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Marie, soumise et rebelle

Chapitre 6

Trash
Mortifiée, je suis partie dans ma chambre en claquant la porte. Quentin m’avait vendue à Aurélien pour cinquante Euros, il voulait faire de moi une prostituée, c’était un salaud. Je me suis jetée sur mon lit en pleurant à chaudes larmes. Un long moment a passé et je m’étais calmée quand la porte s’est ouverte sur Quentin qui s’est approché et assis sur le lit. Il a commencé à caresser mes fesses en passant la main sous la culotte, malgré moi j’ai frissonné. Il l’a senti et a passé son autre main sous mon débardeur, suivant la colonne vertébrale ; j’ai retenu un gémissement de plaisir mais mon corps a réagi malgré moi. Quand il a descendu sa main entre mes fesses, j’ai écarté les cuisses et il a enfoncé deux doigts joints dans mon anus souillé.
— Il t’a rempli le cul de sperme, Aurélien. Tu as aimé ?— Non ! Tu m’as fait faire la pute, tu es un salaud.— Peut-être, mais tu aimes être traitée comme une pute.
Il a asséné une grosse claque sur ma fesse droite, j’ai poussé un cri autant de surprise que de douleur, déjà une autre claque marquait l’autre fesse. Il a bloqué facilement mes deux poignets pour pouvoir continuer à me fesser, à grands coups sonores, malgré mes supplications. Vaincue, je renonçais à lutter et restai offerte à ses claques ; plus mon postérieur cuisait, plus mon ventre devenait lourd et humide. Il a enfin arrêté de frapper mon postérieur et plongé deux doigts en moi en ricanant.
— Tu as compris ? Je t’interdis de m’insulter ! Et excuse-toi, vite !— Pardon, Quentin, je n’aurais pas dû, ne me bats plus, tu m’as fait mal. Mais sache le une bonne fois pour toutes, je refuse de faire la pute pour toi, c’est clair ?— On verra avec papa, mais tu as intérêt à obéir. Bon, tu la veux, ma bite dans le cul ? Ecarte bien.
Matée, j’ai posé les mains sur mes fesses meurtries pour offrir mon anus. Il s’est enfoncé si facilement que j’en ai éprouvé un sentiment fugace de honte. Puis il m’a prise violemment, cherchant son plaisir sans se soucier de moi, plongeant de haut en bas aussi fort qu’il pouvait, tirant ma tresse et m’insultant.
— Alors, tu vois bien que tu es une petite pute bien soumise, tu te donneras à qui je voudrai, tu videras les couilles de mes amis, et de tous les connards qui me paieront pour ça. Allez, dis-le que tu es ma pute !— Non ! Quentin, je ne suis pas une pute, ooh ! Doucement… Tu me fais mal !— Tu vas travailler pour gagner de l’argent en vendant tes trous à qui je voudrai.— Non, ça il n’en est pas question…
J’avais chuchoté, anéantie. Il voulait réellement me prostituer ! Celui que j’aimais comme un frère se comportait comme un infâme souteneur, il me battait, me menaçait. Malgré tout ce qu’il me promettait, j’adorais qu’il me prenne sans y mettre de douceur. Il a repris ses coups de boutoir, martelant mes reins sans retenue, et je me suis cambrée pour qu’il aille plus profond, consciente que mon vagin délaissé était un vrai marécage. Quand il a éjaculé, j’ai joui à mon tour ; et quand il s’est retiré, j’ai nettoyé soigneusement sa verge souillée. Sans qu’il me le demande, une preuve accablante de ma soumission.
— File te laver, tu pues ; je vais téléphoner à Ahmed pour voir quand on peut aller le voir.
Sous la douche, je me suis ressaisie ; j’aimais bien Quentin, mais pas au point d’accepter de me prostituer pour lui. J’allais en parler à Antoine, il fallait le recadrer. Ce n’est pas parce que j’avais apprécié de me faire sodomiser brutalement que je devais tout accepter. Je me suis habillée, petite culotte blanche, tee-shirt rose à trois bandes, short blanc assorti, tennis blanches sans chaussettes. Quand Antoine est arrivé, il m’a attirée dans ses bras et m’a embrassée sur la bouche et flattant mes fesses.
— Alors, ma puce, bien passée, ta journée ?— Mmm… J’ai un souci, c’est Quentin. Depuis qu’on fait l’amour ensemble, il croit avoir des droits sur moi. Il m’a expliqué qu’il veut me prostituer, et là, il veut m’emmener chez un copain à lui juste pour m’apprendre… A sucer, il dit que je suis mauvaise.— C’est vrai, tu n’es pas très douée, ma petite. Tu n’arrives pas à avaler toute ma bite, ta technique est déplorable. Chez qui tu dois aller ?— Il s’appelle Ahmed, je le connais pas.— Moi si, surtout son père en fait, c’est une bonne idée, vraiment ! Tu feras des progrès, il t’apprendra à faire des gorges profondes. Par contre, il ne fait rien pour rien, il te faudra payer, et cher sûrement.— Oui, alors Quentin veut que je reste chez lui, que je fasse l’amour avec lui et je sais pas qui…— Non, Marie, pas faire l’amour. Te faire baiser, enculer.
Il m’avait entraînée vers son fauteuil, s’étais assis, il avait baissé mon short et ma culotte jusqu’au sol. J’avais enjambé le petit tas de vêtements et, jambes écartées, mains sur les épaules d’Antoine, je subissais ses attouchements ; il avait une main sur mes fesses et l’autre sur ma fente, ses doigts allaient et venaient dans ma moiteur.
— Quentin a raison, tu te comportes comme une pute en chaleur. Regarde, tu te laisses tripoter à poil au milieu du salon, tu mouilles sur mes doigts. Tu aimes être défoncée par de grosses queues, nous on a besoin d’argent, donc tu va nous aider.— Mais, je ne veux pas !— Tu crois que je te demanderais ça si nous avions le choix ? Tu vis chez moi, tu nous aimes sinon tu ne te serais pas donnée comme tu l’as fait. Et je suis dans la merde sur le plan financier.— Que ce passe-t-il ? C’est le club qui marche mal ?— Oui. Les propriétaires ne sont pas du tout satisfaits, pas assez de clients, rénovations à prévoir, trop de personnel. J’ai changé les horaires d’ouverture mais le gain est peanuts. Si ça continue, fin septembre je suis viré, Quentin aussi, et je devrai rendre l’appartement en plus.— Et moi, là-dedans ? Tu ne comptes pas sur moi pour renflouer le club, quand même !— Bien sûr que non, mais tu pourrais amadouer les proprios. Jolie comme tu es, ils attendraient pour nous virer, le temps qu’on se retourne et trouve autre chose.
J’avais fermé les yeux alors qu’il plongeait trois doigts joints dans mon vagin, mon corps me trahissait encore et j’ai commencé à remuer le bassin de bas en haut sur les doigts, les inondant de cyprine. Antoine, après quelques minutes, a retiré ses doigts et me les a fait lécher avant de me basculer sur la table et de me pénétrer. Il m’a prise lentement, me faisant apprécier chaque centimètre de son énormité, à chaque fois sa verge butait contre le col de l’utérus et je couinais ; puis il s’est retiré et a posé son gland si épais sur ma rosette. Il a attendu et mes hanches ont roulé sans que j’y puisse rien. Je le voulais en moi, désespérément. Il m’a enfin sodomisée, d’une puissante poussée qui m’a arraché quelques larmes et plus tard des cris de jouissance. Après, à genoux devant lui, j’ai servilement nettoyé sa verge odorante, non sans plisser le nez.
Quentin est venu me voir dans ma chambre un peu avant minuit. Je lisais encore, ne trouvant pas le sommeil. Il m’a regardée un long moment sans rien dire, j’étais sur les draps à cause de la chaleur, portant juste un shorty en coton blanc.
— Tu es belle, sœurette. Tu as rendez-vous chez Ahmed demain à 19 heures. Tu as son adresse sur ce papier, tu as intérêt à être à l’heure.— Tu ne m’accompagnes pas ? Je peux pas y aller seule…— Non, désolé, c’est lui qui veut que tu y ailles seule. Il a demandé si tu étais saine, je lui ai dit oui. Tu dois faire une prise de sang demain matin à 7 heures au labo, tu sais où il est.— Et j’y reste jusqu’à quelle heure ?— Jusqu’à ce qu’il te dise de partir, il me téléphonera pour m’avertir s’il t’accepte.
Le lendemain étant un jeudi, j’étais libre à partir de 15 heures. Il faisait si beau que j’ai rejoint Vanessa et Amandine pour bronzer un peu, alors que j’avais l’estomac noué par l’angoisse de mon rendez-vous. J’ai réussi à donner le change à mes copines qui m’ont gentiment charriée sur mes amants et leurs prouesses. Alors que nous étions côte à côte sur nos grandes serviettes, juste vêtues de slips de bains, Mandy m’a quand même demandé :
— Tu as quelque chose qui va pas ? Je te trouve tendue.— Non, c’est rien, j’ai mangé un truc qui passe pas ce midi, et j’ai le dos douloureux.— Ness, tu vas pouvoir l’aider ?— Je peux te masser, tu passes chez nous ? proposa Ness.— Quelle heure est-il ?— Un peu plus de 17 heures.— Non, c’est gentil, Ness, il va falloir que je parte.— Déjà ? D’habitude tu restes une heure de plus.— Mais j’ai un rendez-vous à 19 heures… Excusez-moi.— Marie ! Tu pleures, qu’est-ce qui se passe ?— Reste assise, respire fort ! conseilla Mandy. Encore. Tiens, un mouchoir.
Je pleurais comme une madeleine, allongée sur le ventre, la tête cachée dans la serviette ; et mes copines m’entouraient, les mains sur mes épaules à essayer de me réconforter. J’ai mis un moment à me ressaisir, à m’essuyer les yeux et à me rendre présentable. Heureusement que j’avais des lunettes de soleil ! Je leur ai donné une version expurgée de mes déboires.
— C’est la faute de Quentin, il trouve que je ne sais pas sucer et il n’a rien trouvé de mieux que de m’envoyer chez un copain, un homme que je n’ai jamais vu, pour prendre des cours… La honte !— Et tu vas y aller ? Tu as qu’à lui dire que tu refuses !— Il va me pourrir, je vis avec lui, j’ai plus de famille moi ! Alors je vais y aller, mais c’est pas la joie.— C’est dégueu ton truc ! Et qui s’est, ce type ?— Il s’appelle Ahmed, c’est tout ce que je sais, il est plus âgé que Quentin.— Si c’est celui auquel je pense, c’est un salaud, un grand maigre qui brutalisait ses petites amies, il les insultait devant tout le monde. Pas classe.— Enfin Mandy, c’est peut-être quelqu’un d’autre, je vois celui dont tu parles, je crois qu’il est en prison, là.
Merci, ça va me rassurer, ça ! Je gloussai malgré moi, soulagée d’avoir des copines comme elles. Je suis partie après les avoir embrassées, elles avaient les larmes aux yeux toutes les deux. Je suis revenue à l’appartement poser mes affaires de sport et me préparer. A quoi, je ne le savais pas. Et je suis partie, un peu avant l’heure. A pied, l’adresse étant à dix minutes, près du périf, dans un immeuble ancien.
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