Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 27 J'aime
  • 0 Commentaire

Marie, soumise et rebelle

Chapitre 10

Trash
Comme d’habitude, j’ai tenu l’accueil mais j’ai aussi pu faire près d’une heure d’exercices sur appareils de musculation à 9 heures puis une heure de tapis de course à 11 heures. Après cela j’ai pris une bonne douche dans les vestiaires avant de rejoindre l’accueil un peu après midi ; il y a toujours pas mal de clients qui viennent entre 12 et 14 heures.
La brute est entrée à 14 h 10. Plus grand et large qu’une armoire normande, un physique d’ancien boxeur poids lourds, nez cassé, deux cicatrices sur le visage, joue droite et arcade gauche. L’air d’un méchant, tatoué d’une toile d’araignée dans le cou. Sa peau était brun clair et le tatouage se démarquait bien dessus. Il s’avança jusqu’au comptoir de l’accueil et y posa ses avant-bras largement plus gros que mes cuisses. Fascinée, j’ai baissé les yeux sur les tatouages de dragons et glaives rouges et noirs qui les couvraient.
Puis j’ai levé les yeux et me suis perdue dans le regard gris-bleu pâle de ses yeux écartés et enfoncés dans les orbites. Malgré son crâne lisse et son air d’avoir côtoyé la lie de l’humanité, il ne devait pas avoir plus de 25 ans. Et il avait la beauté du diable.
— Bonjour Monsieur, vous venez vous inscrire ?— Non. Tu es Marie ? Bien ; je viens te chercher. Je suis Gregory Liouvisky, le propriétaire de ce club. J’arrive de New-York et je suis crevé. Alors tu appelles le gérant, vite.
Antoine est arrivé deux minutes après et a fait un grand sourire. Il a serré la main de l’homme avant de le prendre dans ses bras pour une accolade ; j’ai constaté qu’il était moins grand que le boxeur de plusieurs centimètres. Et moins costaud aussi ; je n’ignorais pas qu’aux USA circulaient dans les salles de sport des produits qui permettaient d’accroître la masse musculaire spectaculairement ; produits interdits en France (en principe), mais en vente libre là-bas. La brute parlait un français parfait, avec une pointe d’accent américain qui donnait du charme à sa voix de basse.
— Bon, Antoine, je n’irai pas par quatre chemins. Demain tu ne viens plus travailler, ni ton fils, et vous virez de l’appartement d’ici dimanche ; ou bien...— Ou bien ?— Marie entre à mon service ; j’ai besoin d’une fille à plein temps, et je sais qu’elle a les capacités pour ça. Elle est très belle, je n’en espérais pas autant. Les photos de son dossier ne lui rendent pas justice. Une fille qui pourra me satisfaire, c’est rare ; si elle est jeune et jolie, c’est rarissime. Et si par hasard elle en arrive à aimer ça, ce sera unique, inespéré.
La brute s’était accoudée à nouveau, discutant avec Antoine en me regardant fixement. Je sentais son parfum, une fragrance épicée, aux agrumes, couvrant une odeur mâle de sueur. Comme une idiote, j’étais noyée dans ses yeux magnétiques, la bouche légèrement ouverte. Merde, je devais baver ! Il a levé la main droite et plongé deux doigts joints entre mes lèvres, les enfonçant aussi loin qu’il pouvait. Et je ne protestai même pas ; interloquée, j’ai refermé les lèvres et sucé les doigts en rougissant jusqu’aux oreilles ! Et comme j’avais noué mes cheveux sur la nuque, il ne pouvait pas ne pas le voir.
Il a commencé à sourire, et ce sourire a gagné ses yeux qui ont pétillé de malice, enlevant toute la dureté de son visage, lui rendant un peu de son innocence passée et perdue depuis longtemps
— Marie, je sens que tu vas me plaire. Tant d’innocence et de perversité ensemble.
Il sortit doucement ses doigts et les lécha avec une expression étrange, gourmande et recueillie à la fois, sans quitter mes yeux une seconde ; je refermai la bouche, hagarde. Je devais avoir une expression un peu perdue car il tendit la main et caressa ma joue ; instinctivement j’inclinai la tête contre elle. Quand il se redressa et détourna les yeux, je m’ébrouai. J’avais l’impression de m’éveiller. La honte m’envahit, accompagnée d’une sensation de manque ; je voulais qu’il me regarde, je voulais qu’il me touche encore.
Je le vis s’arrêter, se gratter le crâne puis se retourner vers moi le visage à nouveau neutre et même froid ; cependant il me fit un clin d’œil et me dit, d’une voix encore plus basse et un peu voilée :
— Tu viens à l’hôtel Intercontinental près de l’opéra Garnier. Et tu viens habillée en petite robe sexy, sans rien dessous. Chambre 412, à 16 heures pile. Je te préviens, ce sera dur pour toi, je ne vais pas te faire de cadeau.— Je serai à l’heure.— J’y compte bien, sinon tu seras punie. Durement. Je t’autorise à porter un plug anal, tu chargeras un peu moins quand je t’enculerai.— Je n’ai pas…— Ne t’en fais pas, ma puce, je vais t’en trouver un, intervint Antoine d’une voix tendue. Et toi, ne la démolis pas, je t’en prie ; je préfère quitter mon travail et me retrouver à la rue.— Ton fils dira la même chose ?— Oui. J’en suis sûr.
Antoine me défendait bravement et loyalement mais je n’avais pas le choix, il fallait que j’obéisse ; je n’allais pas les abandonner maintenant, ils étaient ma seule famille, je les aimais. J’ai pris le bras d’Antoine et l’ai tiré à moi, pour qu’il me regarde.
— Ça va aller, Antoine. Je vais m’en sortir, il ne va pas me faire de mal.— Ce sont tous des brutes, dans sa famille. Allez, viens. On rentre, je vais appeler quelqu’un pour te remplacer ; de toutes manières, tu as presque fini.
Gregory était parti quand j’ai relevé la tête, j’ai juste hoché la tête et contourné le comptoir pour accompagner Antoine. Sur le court chemin jusqu’à l’appartement, il m’a parlé des Liouvisky.
— L’histoire commence avec deux frères. Je pense qu’ils sont partis de Russie vers 1940, pour échapper à la guerre ; ils sont arrivés à New-York et ont pris une petite place dans le crime organisé entre les Italiens et les Irlandais. Ils faisaient dans la prostitution et le trafic d’alcool et de tabac. Les générations suivantes ont développé ces activités, en adjoignant de nouvelles : drogues, trafic d’immigrants des pays de l’est. Aujourd’hui, l’activité est dirigée par deux cousins et Gregory leur fait de l’ombre. C’est pour ça qu’ils l’ont envoyé en France pour redresser ou vendre le centre de sports.— Comment tu sais tout ça ?— Un Liouvisky a vécu longtemps à Paris, le FBI s’intéressait trop à lui. Alors en 1987 il a ouvert un centre de Fitness, celui que je dirige maintenant. J’y ai été embauché quand j’avais dix-sept ans, pour l’ouverture, et j’y suis resté. Liou et moi sommes devenus des amis, il était comme mon grand frère.— Et que c’est il passé ?— Il a pu repartir à New York quand ses problèmes ont été réglés. Mais il est mort depuis, d’une crise cardiaque. Gregory est le fils qu’il a eu de son mariage avec une superbe Afro-américaine qu’il avait rencontré avant de venir en France.— Et tu crois qu’il t’aurait viré ?— Je ne sais pas ; je ne sais vraiment pas. Je l’ai vu naître, je l’ai tenu par la main quand il apprenait à marcher. Mais il est parti de France quand il avait quatre ans, il en a vingt-trois maintenant. Il m’a sûrement oublié.
J’ai choisi une jolie robe en coton imprimée bleue à fleurs jaunes, à bretelles croisées dans le dos et découvrant largement mes cuisses ; escale toilettes, lubrifiant, et Antoine m’a tendu, gêné, un gros plug anal noir et luisant. Si gros que j’ai eu un peu de mal à la mettre, il faut dire que je n’étais pas habituée à porter cet instrument. J’avais l’impression qu’il allait tomber à tout moment. Dans la rue, devant tout le monde, l’horreur !
En attendant, je me suis maquillée légèrement : mascara sur les cils, un peu d’ombre à paupières, rouge à lèvres, parfum. Chaussée d’escarpins noirs à talons aiguilles de huit centimètres, sac à main assorti en bandoulières, j’ai pris un taxi jusqu’à l’hôtel. Le moins qu’on puisse dire est que j’étais gênée, assise à l’arrière du taxi, douloureusement consciente de la présence du plug dans mes reins. Le hall ressemblait à celui d’une gare, sous verrière, mais en plus chic : marbre, fauteuils en cuir, personnel stylé, touristes asiatiques à sacs Vuitton. Un ascenseur m’a conduite au 4ème étage, j’ai suivi le couloir moquetté jusqu’à la 412 et j’ai frappé à la porte ; il était 16 heures 02. Pas de réponse, j’ai encore frappé puis j’ai ouvert et jeté un œil à la grande chambre lumineuse et cossue.
— Monsieur ? Vous êtes là ? C’est Marie… J’entre…
J’ai refermé derrière moi, dansant d’un pied sur l’autre, un peu inquiète. Puis j’ai entendu le bruit caractéristique d’une douche derrière une porte. Je me suis approchée et ai tapé sur le battant, trois coups secs.
— Oui ?— C’est Marie, Monsieur, je suis là !— Ouvre la porte, entre… Tu es en retard, bien sûr.— Mais non, je suis arrivée à l’heure ! J’étais à la porte…— Tais-toi ; tu es en retard, c’est tout ce que je vois. Va m’attendre sur le lit, à poil, le cul offert, je viens t’enculer dès que j’ai fini. J’espère que tu es lubrifiée.
Mortifiée, j’ai obéi en silence et posé ma robe sur le dossier d’une chaise. J’ai rejeté la couette pour me positionner sur le lit, tête posée sur le drap et écartant mes fesses à deux mains, le plug toujours fiché dans mes reins. Et j’ai attendu, oppressée, consciente de l’obscénité de ma posture. Il prenait son temps exprès pour m’humilier, j’en étais sûre. Puis il est entré, nu, sculptural. J’avais la tête tournée du côté de la salle de bains, et j’eus le souffle coupé quand je le vis, si puissant, sa verge si épaisse et si longue qu’elle ployait sous son propre poids. Sûrement un peu plus grosse que celles d’Antoine ou de Quentin, et surtout plus longue encore ; j’ai compris que j’allais morfler, comme il l’avait dit. Il a vu que je le voyais et a ricané, empoignant sa monstruosité d’une main et la secouant.
— Alors, ma petite pute, tu comprends ce qui va se passer ?— Vous allez me sodomiser, me défoncer le cul…
Je reconnaissais à peine ma voix enrouée proférant ces obscénités ; je léchai mes lèvres et les mordillai, ressentant soudain la langueur qui s’emparait de mon corps, la moiteur de mon vagin. Je comprenais que je n’attendais que ça, que depuis une heure je voulais me faire dompter par Gregory et que cette fois j’y étais. Son corps puissant a fait gémir la literie quand il s’est placé derrière moi, il a passé deux doigts sur ma fente, les faisant pénétrer sans peine entre mes lèvres trempées.
— Je vois que tu es trempée et prête. Bonne chienne ! Mais je préfère démonter des culs, ta chatte va devoir attendre encore longtemps…
Et, sans ajouter un mot, il tira fermement sur la base du gros plug qui emplissait mes reins, m’arrachant une plainte comme il libérait mon anus.
Diffuse en direct !
Regarder son live