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Marie, soumise et rebelle

Chapitre 7

Trash
Je n’en suis ressortie qu’un peu après minuit, exténuée, souillée. Ahmed vivait au quatrième étage d’un vieil immeuble sans ascenseur. Escalier sale, lampes brisées, odeurs d’urine et de graillon, ça craignait. J’ai frappé à la porte et un homme m’a fait entrer, plus de quarante ans, type magrébin, cheveux noirs et gras, moustachu, très maigre et le visage dur.
— Quès-tu veux, la pouf ?— Bonsoir monsieur, je viens voir Ahmed, il m’attend. Je suis Marie.— Ouais, la salope ! C’est ça ! A poil !— Mais… D’accord, oui Monsieur.
Il avait levé une main, prêt à frapper, encore un tendre celui-là ! Vite j’ai posé mon sac à main, enlevé mon sweet, je l’ai laissé tomber sur le lino sale, puis ce fut au tour de ma jupe, mes tennis, pour me retrouver en sous-vêtements. J’ai attendu un instant et n’ai pas vu arriver la grosse gifle qui m’a envoyée dinguer contre la porte. L’oreille et la joue gauche en feu, j’ai enlevé soutien-gorge et culotte et suis restée nue, essayant de retenir mes larmes devant lui. Je n’allais pas lui faire ce plaisir.
— Maintenant tu y vas, salope. La porte au fond à gauche.— Oui, merci Monsieur.
J’avais compris instinctivement qu’il valait mieux être très polie pour éviter une autre gifle de ce connard. J’ai tapé à la porte ; j’entendais discuter à l’intérieur, j’ai tapé plus fort et l’ai entrebâillée. Passant la tête, j’ai demandé.
— Ahmed ? C’est Marie., Je viens…— Pour tailler des pipes ! Entre, petite salope… Putain, le canon, il a pas menti, Aurélien, t’es un petit canon ! Approche !
Ils étaient trois jeunes vautrés dans la chambre, deux sur le lit et le troisième dans un vieux fauteuil. Ils fumaient, heureusement fenêtre grande ouverte, et buvaient des Despé. J’ai avancé, tête basse, douloureusement consciente de leurs regards visqueux sur mon corps. Ahmed ressemblait à son père en plus jeune. Cheveux aussi noirs et gras, pas de moustache, plus costaud aussi, tatoué sur tout le bras droit.
— Alors tu sais pas tailler une pipe correctement ? Avec la bouche que t’as, tu devrais apprendre vite.— Merci de me donner des cours, je manque de technique, expliquai-je bêtement. Parfois, je suis trop conne !— Putain, comment tu causes ! T’en fais pas, quand je te lâcherai, tu sauras lécher les couilles avec la queue plantée dans la gorge ; tu as mangé quoi depuis midi ?— Rien, que de l’eau.— Parfait, tu vomiras moins. Tu te mets à genoux, je vais chercher une bassine. Les copains, je compte sur vous.
J’ai du passer deux heures à genoux, les mains jointes dans le dos avec interdiction de m’en servir. Je recevais indifféremment l’une ou l’autre verge dans la bouche sous tous les angles possibles, elles forçaient ma luette, s’enfonçaient tant bien que mal dans ma gorge ; j’avais sans arrêt des hauts-le-cœur, je régurgitais de la salive, on pourrait même parler de glaire qui coulait sur ma poitrine en longs filets, sur mon ventre et dans la bassine entre mes cuisses écartées. Parfois, Ahmed arrivait à s’enfoncer plus loin, mais je m’affolais et me tordais, l’obligeant à se retirer.
Il était patient, ne criait pas, ne me brutalisait pas, et si je n’avais pas eu des nausées je me serais sûrement prise au jeu ; mais je n’y arrivais pas, point à la ligne. A la fin, Ahmed a dû juger que ça suffisait pour ce soir et les trois jeunes me sont passés dessus, à tour de rôle par deux et même tous ensemble. Avec là aussi une nette préférence pour mon anus ; ils n’étaient peut-être pas aussi bien montés que Quentin et son père, mais ils étaient jeunes et je crois qu’ils étaient un peu en manque car ils ont joui chacun trois fois.
Ne pouvant faire autrement, j’ai accepté de prendre les positions demandées, m’offrant dans des positions dégradantes à leurs pénétrations, qu’ils filmaient et photographiaient à ma grande honte. Laquelle fut encore plus grande quand j’ai joui alors qu’ils me prenaient en double, Ahmed dans mon vagin et un des ses amis me sodomisant , agrippé à mes seins gonflés qu’il tordait douloureusement.
Ils ont refusé que je me douche et m’ont poussée toute nue sur le palier avant de jeter mes vêtements derrière moi. Je suis revenue dans la nuit noire, pas très rassurée de marcher seule dans ce quartier. Personne debout à la maison, je me suis douché longuement, à eau très chaude, et j’ai mis tous mes vêtements au sale. J’ai dormi d’un sommeil sans rêve, mais j’étais assez en forme le matin pour aller faire un bon footing qui m’a permis d’évacuer des toxines de mon corps et de mon esprit. J’ai fini au Centre par un peu de muscu puis une douche avant de partir voir mes deux copines. Elles étaient inquiètes, et je les ai rassurées sans entrer dans les détails bien sûr.
— C’était moins dur que je croyais, vraiment. Ahmed a été sympa quand même. Pas comme son père, c’est un connard !— Dis donc, ça va alors, Qu’est-ce qu’il t’a fait faire ? Des cours de pipe ?— Arrête, Mandy, tu es trop… Des cours de pipe, tu délires grave !— Tu sais, Ness, c’est exactement ça, j’ai passé plus de deux heures à apprendre, je n’arrivais pas à tout prendre et j’avais envie de vomir, alors il m’expliquait…— Et alors ? voulut savoir Ness, suspendue à mes lèvres.— Alors rien, j’y suis pas arrivée, c’est trop dur, je bloque.— Et tu y vas quand, pour ton cours suivant ?— A 14 heures.— Cool, tu nous rejoins après sur l’île ?— Je sais pas à quelle heure il me lâchera, mais je crois pas.— Dommage, tu crois que je pourrais venir ?— Ness, ça va pas, non ?— Ben, s’il est sympa et qu’il m’apprend à ne pas être une gourde devant le sexe de mon petit copain, un jour, ça peut servir.— Mais je croyais que tu aimais Mandy.— Oui, bien sûr, mais je suis bi, j’aime bien les garçons aussi, seulement j’ose pas trop, j’ai un peu peur.
Sur son insistance et sous le regard amusé de Mandy, j’ai téléphoné à Ahmed qui m’a dit d’amener Ness quand je lui ai dit qu’elle était canon. Je voyais que Mandy hésitait aussi, mais elle a décliné la proposition de Ness de venir avec nous. A 14 heures je sonnai à la porte, Ness collée dans mon dos, subitement inquiète. Le père d’Ahmed a ouvert, l’air toujours aussi revêche ; il nous a fait entrer et j’ai aussitôt enlevé mon tee-shirt et mon short, faisant suivre ma petite culotte en même temps.
J’avais expliqué la situation à Ness qui s’est déshabillée rapidement et a donné ses vêtements avant de serrer compulsivement ses bras devant elle. Nues, nous sommes allées jusqu’à la porte de la chambre, j’ai frappé doucement puit ouvert quand j’ai entendu crier à l’intérieur. Surprise, ils étaient six hommes à l’intérieur, des jeunes entre vingt et vingt-cinq ans, parmi lesquels Ahmed. Il m’a tirée contre lui et a toisé Ness.
— Tu avais raison, belle gonzesse ! Une petite pute qui a chaud au cul, mes potes vont adorer. Bon, je reste avec Marie, vous allez dans la chambre à côté et vous la démontez, essayez de lui apprendre à faire des gorges profondes, mais autrement vous pouvez y aller, démolissez son cul et sa chatte !— Non ! Pas question ! Mon amie est venue pour apprendre à faire des fellations, pas pour se faire partouzer ! Alors vous lui fichez la paix et elle reste ici. Sinon on se casse toutes les deux.— Tu crois pas faire la loi chez moi, quand même ?— Non, mais vous allez pas la violer. Si vous essayez, je hurle et j’irai voir les flics.— Toi, tu as besoin d’une leçon, ma salope. Venir ici pour menacer d’aller chez les keufs, tu vas le payer cher.— Peut-être, mais vous allez ficher la paix à Ness, et je veux bien faire ce que vous voudrez.— Bon, les gars, changement de plan. Je garde la petite ici et je lui fais sucer ma queue ; vous, vous embarquez la blonde et vous la remplissez de sperme par tous les trous.— Tu as quelque chose à dire ?— Oui, c’est n’importe quoi, tu avais dit à Quentin que tu m’apprendrais à sucer et tu tiens pas ta parole.
Il avait pris Ness sur ses genoux et il avait une main sur son pubis, les doigts occupés à la doigter ; Ness frémissait, tête baissée, ses petits seins aux aréoles sombres dardées témoignaient de son trouble. Il lui prit sa petite main et la posa sur sa virilité à travers son bermuda et elle commença à caresser le membre qui gonflait manifestement. Pendant ce temps, un homme s’était collé contre moi et m’avait enlacée, empoignant mes seins et les pétrissant rudement. Je suis restée aussi indifférente que possible, fixant Ahmed, qui me souriait d’un air suffisant.
— Tu viens dans une heure et tu fais des pipes pour t’entraîner, d’ici là tu files tes trous à mes potes. Moi, je fais travailler la petite brune, puis dans une heure on inverse.
— Non, ça va pas. Ness, tu es d’accord ? Si tu veux rester tout le temps ici, ou si tu veux partir, tu le dis.— Merci Marie. Mais je vais rester. Je veux pas te laisser, et puis j’ai envie, aussi.— Tu vois, c’est OK, tu vas avec mes potes et tu m’emmerdes plus.
J’ai hoché la tête, surprise de la réaction de Ness, que je croyais terrorisée ; elle avait posé la tête sur l’épaule d’Ahmed, écarté largement ses jambes, les doigts entraient et ressortaient de sa vulve, luisants de mouille. En haussant les épaules, j’ai pris la main d’un jeune beur et lui ai souri, il a encerclé ma taille pour m’embrasser avant de me conduire dans la chambre voisine où les quatre autres attendaient en silence, complètement nus, leurs hampes dressées.
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