus profondément. J’ouvre mes cuisses en grand et m’abandonne à cette main qui me fouille mon intimité en public. Comme une chienne impudique, je m’astique dessus ouvertement tout en branlant son manche de plus en plus vite et fous d’excitation, rapidement, on jouit simultanément.  Il se fige en écrasant à pleine main un de mes seins, tandis que je me crispe sur ses doigts farfouilleurs en poussant un petit cri.
Son membre crache une belle salve de crème fraiche qui vient retomber encore sur ma jupe.
Mes jus coulent sur ses doigts qu’ils retirent pour me les faire sucer. J’aime le gout de mes propres orgasmes et sous son regard incrédule, je lèche ses doigts avec gourmandise jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien.
Puis, je racle son pâté de semence de ma jupe pour en enlever le maximum.
Le plus gros morceau tombe sur le siège !  Bonjour le passager suivant je me dis ! 

Le bus arrive à destination. On descend en saluant le chauffeur mine de rien.  Il est tard et je pue le sperme à deux mètres.  On se fait la bise et encore quelques palpations dégoutantes, puis il rentre à pied de son côté et moi du mien. Je marche ainsi dans la nuit tiède en repensant à tous ces incidents, surtout celui avec les trois étudiants. J’ai vraiment pris un pied énorme. Je me sens si bien, enivrée d’un bonheur nouveau et parfait. 

Puis je pense à ces trois hommes qui remplissent ma nouvelle vie et s’occupent de moi.  Je me rends compte de ce qu’ils me font découvrir et j’y adhère totalement.  Je sens ma jupe se soulever à chaque petite brise et dénuder mes fesses. Heureusement que mon quartier est tranquille et désert à cette heure avancée, car dans la tenue et l’état où je suis, il ne faudrait pas que je fasse encore une mauvaise rencontre. Je marche en sautillant comme une gamine, racle un peu du reste de sperme de ma jupe et le renifle en fermant les yeux.
J’aime son odeur à présent.  Je rigole.  Je ne sais même pas à qui il appartient !
J’arrive à bon port, me douche et lave mes nouveaux vêtements déjà bien étrennés.Puis, après une pomme et un yaourt, je m’endors sur le ventre, nue sur mon lit aux draps tous propres.Le lendemain, je pensais avoir tout vu.  Mais c’est la journée où tout a basculé… je m’en souviendrai toute ma vie.
L’OLIVIER ET LE NOUVEAU CLIENT
Comme les autres jours, je passe la haie pour me baigner tout de suite car il fait déjà très chaud. J’étais tellement pressée de piquer une tête que je n’ai pas fait attention ; j’ai plongé avec mon Marcel....que je retire ensuite mais il est trempé ; alors je le balance au loin dans la douche pour le rincer tout à l’heure.Après avoir batifolé nue dans l’eau pendant un long moment, j’écarquille les yeux et aperçois Lucien dans l’atelier qui discute avec un autre homme.Mince !  Ce doit être son client.  Déjà ? Mais quelle heure il peut bien être. Il faut que je file mais j’aperçois Lucien qui lui montre le jardin.  Zut, ils vont sortir.  Je me précipite pour chercher mon T-shirt.  Quelle gourde, je l’ai laissé dans la douche, en boule et forcément encore trempé.
Je sors précipitamment et cours à la douche pour l’enfiler à la hâte alors que je n’ai même pas de short vu que j’étais venue comme d’habitude, le cul à l’air.
Je n’ai pas le temps de m’éclipser chez moi que Lucien et le client déboulent et ce dernier me reluque immédiatement de haut en bas avec une insistance terriblement audacieuse. Je n’ai pas besoin de tirer sur mon Marcel étant donné qu’il s’allonge tout seul par le poids de l’eau qui pisse. Le seul point positif est qu’il me couvre bien le postérieur, ce qui est un soulagement, mais en même temps, les bretelles sont si distendues et fines qu’elles arrivent à peine à couvrir mes auréoles !
"Est-ce que vous la voyez ?" demande innocemment Lucien."Ah oui, oui, tout à fait, tout à fait" répond le client d’un ton jovial avec un sourire sarcastique en retirant ses lunettes de soleil pour mieux m’ausculter.
Mes généreuses rondeurs sont outrageusement exposées de tous les côtés et c’est avec un sourire gêné et une main maladroite que je salue ce nouvel invité."Je te présente Manuel; il dirige un Club dont je t’ai parlé"« Nous nous sommes parlés au téléphone, vous vous rappelez ?  Je suis, et mes clients aussi, nous sommes de grands fans de vous vous savez ! »
Je rougis en souriant niaisement et croise mes jambes en tripotant le bas de mon T-shirt qui goutte. Puis je me croise les mains sur le devant en essayant d’en cacher le plus possible... Enfin... plutôt d’en montrer le moins possible serait plus exact."Asseyez-vous""Oui, asseyez-vous mademoiselle" ajoute Manuel.« Je…j’allais partir… »Lucien a apporté un tabouret et m’invite à m’y assoir autoritairement : « Assis-toi »  Seulement, le problème quand on s’assoit, c’est que le T-shirt remonte et dévoile les cuisses jusqu’en haut... et que quand on n’a pas pris la précaution de mettre son short, eh ben... voilà.  Je suis prise d’un fard. Je serre les cuisses et tire comme je peux sur le bas du Marcel trempé alors que le client reste les yeux rivés sur moi et manque presque de s’assoir à côté de sa propre chaise.
Il faut dire que plus je tire sur le bas et plus le haut descend et les bretelles s’affinent...  Va falloir choisir je me dis !  Mes mamelons jouent à cache-cache derrière le fin tissu que je tente de réajuster constamment. Il a les yeux tellement scotchés dessus que je suis prise d’un petit rire nerveux qui fait tressauter mes nichons et mes tétons qui apparaissent et disparaissent au gré de mes secousses.  « Oups ! »   Je fais en m’esclaffant comme une nigaude. Le client a la mâchoire qui descend au fur et à mesure que mes bouts de sein ne trouvent plus d’endroit pour se cacher.  Et comme une gourde, je ne trouve pas mieux que de joindre mes mains pour tirer le vêtement entre mes jambes ce qui coince, écrase et fait ressortir ma poitrine entre mes bras.  Mes seins se touchent et gonflent démesurément sous ses yeux lubriques.
« Marie, tu peux aller nous chercher de la citronnade et des petits gâteaux s’il te plait ? »
« Avec plaisir ! » Je me sens soulagée de pouvoir m’éclipser et me soustraire au regard méchamment insistant de Manuel. Alors je me lève d’un coup, pars en lui tournant le dos et en tirant sur le T-shirt pour bien couvrir mes fesses.
C’est quand je reviens que c’est plus compliqué, avec la boite à gâteaux dans une main, et la citronnade dans l’autre.Je marche vers eux d’une démarche naturellement chaloupée que Manuel, épaté, ne peut que constater l’indécent balancement de mes seins qui passent et repassent derrière les bretelles.  Surtout en dehors… Manuel est fasciné.
Plus je m’approche, plus ses yeux font de même : Il louche tellement, qu’on dirait un cyclope !
Je pose le tout en m’accroupissant et au moment de me rassoir, voilà que Lucien me dit: « Tiens, Marie, toi qui est grande, tu pourrais regarder si l’olivier ne commence pas à donner ? »« A donner ? Comment ça ? »« Oui, avec cet été si chaud, je pense qu’il doit commencer à y avoir quelques olives mures mais je ne peux pas les voir.  Regarde vers le haut où elles ont le maximum de soleil. »Je me lève et scrute les olives en formation et en discerne quelques-unes bien vertes sur les branches les plus hautes.« Oui, j’en vois qui ont l’air mures mais c’est bien trop haut pour moi »« Tu peux les faire tomber ?  Prends ma canne »« Heu mais même avec la canne, c’est trop haut » je dis.«  Grimpe sur un tabouret alors » lance Lucien un poil agacé d’avoir à faire à une empotée de la sorte !Grimper sur un tabouret.... Oui, oui bien sûr... devant le client et sans culotte...nickel je me dis.« Alors ? » s’agace Lucien.« J’y vais, j’y vais » alors que Manuel me tend élégamment et gracieusement mon tabouret avec un large sourire.  Quand on peut aider semble-t-il dire...
Je grimpe et tends le bras pour taper sur les branches mais le compte n’y est pas.Enfin, ça dépend de quoi on parle.   D’un côté, je n’arrive pas à frapper les branches encore trop hautes malgré que je m’étire sur la pointe des pieds et le bras tendu au maximum.D’un autre côté, pour ce qui est de la vue que j’offre à l’invité de Lucien, le compte y est... Manuel, toujours aussi serviable et très concerné par ma sécurité, s’est accroupie pour tenir mon tabouret et regarde en l’air évidemment pour voir si j’atteins ces satanés olives.  Enfin il regarde vers le haut, oui.  Mais peut-être pas que les branches de l’olivier...En allongeant mon bras ainsi et sur la pointe des pieds, mon T-shirt a beau être mouillé et lourd, il remonte... il remonte même carrément à moitié de mon derrière qui est juste au-dessus du visage du client...Je pique un fard et serre les fesses.« Alors ? Je ne les entends pas bien tomber » insiste Lucien.« C’est moi qui vais tomber ! » je réplique.«Elle n’est pas stable.  Attendez, je vais mettre mon tabouret à côté du vôtre et vous pourrez mettre un pied sur chaque, ce sera beaucoup plus sûr » suggère Manuel dans un éclair de génie.Ben ouai... comment je n’y ai pas pensé.  Aussitôt fit, aussitôt fait, sauf que le "juste à côté", est très approximatif et je me retrouve debout, un pied sur chaque tabouret qu’il a mis à une telle distance, que j’ai les jambes vraiment, mais vraiment bien écartées !Il se repositionne accroupi en tenant les deux tabourets et cette fois... il n’y a plus rien à cacher. Il a une vue superbe sur toute mon anatomie intime, le minou glabre bien ouvert alors que je redouble d’effort pour atteindre ces maudites olives soi-disant mûres.Je manque de tomber et Manuel me saisit les jambes pour m’éviter la chute. Il a l’air d’être très satisfait du spectacle car je sens ses yeux rivés sur mon entre jambe grand ouvert et sa tête à quelques centimètres.
La situation commence à me faire mouiller d’autant plus que ses mains ne se contentent pas de me tenir mais glissent plus ou moins sur mes mollets et remontent tranquillement jusqu’aux genoux au gré de mes contorsions.« Alors ?  Tu y arrives bon sang ? »« Non, je n’y arrive pas !  C’est trop haut, désolée »« Bon sang de bon sang, mais quelle Bécassine elle fait ! » fait-t-il en se levant en pétard.« Grimpe sur mon dos.  Allez ! »Son ordre n’invite pas à le contredire...Manuel, ravi de la tournure des événements, guide le Prof  devant moi. Il me tourne le dos.  Debout sur les tabourets, je lève la jambe droite pour la passer sur son épaule, ouvrant magistralement mon sexe sous les yeux ébahis de Manuel qui m’aide en me tenant par les hanches, le visage collé à mes fesses grandes ouvertes. Puis la deuxième jambe en m’agrippant à la tête du sculpteur.Mon T-shirt remonte carrément au-dessus des fesses, jusqu’à la taille, découvrant complètement mon postérieur écartelé.Je sens ma vulve collée sur sa nuque et mon clitoris écrasé.  C’est super jouissant !« Mais t’es trempée ma parole ? » dit Lucien en sentant l’humidité de mon T-shirt qui dégouline sur sa nuque.« Oui, il était resté dans la douche »«Mais c’est pas vrai... enlève ça tout de suite"« Mais, je... »« Oh ça va, Manuel en a vu d’autre.  Les dernières sculptures étaient pour lui. Je veux pas que tu mouilles ma chemise »
« Moi aussi, j’en ai vu d’autre » ajoute Robert qui vient de surgir sans qu’on s’y attende !« Tiens, t’es là ? » répond Lucien.« Robert, mon frère, dessinateur et peintre ; Manuel, responsable d’un Club.....hum... libertin, c’est comme ça qu’on dit je crois »Tandis qu’il font leur présentation, j’enlève alors mon seul vêtement sous les regards lubriques de Robert et de Manuel qui me découvre désormais complètement nue, chevauchant les épaules du sculpteur. A son habitude, Robert n’en loupe pas une. « Tu seras indéniablement plus à l’aise.  Y’a rien de pire qu’un vêtement mouillé pour entraver tes mouvements.  Vous faites quoi sinon ? »« Elle va nous faire tomber les premières olives qui doivent être mures »« Ah très bien, j’arrive au bon moment alors » répond Robert d’un air jovial. « J’ai hâte de voir ça ; prend ton temps ma belle » et sur ce, il ramène un transat du salon dans le lequel il s’allonge confortablement avec une citronnade en main comme pour assister à un spectacle.Je fronce les sourcils. Mais Lucien me rappelle à l’ordre : « Bon, t’es assez haute maintenant ?  Alors vas-y, secoue les branches bon sang »Je remue les branches avec sa canne mais c’est encore trop haut.  J’essaye de me lever un peu de ses épaules.  Il m’aide en croisant ses bras musclés sur son torse et me dit  «  Tu peux appuyer tes pieds sur mes avant-bras pour te lever si tu veux »Manuel, toujours aussi attentionné, s’assure de ma stabilité en me soutenant les cuisses...avec le regard fixé sur ma chatte ouverte juste sous ses yeux. 
Tous ces yeux rivés sur ma chatte ainsi exposée déclenchent une soudaine excitation qui commence à m’envahir.  Ses mains agrippent mes cuisses mais glissent rapidement sur mes fesses.En extension maximale, j’arrive enfin à atteindre une branche sur laquelle de jolies olives vertes se détache à force de les secouer.  Elles se balancent comme mes seins !J’imagine le spectacle de loin !  Je fatigue et me rassois sur ses épaules.  Ce faisant, mon clitoris se frotte méchamment sur le cuir chevelu de Lucien pour finir de s’écraser sur sa nuque.  Je sens comme une décharge électrique me transpercer !  Je me relève aussitôt pour partir à la cueillette de nouvelles olives en me tenant presque debout sur ses avant-bras pliés et avec l’aide des mains de Manuel qui me tiennent fermement mes cuisses ou plutôt mes fesses qu’elles englobent maintenant sans vergogne. « Tu vas y arriver Marie » fait Manuel d’un ton désarmant de sincérité.« Je confirme » ajoute Robert d’un ton sarcastique. A force de me lever et de me rassoir sans arrêt, la friction de ma chatte sur sa tête me procure des effets insoupçonnés et je sens mes jus m’inonder littéralement.« Mais t’es toujours trempée ? » lâche soudain Lucien qui doit sentir la cyprine de ma chatte lui mouiller les cheveux !
« Je... je transpire je pense » je réponds d’une voix mal assurée qui trahit mon état d’excitation.Les olives tombent une par une au prix d’un effort physique intense et d’un orgasme qui pointe sans dire son nom.  Je me dis que ça n’est pas possible et que je vais évidemment me contrôler.« Vas-y, continue, c’est bien comme ça » m’encouragent-ils chacun leur tour, Manuel jouissant du spectacle de tous ses sens : la vision de ma chatte écartelée qui commence à mouiller, et du toucher de ses mains engluées dans mes fesses. Il en profite pour les écarter au maximum et offrir carrément la vue de mon petit trou à ses yeux exacerbés et ceux de Robert qui se lève d’un bond pour s’approcher et mieux voir mon cul dilaté.   Je transpire, oui, mais je halète fortement tout en continuant de me lever et m’assoir et limer, limer encore plus fort mon gros bouton tout dur qui se tord de plaisir à chaque passage.Manuel et Robert, se délectent de mes efforts résultants en mon cul grand ouvert qui monte et descend sous leur nez en s’humidifiant de plus en plus au point de tremper la nuque de Lucien.« Impressionnant, hein ? » fait Robert à Manuel à voix basse mais que j’entends quand même et qui chauffent mes joues écarlates.Je sens l’orgasme poindre et les forces m’abandonner.  Je m’astique exprès en toute indécence sur la nuque et ma chatte se déforme à chaque aller-retour. Je n’ai plus la force de frapper les branches mais en trouve encore pour me frotter ! Je me fais honte.  J’ai pratiquement atteint le point de non-retour et mon corps cri son plaisir au point que je ne peux plus m’arrêter de me frotter encore et encore sans raison valable.  Je lâche la canne et m’agrippe aux cheveux du prof.  Je ne me lève presque plus, je me frotte juste toute seule sans raison sur sa nuque trempée ! Je pousse de petits cris...
Pour soulager mon effort et contribuer à mon plaisir grandissant, Manuel continue d’accompagner mes ascensions et descentes en empoignant mes deux globes fessiers à pleines mains et pousse dessus pour accentuer la pression de mon con sur la tête de Lucien !Ma chatte est en feu ! J’ai trop envie que lui ou Robert m’enfonce un ou deux doigts dans la chatte tellement elle brule de désir.Mais je ne peux quand même pas m’abaisser à leur demander ouvertement ! J’ai beau tendre ma croupe ouverte bien en arrière, ils n’osent pas...J’appuie tellement fort sur la tête du Prof que je l’oblige à la baisser.  Je suis en train de la baiser littéralement comme une folle furieuse pour me finir.Je ne peux plus m’arrêter !! Je suis dans un état second. Les deux hommes restent interdits mais font tout pour m’aider.  Robert tient Lucien qui chancelle sous mon poids et mes gesticulations sont tellement désordonnées que Manuel a du mal à me guider.  Je m’agrippe si fort à ses cheveux que je dois lui faire mal tant je tire dessus mais il ne bronche pas.  Je m’astique le fion comme une dératée et halète comme une chienne en chaleur.  Dans mes va-et-vient de folie, ma grosse vulve gluante et trempée s’écrase, ses lèvres se déforment en glissant sur la nuque épaisse du sculpteur comme un gros mollusque visqueux.  Mon bouton s’affole.  Une véritable vague déferlante m’envahit soudain.   Je hurle et commence à jouir. Mon corps se désarticule comme un pantin et mes mains s’échappent. Je vais tomber ! Manuel a du mal à me retenir pour ne pas chuter de même que Lucien, qui sous mes mouvements désordonnés perd l’équilibre et manque de tomber à son tour. Il s’appuie sur l’olivier. A son tour, Robert se précipite pour me retenir.
Je jouis longuement, prise de multiples spasmes et, la bouche ouverte et les yeux mi-clos, je me laisse choir, épuisée dans les bras de Manuel et Robert qui m’accompagnent doucement jusque sur le gazon comme une feuille morte.
 Lucien qui se tient les reins et se frotte la nuque dit «  Moi qui voulait pas que tu mouilles ma chemise...Bon, ben je crois qu’on a assez d’olives pour ce soir »
 « Quel...quel spectacle ! » conclut Manuel qui n’en croit pas ses yeux.« Pas mieux ! »  ajoute Robert tout aussi retourné. « Je croyais avoir tout vu… »Je ne me sens même plus humiliée de mettre donnée en spectacle devant ce nouvel inconnu. Lucien m’a décomplexée sans doute. Je souris et profite de ma béatitude, allongée nue sur le sol sous leurs yeux admiratifs alors qu’ils retirent doucement leurs mains de dessous mon corps inerte.  Robert fait une photo.« Qu’est-ce que vous faites ? » je m’inquiète.« Oh excuse-moi, je voulais immortaliser cet instant d’extase…mais je me suis permis d’en prendre depuis cinq minutes.  Ça m’inspirait. Je verrai plus tard avec les clichés si je peux en sortir un dessin ou même une peinture »
« Oh vous peignez des nus ?  Faudra me montrer ça.  On pourrait peut-être en accrocher aux murs du Club »
«  Avec plaisir » répond Robert
«  Des nus très suggestifs tu pourrais préciser » interrompt Lucien. « Ben à l’image de tes sculptures frérot »Lucien enchaine : « Bon, si on les gouttait ces olives ? »
Je me relève doucement, épuisée. Puis, Robert, Manuel et moi ramassons les quelques olives éparpillées dans l’herbe.
Alors que le soleil se couche, je ne remets pas mon T-shirt toujours mouillé et c’est à quatre pattes dans le plus simple appareil que j’aide ces messieurs.   Ils en ont bien besoin car ils ont plutôt du mal à les trouver, leurs regards étant dirigés ailleurs.Ils me suivent comme des toutous, la langue pendante !  C’est trop marrant.Je m’aperçois que leurs pantalons présentent de belles bosses et je dois dire que j’ai un réel plaisir à prendre mon temps en faisant exprès d’allonger le bras pour ramasser les olives, faisant frôler mes seins sur l’herbe tandis que mes fesses, pointées en l’air, se tortillent en tendant bien ma croupe, encore toute brillante de mon orgasme insensé, que j’ouvre innocemment.  Je rêve d’être prise, là par n’importe lequel...les deux même ! Mais non. Je ne sais plus ce que je dis !  
« Allez Marie, à toi l’honneur.  Tu les as bien méritées » coupe Lucien.
Je goute une olive qui est trop amère à mon gout et n’ai qu’une idée en tête, m’éclipser pour m’enfoncer n’importe quoi dans la chatte et laisser ces messieurs à leur conversation d’adultes.
« Bon, ben je vous laisse discuter entre vous.  Je dois me changer... heu… enfin, me nettoyer et... Et je suis fatiguée... alors à la prochaine ! »
« Ah bon ? » fait Manuel dépité qui se lève pour me saluer en rajustant la bosse dans son froc.  « C’est dommage, je voulais justement voir un projet avec le Prof et vous »
«  C’est Mr Lucien qui décide. Je lui fais confiance pour ça !  Bonsoir »
Et hop, je ramasse mon T-shirt et m’empresse de franchir la haie en trottinant vers ma maison et leur offrir une dernière vision de mes seins qui se balancent à tout va et de ma croupe qui se dandine.
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