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Marie, soumise et rebelle

Chapitre 13

Trash
J’ai hoqueté quand je me suis retrouvée assise sur le pelvis de Gregory dont l’air réprobateur ne trompait pas. Je me suis insurgée.
— C’est ce que vous vouliez, non ?— Tu pleures. Je te fais mal ; non, ce n’est pas ce que je voulais.— Je reconnais que j’ai présumé de mes forces. J’ai mal, j’ai l’impression d’être assise sur un pal. Désolée, c’est trop dur.
J’ai essayé de me relever, mais je suis retombée, les cuisses tremblantes, sans force ; j’ai poussé un cri rauque en m’empalant aussi profondément. Les larmes coulaient sur mes joues à nouveau, j’ai regardé Gregory qui paraissait inquiet. Son gourdin était gonflé à me faire éclater, palpitant dans mon ventre distendu. J’ai tenté un pauvre sourire et suis restée immobile, vaincue. Ce qui voyant, il a dégagé ses mains pour les poser sur mes seins et les pétrir d’abord doucement puis de plus en plus rudement.
J’ai posé les mains sur ses avant-bras, sans chercher à le repousser, et j’ai fermé les yeux ; souffrance, plaisir, tout se mélangeait en émotions contradictoires ; j’ai commencé à gémir alors qu’il malaxait mes seins sans douceur, enserrant les mamelons turgescents entre deux doigts pour les pincer et les tordre.
— Eh, doucement, vous me faites mal là !— Je sais, mais j’ai envie de voir jusqu’où tu peux aller avec moi. Remue ton cul sur mon pieu, monte et replante-toi bien à fond, lentement, la douleur va vite passer.— La douleur ? Elle passe un peu. Et allez-y doucement avec mes seins.— Tu n’aimes pas quand je les tords ?— A votre avis ? Aïe !— Tu n’aimes pas trop, pas encore, mais je te le ferai aimer… Allez, monte plus haut !
Renonçant à protester, je montais difficilement et relâchais les muscles de mes cuisses ; je m’empalais ainsi sur sa verge qui coulissait de mieux en mieux, mais à chaque fois je poussais un cri rauque sans plus chercher à le réprimer. Gregory me guidait par les mamelons qu’il pinçait entre ses gros doigts, les tirant vers le haut pour me faire remonter avant de les rabaisser. J’obéissais et mes fesses claquaient mollement contre son ventre alors qu’il souriait. J’ai pris une cadence plus rapide qui m’a menée au bord de la jouissance, ce qu’il a vu dans mes yeux voilés.
— Tu vois, petite chienne, que tu adores te faire démolir par ma grosse queue…— Je n’ai jamais dit le contraire… Oh ! oui…— Continue, je vais jouir, je vais te remplir le cul de sperme.— Oh, mon Dieu, oui…
Il avait posé ses mains sur mes hanches pour me maintenir en place, il était planté à fond et sa verge gonflait, palpitait et crachait de longues rasades de semence ; l’orgasme m’a emportée et je suis tombée en avant, la tête sur son torse puissant, les yeux plein d’étoiles. Nous sommes restés ainsi un long moment, reprenant peu à peu une respiration normale ; ses mains caressaient mon dos et mes fesses, j’étais bien, toujours emplie de sa verge un peu débandée.

— Alors, tu as survécu.— Je suis destroy, surtout. J’ai le ventre démoli, je vais avoir des bleus plein les seins, vous n’avez pas été tendre avec moi.— C’est vrai, mais tu as aimé, il me semble. L’eau du bain doit être froide, je vais te porter sous la douche et te savonner.— Me porter, d’accord ; je ne suis pas sûre d’arriver à tenir debout ; mais me savonner, je sais bien comment ça va finir. Alors il vaut mieux pas.
Il m’a soulevée au-dessus de lui sans effort apparent et sa verge est sortie de moi en me laissant béante, aussitôt un flot de sperme s’est déversé de mon anus. Je grimaçai mais réussis à retenir une nouvelle plainte.
— On dirait que je t’ai mis la dose.— J’ai vu ; vous n’aviez pas joui depuis un mois, on dirait.— Tu verras, j’ai de la ressource. Mais c’est vrai aussi que ça faisait longtemps que je n’avais pas fait l’amour à une si jolie fille.
Il m’a posée sous le grand pommeau de douche et s’est agenouillé à côté de moi. Mes jambes ne me portaient qu’à peine et je dus me tenir à ses épaules, tremblant de fatigue. Il a commencé à m’enduire de gel savonneux de la tête aux pieds, le faisant abondamment mousser sous ses grosses pattes qui n’oubliaient aucun recoin. Il me disposait comme il le voulait, d’abord face à lui, puis tournée vers le carrelage de marbre pour s’occuper de mon dos, pour encore de face pour masser ma poitrine, plonger dans mon vagin et me faire ronronner de plaisir. Il voyait bien que je réagissais à ses attouchements intimes, écartant les cuisses pour qu’il plonge trois doigts joints en moi ; je ruisselais et devenais brûlante, alors j’ai pris mes aréoles dardées entre mes doigts pour les faire rouler.
— Tu aimes que je te baise avec les doigts ? Ton clito est dur et tout sensible, on dirait.— Oui, prenez-moi encore, je vois que vous en avez envie… Je sens que je vais le regretter…— Je le crois aussi, mais je vais le faire quand même ; tourne-toi et cambre-toi autant que tu le peux, je vais te démolir le cul à nouveau…
Là ce fut trop pour moi, je me suis presque évanouie alors qu’il me décollait du sol, m’empalant à coups furieux qui finissaient de disloquer mon pauvre corps qui n’avait jamais été soumis à des assauts aussi violents et répétés. Il ne s’est pas vidé en moi cette fois, jouissant sur mes fesses rouges.
Je me suis endormie blottie au creux de son bras, divinement repue. A mon réveil, j’étais toujours sous la couette mais seule. J’ai fait jouer mes muscles, tout fonctionnait sans souci mais je sentais une gêne sourde dans le ventre. Normal, avec ce que j’avais subi ; j’avais chargé et mes orifices devaient être lésés avec tout ce qu’ils avaient endurés. Bon, surtout mon anus en fait. Je me levai malgré tout en réprimant un gémissement de douleur. J’avais pris cher, qu’est-ce qui avait bien pu me passer par la tête de le narguer ? Idiote que j’étais, il fallait que j’apprenne à la fermer, oui !
Bon, je ne saignais pas ; j’ai marché à petits pas vers le grand miroir dans l’entrée ; où était passé Gregory ? Quelle heure était-il ? Je m’examinai en fronçant les sourcils : pas de dégât apparent, ma poitrine n’était pas trop marquée ; mon anus était sensible et gonflé, je tâtais doucement puis poussai un cri d’orfraie en courant vers le lit : la porte s’ouvrait. J’ai poussé un soupir de soulagement quand j’ai reconnu la silhouette massive de Gregory. Il a souri en me voyant debout et nue, une main masquant les seins et l’autre le pubis.
— Tu peux enlever tes mains, j’ai déjà tout vu et touché.— Si vous n’aviez fait que ça, je serais bien mieux !— A ce propos, je te rapporte un onguent miracle ; tu avais parlé d’une pommade qu’avait Antoine, alors je t’ai trouvé celle-ci, qui est forcément encore mieux. Elle est américaine.— Présomptueux ! Merci…
Je me suis lentement approchée de lui, renonçant à masquer mon intimité ; incertaine, je l’ai regardé droit dans les yeux, cherchant à deviner ses pensées au-delà de son masque de brute. Il a ouvert les bras, m’appelant de ses yeux gris, et je n’ai pas résisté, je suis allée me blottir contre lui ; il a serré mon corps nu contre son costume de lin beige et posé ses mains sur mes hanches. Un long moment, nous sommes restés immobiles, debout, avant qu’il ne remonte ses mains sur mes épaules et me repousse, bras tendus.
— Alors, ça te dit de devenir mon esclave chérie ?— Pas tellement, en fait ; j’aime trop la liberté pour y renoncer ; mais je n’ai pas le choix, c’est ça ?— En fait, si ; contrairement à mon annonce d’hier, je ne vais pas virer Antoine et Quentin, ni du club ni de leur appartement. J’ai dit ça pour te mettre un peu la pression, mais je ne suis pas comme ça. Antoine était le meilleur ami de mon père, ça compte pour moi.— Vous voulez dire que j’ai le choix ?— Oui.— C’est déjà mieux ; vous me donnez cette pommade ? J’aimerais l’appliquer tout de suite. Et réfléchir.— Passes-en un peu sur tes seins, ça leur fera du bien.
Le tube en main, je suis allée dans la salle de bains ; aucune marque sur le tube bleu, pas de composition du produit ; bon, pas grave, c’était gras, blanchâtre, un peu dense, ça ne pouvait que me faire du bien. J’ai satisfait un besoin naturel et pressant avant d’enduire généreusement mon entrejambe douloureux, massant prudemment toute la zone sensible et faisant pénétrer le produit. C’est en massant ma poitrine avec un peu de pommade que j’ai vu la robe blanche suspendue à un patère et les escarpins blancs à talons vertigineux ; posés sur une chaise à côté des sous-vêtements blancs : brésilien vaporeux, soutien-gorge et porte-jarretelles assortis, bas à résille fine blancs.
En souriant, j’ai mis la petite culotte avant de fixer le porte-jarretelles et de tirer et lisser les bas, que j’ai fixés laborieusement aux attaches. Pas douée la nana ! Et puis ce ne sont pas des trucs de mon âge. Le soutien-gorge était un peu juste pour mes seins, mais la robe était superbe, décolletée en V, froncée, une large ceinture noire mettant ma taille fine en valeur.
J’ai brossé mes cheveux, les laissant libres sur mes épaules, puis je suis revenue dans la chambre. Gregory m’attendait debout près d’une grande table ronde dressée pour deux personnes ; je me suis approchée de lui, surprise, réalisant soudain que j’avais faim. Quelle heure pouvait-il bien être ? Comme s’il avait lu mes pensées, Gregory lança :
— Il est plus de dix heures du soir, j’ai pensé que tu voulais manger, et boire quelque chose... Champagne ?
Sans attendre de réponse il a sorti une bouteille d’un seau isotherme fixé sur le côté de la table et fait sauter le bouchon. J’acceptai une coupe et trinquai.
— Merci, Gregory ; vous avez raison, je suis affamée.— Tu es très belle dans cette robe, tu sais. A croquer.
Gênée, rougissante, j’examinai la table : nappe blanche, assiettes dorées, trois verres en cristal pour chacun, et une desserte avec trois couvre-plats, dômes en métal rutilant.
— Tu as réfléchi à ce que je t’ai demandé ?— Devenir votre esclave ? Pas trop, en fait. Vu sous cet angle, ça paraît alléchant ; champagne et petits fours, ça m’attire bien plus que les chaînes et le fouet.— Ne focalise pas sur ça ; il me faut une décision.— Oui, mais d’abord... Expliquez-moi ce que vous voulez.
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