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Marie et le sculpteur aveugle

Chapitre 7

LES TABLES EN PLEXIGLAS

Erotique
ALAIN EN EMBUSCADE
Mais au moment d’ouvrir ma porte, une main me saisit le bras fermement.Alain ! Il était caché dans la pénombre derrière un bosquet qui longe la maison.
« Eh! Mais lâche-moi, tu me fais mal »
Il fait une drôle de tête et me pousse contre le chambranle de la porte fermée.
« Qu’est-ce que tu v… ? »
Je n’ai pas le temps de finir. Il se jette littéralement sur moi dans un état second et m’embrasse de force passionnément.Il est torse nu et son pantalon déboutonné couvre à peine ses fesses.
Je me débats mais il me prend les poignets et me relève les bras au-dessus de la tête en me plaquant contre le mur de tout son poids.Il force le passage entre mes cuisses serrées pour introduire sa jambe. Je sens son sexe dur appuyer sur ma cuisse au travers de son pantalon.
« Mais qu’est-ce que tu fiches à moitié à poil et à bander comme un cheval ? »Il me fixe dans les yeux d’un regard complètement lubrique. En guise de réponse, il m’embrasse à nouveau et baisse son pantalon jusqu’à ce que son membre bondisse hors du slip.Je ne peux plus bouger ni parler. Je veux crier et me débattre de plus belle mais la proximité de cette verge d’homme, chaude et dure qui cherche ma fente assoiffée de sexe m’étourdit d’excitation et au final, je ne fais pas trop d’effort... Je succombe...
Sa jambe entre mes cuisses qui appuie sur mon sexe encore trempé me fait littéralement fondre de plaisir. Il sent la cyprine humidifier sa cuisse ce qui le galvanise. Il redouble d’ardeur.Je m’abandonne à son fougueux baiser et le laisse me pénétrer la bouche se sa langue avide alors que mes cuisses s’écartent doucement sous la pression.Il a gagné le saligaud je me dis... ça me rend à la fois furieuse de n’avoir pas mieux résisté et excitée d’être nue dans ses bras et prise ainsi.
Ma chatte trempée me relance d’un coup !
Il m’entraîne alors sans un mot dans le jardin. Je le retiens et lui dis d’entrer dans la maison.
Mais, totalement chauffé à blanc, il m’allonge dans l’herbe, juste derrière la haie.On peut entendre Lucien, Robert et Manuel discuter !Ils sont à moins de cinq mètres et parlent de moi en plus...Alain finit de se désaper comme l’éclair. Sa verge est incroyablement dure et toute mouillée, tellement mouillée qu’elle coule de ses jus. « Mais ?... T’es là depuis combien de temps ?? » Je lui demande d’un air soupçonneux. Il me regarde alors avec un air penaud, baisse les yeux et rougit.« Espèce de sale pervers, de sale voyeur et de... de ... tu m’as vu sur le dos du sculpteur ? C’est ça ? »
Je m’emporte et essaye de le frapper de mes petits poings mais il semble si honteux et si repenti que je suis désarçonnée et pendant ce temps, son engin frotte déjà sur ma chatte affolée. Je perds rapidement toute velléité d’en faire un drame, baisse les bras et n’attends plus qu’il s’enfonce dans ma chair.Après mon numéro déluré sur la tête du Prof, je n’attendais que ça…Je n’en peux plus et lui non plus apparemment.
On est tous les deux si incroyablement surexcités que je finis par le tirer sur moi.
Il se met en position du missionnaire. En signe d’encouragement, je relève mes jambes et lui enserre la taille, ouvrant mon sexe complètement comme un appel, une invitation...Son gland frotte insupportablement sur ma fente et écarte doucement les grandes lèvres.Il va pour me pénétrer...enfin ! Je retiens mon souffle, lorsque j’entends Lucien, Manuel et Robert se lever et approcher de la haie !
LES TABLES EN PLEXIGLAS
« Marie ? »" crie Lucien en franchissant la haie !!
Ce n’est pas possible, juste au moment où il allait s’enfoncer en moi Je repousse violemment Alain. Je ne veux pas que Lucien et les autres me voient ainsi mais Alain est dans un état second et veut me pénétrer coute que coute !« Marie ? T’es là ? Tu pourrais venir juste une minute ? »
Sur ce, Robert franchit la haie suivit de Manuel et... nous découvrent allongés dans l’herbe, nus, le sexe d’Alain tout bandé et pissant de mouille !!
« Ah elle est là la coquine et avec Alain en plus »
« Alain est là ?" demande Lucien. " Encore mieux, on aurait besoin de vous deux ; on ne vous dérange pas ? »
Robert et Manuel se retiennent de rire.« Elle finit de se nettoyer… » fait Robert d’un ton sarcastique.
« Non, ça va prof... On arrive » je réponds d’une voix tremblotante.« En plus, pour ce qu’on va vous demander, Alain est dans une condition parfaite ! » ajoute Manuel hilare qui nous ramène tous dans le jardin de Lucien où se trouvent de drôles de grandes plaques en plexiglas transparent.
« Manuel a eu une idée amusante ; expliquez-leur » encourage Lucien.
« Voilà » poursuit Manuel « Je voudrais faire des tables basses avec un dessus en plexi pour mon Club. Les pieds de la table seraient en fait, un corps sculpté... »
Je regarde les deux plaques en plexi dont une avec un trou de quelques centimètres au milieu d’un côté et deux autres trous plus grands.
« Je ne sais pas pour Alain, mais Mr Lucien me disait que tu as fait du yoga Marie ? »
« Oui...enfin un peu mais plutôt de la danse » je réponds timidement.« Parfait, pourrais-tu alors adopter la figure de la table ? Tu t’allonges d’abord par terre sur le dos, puis tu montes ton ventre en te cambrant au maximum. Les bras presque verticaux et les jambes pliées avec les cuisses à l’horizontale et les mollets verticaux aussi... Comme ça. Il me montre un dessin de Robert »
Je m’exécute et me retrouve dans une pose des plus exposée... Puis il positionne la plaque en plexi sur mon ventre et cherche l’horizontalité.
« Remonte un peu tes jambes et baisse ta poitrine...voilà »
Le plexi repose sur mon bassin d’un côté et sur le bas de mes côtes protubérantes de l’autre.« Bien, écarte les cuisses et les bras pour une meilleure stabilité... »
« Un peu plus... » souffle Robert !
Je suis arc-boutée au maximum, la tête et la poitrine à l’envers, tandis que le plexi repose sur mon bassin et affleure mon pubis.
Mon sexe est grand écarté et Alain, pantelant, qui me matte à mort ne risque pas de débander !Les yeux vicieux de Robert fixent ma moule brillante qui suinte de cyprine et lui donne ainsi une idée de l’état d’excitation dans lequel je me trouve...Je rougis et me pince les lèvres mais tient la pose.
« Voilà, c’est parfait; vous voulez voir par vous-même ? » demande-t-il à Lucien.
« Je ne vais pas voir mais "tâter".... »« Ah oui, excusez-moi... »
« J’en profite pour faire quelques clichés techniques » ajoute Robert d’un air sérieux.
Lucien s’approche. Sa main fait le tour du plexi pour en apprécier les dimensions, puis passe en dessous et inspecte tout mon corps....Ses mains glissent doucement depuis mes mains au sol en remontant sur mes bras, ma tête renversée en arrière,....mes seins lourds qui tombent en arrière vers mon visage....Je frémis.« Garde bien la pose » lance Manuel.Puis il continue de m’inspecter sous mon dos tout cambré, mes reins, mes fesses dures aux muscles bandés....Il insère alors une main entre mes cuisses horizontales pour mesurer l’angle d’ouverture, constate la moiteur suintante indécente de mon sexe poisseux... Je frémis à nouveau et le plexi manque de glisser.Quand il essuie sa main poisseuse de mes jus sur ma cuisse, je deviens cramoisie !« Eh bien petite...on se tient bien » fait Robert d’un ton moqueur.
Ses mains suivent les cuisses et redescendent enfin jusqu’aux pieds.
« Ça ne pose pas de problème particulier sauf que la pose doit être très inconfortable...n’est-ce pas Marie ? »
« Non, non, ça va, j’ai assez de flexibilité »
« Eh bien, c’est parfait. On peut essayer avec Alain ? »
« A toi mon garçon »Je me relève et lui laisse la place.
Il a plus de mal mais prend la pose, son sexe dur tout droit à la verticale ! Manuel aidé de Robert pose le plexi sur son corps et passe délicatement son sexe par le plus petit des trois trous.Je suis troublée par la vision de son sexe qui sort du plexi...tellement offert et vulnérable...ma mâchoire tombe d’un cran devant l’impudente queue qui se tient droit, toute seule au milieu de cette surface plane et lisse... On a envie de la prendre en main !
« Impeccable » dit Manuel. « Maintenant, Marie, est-ce que tu pourrais venir et passer tes pieds dans ces deux trous ? »
Robert et Manuel m’aident pour me soulever et passer mes jambes dans deux trous situés de part et d’autre du corps d’Alain, au niveau de son torse.
Je me retrouve alors debout, jambes écartées, le corps d’Alain entre mes cuisses sous le plexi...« Et maintenant ? » je fais perplexe.
« Eh bien plie les jambes pour voir... » Je m’exécute et m’aperçois qu’en pliant mes cuisses, je descends mes fesses et me retrouve dans la position de quelqu’un qui va s’assoir sur une chaise.Sauf, qu’à la place de la chaise, il y a le sexe d’Alain sur lequel je pourrais m’empaler ! Je mouille à nouveau comme une folle et me retiens de ne pas laisser mon cul descendre sur son engin turgescent. « Oh » fait Robert admiratif. « On dirait que c’est parfaitement ajusté pour leurs tailles »« En effet » ajoute Manuel qui d’un œil très technique reluque mon cul qui s’approche du gland du garçon...
Alain relève la tête pour voir la scène. La vue de mon corps nu et de mes fesses écartées qui restent en suspension à quelques centimètres au-dessus de son sexe, semble lui provoquer une forte montée de sève. Sa bitte se raidit encore plus et il gesticule pour la replacer dans son froc !Quant à moi, c’est le supplice de tantale: J’ai du mal à résister à la tentation de m’empaler dessus et de me finir !
« Attends, reste bien en place Alain, ne bouge pas » lui intime Manuel qui veut s’assurer que les trous sont bien percés aux bonnes distances.
« Je vais me servir de cartons découpés pour prendre la forme du dos arc-bouté et les angles des bras et des jambes parce que je les vois pas tenir cette pose épuisante pendant que je vais les sculpter » explique Lucien qui vient de ramener des gabarits en carton.
« On y voit plus rien » dit Robert; La nuit tombe.
« Ça ne me dérange pas » fait Lucien sur un ton amusé qui découpe ses cartons en suivant la courbure du corps d’Alain.
« Oui, il faudrait un éclairage » ajoute Manuel« Ah mais j’y pense, il y a mes spots que j’ai laissés dans l’atelier l’autre jour ; venez m’aider, on va les chercher » dit Robert à Manuel.« Bougez pas les tourtereaux » fait Manuel d’un air taquin.
Je les regarde s’éloigner alors que le ciel se voile de sa parure étoilée. Il fait toujours très chaud, les cigales chantent à tue-tête et le prof s’affaire sur ses gabarits.Je n’y tiens plus, je fatigue et me surprends à laisser descendre mes fesses quand soudain, je sens son gland me frôler la fente...Je déglutis de plaisir. Alain redresse la tête et gesticule à nouveau. Il semble m’implorer... Je descends un peu plus mon cul. Je me positionne. Son gros gland luisant écarte mes grosses lèvres...
Je n’arrive pas à résister et continue de descendre jusqu’à... l’engloutir !
Le sexe dur pousse lentement sur mes parois intimes qui s’ouvrent comme des pétales de rose à son passage. C’est divin !
Alain lâche un gémissement de plaisir et moi un long soupir qui trahit mon plaisir.
Le Prof n’est pas dupe mais reste concentré sur son travail. A genoux sous "la table" qui gigote, il transpire. Je ne peux plus me retenir et accélère la cadence. Son pieu me transperce mes tissus d’amour tout imbibés de chaude cyprine. Sa bite turgescente glisse dedans avec bonheur, se frottant voluptueusement sur mes parois intimes spongieuses et gorgées de jus d’amour.
Un bruit obscène de succion ne tarde pas à se faire entendre et mes halètements achèvent de trahir mon état. Le Prof sourit mais ne dit rien.
J’entends les deux autres ramasser les projecteurs dans l’atelier. Je ne veux pas me donner en spectacle et subir une nouvelle humiliation.
Je dois jouir avant qu’ils ne reviennent. Je m’active comme une folle et pompe littéralement le dard d’Alain, je l’emprisonne tellement fort, qu’à chaque ascension de mon cul, j’ai l’impression de l’étirer de plusieurs centimètres. Je le pompe littéralement !Soudain, Alain manque de tomber et réajuste ses jambes et ses mains alors qu’il grimace.
Au même instant un flot de sperme chaud gicle et envahit mon fourreau qui se remplit jusqu’au bord.
Le bruit de succion devient plus gras, caverneux, encore plus obscène…
C’est à ce moment que Manuel et Robert reviennent avec leurs spots alors que je suis au bord du point de non-retour et que je m’apprête à jouir. Je n’arrive pas à m’arrêter. Dans la pénombre, ils ne se rendent pas encore compte.Mais le sexe d’Alain se dégonfle et les sensations s’amenuisent au moment où les spots s’allument... Au prix d’une frustration de malade, je dois me retirer du sexe du jeune homme. Sa bite s’échappe de ma grotte dans un bruit creux dégoutant.
Un paquet de foutre ressort et coule de ma chatte !
« Eh bien je crois que j’ai terminé mes gabarits » intervient Lucien.« Est-ce que vous pourriez m’aider à sortir mes jambes des trous de la table ? » Je demande la voix rauque.
Aussitôt, de généreuses mains baladeuses m’enserrent le corps et me soulèvent pour me reposer à terre où je serre immédiatement les jambes au maximum pour retenir le sperme d’Alain qui continue de régurgiter de ma fente.
« Mince, on arrive trop tard avec notre éclairage »« Peut-être pas, si Marie a encore un peu de temps, je pourrai commencer la sculpture dès maintenant ; Alain, c’est bon pour toi mon garçon »
« Ça tombe bien, son sexe est redevenu flasque. » dit Manuel« Bizarre ça… » ajoute Robert.
« C’est à dire qu’il est tard, je dois... heu... j’ai... » Quelle sotte, je n’arrive pas à trouver d’excuse !« Tu dois faire une lessive ? » rigole Robert qui sait que je n’ai pratiquement pas de vêtements.« Tu dois encore te nettoyer ? » demande Lucien ironiquement.
Je reste debout, sans savoir quoi dire tandis que Lucien, sans attendre de réponse, part chercher ses équipements dans l’atelier avec l’aide de Robert.
Alain se relève et me sourit d’un air complice. Manuel récupère ses plexis.
Le Prof et Robert rapportent une masse de glaise sur un tourniquet et des outils.
« Tiens, reprends la pose de tout à l’heure mais aide-toi de ce tabouret. »
Je m’arc-boute comme tout à l’heure, le ventre vers le ciel en serrant les jambes...Il glisse un tabouret avec un coussin sous mon dos pour me soulager de cette pose inconfortable.
Les deux autres arrangent l’éclairage. Alain ramasse ses vêtements mais ne s’en va pas ; il reste planté debout à regarder.
Grâce au tabouret, je peux soulager mes bras et ne plus avoir à m’appuyer sur mes mains. Ils posent le dessus de table en plexi sur moi pour bien régler ma pose puis l’enlèvent pour permettre au prof de travailler.
« Bon, je vais faire aussi vite que je peux. Pour ça, je ne vais sculpter que le buste et les hanches. Je finirais les membres plus tard ; écarte bien les bras et les jambes comme tout à l’heure Marie »
Je m’exécute en me demandant si le reste du sperme d’Alain va rester dans ma chatte...
Les éclairages réglés impeccablement illuminent cette pose d’une indécence extrême.
Mon corps forme un arc de cercle avec les quatre membres écartelés.La tête renversée en arrière, je ne vois pas mon corps ni Robert ni Manuel qui se tiennent devant mon entrejambe...Je sens leurs regards sur ma chatte encore toute gonflée et trempée d’excitation de cet orgasme imminent interrompu au dernier moment. Mon bouton tout dur doit être en érection maximum et sans doute décalotté !
Mais surtout... je sens que ça coule de ma fente !
« Bon, ne bouge plus. Je vais essayer d’aller vite » Dit Lucien qui après avoir tout préparé, commence à poser ses mains sur mes hanches et à reproduire fidèlement les contours de mon corps sur sa masse de glaise.
De ma tête à l’envers, je l’aperçois sur le côté et je regarde Alain qui ne bouge toujours pas mais semble fasciné par le spectacle de mon corps ainsi exhibé sous les projecteurs.
J’entends Robert faire des photos lorsque soudain.... « Oh ? Mais, qu’est-ce qui pendouille là ? » demande Robert malicieusement alors qu’il vient de réaliser que du sperme dégurgitait de mon sexe !
Manuel s’approche à son tour et commente « Je n’ose pas répondre...Alain a peut-être une explication... »
Je deviens cramoisie tandis que j’aperçois Alain qui, indifférent aux commentaires, se masturbe doucement derrière ses vêtements qu’il tient dans l’autre main et qui cache son sexe.
Je ne peux rien faire pour empêcher la semence d’Alain de dégouliner le long de mes cuisses...
« Quel spectacle ! » se réjouit Robert qui mitraille de plus belle en gros plan ma chatte en train de vomir l’épais liquide blanchâtre !!
LA SITUATION DÉGÉNÈRE
Pendant ce temps, les mains du Prof reprennent leurs palpations d’une sensualité insupportable. Elles s’attardent sur mon ventre, mes seins tendus qu’elles pétrissent à outrance et plus que nécessaire ce qui force mes tétons à se dresser et à durcir comme de la pierre.
Je suffoque de plaisir et trésaille.
Une vague de chaleur m’envahit et ma chatte brule à nouveau d’un désir inavouable. Je la sens s’ouvrir comme une fleur ce qui permet au reste de foutre de s’écouler sans peine.
Le Prof travaille vite et transpire tellement, qu’il retire sa chemise collante qui l’entrave. Alain, debout à moins d’un mètre, les jambes mi- pliées, a lâché ses vêtements. Tout nu, il se masturbe ouvertement devant mon corps ainsi exposé tandis que Manuel et Robert font le tour et viennent s’agenouiller de chaque côté de mon buste renversé.Je découvre qu’ils sont torse nu également...et qu’ils présentent une énorme bosse dans leur pantalon.
Robert a confié son appareil photo à Manuel qui fait des clichés de ma posture humiliante.Pendant ce temps, il esquisse fébrilement un dessin sur son petit chevalet portatif.
Ils s’approchent tellement prêts qu’ils touchent mes mains avec leurs cuisses. Ils s’accroupissent pour mieux me prendre sous tous les angles et frottent négligemment leur bosse sur mes bras et mes mains...Mon excitation reste à son comble depuis tout à l’heure où j’étais à quelques secondes de jouir.Ils poussent sur mes mains qui finissent par s’appuyer sur leurs cuisses et de petits glissements en petits repositionnements, les deux lascars, un de chaque côté, réussissent à me faire toucher leur entrejambe et leur bosse toute dure...
Lucien palpe mes seins une dernière fois et termine de reproduire mon buste renversé.L’atmosphère est incroyablement électrique. Je ne sais pas comment ça va finir, mais j’ai une envie de jouir abominable.
Manuel fait crépiter le flash de l’appareil de Robert, tandis que ce dernier, trop excité, laisse son dessin de côté et ouvre sa braguette d’où surgit son épaisse queue veineuse qui se tend d’un coup et vient taper sur mon avant-bras.Manuel, encouragé par cette initiative, se croit permit de l’imiter. Il pose l’appareil photo et se désape complètement. Il a un beau corps musclé, un peu trop poilu à mon goût mais sa queue...Oh mon Dieu... sa queue est ...énorme ! Robert se met nu à son tour et les deux se positionnent assis sur les talons en ouvrant leurs cuisses pour y insérer chacun de mes bras sur lesquels ils viennent buter avec leurs couilles.
Les deux hommes enfiévrés se frottent sur mes avant-bras et avancent leurs mains vers mes seins.Alain, lui, s’assoit derrière moi, les fesses aussi sur les talons et se masturbe de plus belle, sa bite surplombant mon front.
Voir ces trois bites autour de moi et le contact de mes bras avec leurs sexes me rend folle !Profitant du tabouret pour me tenir en équilibre, je prends les deux bites à pleines mains...Robert et Manuel poussent un gloussement de plaisir.
Je commence à les masturber et sens leurs jus couler et humidifier l’intérieur de mes doigts qui glissent sur toute la longueur de leurs membres avec une étonnante facilité.Le Prof continue de me palper le ventre mais je ressens quelque chose de bizarre.
Pour la première fois, ses mains ne palpent pas vraiment mais…me pelotent carrément. Il est debout entre mes jambes et je devine ses jambes contre mes cuisses ouvertes. Il caresse mon corps de haut en bas et je n’ai pas l’impression qu’il est en train de continuer la sculpture. Mais le résultat est que mon excitation est de nouveau à son comble.

Je crispe mes mains sur les sexes des deux autres et les fais coulisser doucement en caressant leurs glands gluants avec mon pouce à chaque va-et-vient. Ils grognent et empoignent mes nichons à pleines mains !Le long sexe d’Alain s’agite entre ses doigts et je suis choquée lorsqu’il le frappe de temps en temps sur mon front avec un bruit mat !
Paf, paf, paf…
Soudain, sans que je puisse le voir du fait de ma posture arc-boutée, je sens de nouveau le prof contre mes cuisses ouvertes, mais ses jambes sont nues ! Je réalise alors avec stupeur qu’il n’a plus de pantalon ! Il avance et pousse dans le V de mes cuisses qu’il force à ouvrir encore plus.
Ses mains me caressent le ventre et descendent sur mes cuisses puis remontent sur mon sexe poisseux qu’il englobe de ses paumes qui me caressent par de longs glissements successifs.
Je me retiens de ne pas hurler de plaisir immédiatement et essaye de contrôler la vague de volupté qui monte en moi en me concentrant plutôt sur les deux sexes de Manuel et Robert que j’astique plus rapidement.
Ils râlent de plaisir et s’ajustent pour me faciliter les mouvements tout en triturant mes mamelons tous durs.La scène devient carrément pornographique quand je sens un sexe se présenter sur ma fente béante !
Le Prof bande fort et frotte sa grosse verge épaisse sur toute la longueur de ma fente trempée ! Il frotte mon bouton avec son gland et passe et repasse dessus…Je n’en peux plus alors que je branle franchement les deux bites qui trépignent de plaisir entre mes mains.
Je retiens mon souffle lorsque, soudain, il entre en moi !!

Il ne dit rien mais son gros gourdin veineux pousse sur mes muqueuses et se fraye un chemin au plus profond de mon étroit fourreau gluant qu’il dilate à son passage. Je n’arrive pas à croire que le Prof me baise, mais je profite de l’instant exceptionnel.Cette fois, je ne peux pas retenir un cri qui m’échappe complètement. Je me tortille sur le tabouret, mes seins s’agitent et mes mains masturbent furieusement les deux gars alors qu’Alain, survolté, transpire à grosses gouttes et souffle comme un bœuf devant le spectacle obscène qui se déroule sous ses yeux.
Son sexe est énorme et violacé. Son gland luisant pisse de mouille et il se branle à toute vitesse.

Mes yeux ne savent plus où donner et je gémis de plaisir alors que j’éprouve de plus en plus de difficultés à me contenir.Le Prof me baise lentement, profondément et puissamment. C’est divin ! Il me possède, il est en moi.
Ses fortes mains me tiennent par les hanches et sa hampe épaisse s’enfonce en moi jusqu’à la garde à chaque poussée.
Je sens ses grosses couilles de bœuf s’écraser sur ma vulve à chaque poussée avec un bruit mat de chairs qui s’entrechoquent.
Il transpire et se met à grogner, tout comme Robert qui gesticule et Manuel qui donne des coups de reins pour se masturber encore plus vite dans ma main. Ils me pétrissent les seins et triturent mes tétons en totale érection, les yeux hallucinés.C’en est trop pour moi.
Au moment où la bite de Lucien me pénètre une nouvelle fois jusqu’aux couilles, je me contracte sans le vouloir et pars dans une jouissance invraisemblable en me déhanchant comme une chienne en chaleur.

Le Prof m’agrippe fermement pour éviter que je tombe du tabouret.
Alain explose et gicle massivement sur ma poitrine d’une énorme rasade de foutre qui dégouline jusque dans mon cou alors que Robert décharge de toutes ses bourses sur mon visage poupin et dans ma petite main qui ne cesse pas de le branler mais ralentit son rythme. Mon corps est pris de convulsions.
Je glisse du tabouret et Lucien me retient en s’enfonçant encore plus profondément dans un bruit dégoutant de gargouillis de jus et cyprine mélangés. Son dernier coup de reins m’arrache un honteux râle qui jaillit du plus profond de ma gorge.

Manuel grogne et se fige à son tour en éjaculant d’un épais trait de sperme qui s’écrase sur l’autre côté de mon visage et dans mes cheveux au moment où le Prof lâche un discret gémissement et part à son tour dans une jouissance incontrôlée.
Enfoncé jusqu’à la garde dans mon con baveux, il s’immobilise quelques secondes et déverse sa purée en longues rasades successives au plus profond de mon fion.Puis il en remet un coup sec et puissant qui m’éclate littéralement.Il geint et geint encore, savourant chaque seconde de son orgasme en vidant ses grosses burnes fripées jusqu’à la dernière goutte. Je sens le sperme chaud se répandre dans mes entrailles et se mêler au reste de celui d’Alain…Essoufflé, il continue de me baiser lentement dans un bruit de glouglou totalement obscène et, épuisé et vidé, s’affale sur mon corps écartelé et renversé inconfortablement en arrière.
Pour ma part, la bouche ouverte pour reprendre mon souffle, je ne m’arrête pas de branler lentement les deux grosses bites veineuses de Robert et Manuel qui vibrent encore de leur orgasme respectif. Leurs engins hoquètent et expulsent les restants de sperme qui coulent le long de leur phallus et sur mes mains. Alain ne cesse pas de se toucher. Son sexe est toujours long et gros. Il s’approche de moi et le balance au-dessus de mon visage.
Un long filet baveux coule de son gland et vient s’étaler sur ma bouche.
Je lèche mes lèvres et il vient ouvertement se l’essuyer sur ma langue qui frétille sur son méat sous les yeux épatés de Manuel et Robert.

Puis, il me bat à nouveau le front avec, souillant de ses jus et foutre mélangés mes mèches de cheveux et pris d’un sursaut d’excitation, l’enfonce soudainement carrément dans ma bouche ouverte. Je manque de m’étouffer mais lui nettoie minutieusement tout son gland avec le bout de ma langue qui fait le tour de la couronne en raclant bien dessous. Une fois bien propre, il se retire alors que je l’aspire.
Au moment où il ressort, un bruit de bouteille qu’on débouche nous arrache un petit rire.
De l’autre côté, le Prof, appuyé de ses deux mains sur mes cuisses grandes ouvertes, s’est retiré dans un bruit caverneux.
J’essaye de me redresser mais n’y arrive pas seule. Je suis trop arc-boutée et ankylosée et manque de tomber sur le côté.
Robert et Manuel m’aident en me soulevant sous les épaules et reste assise sur le tabouret, engourdie et un peu groggy. J’ai du foutre partout !
Les quatre hommes nus me font face et me sourient. Leurs queues à moitié bandées pendouillent et coulent encore de restes de sperme.
Je n’ai d’yeux que pour Lucien. Nous avons franchi un nouveau cran...et j’ai du mal à croiser son regard gêné.Ma chatte dégurgite doucement d’un liquide visqueux qui ressort et macule le tabouret tandis que mon visage est méconnaissable.Sans un mot, ils m’aident à marcher jusqu’à la douche et se chargent de me laver.
Leurs huit mains me frottent mais surtout me pelotent de partout. Je me laisse faire en fermant les yeux pour profiter de cet instant de relaxation absolument magique que je voudrais sans fin.L’eau rédemptrice chaude coule entre mes seins et s’insinue dans ma fente. Je fonds dans leurs bras et suis dans un état second, en extase absolue.
En dehors du concert de cigales, le silence entre nous est entier, la symbiose complète et la communion totale.
J’ai l’impression d’avoir trouvé une nouvelle famille.
A regret, je m’arrache finalement à leurs mains farfouilleuses et m’essuie doucement puis m’éclipse sans un mot, en leur jetant un simple petit sourire timide et embarrassé. Le Prof me regarde d’un drôle d’air que je ne lui connaissais pas.A peine ai-je franchi la haie pour regagner ma maisonnette, que je les entends parler de moi mais je suis trop lasse pour écouter et viens m’affaler à plat ventre en croix sur mon lit pour savourer un profond sommeil réparateur.
Je m’endors comme une souche.

**************************************************************************A L’HÔTEL
Dans la chambre d’hôtel, Marie vit son histoire si intensément qu’elle s’excite toute seule jusqu’à un point insoupçonné.
Elle transpire et halète comme si elle revivait ces instants de plaisir de sa jeunesse. Du coup, terriblement émoustillé à mon tour par son récit si imagé, j’ai moi aussi du mal à rester de marbre.
Attiré par cette splendide femme et par les réactions suscitées par son récit, je quitte discrètement mon petit bureau pour m’asseoir sur le lit ; juste en face d’elle.
Plongée dans sa confession, les yeux fermés la plupart du temps pour mieux se concentrer et se remémorer ces moments érotiques elle ne s’en aperçoit pas. Elle a décroisé les jambes et ouvert deux boutons de son corsage pour se donner un peu d’air.Je me suis déchaussé et mes pieds sont presque contre les siens…Elle reprend.
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