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Marie, soumise et rebelle

Chapitre 15

Trash
— Tu files un mauvais coton, Marie, déclara-t-il d’une voix basse. Tu as intérêt à poser ça tout de suite, je ne plaisante pas.— Moi non plus, bel étalon, rétorquai-je en gloussant de plus belle.— Tu vois, je vais te désarmer puis te donner une raclée à coups de ceinture, tu vas regretter, crois-moi.
Là, je me suis sentie déstabilisée ; sa voix était dure, froide et chargée de menaces. Un truc n’allait décidément pas. Houston, I have a problem…
— Holà ! Calmez-vous, ce n’est pas ce que vous croyez…
Prestement, j’ai tiré sur le côté droit de ma culotte et glissé la lame qui a tranché le tissu comme du papier. J’ai répété l’opération côté gauche et tenté de tirer le tissu vers l’avant, mais il était collé à ma vulve. C’est en me penchant en avant pour le dégager que j’ai aperçu avec stupeur que ma vulve était gonflée, presque rouge d’afflux sanguin, et littéralement poisseuse ; j’ai passé deux doigts sur ma fente et rencontré mon clito bandé comme une phalange. Et si sensible que j’ai tremblé et retenu à grand peine un gémissement. Je suis allée poser le couteau sur sa desserte, mais en revenant j’ai vu que Gregory n’avait pas complètement retrouvé son calme et avait repris sa tête de brute.
— Hé, dites, je ne voulais pas vous faire peur.— Tu ne m’as pas fait peur, mais tu a brandi une arme devant moi, et tu seras punie.— Désolée, moi je trouvais ça marrant de découper la culotte. Plutôt que de me casser la figure à défaire ses saletés.
Il soupira et me regarda avec un soupçon d’indulgence. Ce n’était pas gagné mais j’allais échapper au pire. Je lui fit une moue dépitée en revenant d’une démarche sensuelle et chaloupée ; je vacillais plus qu’un peu, juchée sur mes talons hauts. Je poussai un hic sonore : j’étais plus que pompette.
— Ecoutez, je comprends que vous n’ayez pas aimé. En pénitence, donnez-moi une bonne fessée, je vous promets d’être sage après.— Non ; demain, tu auras une raclée, mais comme tu n’es pas entièrement fautive je te promets de retenir les coups ; ce sera une bonne punition, tu auras mal mais pas autant que si je me lâchais. — Merci. Pour la paix je vais vous tailler une pipe d’enfer ; après, je serai à vous, rien qu’à vous.
Sans mot dire, avec juste un sourire énigmatique qui n’éclairait pas son visage dur, il s’est déshabillé en rangeant ses vêtements sur un fauteuil avant de s’asseoir sur le lit. Je me suis agenouillée entre ses jambes écartées et j’ai guidé sa verge à peine bandée vers ma bouche avide ; puis j’ai avalé aussi loin que j’ai pu avant de lécher et sucer aussi fort que je le pouvais. Il a durci rapidement, sous l’effet de mes caresses. Certes il était plus épais qu’Antoine ou Quentin, mais il était plus long sans conteste. Sous cet angle j’avais du mal à avaler toute la colonne. Alors j’ai posé les mains sur le torse lisse et poussé ; Gregory s’est laissé tomber en arrière et je suis montée sur le lit, enjambant son torse et me penchant jusqu’à ce que mes lèvres affleurent le gland massif.
Dans cette position, j’ai pu avaler sans trop de problème toute sa verge ; mais j’étais vraiment pompette et j’étais épuisée ; Gregory avait déjà joui plusieurs fois et n’avait pas l’air de vouloir éjaculer rapidement ; je me suis redressée, dépitée, et me suis tournée vers lui.
— Je suis trop crevée, je n’y arrive pas… Vous voulez que je m’assoie sur vous ?
— Je crois surtout que tu es saoule ; enlève tes fringues et couche-toi, je reviens.
Il est parti aux toilettes ; j’en ai profité pour enlever sandales et bas puis je suis allée dans la salle de bains ; je me suis lavé les dents avec sa brosse et son dentifrice. Il est entré comme je finissais et a levé les yeux au ciel en s’en rendant compte.
— Aucun respect ! Ma brosse à dents !— Désolée, je ne savais pas que vous y teniez à ce point ; vous la voulez ? Je vous en offrirai une neuve…
Il l’a prise en me fusillant du regard et m’a fait signe de sortir. Profil bas, pour une fois j’ai obéi sans répondre ; mais j’ai quitté la pièce en lui tirant la langue.
— Je t’ai vue faire ! Tu es une effrontée et je vais avoir plaisir à te dresser !— Pfff ! Vous cherchez toujours à taper sur vos petites amies, vous ?— Oui, et les petites salopes comme toi aiment bien se faire tanner la couenne.— Bon. Et d’un, je ne suis pas une salope ; ni petite, ni grosse. Et de deux, je ne suis pas sûre d’aimer les coups. Une fessée de temps en temps avant de faire l’amour, OK. Au-delà, vous n’allez pas me voir longtemps. Vu ?— On en reparlera ; un jour, tu ramperas à mes pieds une cravache à la main, pour me supplier de te fouetter avant de te sodomiser.— Un jour. Un jour, mon prince viendra. Peut-être. Bon, venez vous coucher au lieu de délirer, j’ai envie de me blottir contre vous.
J’étais épuisée et je me suis allongée, une main caressant mon mamelon droit érigé, l’autre plongeant deux doigts dans mon vagin trempé ; quand Gregory s’est couché je me suis coulée sous son bras gauche pour me nicher sur son épaule, passant ma jambe gauche sur son ventre. Il a empoigné mes fesses de sa grosse main et j’ai déposé un baiser tendre sur sa joue. J’aurais ronronné si j’avais su le faire. Et je me suis endormie ainsi, délicieusement bien.
Quand je me suis réveillée le jour filtrait à travers les épais rideaux ; j’étais repliée en chien de fusil, les fesses contre la hanche de Greg qui dormait sur le dos ; je me suis étirée en me levant et je suis allée aux toilettes. En revenant dans la chambre, je vis que Greg était éveillé, ses yeux gris me suivaient, impénétrables.
— Bonjour, vous allez bien ?— Parfaitement ; et toi, pas trop mal au ventre ce matin ?— Pas trop, ça va ; vous avez envie de remettre ça ?— A ton avis ?— Oui, bien sûr ; vous n’êtes plus fâché après moi ?— Je ne suis pas fâché, mais je vais te punir.— Aïe. Vous avez de la suite dans les idées, vous. Une fessée ?— Va sortir la ceinture des passants de mon pantalon et apporte-la moi.— C’est pas sympa du tout ; j’ai pas cherché à vous faire mal avec le couteau.
Mais j’ai obéi en rechignant, me disant que je n’aurais pas le dessus dans un conflit ouvert. Je lui ai tendu la ceinture d’un air boudeur. Il a souri devant ma moue enfantine.
— Juste quelque coups, disons dix ; puis je vais t’enculer.— Bon, ça j’aime bien.
Il m’a fait agenouiller au pied du lit le buste posé sur le drap et les bras tendus devant moi ; j’ai empoigné le drap dans mes mains crispées et l’ai mordu aussi pour retenir mes cris. Plus la peine de tenter de l’attendrir, c’était peine perdue ! Il avait dit avoir ramené la sentence à dix coups, mais combien avait-il prévu ? Je m’attendais à avoir mal, j’ai été servie ; putain que ça faisait mal ! Les larmes ont jailli de mes yeux, je me suis tordue ; il a posé une main dans le creux de mes reins pour me calmer et me maintenir en place et a frappé à nouveau ; j’ai hurlé, trois, j’ai essayé de me relever mais suis retombée en sanglotant, quatre, dans un brouillard j’ai attendu, cinq, six…
À dix, j’étais complètement paniquée, ne me rendant même pas compte que c’était fini. Je suis retombée en pleurant toutes les larmes de mon corps, brisée. Gregory m’a soulevée comme un poids mort et m’a étendue sur le lit à plat ventre et j’ai enfoui la tête dans un oreiller moelleux. Un instant après, j’ai tressailli quand ses doigt se sont posés sur mes fesses meurtries, mais il a commencé à étaler précautionneusement un onguent.
— C’est fini, ma jolie. Manifestement tu n’as pas aimé. Il y a des filles qui adorent ça, tu n’en fais pas partie. Et pourtant j’ai fait attention, pour cette première fois. Mais ça viendra, un jour tu aimeras.
Dans ma détresse, j’ai failli rigoler. Il a fait attention ? J’aimerais ça ? Il m’a marquée à vie, oui ! Il est fou, complètement malade, s’il se figure que je vais accepter de recevoir d’autre coups. Mmm, ses doigts s’insinuaient dans la raie de mes fesses, forçaient mon anus ; instinctivement, je me suis cambrée pour aller au devant des deux doigts qui me pénétraient.
— Alors, ma jolie esclave, tu aimes ça ?— Vous savez bien que oui.— Non, je ne sais pas, justement ; que veux-tu que je te fasse ?— Sodomisez-moi.— Non, tu n’es pas polie avec ton maître, et tu n’emploies pas de vocabulaire grossier, ça ne va pas. — Ah bon ! Enculez-moi, s’il vous plaît, Maître. Je suis votre chienne, mon corps vous appartient... Oh, continuez, je vous en prie.— Tu aimes mes doigts dans ton cul ?
Le salaud ! Il avait plongé trois doigts dans ma chatte trempée et là il les forçait dans mon anus. J’ai ramené les mains sur mes fesses pour les écarter et m’offrir.
— Oui, j’adore...— Et tu veux que je lubrifie ma queue ?— Faites comme vous aimez, Maître ; je n’ai pas à vous donner d’ordre.— Tu es intelligente, ma petite chienne ; pour cette fois je vais te laisser me lubrifier.
Bon, il valait mieux, en effet. Je me suis agenouillée face à lui et ai pris le tube de lubrifiant qu’il me tendait ; mon regard s’est posé sur sa verge gonflée à bloc, et je suis restée bouche bée encore une fois ; elle était vraiment énorme, plus longue, plus grosse, c’est sûr ! J’ai commencé à la masser tout en étalant le gel transparent et gras qui faisait ressortir les veines courant sous la peau sombre ; sous mes doigts, la verge palpitait, chaude et vivante, très dure sous une enveloppe tendre et délicate.
Je sentais que j’étais trempée, mais ce n’était pas mon vagin qui allait prendre, encore une fois.
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