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Marie ou la vie d'une femme de chambre

Chapitre 6

Erotique
Marie avait trouvé en Julien le partenaire idéal pour parfaire les sentiments de dominatrice qu’elle venait de découvrir lors de cette expérience et depuis, il ne se passait pas une journée sans qu’elle ne lui fasse subir une quelconque perversion, s’amusant même à l’efféminer de plus en plus chaque jour. Contraint de ne porter que des dessous féminins sous ses habits, elle l’obligeait maintenant à ce qu’il lui demande la permission d’aller aux toilettes. Là, en fonction de ses activités, elle le faisait régulièrement attendre avant de l’accompagner et de lui faire faire ses besoins assis sur la cuvette, comme toute jeune fille qui se respecte. La porte ouverte, devant elle qui ne perdait pas une miette du spectacle offert, il devait alors s’essuyer avec ses doigts avant de les porter à sa bouche et de les lécher.. Ensuite, elle s’installait à son tour sur la cuvette, pissait devant lui et lui demandait alors la même toilette intime, la bouche directement collée sur sa chatte humide, lui gardant généralement une dernière goutte à déguster.
    — "MARIE !!!!"

Ce cri strident résonnant dans le hall qui fit sursauter Marie au point de renverser l’arrosoir des plantes d’intérieurs sur le meuble louis XI du salon, émanait de la bouche de Mélodie. Vu son intensité, Marie ne songea même pas à nettoyer sa méprise pour se précipiter vers l’escalier où, levant la tête, elle eut la vision de la jeune femme, un court peignoir négligemment fermé sur son corps, les bras croisés sur sa poitrine, les jambes légèrement écartées, à attendre furieuse que sa bonne ne daigne répondre à son appel
    — "Qu’est ce que tu fous, cela fait 10 minutes que je t’attends!" Dit elle exagérément    — "Mademoiselle désire?" Répondit Marie une lueur d’ironie dans la voix

D’autant plus que la vision qu’elle avait maintenant au pied de l’escalier lui offrait la petite touffe de poil blonde qui ne cachait à peine les lèvres du sexe de sa petite maîtresse, cette petite chatte qui la faisait tant rêver, envieuse d’y fourrer sa langue et de lui montrer ses capacités à faire jouir une autre femme.
    — "Où est mon ensemble de lingerie rouge, je ne le trouve pas?"    — "C’est que Mademoiselle n’a pas cherché correctement" répondit elle    — "Petite insolente, dépêche toi de me le trouver"

En fait Marie savait très bien que cet ensemble avait servi à l’éducation de Julien et qu’après l’avoir lavé et fait sécher, elle l’avait remis dans la commode mais pas à la même place. Sure d’elle, elle monta lentement l’escalier, se déhanchant de manière lascive, et surtout regardant Mélodie d’un regard lubrique, et arrivée à sa hauteur lui dit simplement
    — "Mais que ferait Mademoiselle sans moi?"

Et de la devancer pour entrer dans sa chambre. Ouvrant le tiroir, elle n’eut aucun mal à trouver le string et le soutien-gorge et les tendre à Mélodie
    — "Mademoiselle veut-elle le porte jarretelles avec ?"    — "Oui, s’il te plaît" lâcha-t-elle toute penaude avant d’ajouter un timide    — "Excuses moi! "

Marie, se sentant alors en position de force, profita de l’occasion pour désorienter la jeune femme et, décidée à lui démontrer les nouveaux sentiments qui l’habitaient maintenant depuis l’expérience avec Julien, elle lui répondit:
    — "C’est un peu trop facile de s’excuser ainsi, j’en connais qui aurait pris une fessée pour moins que cela"    — "Mais qu’est ce que tu racontes?" S’étonna Mélodie    — "Je raconte que vous ne m’avez pas fait confiance et que cela mérite punition"    — "J’aimerais bien voir cela’ dit elle d’un ton un peu moins assuré    — "A poil, petite salope" se fâcha alors Marie    — "Mais, mais, que racontes tu, tu es folle"    — "La ferme et à poil, vite"

Et elle l’a saisi par la bras, tira sur la ceinture du peignoir et d’un geste décidé le lui ôta avant de la pousser, nue sur son lit. Profitant alors de l’effet de surprise, elle lui bloqua tout moyen de riposte et lui attacha les bras aux montants du lit à l’aide de la ceinture. Immobilisée, la jeune fille devint comme une furie, remuant des jambes en tentant de s’extraire de ses liens. Marie la regardait faire, sure de ses attaches et cherchant deux autre ceintures pour lui lier les pieds. Apres avoir éviter les coups de la jeune fille, après une lutte de quelque minutes, elle parvint à l’immobiliser totalement et, reprenant son souffle, recoiffant ses cheveux, elle la regarda d’un air dominateur. Mélodie se trouvait ainsi allongée nue sur son lit, les bras remontant au-dessus de sa tête offrant ainsi sa poitrine, les jambes largement écartées dévoilant alors son adorable petit minou. Elle toussait des efforts qu’elle venait de produire et le temps de reprendre ses esprits, elle s’adressa à Marie
    — "Mais tu es folle, arrête ton petit jeu. Allez, détache moi, et je te promets que je ne dirais rien!"    — "Premièrement, tu te tais. Deuxièmement, n’aie pas peur, je ne vais pas te manger, quoique. Et troisièmement, j’ai une petit surprise pour toi" dit elle d’une voix calme mais autoritaire.

Mélodie, complètement abasourdie par l’attitude de sa bonne, ne put que se soumettre à ses dires et la vit doucement ôter sa jupe et son petit string pour venir s’asseoir sur le ventre de la jeune femme.
    — "Depuis des mois tu prends plaisir à m’exciter pour mieux me frustrer par la suite, aujourd’hui, non seulement tu m’excites, mais tu vas me faire jouir" lui dit elle en prenant ses seins à pleine mains et à en titiller les bouts.    — "Tu vas me lécher la chatte et me faire reluire. Si tu le fais bien, tu auras une belle surprise par la suite"    — "Mais tu te prends pour qui espèce de ….."    — "Chut" lui dit elle simplement en lui montrant la photo ou elle était prise par 3 hommes, un dans chaque orifice    — "Crois tu que ton père apprécierait cela?"    — "espèce de salope, tu vas me le pay…."

Et elle n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’elle se retrouvait avec la chatte de Marie sur le visage qui aussitôt vint se frotter dessus
"Tais toi et lèche moi, fais moi jouir"
Devant le peu d’ardeur présentée par la jeune fille, Marie se décida d’aller caresser l’abricot offert de la jeune femme avant de se pencher dessus pour y appliquer sa langue. Bien vite, elle sentit sa mouille et pensa alors qu’elle avait gagné. En effet, non seulement Mélodie commençait à remuer les hanches de plaisir, mais mettait plus d’ardeur à l’ouvrage, promenant sa langue sur toute la longueur de la moule de Marie. Laissant alors, avec un certain regret, la chatte de Mélodie, pour se relever, se retourner et faire face à Mélodie. La prenant alors par la tête, elle la tira tout en descendant son sexe dessus.
"Vas y, baise moi avec ta langue, fais moi jouir"
Et Mélodie, maintenant complètement soumise aux désirs de sa bonne, s’employa à la mener à bien la tache qui lui était dévolue et, la langue dardée, prenait soin d’exciter l’endroit que Marie lui mettait à disposition. Car celle-ci ne restait inactive, les mains sur ses seins, elle se les caressait en promenant son entre cuisses sur la bouche de sa compagne, lui offrant tour à tour son petit bouton amour, ses lèvres humides et chaudes pour terminer par son petit trou foncé, très friand de ce genre de caresses. Bien vite, elle sentit monter les spasmes du plaisirs s’amplifier pour déboucher sur un orgasme violent et rapide qui trempa totalement le visage de Mélodie. Le temps de reprendre ses esprits, elle descendit de sa partenaire et un grand sourire aux lèvres
    — "C’était superbe, ma chérie, tu lèches divinement bien"

Et passant sa main entre les cuisses de sa partenaire
    — "D’ailleurs, je vois que cela ne t’a pas laissé indifférente, non? Tu es trempée!" Et de commencer à branler cette petite chatte humide    — "Hum, c’est bon ce que me fais, continue, fais moi jouir aussi" lui dit alors Mélodie.

Marie branlait le con de sa jeune maîtresse avec application mais en surveillant bien les effets que ses caresses avaient sur elle. Ainsi, la sentant venir, elle cessa brusquement sa masturbation pour se relever, faisant alors découvrir à Mélodie ce qu’était la frustration.
"Mais que fais tu, ne t’arrête pas, ne me laisse pas comme cela" l’implora t’elle.
    — "tu ne crois tout de même pas que tu vas toi aussi prendre du plaisir, du moins avec moi"

Et elle quitta la chambre, laissant Mélodie, attachée sur le lit, les cuisses écartées laissant maintenant bien visible son sexe trempé, les seins gonflés de plaisir, légèrement inquiète de ce que lui réservait Marie. Lorsqu’elle revint, c’était en compagnie de Julien qui, baissant la tête, suivait docilement sa nouvelle maîtresse.
    — "Mais qu’est ce qu’il fout là, celui là" s’exclama Mélodie visiblement agacée de cette présence.    — "Il vient s’éduquer, qu’est ce que tu crois, et comme tu es une gentille fille, tu vas l’aider à acquérir de l’expérience" répondit Marie    — "Ne me dit tout de même pas qu’il va me …."

Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase que Marie, avec une sourire sadique sur les lèvres, remua la tète de haut en bas pour lui signifier l’affirmation.
    — "Mais ça ne va pas, petite peste!"

Se furent ses dernières paroles car Marie pris un foulard pour la bâillonner et mettre un terme à toutes ses supplications. S’adressant alors à Julien
    — "Toi, tu te mets entre ses cuisses et tu me montres tes talents de suceur. Tu as 3 minutes pour la faire gémir"

Le jeune homme, oubliant totalement les liens familiaux qui les unissait, se retrouva la tête enfouie entre les cuisses de sa sœur et, sa langue fouineuse ne tarda pas faire son effet sur les sens de Mélodie. En effet, celle-ci, excitée par les premières caresses de Marie, se mit à remuer doucement les hanches, appréciant en fait, le traitement de son petit frère. Surveillant attentivement la montée du plaisir de la jeune fille tout en lui caressant doucement les seins, dardant les tétons, jouant avec. Lorsque celle-ci sembla s’approcher de l’orgasme, elle ordonna à Julien d’arrêter ses caresses et de se relever, frustrant une nouvelle fois la jeune fille dont des larmes coulaient doucement sur les joues. Marie embrassa alors Julien à pleine bouche, partageant ses odeurs intimes
    — "Elle est vraiment bonne ta frangine, elle mouille comme une fontaine" avant d’ajouter    — "Allez, déshabille toi, enlève ton pantalon et ta chemise"

Et là, Mélodie eut la surprise de découvrir son frère vêtu d’un ensemble string et soutien-gorge en dentelle bleue qui lui appartenait. La colère dans les yeux, elle ne semblait pas apprécier l’emprunt de sa lingerie
    — "Comment trouves tu ma petite pute" lui demanda alors Marie    — "Ne pense tu pas que cela lui va à ravir. Moi, elle m’excite ainsi vêtu, pas toi?"

Ajouta t’elle ironiquement avant de s’adresser au garçon:
"Allez, viens voir là que je te prépare"
Il s’approcha et Marie, s’agenouillant devant lui, passa ses mains sur son sexe, écarta le string et sorti sa petite bite à demi bandée. Elle le prit alors en bouche et l’effet ne tarda pas. Quelques aller retour bien humide le long de son membre, elle s’arrêta et lui ordonna
    — "Baise là!"

Il sembla alors hésiter à s’exécuter si bien que Marie le pris par la bite et le tira jusqu’au lit de Mélodie
    — "Allez, regarde comme elle est trempée, elle n’attend que cela"

Julien monta alors sur le lit et timidement vint place son sexe devant le con humide de sa sœur. Marie le prit entre ses doigts et vint le guider à l’entrée de l’âtre chaude. La pénétration s’effectua sans aucun problème car Mélodie, qui avait renoncé alors à toute tentative de défense, était tout de même assez excitée pour accepter ce membre en elle. Marie en profita pour se saisir du godemiché de la jeune fille et, passant derrière Julien, lui écarta la ficelle du string et vint planté sa langue dans l’anus de celui ci. Y ayant déposé une bonne dose de salive, elle entreprit alors de l’enculer doucement mais fermement, lui plantant le gode jusqu’à la garde.
    — "T’aimes ça te faire enculer petite salope, et là, t’es prise en sandwich, tu dois apprécier non?"    — "Oui Maîtresse, j’adore ça. Branler moi bien le cul, c’est bon!"

Mélodie supportait de plus en plus facilement la pénétration de son frère car son sexe épousait parfaitement les parois de son vagin et lorsque Marie enfonçait le gode au fond de son cul, elle ressentait la bite qui venait cogner le fond de son sexe, lui offrant des vagues de plaisir qui bien vite, débouchèrent sur un orgasme qu’elle ne peut exprimer, bâillonnée comme elle l’était, qu’en remuant sa tête dans tous les sens. Marie, qui avait apprécié ce moment de plaisir que Julien avait offert à sa sœur, sentant alors celui du jeune homme venir, le fit sortir du sexe et lui ordonna de se finir à la main sur le ventre de sa sœur. Spécialiste de la branlette, il ne lui a pas fallu longtemps pour gicler sur sa une dose impressionnante de sperme, les deux premiers jets atteignant même le cou de celle-ci. Le ventre maculé de foutre, Marie lui ordonna de la nettoyer avec sa langue, tout en prenant soin de ne pas avaler sa semence. Elle l’aida dans sa tache, lapant le sperme chaud qui ornait la poitrine de Mélodie. Une fois propre, leur bouche pleine de liquide, ils échangèrent alors un baiser qui permit à Marie de récupérer tout le sperme, avant d’ôter le bâillon de Mélodie et de faire doucement couler la semence sur les lèvres de la jeune fille. Celle ci, n’ayant même pas la force de détourner la tête, se lassait arroser ainsi, sentant la sperme couler dans son cou, même si quelques gouttes parvinrent à s’insinuer dans sa bouche.
    — "Allez, file" lâcha sévèrement Marie à l’encontre de Julien    — "Quant à toi, maintenant tu sais ce que c’est d’être humiliée et frustrée, tu sais tout ce que tu m’as fait vivre depuis 6 mois alors que dès le début, je mouillais pour toi, je me caressais en penser à toi, à tes seins, à ta chatte."

Mélodie l’écoutait silencieusement et de nouvelles larmes coulèrent sur ses joues
    — "Excuses moi, Marie, j’ai été salope avec toi mais je ne savais pas, je suis désolée. À partir de maintenant, je ferais tout ce que tu voudras, je te le promets"

Marie savait qu’elle tenait sa vengeance et que leur relation serait maintenant totalement différente. Mais, émue de la réaction de la jeune fille, elle ne put s’empêcher de venir baiser ses lèvres et bien vite, elle sentit sa langue venir à sa rencontre.

Cette scène fut le début de leur nouvelle relation qui voyait maintenant Marie, aux hasard des ses envies, entrer sans frapper dans la chambre de Mélodie, soulever sa jupe et écarter son string pour lui ordonner:
    — "Viens me sucer, j’ai envie de jouir"

Et d’en sortir une fois qu’elle eut exécuter sa tache, sans même un remerciement ou une parole pour son amante. Même les dessous de Mélodie étaient maintenant parfaitement partagés entre elle et son frère et il n’était pas rare que Marie leur demande de se ’gouiner’ devant elle , toutes deux revêtues de lingerie fine, se faisant simultanément jouir par des 69 qui devenaient de plus en plus torrides.
Marie savait maintenant que le destin de la famille "L" était entre ses mains et qu’elle n’allait pas se gêner pour le leur montrer
A SUIVRE …..
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