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Marie et le sculpteur aveugle

Chapitre 15

DEUXIÈME SÉANCE D’ESSAYAGE

Erotique
CHAPITRE 15

DEUXIÈME SÉANCE D’ESSAYAGE
En ressortant du magasin, Claude me demande de quels vêtements j’ai besoin.Je lui réponds, des trucs de filles…genre sous-vêtements d’abord et un maillot de bain, un jean et quelques chemisiers ou débardeurs, etc…
« Ça fait beaucoup…on devrait peut-être aller dans le grand magasin du centre dans ce cas ; il y a aura tout ce que tu veux sur le même étage »« Ok ; alors comme ça, c’est à ton oncle la boutique ? »« Oui et je l’aide pour les vacances ; autrement je suis étudiant »« Ah bon ? En quoi ? »« Photographie, et toi ? »« Photographie…ben j’en connais un justement. Enfin, il est peintre à la base mais il fait des photos quand la scène qui se déroule va trop vite pour saisir l’instant qu’il reproduit en dessin ou peinture après »« Ah sympa ça ; et qu’est-ce qu’il photographie qui bouge autant ? Toi ?  Ha ha»« Euh…oui par exemple, des gens en mouvement surtout… »« Comme quand tu danses ? »
Je détourne la question.
« Des fois ; sinon, je me suis inscrite à L’École d’Art graphique ; je commence en septembre »« Super ça, c’est dans la même quartier que mon école ; Tu sais…je t’ai déjà vue… »
Je marque le pas et rougis instantanément car vu l’activité sexuelle de ces deux derniers mois et le nombre de fois où je me suis retrouvée dans des situations scabreuses et peu habillée en public, je crains le pire.« Tu..tu m’as vue ?  Tu es sûr… je ne sors pas beaucoup de ma maison pourtant... »
« Excuse ma franchise, mais on ne peut pas oublier une beauté comme toi… »« Mais…où ça ?  Dans...dans la rue ?  Pas dans un bus quand même ??... »« Non.  Aux funérailles de la mère d’un ami »
Je suis soulagée et surprise « Mme Desmoulin ? Tu connais Alain ?? »« Oui, c’est un pote de lycée ; on se connait depuis longtemps.  Il tient une boutique de fleurs ; tu connaissais sa mère ? »« Pas vraiment mais lui, oui.  Je loge dans une maisonnette que sa mère m’a louée et du coup on se voit assez souvent. Il est très sympa et m’a beaucoup aidé alors je devais aller aux obsèques »« Mais comment vous communiquez ?  Tu parles le langage des signes ? »« Ben il m’a appris les rudiments et je ne me débrouille pas trop mal maintenant ; toi aussi alors ?»Il me répond par signes : « Oui, depuis longtemps »

Je rigole et j’avoue que Claude me plait de plus en plus, d’autant qu’il est beau et mignon.« Tiens, on arrive, voilà le grand magasin ; c’est au 3 -ème étage. Oh ?! Regarde »« Quoi donc ? »« Quand on parle du loup… »J’aperçois alors Alain sur le trottoir devant nous.« Salut Alain !  Qu’est-ce que tu fais là ? »
Alain, aussi surpris que nous, nous répond par un large sourire et se demande comment Claude et moi nous sommes rencontrés.Il nous explique qu’il doit courir un peu partout pour les formalités administratives après le décès de sa mère.
On compatit et il nous demande ce qu’on fait là.« Des fringues ?  Je peux vous accompagner ?  J’ai terminé mes démarches et ça me changera bien les idées.  J’en ai besoin »On est évidemment ravi de pouvoir l’emmener avec nous et de lui remonter le moral en cette triste période qu’il traverse.
Je passe devant dans les escalators et je peux sentir littéralement leurs regards scotchés sur mon arrière-train…Je souris intérieurement.Arrivés à l’étage, je demande où sont les jeans mais les deux jeunes hommes semblent plutôt attirés par les maillots. 
« C’est la fin de l’été, ils sont en solde, regarde »Bon, il faut bien commencer par quelque chose ; allons-y pour les maillots.  Je commence à fureter un peu partout mais les garçons ont déjà choisi pour moi et n’hésitent pas à prélever plusieurs modèles pour me les montrer. « Non, mais on ne peut pas porter ça en public quand même ? »  Les maillots qu’ils me présentent sont ridiculement minuscules.« Tu le mettras dans ta piscine… » fait Alain avec un clin d’œil. « T’as une piscine ?? » s’étonne Claude.« Non, mais le voisin me laisse m’y baigner »« Ah bon ? Ben alors, t’as déjà un maillot ? »
Alain est mort de rire et s’éloigne en me laissant seule gérer ma contradiction.« Je…heu oui bien sûr mais il est démodé et pis il est abimé et…et pis je l’ai aussi un peu perdu…enfin tu vois, un peu de tout ça ; bref, je dois en acheter un neuf »Claude fronce les sourcils devant mon abracadabrante explication.
Du coup, pour stopper les questions embarrassantes, je ne discute pas et prends les modèles qu’ils ont choisis.« Où sont les cabines ? »« Suis-moi »   Il y a deux rangés de cabines avec une entrée commune.  A gauche pour les femmes.  A droite pour les hommes.« Vous allez où comme ça » je leur demande alors qu’ils me suivent chez les dames.« Ben, on va te donner notre avis ; on ne va pas attendre dehors ? Tu ne vas pas ressortir dans le magasin en maillot ?  Si ? » me font-ils avec un sourire entendu.« Bon d’accord, mais vous restez à l’entrée du couloir »
Je choisis la dernière des trois cabines, la plus éloignée et tire le petit rideau qui ne ferme pas bien.J’enlève ma robe en les surveillant du coin de l’œil et m’aperçois qu’ils se parlent en douce mais comme ils me tournent le dos, je ne vois pas ce qu’ils disent ; Claude semble surpris, voir estomaqué de ce qu’Alain lui dit.  Je suis certaine qu’il est en train de lui parler de moi et de tout ce que je fais avec le Prof et peut-être même dans le bus ! Je ne sais pas ce qu’il lui raconte mais je me sens très gênée d’un coup.
Je retire ma culotte et enfile le premier maillot visiblement trop petit.  Est-ce la taille où le dessin minimaliste, disons que, ça ressort de partout !
« Fais-nous voir » crient les garçons depuis l’entrée du couloir.« Je…je sais pas. Je crois que ce n’est pas ma taille »Je ressors de ma cabine, plutôt embarrassée.La vue de leur visages cramoisis me confirment mon jugement mais ils ont l’air ravis…Je fais demi-tour.  « Attends, attends ! Marche un peu et tourne-toi »« Pfff… » Je fais contrariée.  Le slip me rentre dans les fesses et sur le devant, si je n’étais pas rasée, on verrait indubitablement la naissance de ma toison !  Quant au haut, les rondeurs de mes seins débordent de partout !« Je ne peux pas porter ça quand même »   « Si tu veux bronzer, c’est idéal je dirais »« Essaye l’autre » fait Alain.
Je retourne dans la cabine et me mets à poil à nouveau mais sans trop les surveiller.  Je mets le suivant qui est un monokini très échancré et qui me rentre aussi dans les fesses et couvre le minimum de ma poitrine.  Il est trop petit aussi je me dis.Je ressors et me retrouve face à face avec eux.« Je vous avais dit d’attendre à l’entrée du couloir ! »« Wow ! magnifique »« Ça sublime tes courbes, regarde ça » dit Alain en passant son doigt le long de l’échancrure de mes hanches.  Je frissonne.« Vous trouvez ?  Il faudrait que j’essaye la taille au-dessus je pense »« Je peux ? »  Claude passe son doigt sous la bretelle de mon épaule et teste la résistance.  « Non, c’est juste ta taille.  C’est le dessin qui est comme ça et je le trouve très…élégant »Alain fait de même avec l’autre bretelle qu’il tiraille jusqu’à ce qu’il la fasse glisser.« Hé, arrête »
Mais au lieu de s’arrêter, il rigole et tire plus fort, m’obligeant à le suivre dans le couloir pour que le maillot ne découvre pas mon sein.« Mais arrête idiot »Je le vois faire un clin d’œil complice à Claude mais arrive à me dégager.
Alain me tend alors de la lingerie en me disant « Bon pour le maillot, c’est bon ; essaye-ça maintenant »« C’est bon ?  Je prends celui-là alors ?  Il vous plait bien on dirait »« Oui, il est fait juste pour toi » ajoute Claude d’un ton flatteur, les mains croisés dans le dos. Je réajuste la bretelle et retourne dans la cabine avec la lingerie et m’aperçois immédiatement que ma robe et ma culotte ont disparu…
« C’est malin » je fais en m’adressant à Claude.  « Tu crois que je ne t’ai pas vu ? »
"Elle était tombée par terre; je te l’a rends de suite""C’est ça...ferme le rideau en attendant""Pendant que tu essayes la lingerie, passe-moi les maillots pour les faire emballer"Je me déshabille complètement et leur tends les maillots et leur demande de me rendre la robe.Pas de réponse.Je passe la tête dehors mais le couloir est vide et je ne les vois plus.  Je prends peur car je suis nue et n’ai que de la lingerie avec moi.  Je cherche à m’habiller avec ce que j’ai et constate que je n’ai que des strings !Les salauds je pense.  Ils ne vont quand même pas me laisser comme ça !
J’enfile l’un des strings pour au moins couvrir ma chatte ; enfin…si on peut appeler ça couvrir car ils ont encore choisi les modèles les plus minimalistes.Je les appelle mais toujours personne à l’horizon.Alors je me risque à sortir dans le couloir des vestiaires et passe ma tête par l’entrée qui donne sur le magasin. 
Je ne les vois pas et m’aperçois alors qu’il y a un panneau ‘ Fermé’ avec une cordelette devant le couloir des cabines pour hommes lorsque soudain, un homme rapplique avec des vêtements à essayer.Mince !
Je cours vite me réfugier dans ma cabine et tire le rideau qui ne couvre pas tout et attends. Quelques minutes plus tard, les deux brigands reviennent, hilares.« Mais qu’est-ce que vous foutiez bon sang ! »« Alors ? T’as choisi la lingerie ? »« J’ai rien choisi du tout ; rendez-moi ma robe »« Fais nous d’abord voir la lingerie »« Non »« Si tu veux ta robe, viens la chercher »« Vous êtes pas possible : Y’a personne d’autre dans le couloir ? »« Non, vas-y »"Mais j’ai vu un homme rentrer""Mais non, y’a personne on te dit"
Je passe la tête par le rideau et vois mes deux lascars reculer jusqu’à l’entrée du couloir alors qu’un homme (!) se change dans la cabine d’à côté.« Mais revenez ! »« Non, marche jusqu’ici »Je peste et refuse pendant quelques secondes. 

Puis, je vérifie que l’homme est toujours occupé à essayer ses vêtements et leur demande par signes si je peux sortir.Ils me disent d’attendre. 
Finalement, ils ne sont pas si méchants que ça. Au moins, ils vont faire en sorte d’éviter que quelqu’un arrive au même moment.Après deux minutes d’attente, ils me font signe de sortir.« Je cours en sautillant discrètement jusqu’à eux en me cachant la poitrine.« Bon, rendez-moi ma robe maintenant ! »« Les mains derrière le dos d’abord »Je peste et rougis mais m’exécute au moment même où un autre homme déboule avec des pantalons !
Il manque de me rentrer dedans et se fige, aussi surpris que je suis effrayée.
Il est grand et massif, la quarantaine, le crâne dégarni et des yeux perçants.  Il baisse son regard sur ma poitrine exposée que je couvre maladroitement de mes mains alors que les deux garçons sont pliés de rire. Les petites canailles !
« Désolé » fait le Monsieur « Mais toutes les cabines hommes de l’étage sont fermées apparemment » Et il ajoute « C’est un coup de chance on dirait… » Il reste planté là, à me reluquer de haut en bas avec gourmandise.Les deux fripouilles ont bricolé un panneau et redirigé tous les hommes dans mon couloir !
Je fais demi-tour et marche prestement jusqu’à ma cabine en fondant de honte à l’idée d’exposer mon corps nue uniquement couvert d’une petite ficelle qui fait le tour de mes hanches et pénètre profondément dans la raie de mon cul qui se tortille sous leurs regards !Les deux garçons parlent discrètement à l’homme qui arbore un grand sourire et entre dans la seule cabine de libre restante, à savoir la première proche de l’entrée tandis que l’autre homme, intrigué par mes aller-retours, sort de sa cabine pour voir ce qui se passe et m’aperçoit presque entièrement nue par le large entrebâillement du rideau trop court de ma cabine.Il est plus jeune, la trentaine, mince, cheveux presque rasés. Et au lieu de retourner dans sa cabine, il reste planté là, à m’observer avec un intérêt non dissimulé. 
Son sourire suspect me met mal à l’aise et je tire le rideau comme je peux pour me cacher alors que Claude et Alain me rejoignent carrément dans ma cabine.« Sortez-d ’ici ! »On se retrouve à trois dans la minuscule cabine et je suis prise en sandwich.Le contact de leurs corps habillés sur ma peau nue me fait frissonner.Ils posent les mains sur moi comme pour me calmer et en profitent pour me caresser les bras.« Qu’est-ce que vous voulez ? Vous jouez à quoi ? »
Je constate avec effroi qu’ils n’ont pas refermé le rideau et que l’homme de la première cabine est ressorti pour rejoindre celui qui se tient devant ma cabine pour me reluquer.Je veux fermer le rideau mais Alain et Claude me tiennent fermement, m’embrassent dans le cou. Et ils commencent à me peloter les seins, le ventre, les fesses...devant les deux inconnus ! 
Tout en protestant, je chavire et commence à mouiller malgré moi.« Alain avait donc raison »De quoi parle-t-il.
« Tu es chaude et aimes les hommes et en plus tu aimes qu’on te regarde…J’ai hâte de te voir sur scène »Je suis touchée en plein cœur et bafouille un truc incompréhensible pour la forme mais ils me chauffent tellement que mon corps fond entre leurs mains vicieuses et, lâchement, je me laisse faire.
Je me démène en faisant semblant de vouloir m’échapper, mais plus je me contorsionne, plus mon corps quasiment nu qui se frotte sur leurs vêtements m’enflamme littéralement.
Et de voir les deux inconnus me mater ainsi, provoque un afflux soudain de mes liquides intimes qui se mettent à suinter dans ma fente à chaque fois que nos regards se croisent. Petit à petit, je perds tout contrôle.Au fur et à mesure que leurs mains jouent avec mes tétons qui durcissent sous leurs yeux ainsi que ceux des deux hommes à l’extérieur de la cabine, ma respiration hachée trahit mon excitation grandissante.
Mon sexe se lubrifie rapidement et se met à me titiller insupportablement. Je résiste mollement en essayant pathétiquement d’atteindre le petit rideau pour le fermer…puis abandonne. 
Mes ridicules tentatives de résistance ne sont que décupler l’ardeur d’Alain et Claude et attiser encore plus celles des deux voyeurs.
Soudain, Alain glisse une main dans mon string et englobe ma chatte humide.  Je flageole sur mes jambes et ne peux retenir un gros soupir rauque qui trahit mon excitation.  Claude et les hommes dehors sont vraiment agréablement étonnés de ma réactivité.
Je n’ai pas baisé depuis des jours et…ça se voit !Alain ressort sa main brillante et la montre aux autres personnes qui s’approchent pour mieux constater mon état. 
Je suis humiliée et rougis comme une pivoine.  Je me débats à nouveau et les tape de mes petits poings pour signifier mon mécontentement. Ça ne fait que les exciter encore plus !
Encouragés par le plaisir intense et évident que je ressens, Claude ne résiste pas à l’envie de m’enlever le dernier minuscule rempart de fin textile qui cachait encore -à peine- mon ultime bastion intime. Les deux hommes à l’extérieur commencent à s’animer sérieusement. 
Sous leurs encouragements et celui d’Alain qui me tient fermement, Claude m’arrache littéralement le fragile et ridicule petit string.
Dans un dernier réflexe puéril, je sers les cuisses pour leur dissimuler la douce peau glabre de mon intimité la plus secrète. Peine perdue. Sous leurs yeux brillants de gourmandise, mon plus précieux objet du désir se dévoile dans son aspect le plus juvénile qu’ils n’auraient jamais imaginé : ma fente imberbe les scotche littéralement.
Lorsque Claude et les deux hommes la découvre ainsi, aussi lisse qu’une enfant qui vient de naitre, ils n’en croient pas leurs yeux car à cette époque, peu de femmes se rasaient la chatte.« Tu vois, je te l’avais dit » fait Alain d’un geste rapide à Claude.Alors, des remarques salaces fusent. La honte m’envahit.

Devant leurs yeux lubriques et la tension qui monte, je sers mes cuisses au maximum mais mes efforts restent vains.Totalement surchauffés, Alain et Claude me soulèvent et encouragés par les autres, me prennent sous les bras et sous les fesses.
Ils me décollent du sol et me forcent à écarter mes cuisses en grand, bien en face de tous ces messieurs, à hauteur de ceinture. 
Je me débats toujours pour la forme, sachant d’une part que je ne suis pas de taille à leur résister, et que d’autre part, l’abondant afflux de cyprine me rappelle le plaisir pourtant humiliant mais indescriptible que je prends.
Je suis folle de rage contre moi-même de succomber aussi facilement à cette montée de libido incontrôlable.
Plus je me débats, plus je me cambre et me tortille, et plus seins s’agitent et mon corps se tord et prend des poses encore plus aguichantes !
M’apercevant que je n’arriverai à rien et que mes jus inondent ma fente sans discontinuer, je me résous et détourne la tête alors qu’Alain et Claude me tiennent fermement en m’écartant les jambes de force et m’exposent en l’air comme une bête, prisonnière de leurs quatre bras. Les deux hommes, comme attitrés par un aimant, s’approchent…Les types bavent et écarquillent leurs yeux lubriques et vont jusqu’à oser, à leur tour, poser leurs mains dépravées sur mes cuisses en remontant lentement vers le V grand ouvert et brillant qui suinte d’un fluide suspect indécent…L’absence totale de pilosité à cet endroit les fascine.  Mon sexe totalement nu et parfaitement lisse s’expose intégralement dans la plus parfaite indécence.Dans cette position dilatée forcée, ma grotte rose luisante de contentement s’ouvre au plus profond comme la gracieuse éclosion d’une fleur.Hypnotisés, ils s’approchent jusqu’à coller leurs visages devant mon sexe béant qu’ils reniflent comme des animaux !
Afin de mieux observer la cyprine qui suinte, Alain les incite même à me toucher en leur faisant des signes d’encouragement de la tête !En d’autres circonstances, je l’aurais giflé.  Mais le plaisir qui envahit mon corps et ma position entravée, ne me le suggèrent pas.Un des deux hommes s’avance, pose son index entre mon petit trou et ma fente et le fait remonter en laissant trainer lentement son gros doigt entre mes lèvres qu’il écarte encore plus au passage pour venir s’arrêter sur mon bouton gonflé d’excitation. 

L’homme a la bouche grande ouverte et respire profondément, le regard hyper-concentré sur le délicat mouvement de son doigt. Le plaisir est si intense que j’en tremblote. Il s’arrête, surpris par ma réactivité et sous les sourires de connivence des autres, il reprend avec un enthousiasme redoublé. Une énorme boule se forme dans son froc.
Je sens son souffle sur mon sexe qu’il hume avec insistance, comme pour s’enivrer du délicieux nectar qui s’écoule et poisse son doigt qu’il renifle dans un geste obscène.  L’autre me caresse l’intérieur d’une cuisse en s’approchant toujours plus près de mon entrejambe dans une progression d’une lenteur insupportable.
Ce supplice me provoque soudainement un mouvement involontaire de mon corps qui se cabre en ouvrant mes cuisses encore plus largement et en projetant mon sexe en avant ! Vers les doigts de mes tourmenteurs, comme une supplique déshonorante. « Elle en veut la petite… » Lâche objectivement l’un des pervers.

Ma fente humide baigne dans le bonheur. Lorsque son doigt vicieux s’enfonce doucement en repoussant mes lèvres gonflées de plaisir, je ne peux restreindre un petit cri qui trahit mon extase et qui ne fait que les attiser encore plus. 
Le deuxième homme présente à son tour une monumentale bosse dans son pantalon.
Le premier se masse le sexe au travers du tissu avec son autre main, tandis que l’autre ouvre sa braguette avec frénésie.
C’est lorsque, attirés par ce regroupement, je vois soudainement arriver successivement deux autres hommes venir mater à leur tour, que je prends peur.On est dans un grand magasin en pleine journée et dans une cabine d’essayage ouverte à tout vent. 
Si une vendeuse nous surprend, c’est au poste de police qu’on va tous terminer !
Je me débats à nouveau en les voyant se poster devant la cabine.
Les nouveaux arrivants restent stoïques, silencieux, les yeux et bouches grands ouverts, ne sachant pas quoi penser de ce qu’ils découvrent mais pour rien au monde, ils ne s’en iraient car leurs yeux brillants trahissent leur soudaine et immédiate excitation. 
Ils jouent des coudes pour mieux s’approcher et reluquer.Ils ne sont pas déçus du spectacle lorsqu’un premier doigt, puis un second s’enfoncent lentement et profondément dans ma chatte.
J’en oublie tout, y compris le danger de se faire surprendre ; je me rends alors compte que…ça me galvanise même !
 La chaleur m’envahit, ma respiration s’accélère alors que mon cœur bat à tout rompre.
Je sens les prémices d’un orgasme puissant qui se construit au plus profond de mon corps.  Alain et Claude ont du mal à me tenir écartelée en l’air.  Leurs mains glissent.  Ce n’est pas que je continue de me débattre, non…c’est que je gesticule de plaisir !
Les deux nouveaux n’en croient pas leurs yeux et se faufilent dans la minuscule cabine, les yeux brillants de désir et une bosse qui se forme également dans leurs pantalons. L’un est assez âgé et bedonnant avec de grosses lunettes et le crane bien dégarni. Un retraité sans doute.
Si ça se trouve, sa femme est peut-être encore dans les parages dans un autre rayon !L’autre a la quarantaine, très mince, grand et brun et porte aussi des lunettes à fines branches.  On dirait un intellectuel, peut-être un prof…J’espère que ce n’est mon futur prof de graphisme ou de dessin !!Sans un mot, dans un silence convenu, les uns après les autres, ils sortent leurs gourdins tout durs et commencent à s’astiquer en me pelotant un peu partout.Alain et Claude qui me soutiennent toujours avec difficulté, sont absolument ravis de m’exposer ainsi pour me voir prendre mon pied devant ces inconnus.
« Regarde comme elle aime ça… elle va jouir devant tout le monde j’te dis ! »« Mais ?  Elle est...elle est rasée ? » s’esclaffe l’un des derniers arrivants dont le sexe se met à bondir d’un coup.« C’est une vraie salope, elle n’est venue que pour ça » répond en fin connaisseur sur un ton péremptoire le type qui me doigte.Un autre en remet une couche : « Regardez comme elle réagit ; c’est à peine croyable »Leurs remarques humiliantes me vexent au plus haut point. Je veux protester mais je ne saurais même pas comment me justifier et j’en ai aucune envie. 
Peu importe ce qu’ils pensent de moi, je n’ai qu’une idée fixe en tête : laisser exploser l’incroyable orgasme qui se répand par vagues successives de plus en plus violentes dans tout mon corps. En plus, contre toute attente, je m’aperçois que leurs remarques obscènes et dégradantes ne font que déchainer ma libido déjà exacerbée par l’abstinence de ces derniers jours et par le fait d’être entravée et forcée de jouir devant eux.« Regardez comment elle mouille !   Je n’ai jamais vu ça ! »« Ça coule sur vos doigts… »« Non. Ça coule partout, c’est incroyable »« Quelle beauté… Mon Dieu quelle beauté, elle est faite pour le sexe celle-là… »

Le type qui me doigte approche sa bouche de mon bouton sans défense et soudain se met à le laper comme un chien !
Je sursaute, tremble d’extase et lâche de petits cris que je ne peux refréner !  L’orgasme grossit démesurément. La pression est énorme et suis sur le point d’exploser.« Elle va jouir ma parole ! »  « Déjà ?? » fait un autre dont la remarque ne fait que me mortifier de honte encore un peu plus.Il ne croit pas si bien dire. Je suis en train de perdre tout contrôle.Un incroyable plaisir m’assaille par vagues de plus en plus fortes.
La langue du type m’inflige des sensations si divinement extrêmes que ma respiration se stoppe plusieurs secondes pour reprendre par une expiration bruyante et rauque.L’autre homme ne cesse de me caresser les cuisses et passe et repasse sa main sur mon pubis tout lisse qu’il poli comme une œuvre d’art.
Tout comme les autres, il se masturbe de plus en plus vite.
Les deux derniers arrivés s’aventurent à me prendre mes mains pour que je les branle à mon tour alors qu’ils me malaxent les seins et me triturent les mamelons. Ils sont tellement exacerbés, qu’ils ne peuvent raisonnablement pas être plus gros. 
Celui que j’appelle le professeur a une bitte longue et fine alors que le retraité en a une courte et épaisse.  Je les décalotte et découvre qu’ils mouillent autant que moi.  Fous d’excitation, ils donnent des coups de reins dans mes mains en fourreau pour s’ajouter à mes propres coups de poignée. Je sens leurs sexes trembler et trépigner d’impatience. Ils sont si vigoureux et plein de vie ! Je resserre mes doigts dessus au fur et à mesure qu’ils poussent plus fort. Les frocs d’Alain et Claude sont non seulement gonflés à bloc, mais leur excitation est telle qu’une tache de mouille se dessine au somment de leurs bosses.Je n’arrive plus à masturber les autres tant la proche jouissance m’empêche de me concentrer. Je me contente de serrer mes mains en fourreaux autour des sexes turgescents des deux autres hommes qui me baisent littéralement les mains en me pelotant les seins sans vergogne.
Le type qui me lèche me doigte en même temps et se masturbe de son autre main de plus en plus vite.  Je sens son souffle guttural sur ma chatte qu’il continue d’exciter si bien que je suis prise par les premiers spasmes de l’orgasme, ce point d’équilibre entre l’explosion imminente et la possibilité de revenir en arrière si tout s’arrêtait mais avec une frustration sans nom.Je n’en peux plus des palpations de toutes ses vicieuses mains, de leurs remarques salaces et soudain, d’un autre petit doigt que le type m’enfonce dans le cul !!!Sous le choc,  j’inspire un grand coup .C’est le déclic. Le doigt de trop. L’humiliation de trop. J’entre en apnée plusieurs secondes et me tétanise. Avant l’explosion inexorable.   Alain et Claude, goguenards, annoncent alors fièrement aux autres l’imminence de l’orgasme qui va me submerger.  Et tout d’un coup, je LÂCHE TOUT !!!

Je pousse de grands cris qui m’échappent totalement et pars dans des contractions de jouissance telles qu’Alain et Claude ont du mal à me tenir.Mon corps désarticulé s’arcboute à l’extrême, propulsant ma poitrine en l’air, mon sexe crispé sur les doigts du pervers, puis se fige sous les yeux stupéfaits de tous ces inconnus chauffés à blanc.
« Elle jouit ! elle jouit ! » s’exclament-t ’ils tous en extase.Je pousse des gémissements indécents et resserre mes cuisses sur la tête de l’homme qui prolonge mon orgasme en ne cessant d’aspirer mon bouton comme une ventouse et d’enfoncer ses doigts au plus profond de ma grotte gluante avec un bruit d’une obscénité telle qu’il achève d’emporter dans la jouissance les deux types qui me baisent les mains.

 Leur foutre inonde simultanément mes mains et coule sur mes bras tandis que le type qui me caressait les cuisses, se relève d’un coup pour diriger sa bite, droit sur moi afin d’éjaculer plusieurs gros traits de sperme qui viennent s’écraser sur mon ventre et ma poitrine.  C’est uniquement lorsque la vague qui m’a submergée se calme et que je m’apaise que le type qui me doigtait se relève à son tour et dans un grognement douloureux, explose et crache une énorme gerbe de foutre gluante sur mon ventre.
Le type tremble sur ses jambes et jouit comme jamais.
Une seconde lourde giclée s’écrase sur mon sexe, suivit d’autres jets multiples qui aspergent mes cuisses en zigzag.
Il termine sur ma chatte qui disparait sous l’épais liquide crémeux.

Les quatre types continuent de masturber lentement leurs sexes qui se ramollissent et dégoulinent encore de longs filets de mouille mélangés au sperme qui s’égouttent sur le sol.Alain et Claude, fatigués mais visiblement enthousiasmés, me reposent à terre, nue comme un vers, épuisée et couverte de sperme.Ils s’agenouillent de chaque côté, et n’en pouvant plus d’excitation, ouvrent leurs braguettes avec fébrilité et me présentent leurs queues incroyablement dures et trempées.Les quatre types restent pour voir car Alain annonce.« On va la baiser… elle ne demande que ça »
Là, je dois dire qu’il dépasse les bornes, emporté par la situation ou la présence de son copain qu’il veut épater comme s’il avait le contrôle sur moi.Son attitude m’énerve et ce n’est pas Claude qui vient me calmer car il sort du tac-au-tac : « Depuis que le show qu’elle nous a fait dans la boutique tout à l’heure, j’ai bien vu que c’était une vraie salope »Je me retiens de répondre et du coup, je décide de leur donner une bonne leçon d’autant que je suis, il faut le dire, relativement rassasiée et apaisée...Je fais alors semblant de jouer leur jeu et commence à les masturber ensemble mais petit à petit, je les fais se rapprocher au prétexte de vouloir les sucer alternativement.Ils gémissent de plaisir et de satisfaction de contrôler ainsi ma docilité.Je les suce et ils y mettent du cœur en poussant leurs sexes plus loin dans ma gorge.
Les autres hommes qui sont restés apprécient le spectacle et certains ont leur sexe qui durcit à nouveau.
Mais après un moment, Alain et Claude commencent à montrer des signes de l’approche de l’orgasme et Alain veut me baiser. 
Devant tout le monde comme il la promit.Mais à chaque fois qu’il veut retirer sa bite de ma main, je resserre mes doigts dessus et l’en empêche.
Au début il croit que je joue avec lui pour l’exciter encore plus et il se laisse faire mais l’orgasme qui s’approche le conduit à réessayer lorsque c’est au tour de Claude d’approcher du point de non-retour.Ils se regardent.  « Je ne vais pas tenir longtemps.  Tu l’as baise ou j’y vais ?? » demande Claude comme si je n’étais qu’un jouet à leur disposition.Alain est blême car il n’en peut plus.  « Je…je crois que je vais tout lâcher ! » fait-t-il d’un signe maladroit.Claude annonce alors qu’il va me baiser.  Je resserre alors mes doigts sur son sexe pour le retenir.« Mais lâche-moi…et met toi à quatre patte… que je t’enfonce ma pine ! »« Oui, montre-nous ton cul de salope » fait le retraité qui bande à nouveau comme un taureau.
« Ouais, bourre là jusqu’à la garde !! » fait le professeur ; à moins qu’il ne le soit pas.
Un type que j’avais jugé si éduqué et si correct ; en apparence.  La façon dont Claude me parle me conforte dans ma vengeance.  Non seulement je ne les lâche pas et ne m’exécute pas mais je redouble de vigueur et d’ardeur en avalant leurs deux bites à la fois !Les spectateurs n’en croient pas leurs yeux et manifestent leur contentement par de très vilaines remarques obscènes.En engouffrant leurs deux bites, je m’amuse à les lécher alternativement, mais aussi à les frotter l’une sur l’autre, comme si je ne le faisais pas exprès et je leur titille leurs glands en insistant bien sur le petit frein derrière.  Alain est le premier à commencer à contracter.
Je m’arrête alors de le sucer une seconde ou deux et me concentre sur la bite de Claude qui à son tour est sur le point de partir. 
Je les maintiens ainsi dans un parfait équilibre d’excitation pour les faire jouir en même temps…et en profite pour frotter leur gland dans ma bouche mais plus seulement...

Je les ressorts de temps en temps de mon orifice en les frottant innocemment l’une sur l’autre par…inadvertance.
Ils ne bronchent pas et jouissent de ces frottements incessants qu’ils mettent sur le compte de ma langue.Mais lorsque le moment fatidique arrive et qu’ils se contractent en poussant un grognement…« Arrrgh la salope !  Elle va m’avoir ! » crie Claude.« Moi…moi aussi » fait Alain en parlant par des signes de panique. Il flageole sur ses jambes.
Je ressors alors leurs bites de ma bouche et au lieu de continuer de les sucer ou de les masturber au moment où ils jouissent, je frotte leurs glands l’un sur l’autre et regarde amusée, les jets de sperme s’entrecroiser et s’asperger mutuellement les glands !  « Non ! Arrête ! » fait Claude effaré. Je me mets à franchement rigoler quand j’abandonne leurs queues en l’air qui éjaculent à tout va. 
Comme pour se venger, ils les dirigent alors sur moi et je reçois de longues salves qui viennent zébrer mon visage mais je n’en ai cure.
Ils se terminent en se masturbant piteusement eux-mêmes sous les regards moqueurs des autres hommes qui ne s’attendaient pas à ça.« Finalement, vous n’avez pas besoin de moi ! » Je leur lance goguenarde en me relevant.
Je les ai bien humiliés et je me dis que je ne devrais pas trainer dans les parages.  Je retrouve ma culotte et ma robe que j’enfile à toute vitesse alors qu’Alain et Claude, vexés, s’essuient comme ils peuvent de tout le foutre qu’ils se sont aspergés l’un sur l’autre.Tandis que les quatre hommes sortent en même temps que moi, des « merci mademoiselle » accompagnent mon échappée des vestiaires.Je m’aperçois que je suis dans un état pas possible avec du sperme partout sur la figure et qui coule sur mes cuisses que ma courte robe ne va pas pouvoir cacher bien longtemps. En plus, ça sent à des mètres.Je ne sais pas comment je vais rentrer du coup.  Alors je me dirige vers l’arrêt de bus le plus proche.
Les gens me regardent avec des airs suspects lorsque j’entends Claude crier « Attends ! Attends »
Il arrive essoufflé et s’excuse de ce qui vient de se passer.  « Je suis désolé ; Alain m’a monté la tête et j’ai été si irrespectueux ; ça ne me ressemble pas… »« Vous les mecs, quand vous êtes plusieurs, vous changez complètement de personnalité »« Je suis désolé.  Laisse-moi me rattraper et te reconduire. Tu ne peux pas prendre le bus dans cet état… »"J’ai connu pire..." Je fais en rigolant.
Il redevient le gentil et l’aimable garçon de la boutique du tailleur et je me laisse faire car, effectivement, voyager dans le bus couverte de sperme n’est pas idéal de discrétion et mon empathie naturelle reprend vite le dessus. Je me sens même un peu coupable de lui avoir infligé cette humiliation.« Suis-moi, mon scooter est par là.  Je t’ai ramené ton shopping aussi… » Il me tend un sac avec le maillot et …un string en lingerie.« Tu les as payés ? »« Bien sûr…c’est pour ça que j’ai couru pour te rattraper »On arrive au scooter qu’il enfourche et fait démarrer.« Et Alain ?  Il est où ? »« Je sais pas ; je l’ai laissé derrière moi ; vas-y monte et tiens-toi bien »Je m’installe sur la selle en vinyle brulant et agrippe Claude par la taille.
Les secousses et vibrations et la chaleur qui me réchauffe les fesses et l’entrejambe me procurent de délicieuses sensations, d’autant que le vent tiède qui fouette mon visage est des plus agréable.
Je sens le sperme coller à la selle et probablement sur le pantalon de Claude. J’essuie le plus gros des coulures de mon visage. Dès que l’engin prend de la vitesse, ma robe légère se gonfle et remonte jusqu’au haut de mes cuisses.  Je dois constamment la rabattre surtout quand des automobilistes ou passagers de bus me reluquent avec trop d’insistance.« Ça va derrière ? » demande Claude.« Oui, oui. Vous avez bien abusé de moi quand même… »« Je sais pas quoi dire.  J’ai suivi Alain qui m’a parlé de toi comme la dernière de..des..heu »« Je vois…et au final ?  T’as pris du plaisir ou non ? »« Oh oui ! Même si je ne m’attendais pas cette fin frustrante et humiliante »« Vous avez eu ce que vous méritiez. Quel moment t’as le plus excité ? »
« Heu…et bien, d’abord chez mon oncle, au magasin quand t’as dansé topless avec la musique… je dois dire que ton show était extraordinaire. J’avais une érection massive ! Mais après quand Alain m’a encouragé dans les cabines d’essayage, mon cœur battait à tout rompre de pouvoir mettre les mains sur toi et de te voir complètement nue…Le meilleur moment, c’est quand je t’ai retiré ton string et que j’ai découvert ta chatte rasée… Là, j’étais au summum de l’excitation…mais quand Alain a dirigé tous ces hommes dans ta cabine, j’étais pas trop d’accord »« Et le fait d’en parler, on dirait que ça te fait de nouveau de l’effet ? »
J’enserre sa taille et mes mains et viens tâter la bosse de pantalon qui me révèle son état.
Je me mets à malaxer la protubérance pour vérifier. Son sexe est tout dur à l’intérieur.« Je…je ne peux pas le nier »Il conduit dans les rues de la ville et plus on s’éloigne du centre-ville, plus la circulation est fluide.  Je lui masse sa bosse.« Tu aimes bien ? »« A ton avis ? »Je déboutonne sa braguette et glisse mes doigts à l’intérieur. 
C’est tout chaud et sa saucisse énorme est repliée douloureusement dans son slip.  Je passe mes ongles sur la verge enveloppée du fin tissu et gratte doucement.  Il gémit.  Je rigole.  On est en train de rouler.  Il ralentit un peu pour mieux anticiper un danger de la route car sa concentration semble baisser.J’ouvre complètement son pantalon et dégrafant la ceinture.  J’ai maintenant un accès total.« Tu veux que je trouve un coin tranquille ? »« Non »Son slip gonfle tellement que la bosse sort carrément de l’ouverture de son pantalon ouvert.Il gémit encore plus au contact de mes ongles qui grattent sa verge tout du long et finissent par dégager le gland qui mouille abondamment au travers du slip.Je concentre mes caresses sur son gland.  Il a du mal à contrôler son scooter et veut s’arrêter.« Ne t’arrête-pas »« Mais…je risque de nous faire un accident »« Contrôle-toi alors » Je fais en souriant avec malice.Pour une fois que c’est moi qui mène la danse et je ne vais pas me gêner.  Je redouble mes effleurements avec mes ongles sur le gland décalotté sous la fine épaisseur du tissu désormais transparent tant il est imbibé de ses jus.Il souffle fort et zigzague un peu.  Le scooter ne va pas très droit et il ralentit mais ne s’arrête pas.« On va nous voir… » soupire-t-il d’une voix rauque.« Pas si tu roules ; prends des rues calmes »
Son sexe gonflé à bloc ne peut plus tenir dans le slip.  Il est en travers vers son aine droite.
Je dégrafe complètement son pantalon, l’ouvre, puis je soulève légèrement l’élastique du slip et comme un ressort, le monstre en sort et se redresse droit vers son nombril.  Seul le gland dépasse.Il mouille tellement que mon index glisse dessus sans difficulté et je me mets à lui frotter son frein doucement en le titillant.  Aidée par les vibrations de sa machine, mon index lui transmet de telles sensations que son membre bande encore plus ; à tel point qu’il réussit à se décoller de son bas-ventre malgré la tension de l’élastique de son slip.  Sa conduite est approximative et le scooter tangue.« Non ! Je dois m’arrêter ! »« Si tu t’arrêtes, j’arrête aussi ! »« Espèce de s….de…ss…sa… »« Oui ?...... »« Sacrée bon sang de fille ! »Je souris à ce qu’il s’apprêtait à sortir.Dans les rues, quelques passants relèvent la tête à notre passage mais ne semblent pas avoir eu le temps de se rendre compte.De se rendre compte que sa bite turgescente se soulève par saccades hors du slip alors que je continue de lui masser le gland et le frein en particulier.
Son gland est couvert de mouille et luit comme une paire de fesses huilée sous le soleil.
Je rentre alors ma main en fourreau à l’intérieur du slip jusqu’à ses couilles que j’englobe et remonte lentement en frottant ma paume sur tout le sexe et en insistant bien sur l’arrière du gland…C’en est trop pour lui !Il se cambre violemment dans un spasme incontrôlé !Il pousse un cri grave et renfermé, manque de heurter le trottoir avec la roue avant alors qu’une belle et puissante giclée blanche explose en l’air et vient s’écraser sur son tableau de bord.  Puis une seconde inonde son bas-ventre. Sa grosse queue continue de saccader et de se déverser en plusieurs jets qui finissent de maculer son slip poisseux.Je ne cesse de lui masser son frein et la jouissance est telle qu’il finit par arrêter le scooter au risque de rentrer dans un panneau.
« Oh la vache… oh la vache ; Je ne croyais pas que c’était possible de jouir de la sorte ! Et… en conduisant »Je m’essuie ma main gluante sur sa chemise en souriant.« Égalité.  Tu pourras faire comme moi maintenant »« Comment ça ? »« Prendre une douche habillée pour tout nettoyer d’un coup. J’habite dans la prochaine rue.  Tu peux encore conduire ou je finis à pied ? »« Je vais te déposer comme je t’ai dit »
Arrivée chez moi, je lui fais rapidement visiter et lui montre la piscine.« Tu vas être divine dans cette belle eau azure avec ton nouveau maillot.  Je me demande à quoi ressemblait le vieux démodé… »« Eh ben oui, mais je l’ai déjà jeté »Il me sourit d’un air entendu. Probablement qu’Alain lui a déjà tout raconté.« Je dois filer pour préparer ton costume et les accessoires »« Ah oui…alors on se voit tout à l’heure au Club de Manuel »« J’ai hâte d’y être ! »« J’imagine…. Tu vas encore bien te rincer l’œil, d’autant que Brigitte sera là aussi »« Et que je ne l’ai vu que deux ou trois fois dans ma jeunesse.  Je ne savais pas qu’elle dansait aussi ; ça fait longtemps que je ne l’ai pas vue »« Pourtant, elle était aux funérailles de sa mère l’autre jour » « J’étais au dernier rang.  Je ne l’ai vue que de dos et je n’avais les yeux que pour toi… »« C’est ça. Eh bien, je te préviens on se ressemble.  Enfin, c’est ce que disent certaines personnes » « Alors, elle doit être sublime ! » « Allez, va bosser et te nettoyer »« Je peux regarder te doucher ? » me dit-il avec un clin d’œil.« Ton oncle doit te chercher partout ! »
Il part à regret et à reculons en souriant.
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