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Marie et le sculpteur aveugle

Chapitre 13

LE GEANT NOIR

Erotique
CHAPITRE 13

LE GÉANT NOIR
Alors que des mains inconnues continuent de s’aventurer entre mes cuisses et que d’autres jouent avec mes tétons qui reprennent de la vigueur malgré moi, Manuel vient me susurrer à l’oreille.« Ça te dirait de doubler la mise ? »
J’ouvre les yeux et mon compteur cérébral se met à calculer : 500 Frs + 500 Frs ??Mais qu’est-ce qu’il raconte ?  1,000 Frs !! Je le regarde interloquée.Devant mon incrédulité et mon silence, il ajoute « Tu aimes bien les noirs ? »
Je tente de me relever malgré toutes les mains qui me tripotent et bafouille « Je…je. Quoi ? »« Tu as juste à te laisser faire… tu vas t’éclater, crois-moi »Déstabilisée, je ne sais quoi répondre mais suis tellement vidée que je ne me sens pas le courage de résister et suis le mouvement.Manuel annonce alors triomphalement le clou du spectacle avec l’entrée de Mumba, le géant noir hyper musclé qui m’a effrayé dans le couloir sombre avant le show.
Il s’avance nonchalamment avec une décontraction étonnante. 
Il porte le même pagne mais lorsqu’il s’avance et passe devant moi, je le découvre de dos.  On dirait qu’il est entièrement nu. 
Une simple ficelle qui tient le pagne passe dans son dos. Le pagne, très léger et virevoltant, est si petit qu’il couvre juste ce qu’il faut pour cacher son sexe.Il ne faudrait presque rien, qu’un simple courant d’air ou petite chiquenaude pour soulever le ridicule petit bout de tissu...C’est incroyablement sexy.


Sous l’œil de la caméra de Jean-Michel, Manuel le fait monter sur une estrade voisine rembourrée de cuir rouge pour le présenter à la foule et lui demande de tourner lentement sur lui-même afin que tout le monde puisse admirer son corps sculptural.
Les femmes rougissent devant la beauté et la musculature d’ébène du mystérieux colosse.Je déglutie...
Soudain, le DJ lance Hot stuff de Donna Summer.  L’ambiance s’électrise.Brigitte danse suggestivement devant l’estrade.Puis Manuel me prend par la main et me fait monter à ses côtés et m’encourage à danser avec elle. 
Les lumières du Club s’éteignent et deux puissants spots s’allument afin de nous mettre en évidence.Éblouie, je perçois à peine les gens qui nous entourent alors que Brigitte et moi, toujours enduites de peinture bronze et aux cheveux raidis et tirés en arrière par la cire du Prof, dansons en nous déhanchant de la manière la plus indécente qui soit.

Le DJ enchaine sur I am so excited des  Pointer sisters.  La musique entrainante à fond dans les oreilles et les cris de la foule me transcendent.
Je me surprends à me passer les mains sur les seins, à les faire gigoter sous les yeux des mâles chauffés à blanc et à me retourner pour leur montrer mon arrière train bombé sur lequel je fais glisser mes mains.
Brigitte me regarde surprise par mon comportement totalement amoral et me fait un clin d’œil complice.
Je me sens dans un état second.
Manuel, survolté,  a du mal à se faire entendre malgré son micro. Il me tend une bouteille d’huile et me demande d’enduire le corps du noir.

Prise de cours et ayant pris conscience que j’ai mis la main dans un engrenage, je m’exécute.
Avec soulagement, je vois Brigitte me rejoindre avec une autre bouteille d’huile.Comme n’importe qui sur une plage qui enduirait son conjoint de crème solaire, je lui passe sagement l’huile dans le dos.
Campé sur ses puissantes jambes, il se laisse faire. 
Sa peau est un peu rugueuse mais agréable à masser.
Je dois me mettre sur la pointe des pieds pour atteindre ses épaules, puis je passe sur ses bras aux biceps fermes et gonflés.
Sa musculature m’impressionne et m’intimide.
Brigitte se concentre sur ses superbes fesses musclées et dures comme de l’acier.
Tout à mon affaire, je remarque à peine les changements autour de moi.  Le podium en cuir rouge a disparu.
Il faisait partie d’un ensemble démontable sur roulettes semble-t-il. Il ne reste que cette estrade ronde sur laquelle nous sommes juchés et exagérément illuminés au milieu de la pièce principale plongée dans l’obscurité.  Alors que je passe l’huile sur ses jambes, j‘aperçois de gros tubes chromés en forme de U renversé d’environ 1 mètre de hauteur qui ont été plantés dans le sol tous les deux mètres et en cercle autour de l’estrade. Je me demande à quoi ils servent.
Au micro, Manuel commente nos moindres faits et gestes alors que j’aborde son torse…Il reste stoïque. Droit comme un I, presque indifférent. 
Brigitte, arrive à continuer de danser en remuant son cul devant l’assistance et à passer l’huile en même temps. 
Elle s’attarde sur l’intérieur de ses cuisses avec un sourire gourmand, le visage collé à quelques centimètres devant son pagne.  Je constate alors que le pagne se gonfle et se soulève doucement.  Elle passe ses mains dessous… et lui masse alors ses bourses !
Le noir réagit au quart de tour et bientôt le pagne se retrouve à l’horizontal, découvrant ses bourses imberbes mais cachant malgré tout son gros cylindre.
Pendant ce temps, de plus en plus troublée, je repasse sur son dos, ses hanches, me colle derrière lui et passe mes mains sur son torse à nouveau.  Il doit sentir mes seins s’écraser et glisser dans son dos. 

Soudain, sous les encouragements de l’audience et de Manuel au micro, Brigitte défait la ficelle du pagne…Il tombe à terre et sous mes yeux écarquillés et les Ohhh du public, le gigantesque chibre d’ébène se déploie majestueusement. 
Je n’imaginais pas qu’un sexe masculin puisse atteindre une telle dimension alors que je m’aperçois qu’il ne bande même pas encore entièrement !Brigitte n’hésite pas à le prendre à deux mains et à l’enduire d’huile.
Le sexe gonfle encore et se durcit et se met à changer de texture: passant d’un noir mat à un noir brillant et lisse.Les lumières des spots se réfléchissent sur la peau tendue à l’extrême.
Le sexe continue de grossir à l’horizontal en saccadant.
Je reste hypnotisée, les yeux rivés sur ce membre extraordinaire mais continue machinalement à masser son corps sans prêter attention à ce que je fais.Je me demande si Brigitte le connait d’avant cette soirée et si elle va le faire jouir… Je vois le torse du noir respirer profondément. 
Ses pectoraux se gonflent et se dégonflent au rythme de son excitation qui monte.
Brigitte le masturbe doucement en versant plein d’huile sur le sommet.  Son sexe veineux et bandé à mort luit sous les projecteurs.  L’huile coule tout le long et inonde ses bourses glabres.
Elle le décalotte…Son gland brillant, tout rose, nous apparait comme une énorme cerise sur un gâteau.
Une prune je dirais.J’ai une envie démentielle de toucher à mon tour ce morceau de chair si puissant, si vivant mais je reste immobile, fascinée et je me contente de lui masser les hanches et les fesses tout en remuant les miennes en rythme.Brigitte par contre, est à son affaire.
Sans le lâcher, elle approche sa bouche et lui lèche le sexe de bas en haut, comme un eskimo géant.
Elle le masturbe des deux mains sur toute la longueur et lui titille le gland avec une vicieuse dextérité qui me laisse pantoise.  Mumba tremble sur ses jambes et ouvre la bouche pour mieux respirer.  Je sais qu’elle va l’avoir et me demande si l’éjaculation va être à la hauteur de la taille de son sexe.C’est alors que Brigitte me fait signe de me joindre à elle.  Manuel m’encourage.

Hésitante, je m’agenouille devant le géant et pose enfin mes mains sur ce phallus d’acier noir.Les spectateurs adorent le show. Certains se pelotent ouvertement. Le membre du noir est si imposant qu’il y a de la place pour quatre mains et bientôt, nous nous synchronisons pour faire coulisser l’engin huileux qui vibre de plaisir.  Le cameraman filme en gros plan.
Brigitte m’encourage à le gouter et je pose mes lèvres sur ce gland rose, totalement offert à ma langue qui le lape comme un petit chat.
Le noir gronde et grogne de bonheur.Le gout est si particulier que j’ai envie de le mettre complètement en bouche et n’y tenant plus…l’engouffre entre mes lèvres charnues.Il gémit de plus belle. 
Je passe ma langue tout autour et puis…je l’enfonce profondément dans ma bouche. 
Je le sens vibrer, trembler, saccader.  Je me retire un instant pour reprendre ma respiration tant la taille de l’engin m’étouffe et le regarde dans les yeux.  Mais il penche sa tête en arrière comme pour mieux profiter.
C’est à cet instant que je réalise que Brigitte n’est plus là ! 
Elle a repris sa danse érotique devant les spectateurs agglutinés en cercle autour de l’estrade et me laisse seule m’occuper du colosse..Un peu affolée de me retrouver seule avec le noir, tout en regardant autour de moi les couples qui se forment et se masturbent mutuellement, je continue machinalement de le branler doucement.
C’est là que je comprends à quoi servent ces grosses barres chromées en forme de U renversé.
Sur chaque barre, une femme s’appuie des deux mains dessus tandis qu’un homme la pénètre par derrière.
Dans cette position, leurs visages me font face et ils peuvent ainsi jouir du spectacle tous les deux.
Une dizaine de barres sont ainsi disposées tout autour, formant une sorte de cercle ou tout autant de couples s’activent en profitant du show.Ainsi, tous les couples en train de besogner pourront admirer le show sous tous les angles.

Mais Brigitte est sortie du podium ! Je me retrouve seule avec le géant et prends peur !
Mon cœur bat à cent à l’heure car je comprends maintenant ce qui va se passer.   Brigitte danse en se tenant les deux mains sur une des barres, remue son cul devant Robert qui se frotte derrière les deux pervers m’envoient un sourire d’encouragement.
A ce stade, tout le monde est entièrement nu.Perdue dans mes observations, soudain, je sens deux puissantes mains me soulever sous les bras !
Au même moment, l’estrade bouge. 
C’est Manuel qui a actionné un mécanisme qui le fait tourner lentement sur lui-même.Je décolle du podium de cuir sans comprendre ce qui se passe.
Mumba me soulève comme une plume et je me retrouve pendue en l’air en tête à tête avec lui. 

Comme je me balance inélégamment, je jette mes jambes en avant pour lui enserrer la taille et retrouver une certaine stabilité.
Il enroule alors ses gros bras autour de moi et me colle à son buste, les seins écrasés sur ses pectoraux d’acier.
Il manque de m’étouffer, la joue collée à la sienne.
Dans ses bras herculéens, je me sens si petite et fragile.  Un jouet. 
Il me fait alors descendre le long de son corps huilé jusqu’à ce que soudain, je sente le gland de son sexe dressé buter sur le mien !  Je trésaille !
Il va m’empaler !!Mais non…pas encore apparemment. 
Il se sert de mon corps pour se masturber avec !  Il me fait glisser de haut en bas en me frottant le con grand ouvert de par mes jambes écartées, sur son énorme gourdin visqueux. 
Jean-Michel se contorsionne comme un Diable pour ne rien louper d’une si belle prise de vue. 
En se faufilant au milieu des spectateurs qui baisent comme des dératés, il va même se coucher par terre pour filmer par en-dessous !
Je monte et je descends sous les cris de délire des spectateurs et de Manuel qui fait monter la sauce : « Va-t-il l’empaler ?  Oui ?  Non ?! »Soudain le DJ lance le Upside down de Diana qui déchire les enceintes que le DJ met à l’épreuve tant la musique est forte.
Je ne contrôle plus rien et me laisse faire comme un pantin désarticulé. 
Il joue avec moi et me force à frotter son sexe conte ma chatte trempée dont les grandes lèvres ouvertes glissent sur le cylindre de chair comme une grosse limace dont l’excitation est trahie par la honteuse trainée de jus gluant qui s’étale derrière elle.
Mumba s’amuse à alterner en faisant passer sa grosse queue turgescente sur le devant et l’arrière de mon corps. 
Un coup, je la sens frotter sur mon bouton exacerbé qui se fait décalotter et écraser à chaque passage, puis d’un autre coup, sur l’arrière où la bite ouvre largement mes grosses lèvres à la limite de la pénétration pour ressortir dans la raie de mes fesses, titillant mon petit trou à la vue de tous et de toutes.A entendre les cris des filles qui, agrippées aux grosses barres de fer, se font défoncer en même temps, le spectacle semble assurément remporter un succès...L’orgasme se construit lentement mais surement et je ne sais pas combien de temps je vais pouvoir tenir.
Je gémis de plaisir à chaque coulissement de la verge diabolique qui m’emporte dans un délire de sensations inavouables.
Mumba pousse sa bite de plus en plus profondément entre mes grosses lèvres écartelées toujours sans me pénétrer. Un vrai supplice !
A chaque passage, je crois qu’il va s’introduir et je retiens mon souffle mais il ne le fait pas !
Je ne sais pas comment il arrive à se retenir et je me demande qui va jouir en premier !Car je sens que je vais craquer.Je n’en peux plus de cette torture et la pression de l’orgasme monte.
Inexorablement.
Dans cette position, mon visage collé au sien, je me dis qu’au moins les spectateurs ne me verront pas jouir et que je ne me payerai pas la honte.Mais je commence à montrer des signes avant-coureurs et le noir les remarque immédiatement.

Je crois alors qu’il va enfin me pénétrer – enfin - mais, à ma grande surprise, il me saisit de ses bras puissants et me retourne soudainement, face au public et me prend par les cuisses, sous mes genoux repliés en me forçant à les écarter de chaque côté de mon buste, exposant à la vue de tous mon sexe écartelé ! 
Je m’accroche les bras en l’air derrière sa nuque comme je peux pour ne pas tomber et me retrouve dans une position si horriblement obscène que mon petit trou est même carrément étalé en première ligne !
Je rougis de honte et tente de résister en me débattant mais pour la forme seulement car je ne peux pas lutter contre cette force de la nature et plus je gesticule, plus les gens applaudissent, mes seins se projetant en avant à chacune de mes tentatives.Les hommes baisant leurs compagnes redoublent d’intensité, tant ils semblent enflammés par cette pose incroyablement immorale.
Manuel est fou de joie de voir mon corps ainsi offert aux yeux de la foule et derrière son micro il harangue ses clients et entretient une ambiance délirante alors que les couples baisent comme des forcenés et que des cris de jouissance ponctuent le I like it de Silver Convention que le DJ vient de lancer et dont la basse fait trembler les murs.  

Le cameraman ne sait plus où filmer tant il semble avoir matière à réaliser le porno de ses rêves mais ses gros plans sur ma chatte écartelée et mon petit trou semblent emporter sa préférence.  Son zoom surchauffe.
« Avez-vous déjà vu une statue jouir ? »  Lance-t-il exalté « Non, mais on veut voir ça ! » crie le public.« Eh bien, c’est une question de minutes ! Marie va jouir devant vous !!  Regardez bien !!»
Je n’en crois pas mes oreilles.  Je suis dans un état second et ne cherche même plus à résister au plaisir et à la honte qui me submergent.
C’est trop bon et je ne peux plus me contrôler.Le géant noir me fait alors descendre jusqu’à ce que mon con grand ouvert bute sur la base de sa verge qui tressaute de joie en passant à l’extérieur et devant ma chatte offerte et dégoulinante.Il reprend alors ses mouvements intolérables en faisant frotter mon bouton complètement décalotté et sans défense sur son sexe chaud et humide et fait mine de me pénétrer. 
Des couples n’en peuvent plus d’attendre et des premiers orgasmes déchirent l’air.  Des hommes grognent et éjaculent profondément dans les culs des filles cramponnées de leurs mains moites aux barres en inox. Des filles se triturent les seins en jouissant.

Le plaisir est extrême. Ma chatte est en feu et dégouline abondamment. Je respire difficilement lorsque bientôt, je sens poindre le point de non-retour.  Mumba grimace et grogne comme un forcené. Il se retient d’enfoncer son gros sexe d’un bon coup de rein et mais pousse son gland toujours un peu plus loin entre mes grosses lèvres écartelées à chaque mouvement.Il est sur le point de tout lâcher aussi. 
Je regarde bouche bée et le regard halluciné l’énorme gland qui joue avec ma fente baveuse et grande ouverte et lâche un cri aigu à chaque tentative d’introduction. Je suis sur le point de jouir.C’est une question de secondes…Je vois alors Manuel faire un signe discret au noir et aussitôt, sans prévenir, le gland rose et luisant de son énorme bite pousse plus fort sur mes grosses lèvres qui s’écartent complètement et se dilatent sans effort.Il s’enfonce alors dans mon petit con d’un lent et long mouvement de pénétration. Je pousse un long râle qui emporte le public euphorique.La « bête » repousse ma chair et s’engouffre jusqu’à une profondeur jamais atteinte à ce jour.  Les sensations sont indescriptibles.  J’ai le souffle coupé ! Je prends peur et essaye de me soulever pour échapper au monstre.  Je crois que mon cœur s’est arrêté et je reste une seconde la bouche grande ouverte sans bouger, tétanisée par la divine sensation de folie qui m’emmène au septième ciel.
Mumba ressort alors son engin presque complètement, puis le pousse à nouveau d’un puissant mouvement de rein jusqu’à la garde !
Ses couilles viennent s’écraser sur mes fesses écartées. Je sursaute. Ma chatte trop étroite aspire sa bite comme une ventouse.
Alors que le podium tourne lentement sur lui-même, les spectateurs et le cameraman ont les yeux rivés sur cet accouplement hors norme d’un géant noir et d’une statue de bronze au sexe glabre, sur cette énorme et épaisse saucisse noire qui brille sous les projecteurs et disparait complètement entre les lèvres distendues de ma petite fente visqueuse.
Il me pistonne alors de trois longs coups de reins qui me font sauter littéralement en l’air sous les cris de joie des spectateurs.
Mes seins valdinguent à tout va et je peine à rester accrochée à son cou.Soudain, ayant atteint le point de non-retour, ivre d’excitation, Mumba flageole sur ses jambes tandis qu’empalée sur sa grosse bite, je me sens partir aussi.
Manuel hurle au micro ! " Ils vont jouir ! Ils vont jouir !!"
Au moment de jouir, comme un show réglé à l’américaine voulu par Manuel et convenu avec Mumba, ce dernier ressort son gros cylindre de mon con pour laisser voir à toute la foule sa spectaculaire éjaculation !

Tout en saccadant toute seule en l’air, sa bite se met alors à exploser dans toute sa splendeur. Manuel pousse un cri délirant et la foule et Jean-Michel se regroupent face à nous pour mieux voir. 
Un énorme jet de foutre fend l’air et me passe carrément devant les yeux.
La queue gigantesque du noir saccade et crache de toutes ses bourses.
Flageolant sur ses puissantes jambes, il jouit et grogne comme un animal.Incapable de résister plus longtemps, je suis terrassée par un orgasme d’une violence inouïe comme je n’en ai encore jamais fait l’expérience ! 
Je suis prise d’intenses spasmes involontaires phénoménaux.
Mon sexe, et mon sphincter totalement exposés, se ferment et s’ouvrent au rythme des contractions sous les yeux stupéfaits des couples qui jouissent simultanément les uns après les autres.
Le sperme de Mumba s’écrase un peu partout et même sur l’objectif de la caméra de Jean-Michel qui s’est trop approché.
Telle une bouche vorace, ma fente s’entrouvre et se resserre spectaculairement au rythme de mes contractions de jouissance alors que mon trou du cul atteint les sommets de la honte en semblant gober l’air comme un poisson !

Mumba me tire encore plus les cuisses de chaque côté pour que tout le monde voit mieux !La foule et Manuel sont en délire ! 

Je suis morte de honte et un cri d’outre-tombe m’échappe et déchire l’air dans tout le Club. Le cameraman règle la focale de son engin pour prendre l’instant magique en gros plan.

Je me convulse comme un pantin désarticulé dans les bras de Mumba qui crache un second jet de foutre qui s’abat sur un couple trop curieux et trop prêt.
Le colosse tremble mais reste bien droit comme son sexe qui saccade en l’air.Entre deux roulements de mes yeux révulsés par l’orgasme, j’aperçois Robert, les couilles écrasées sur le cul de Brigitte, en train de lâcher sa purée au plus profond de son trou.  Elle, accrochée à sa barre, crie sa jouissance à son tour en me fixant dans les yeux.
Mumba éjacule comme un taureau.  Une troisième salve gicle sur une trajectoire désordonnée, puis encore plusieurs autres, plus courtes retombent et maculent son propre membre.  Le sperme coule alors sur mon ventre et dégouline sur ma chatte écartelée. Je manque de m’évanouir !
Puis, Mumba me pose à terre doucement ; Je m’écroule doucement sur le cuir alors que, sous les applaudissements, il repart mystérieusement dans la pénombre d’un couloir, comme il est venu.  Sans un mot. Parlait-il au moins Français ?Manuel vient me réconforter et me féliciter ainsi que des gens enthousiasmés par ce show érotique qui les a stimulés au-delà de leurs espérances. La salle pue le sperme.« Je n’ai jamais jouis comme ça ! merci ! Merci ! » me susurrent à l’oreille plusieurs hommes, mais femmes aussi.  Certains me font même des propositions…
Un peu hagard, je leur réponds poliment que j’y réfléchirai.   Sous les acclamations de la foule, Manuel me sort de leurs griffes et je me retrouve bientôt seule, isolée dans les quartiers privés du Club pour prendre une douche et me nettoyer.
Plus tard, Manuel m’apporte de quoi manger et me donne une culotte et un T-shirt en me proposant de dormir sur place.  Il est très tard et c’est vrai que je ne me sens pas le courage de retourner chez moi avec le trajet en bateau puis par la route.Je m’allonge un peu sur son divan pour récupérer de cette soirée de dingue.J’entends encore la musique jouer au loin ainsi que les cris des invités et m’assoupis en pensant au Prof que je n’ai pas revu, ni Brigitte d’ailleurs.

Mais prise d’une profonde fatigue, je m’endors profondément.
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