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Marie, soumise et rebelle

Chapitre 8

Trash
Je n’en menais pas large, mais ils n’ont été trop violents, contre toute attente ; j’ai certes été ballottée, prise par tous mes orifices pendant toute l’heure, mais sans brutalité excessive. Après quelques minutes, j’étais assise sur un jeune bien planté dans mon vagin bien lubrifié, un autre me sodomisant et n troisième se faisant pomper et étouffant mes gémissements. Comme ils se relayaient, ils ont joui chacun une seule fois, me faisant grimper au plafond plusieurs fois.
Quand on frappa à la porte pour signaler que l’heure était écoulée, ils m’ont aidée à me relever ; du sperme coulait de mes orifices dilatés sur mes cuisses, j’étais couverte de sueur, la peau luisante, les cheveux emmêlés. Je les ai embrassés tous avant de quitter la pièce pour rejoindre Ahmed. J’ai vu que ça ne s’était pas si bien passé pour ma copine ; Ness était à genoux, toute pâle, le visage, les cheveux, la poitrine souillés de salive et de glaires ; elle m’a adressé un pauvre sourire en se redressant.
Sans rien dire, je suis ressortie ; au feeling j’ai trouvé la salle de bains et pris une serviette que j’ai mouillée d’un côté. J’ai pu ainsi nettoyer le visage de Ness qui reprenait des couleurs ; je l’ai prise dans mes bras et j’ai senti qu’elle se relâchait et pleurait doucement.
— Tu vas te rhabiller, ma chérie, et rentrer chez toi, d’accord ?— Eh, ça va pas ! Je m’emmerde à lui apprendre à sucer convenablement, et elle se casse comme ça ?— Oui, elle te dit merci, et si tu continues, je me casse aussi. Alors tu la fermes et tu vas chercher nos vêtements. Tout de suite.
Ahmed est sorti en rouspétant ; je songeais que si ses potes avaient été là, il aurait réagi différemment, en connard de macho. Au moins, là, il avait été conciliant. Il est revenu peu après avec toutes nos affaires ; j’ai aidé Ness à s’habiller, encore un peu chamboulée. Après, elle est allée se coller dans les bras d’Ahmed, qui l’a embrassée sur la bouche ; un drôle de tableau, Ness en petite robe d’été contre Ahmed nu, flamberge dressée. Elle lui a chuchoté quelque chose à l’oreille, il a souri et hoché la tête avant de la lâcher. Puis elle est partie, me laissant seule avec la bande.
La séance de « cours » s’est passée comme la veille, sauf que j’ai compris, cette fois ; et surmonté le réflexe de régurgiter ; et dégluti au bon moment, et… J’avais encore à prendre sur moi pour contrôler ma respiration, calmer mon estomac, ne pas mordre… Mais le résultat était là, j’arrivais à faire des gorges profondes, et tous les copains d’Ahmed y ont eu droit ; ils étaient revenus dans la chambre, dépités par le départ de Ness, mais heureux de voir que j’étais restée et prête à les servir.
Ce ne fut pas de tout repos, j’ai dû satisfaire les six jeunes hommes, les faire tous bénéficier de ma technique nouvellement acquise en même temps qu’ils investissaient anus et vagin à tour de rôle ; à la fin, j’étais épuisée, couverte de sueur et de sperme et les voies douloureuses. Ahmed m’a même autorisée à me doucher avant de partir, car il était satisfait de mes progrès et de ma docilité. Je l’en ai remercié après par un gros bisou baveux. Je lui ai promis de revenir le voir, sans contrainte, pour le plaisir. J’étais à l’appart’ à 19 heures ; Quentin était debout dans le séjour. Il m’a regardée en prenant un air blasé et supérieur.
— Alors, petite salope. Tu as appris à sucer ? Parce que jusqu’ici, tu te débrouilles comme un manche.— Quentin, ça suffit. Tu me parles encore comme ça, et ton manche, tu pourras te le polir à la main, il ne s’approchera jamais plus de mon cul.
Je l’ai vu changer de tête. Incompréhension, malaise, désir, ses sentiments transparaissaient, confus. Il s’est assis dans le canapé et a baissé la tête un moment. Quand il a relevé la tête, il arborait un air fautif qui rappelait qu’il avait à peine vingt ans. Un ado poussé trop vite dans le corps d’un adulte.
— Pardon, sœurette. Je ne sais pas ce qui m’a pris. J’ai été con à ce point ?— Oui, et même plus.— Pardon encore. Je t’aime depuis toujours, tu sais, et c’est moi qui te fais du mal.
Je me suis assise tout contre lui et me suis blottie sur son épaule quand il a passé son bras autour de ma taille. Il m’a regardée gravement, les larmes aux yeux, avant de m’embrasser sur le front.
— Quentin, il faut partir sur de nouvelles bases. Je vous aime, ton père et toi, et c’est pour ça que j’ai accepté de faire l’amour avec vous deux. Mais je ne suis ni une pute ni une salope. J’ai droit à votre respect, à votre protection et votre amour. Sinon, je partirai, quoi que vous fassiez.— D’accord, sister. Tu as ma parole.— J’accepterai d’être traité de salope ou de ce que tu veux, mais seulement quand on fera l’amour. Si ça doit te faire plaisir.— Compris, Marie jolie. Et je pourrai te claquer les fesses, tordre tes gros nichons ?
Je levai les yeux au ciel, partagée entre l’agacement et l’amusement. Un vrai gamin ! Quand on dit que les femmes sont plus vite mûres que les hommes !
— Pas de souci, j’aime bien si tu te maîtrises. On essaie ?— Tu veux dire pour la suite, ou pour tes nichons ?— Pour la suite. Je suis crevée, je mange et je vais me zoner. Tu expliqueras tout ça à ton père ?
Il a hoché la tête et m’a souri chaleureusement, sans arrière pensée.
Le lendemain matin était un samedi, j’ai dormi tard ; c’est Antoine qui m’a réveillée un peu avant 10 heures, il allait partir au centre. Il s’est assis sur le lit après avoir ouvert grand la fenêtre.
— Alors, ma puce, tu te réveilles ? Ta copine Ness a essayé de te joindre. Elle va bien et te rappellera.— Merci, bonjour. Tu pars bosser ?— Dans 10 minutes. Quentin m’a dit que tu l’avais recadré ?— Oui, et ça vaut pour toi aussi.— Je comprends ; je me suis emballé. J’avais cru que tu pourrais nous aider pour sauver le club, mais ce n’est pas grave, tu as raison.— Il faudra que tu m’expliques tout ça, mais je ne suis pas une pute, ni pour toi ni pour ton fils. Je vous aime, je ne veux pas vous perdre, mais…— Nous avons compris, je crois. Tu as le tempérament de ta mère, Marie. Courageuse, pleine d’amour, prête à tout accepter pour ceux qu’elle aime, mais éprise de liberté. Un mélange qui n’est pas facile à assumer. A toute, je t’aime.
A midi, j’ai rejoint Ness dans un bistro du 7ème. Elle voulait discuter avec moi, et nous sommes allées manger dans une cafétéria ; Ness était songeuse, elle s’exprimait lentement pour rassembler ses idées..
— Comment tu as fais hier soir, tu as fait l’amour avec tous ces garçons ?— Oui, ils ont été plutôt bien, pas brutaux...— Mais quand même ! Ils étaient six ! J’ai honte de pas être restée, j’en avais envie, et puis je ne voulais pas te laisser. Mais j’avais trop peur.— Et Ahmed, comment tu l’a trouvé, tu avais l’air bien avec lui.— Oui, il veut me revoir, j’ai rendez-vous avec lui à 8 heures ce soir, pour aller manger.— Fais attention quand même, il est dans un milieu pas net.— Je sais bien, mais tu le trouves comment ?— Pas trop mal, patient, sympa quand il n’est pas entouré de bourrins. Tu me téléphoneras quand tu rentreras ? Je suis un peu inquiète.
J’ai passé la soirée à attendre : le coup de fil de Ness (qui n’a pas appelé), le retour de mes deux mecs, en chemisier et short de pyjama ; je me suis même un peu endormie devant la télé. C’est Antoine qui m’a réveillée en me prenant dans ses bras, me portant comme une plume. Ensommeillée, je lui ai passé les bras autour du cou pour l’embrasser sur la joue.
— Tu es gelée, il faut le faire quand même, à cette saison !— Tu me réchaufferas…— Si tu me le demandes poliment, très poliment.— S’il te plaît, Antoine. Je suis gelée ! Et puis je te montrerai ce que je sais faire, maintenant…— Une super pipe ? Gorge profonde ? Pour de vrai ?— Oui, mais d’abord tu me réchauffes. Quentin est là ?— Tu lui as pardonné ?— Oui, il a compris qu’il avait déconné, alors…— Il arrive dans un quart d’heure, je crois.— Tu as le temps de t’occuper de moi, comme ça.
Je me suis levée à 6 heures du matin pour faire l’ouverture du centre à 7 heures, fourbue mais heureuse. J’avais dormi un peu moins de trois heures, et j’ai juste pris une rapide douche froide en couinant avant de m’habiller et de quitter l’appartement. Antoine m’avait posée sur son lit, déshabillée, puis il avait passé mes chevilles derrière ma tête (essayez, un minimum de souplesse est quand même nécessaire) avant de lécher ma vulve offerte tout en malaxant mes seins gonflés de désir. J’ai crié en jouissant une première fois, il a continué en plongeant trois doigts lubrifiés dans mon anus, puis quatre, les enfonçant presque jusqu’à la jointure du pouce tout en aspirant mon clitoris.
Les orgasmes balayaient mon corps offert en continu ; je récupérais un peu entre deux vagues de jouissance, les yeux clos, quand une verge s’est posée sur mes lèvres entrebâillées. Quentin était arrivé. Nu, il a promené son gland sur mon visage, m’empêchant de le happer jusqu’à ce que je le saisisse et le gobe. Il caressa mes cheveux, je le regardai droit dans les yeux en creusant les joues. Je réalisai que, dans cette position acrobatique, je ne pourrais pas aller plus loin et dégageai mes jambes pour me positionner à genoux. Antoine me sodomisa d’une poussée vigoureuse, mon anus était tellement béant qu’il s’engouffra jusqu’à la garde. Quentin me présenta son engin imposant, je pris ses cuisses pour le tirer à moi ; comme dans un rêve, je sentis le gland pousser ma luette, je déglutis et laissai glisser toute la colonne de chair.
Sa verge était plus épaisse et plus longue que celle d’Ahmed, je le sentais à ma mâchoire distendue, et j’avais l’impression que le gland était loin dans ma gorge, que les deux verges en moi allaient se toucher ; je pouffais en me représentant embrochée de part en part. Antoine avait glissé deux doigts dans ma fente et pinçait doucement mon bouton tout en me prenant en mouvement amples et réguliers, puis il a accéléré, sentant la jouissance monter ; devant moi Quentin n’était pas mieux, il gémissait en tenant ma tête à deux mains ; ils ont joui presque en même temps, me précipitant dans une nouvelle cascade d’orgasmes sans fin.
Plus tard, après qu’Antoine ait nettoyé sa verge souillée, je lui ai montré mes nouveaux talents de fellatrice hors pair. Pendant ce temps, Quentin me prenait à une cadence de métronome, mon vagin bouillant et un peu serré épousait parfaitement son épais phallus dont je sentais chaque protubérance coulisser dans ma moiteur. Ils ont été plus endurants cette fois, changeant régulièrement de position et d’orifice, me laissant pantelante et gavée de jouissance. Quentin m’a aidée à gagner la douche et est resté avec moi, me savonnant partout puis me rinçant abondamment ; il m’a ensuite aidée à me sécher, m’a tendu mon grand peignoir avant de se sécher à son tour.
Après, il m’a accompagnée dans ma chambre en silence. Il allait repartir quand je l’ai retenu par le bras. Il m’a enlacée, son visage dans ma chevelure encore humide, j’ai dénoué mon peignoir et l’ai ouvert pour sentir sa peau contre ma peau. Sa verge a instantanément repris de la vigueur alors qu’il me roulait un patin d’enfer. Je me suis reculée en faisant tomber mon peignoir, un sourire angélique aux lèvres :
— Maintenant, tu vas me défoncer comme la dernière des putes, m’enculer à me faire hurler. Je veux être à toi complètement. Mais tu m’attaches et tu me bâillonnes, sinon je vais réveiller tout l’immeuble.
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