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Marie, où la vie d'une femme de chambre

Chapitre 4

Divers
Autant Marie appréciait les diverses expériences que les femmes de la maison lui faisaient subir, autant elle n’était pas en reste avec la gente masculine qui occupait les lieux. Armand, le jardinier, était un homme rustre, toujours terré dans la dépendance de la maison où avait été aménagée son logement, où alors, occupé à tailler, bêcher, jardiner, tondre, la vaste propriété ce qui lui donnait guère le temps de rester inactif. Apprécié pour sa discrétion, il était au service de la famille depuis un long moment. C’est cette même discrétion qui lui permettait d’assouvir un de ces passe temps favoris, le voyeurisme. Toujours à l’affût des faits et gestes des membres de la famille, le nombre de fois ou il s’était branlé en matant les jeux sexuels de ses patrons n’est plus calculable.     Ainsi, il avait vite pris l’habitude d’assister au rasage de Marie par Solange, tout comme venir se poster derrière les barreaux scellés à la fenêtre de la chambre de la petite bonne. Tous les soirs, après la fin de sa journée, il était là, tapis le long du muret, à attendre que la lumière s’allume et qu’apparaisse la fine silhouette de Marie. Là, il observait et appréciait lorsqu’elle ôtait ses vêtements, se retrouvant nue comme un vers pour aller devant son miroir. Il l’observait alors qu’elle se regardait, qu’elle détaillait son corps devant la glace avant qu’elle ne se glisse dans la cabine de douche pour se laver des efforts de la journée. Armand, dont la vision était généralement obstruée par le rideau de douche, attendait sagement qu’elle n’en ressorte. Avec un peu de chance, il pouvait alors la voir s’allonger sur son lit, s’enduire le corps d’un lait apaisant et, terminer ses caresses par une masturbation rapide mais efficace, ou, deux doigts dans son vagin, elle se donnait un petit plaisir avant un repos bien mérité.     A ces moments, a genoux devant la fenêtre, Armand éjaculait le long du mur avant de ranger son sexe et de retrouver ses pénates. Une des particularités d’Armand était d’être doté d’un membre surdimensionné. Malheureusement pour lui, cela ressemblait plus a un infirmité qu’à un don de la nature. 15 cm au repos, il doublait facilement de volume lors de ses érections et comme il n’avait pas trouvé de chaussure à son pied, aucune femme ne voulant prendre le risque de se faire défoncer par un engin pareil, il passait le plus clair de son temps à s’astiquer le poireau, d’autant plus que sa timidité maladive ne lui permettait pas de faire plus ample connaissance avec le monde féminin.     Pourtant, un soir ou elle s’observait devant le miroir, Marie aperçut son ombre qui l’épiait derrière la fenêtre. Comprenant aussitôt qu’elle se faisait mater par Armand, d’humeur plutôt coquine, elle se décida à lui offrir un petit spectacle érotique. Ainsi, elle s’assit devant l’armoire vitrée, légèrement tournée en sa direction et, entièrement nue, commença à l’examen approfondi de sa personne. Apres avoir coiffé sa chevelure blonde, elle posa la brosse et passa ses deux mains dans son cou, relevant sa coiffure, tout en bombant le torse, offrant fièrement sa poitrine autant au reflet du miroir qu’à l’attention d’Armand.     Ses mains ne s’arrêtant pas en ce chemin, elles descendirent doucement dessus et, prenant un sein dans chacune d’elles, elle s’évertua à les soupeser, les jauger, avant que ses mouvements typiquement féminins ne se terminent en véritables caresses qui ne tardèrent pas à lui procurer un certain plaisir. Sentant ses pointes réagir à son traitement, elle s’en saisit doucement entre son pouce et son index et, simultanément, se mit à les faire rouler entre ses doigts. Elle savait que la sensibilité de sa poitrine ne tarderait pas à se concrétiser par une douce chaleur entres ses cuisses et tout doucement, les écartant, une de ses mains vient s’y glisser, découvrant alors la moiteur qui commençait à l’envahir.     Afin de ne pas trop accélérer les choses naturelles auxquelles elle se livrait, elle se leva, se mit face à la fenêtre et cambra ses reins devant la glace pour faire ressortir ses jolies fesses qu’elle prit à pleine main pour un petit massage délicat. Puis, d’une démarche lascive et lente, elle se dirigea vers la fenêtre, prenant soin de laisser le temps à Armand de se dissimuler, et l’ouvrit entièrement. Elle posa ses mains sur le rebord, présentant ses seins entre les barreaux et sentant l’odeur de l’homme excité caché en dessous, se mit volontairement à penser à voix haute.    - ?Hum, il fait bon ce soir, cela m’excite, j’aimerai bien faire l’amour’ et se caressa doucement les seins, les frottant l’un après l’autre contre les barreaux de la fenêtre.    - ?Oh que j’aimerais bien qu’un homme vienne me les caresser’ ajouta t elle.    - ?Et ma petite chatte qui est toute mouillée, il faut que je me branle!’     Elle se retira de la fenêtre et avec autant de grâce, se dirigea vers le lit sur lequel elle se laissa aller en avant, se retrouvant allongée sur le ventre. Elle remonta doucement ses jambes sous son corps, offrant alors son fessier à la vue d’Armand et bien vite, sa main apparue entre ses cuisses, venant flatter son abricot humide.     - ?Hum, c’est tout mouillé, c’est tout chaud’ et de pénétrer un doigt dans son intimité    - ?Oh oui, que c’est bon!’    Elle le fit aller et venir quelques instants avant de se retourner sur le dos, d’écarter les cuisses au maximum et d’exhiber sa chatte d’où les conséquences de ses caresses étaient visibles. Elle se saisit alors de sa brosse à cheveux et, après en avoir sucer le gros manche bien rond, vint se le mettre dans la chatte, le faisant aller et venir en elle. Apres deux ou trois minutes de ce traitement, elle ne pu retenir son orgasme qu’elle offrait sans aucune retenue à Armand. Elle nettoya de sa bouche le manche poisseux de la brosse, mimant parfaitement une fellation avant de dire à voix bien haute.    - ?Oh que j’aimerais avoir une vraie bite dans la bouche, dommage qu’Armand ne me regarde pas, ne se montre pas, je le sucerais avec plaisir’ et guettant la fenêtre, il ne lui a pas fallut attendre longtemps pour le voir apparaître. Changeant alors de comportement, passant de la salope exhibe à la sainte nitouche prise sur le fait.    - ?Oh, mais vous êtes là, je ne vous avez pas vu. Excusez moi de ma tenue. Mais, que faites vous, pourquoi avez vous votre sexe entre vos mains?’    - ?Viens, viens le goûter, tu verras il est bon’ lui dit il dans une voix grave et tremblante    - ?Mais Armand, si l’on nous voyait’    - ?Ne t’inquiète pas, ils dorment tous, aller, viens’    Marie se leva et, retrouva son air de petite perverse, se dirigea vers la fenêtre, lentement, se déhanchant au maximum, se passant la langue sur les lèvres. Arrivée à la hauteur d’Armand, elle s’agenouilla devant et passant sa main entre les barreaux, alla directement saisir le sexe à moitié bandé de son partenaire. Elle fut d’abord étonnée de sa grosseur, ne l’ayant jamais vu jusqu’à ce jour, ne se contentant que de sa description qu’avait pu lui en faire Solange, et de sa chaleur.     - ?Oh oui’ râla alors Armand ’Branles moi’    Et Marie commença un va et vient sur le membre qui réagit aussitôt. En effet, non seulement sa petite main ne parvenait pas à en faire le tour, mais en plus il pointait maintenant en sa direction, lui offrant la vision de ce gland tout rouge qui apparaissait entre les barreaux. Les yeux rivés dessus, elle ne pouvait croire ce qu’elle voyait, c’était pour elle inimaginable mais en même temps énormément excitant, sa petite chatte réagissait a son tour à cette vision. Armand, s’agenouillant sur le rebord de la fenêtre, pris les barreaux dans ses mains et appuyant son ventre contre ceux ci, offrait alors à Marie son sexe sur toute sa longueur. Obligée de se reculer     pour le laisser passer, elle était maintenant à plus de 30 ms de la fenêtre et doucement, elle observa l’engin    - ?Mais Armand, comment faites vous pour avoir une bite si grosse?’    - ?C’est toi qui m’excite petite salope’    - ?Oh, Armand, mais je me tiens pourtant bien’ répondit elle franchement hypocrite ’Mais peut être désirez vous que je vous branle?’
    Sans attendre la réponse, elle s’agenouilla à nouveau devant ce chibre et, a deux main, elle en fit le tout pour doucement le masturber devant elle. S’enhardissant, elle sortit sa langue qu’elle passa a chaque allers de ses mains sur le gland énorme. Armand commençait à gémir tout en l’encourageant avant de lui demander de le sucer. Elle tenta alors de le prendre en bouche mais une fois le gland a moitié en elle, ses lèvres étaient tellement distendues qu’elle ne pu continuer à l’emboucher plus profondément.     Elle décida alors de le lécher telle un bâtonnet de glace, tenant le sexe d’une main, sa langue se promenait sur sa longueur. De plus en plus curieuse, elle glissa son autre main sous le membre, voulant vérifier si les couilles d’Armand étaient proportionnelles à ce qu’elle avait devant les yeux. Et là, surprise, c’est deux énormes oranges qu’elle découvrait en place des noix habituellement placées a cet endroit, se disant qu’elle devait contenir des litres de sperme. Les saisissant dans sa main, elle les malaxait en même temps que sa langue continuait à astiquer le braquemart d’Armand.    - ?Ah oui, c’est bon, t’es vraiment une bonne petite salope. D’ailleurs je t’ai vu faire reluire la patronne, tu sais y faire, tu sais lécher, t’es bonne’    Ces mots excitaient de plus en plus Marie qui, trempée comme une fontaine, se décida à abandonner son activité pour se relever et regarder Armand dans les yeux     - ?Mais que fais tu sale garce, continue !’    - ?Eh! , moi aussi, je veux prendre mon pied, gros cochon de mateur!’    Elle prit alors la chaise, la mit devant la fenêtre et monta dessus, tournant le dos à Armand. Elle enjamba ensuite le bâton de chair tendu pour en saisir les dix centimètres qui dépassaient sous son ventre et recommença à le branler. La différence était qu’elle sentait toute sa raideur contre les lèvres de sa chatte et le mouvement de sa masturbation ajouté à ceux de son bassin firent monter son excitation de plusieurs degrés sur l’échelle du plaisir. Armand, profitant de la situation, avait saisi les deux petits seins de Marie dans ses grosses paluches râpeuses et même si il la pelotait avec la rudesse qui le caractérise, Marie, au terme de la somme de ces traitements ne put se retenir de crier lorsque l’orgasme la terrassa et la fit interrompre sa masturbation, manquant au passage de chuter de la chaise.    - ?Salope, tu ne vas pas me laisser les couilles pleines’ commençait à s’inquiéter Armand.    Alors, elle repris sa position initiale et, rejoignant ses deux mains sur le vit, astiqua vigoureusement Armand pour lui faire jaillir la quantité de foutre qu’elle avait parfaitement imaginé. Des cheveux au ventre, en passant par le visage et le cou, Marie se retrouvait couverte de sperme chaud et épais, émis par Armand qui, dans un râle bestial, se vidait complètement sur le corps de la petite bonne. Marie savait très bien que ses relations privilégiées avec ses patrons la mettait à l’abris de tout abus de la part d’Armand se permit de lui dire en guise de bonsoir:    - ?T’es vraiment qu’un gros porc, tu m’as toute souillée de ton plaisir. Tu as de la chance que je n’aille pas le dire à Monsieur, je suis sure qu’il te virerait sur le champ. Aller, dégage gros dégoûtant!’    Son attitude la surprenait elle même car d’habitude soumise, elle venait de se rendre compte qu’elle pouvait également mener les débats, agir selon ses propres désirs, prendre son pied non pas en subissant mais en imposant. Elle prit une douche réparatrice et nécessaire et une fois dans son lit se mit à repenser à sa dernière réflexion. Comment, en deux jours de temps, avait elle pu changer de comportement vis à vis de sa sexualité.     En effet, en ce lundi soir, Le docteur lui avait une nouvelle fois prier de lui rendre visite dans son bureau après son service. Les relations qu’entretenaient le Docteur L avec Marie étaient pour lui, uniquement professionnelles. En effet, à chaque fois qu’il lui imposait des jeux sexuels, il ne les considérait que pour faire avancer la science.     Certes, les résultats de ses études ne donnèrent jamais lieu à une découverte révolutionnaire, mais de part cette approche, il se défendait de pratiquer un quelconque harcèlement sexuel envers son employée. Apres avoir délicatement frapper à la porte du Docteur qui lui pria d’entrer, Marie fut surprise de le découvrir en compagnie de deux hommes, visiblement amis du docteur, assis dans le canapé en train de boire un whisky.    - ?Messieurs, je vous présente ma femme de maison qui accepte volontiers de se prêter à mes diverses expériences et ce dont je remercie’     Marie rougit de tant de gentillesse de la part de son maître et s’en sentit plus que rassurée.     - ?Si je l’ai fais venir ce soir, c’est simplement pour vous confirmer mes dernières hypothèses sur le sujet, à savoir qu’une femme n’est limitée dans la quantité de ces orgasmes que par un renoncement mental, contrairement aux hommes qui, comme vous le savez, sont souvent physiquement limités. Alors, si vous êtes d’accord, je vous propose de débuter l’expérience qui consiste à défendre mon point de vue’    Les deux hommes regardèrent Marie avec un regard d’une perversité indescriptible. L’un d’entre eux, petit chauve bedonnant d’une cinquantaine d’années, une moustache mal taillée, était à la limite de baver d’envie en devinant les jarretelles que la courte jupe de Marie ne pouvait couvrir. L’autre, un grand sec légèrement plus jeune, ne pouvait dissimuler un début d’érection sous le fin tissus de son pantalon en toile.    - ?Marie, n’ayez aucune crainte, ces messieurs sont des collègues médecins et nous allons procéder à une expérience scientifique et, bien sur, je compte sur votre coopération maximum. Veuillez enlever votre jupe et chemisier s’il vous plaît’    Maris s’exécuta et lorsqu’elle apparut en dessous, la bosse d’un grand docteur était alors plus proéminente et le docteur s’en rendu compte.    - ?Bien, mon cher Gérard, il me semble que vous êtes tout désigné pour commencer l’expérience. Faites à votre guise’    Le dénommé Gérard ne s’en fit pas prié et sortant son membre, s’adressa à Marie, bizarrement, assez timidement:    - ?Mademoiselle, pouvez vous me sucer s’il vous plaît?’     Marie, docile, s’agenouilla devant le docteur est pris son membre en main. Elle trouvait assez joli, long et fin, il sentait bon, preuve d’une grande délicatesse de la part de cet homme. Ainsi, elle n’hésita pas à sortir sa langue et lécher doucement le gland qui pointait devant elle, avant de s’enhardir à le prendre entièrement en bouche et commencer sa fellation. L’homme, très sensible a ce traitement ne pu qu’en faire la remarque à ses collègues.    - ?Chers amis, cette petite est réellement douée, elle sait faire monter le désir en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Je vais malheureusement être obligé d’interrompre ce traitement au risque de ne pouvoir exécuter correctement cette expérience’    Il releva Marie qui en fut un peu frustrée, pour la faire asseoir sur la table d’examen. Lui écartant les cuisses, il passa sa main sur son sexe, puis l’insinua dans sa culotte pour simplement dire:    - ?Cher ami, auriez vous du lubrifiant pour cette petite chatte’    Ce à quoi le petit gros ne put s’empêcher de lui répondre vulgairement    - ?T’as qu’à me la laisser, je vais te la faire mouiller moi!’    - ?Bernard, merci de laisser Gérard oeuvrer comme il l’entends, votre tour viendra, n’ayez crainte’    - ?Tu nous emmerde avec tes expériences à la con, elle est pour se faire baiser, alors on va la baiser, point final!’    Et de descendre son pantalon, d’allonger Marie sur la table et, monté sur un petit tabouret afin d’être à sa hauteur, lui fourra son petit sexe dans la bouche.    - ?Qu’elle me lèche, et après tu verras, elle sera mouillée, tu pourras te la faire’ dit il à Gérard    Marie se trouvait avec cette queue flasque, d’une mauvaise odeur mêlant pisse et transpiration, profitant que l’autre homme, ayant écouté son collègue, ait écarté son string et ne commence à lui donner un certain plaisir entre les cuisses, pour se montrer hésitante à le prendre. Elle sentit alors sa main agripper ses cheveux et approcher sa bouche vers ce sexe qui la lui forcer    ’Tu vas sucer, salope, je n’ai pas que cela à foutre, moi! ’    Et elle ne pu que prendre son sexe, certes petit mais extrêmement large ce qui lui rendit la tache plus difficile. Pendant ce temps, Gérard présentait maintenant son sexe à l’entrée de son vagin et la pénétra sur toute la longueur de sa pine. Cette introduction eut le mérite de détourner l’attention de Marie et d’apprécier ce membre au fond de son con. Très vite, le plaisir commença à l’envahir et l’homme, sachant parfaitement y faire, su la mener à l’orgasme juste avant que lui même ne décharge son foutre sur son ventre. A peine eut il terminé que le petit gros le poussa et, toujours muni de son tabouret, vint prendre la place vacante.    ’Je te remercie, tu me la bien préparée, elle est bien mouillée’ dit il a son collègue.    Et après avoir littéralement arraché le petit string, il tenait son sexe dans sa main gauche et s’aidant de la droite pour écarter les lèvres de Marie, la pénétra d’un seul coup puissant, sans aucun signe de tendresse. Il se mit alors a remuer comme une marionnette, activant son sexe dans celui de marie qui, bien dégoûtée par cet odieux personnage, avait hâte qu’il en finisse. Comprenant alors le thème de leur expérience, elle se dit alors que la simulation ne pouvant être remarquée si elle si prenait bien, et commença à gémir lentement sous les coups de reins de son baiseur. L’effet escompté ne tarda pas car l’autre ne put s’empêcher de dire à ses collègues    - ?Regardez moi cette chienne, a peine a t elle jouit qu’elle reprend déjà son pied, quelle vicieuse, qu’est ce que je lui mets, t’aime ça, hein, petite salope’    Marie, entrant dans son jeu, gémissait de plus en plus fort en l’encourageant de la voix    - ?Oh oui Monsieur, c’est bon, baisez moi comme la salope que je suis,, encore, encore’    Et de simuler un orgasme terrible qui eut le mérite d’accélérer celui du petit gros. Mais celui ci, continuant dans sa perversité, sortit de Marie et représentât son sexe à sa bouche, la forçant une nouvelle fois à le sucer.    - ?Je t’ai fais jouir, à toi de me vider les couilles maintenant’ et de lui pénétrer la bouche jusqu’à ce qu’il éjacule entièrement en elle avant de se rasseoir épuisé et soufflant comme un boeuf, de grosses gouttes de sueurs perlant sur son front.    Le docteur L avait assisté à ces scènes sans la moindre activité de sa part, étant même un peu étonné de l’ardeur de Marie avec son collègue Bernard, ne l’ayant jamais entendu prononcer de telles paroles lors de ses expériences précédentes. Il ne s’en formalisa pas plus que cela et vint à son tour près de marie. A l’aide d’un kleenex, nettoya les reste de sperme qui couvrait son corps. Il sortit à son tour son sexe et, tout comme ses collègues, le présenta à la bouche de Marie.     - ?Merci de vous en occuper gentiment si, bien sur, votre bouche n’est pas trop douloureuse’ lui dit il.     Marie, légèrement émue de tant d’attention, ne pu s’empêcher de prendre son sexe pour une nouvelle fellation. Une fois bien bander, il l’a fit descendre de la table et l’installa sur le fauteuil, le buste pose sur le dossier et les fesses relevées. Guidant ensuite sa pine vers le sexe de Marie, il l’a pris alors en levrette jusqu’à la jouissance qui ne tarda pas ni pour l’une, ni pour l’autre, éclatant son sperme sur le dos de Marie.     Apres cette première salve de nos trois hommes, les comptes tenus par le docteur L indiquaient trois orgasmes pour Marie contre un à chacun d’entre eux. Afin de retrouver un peu leur virilité, ils avaient repris leur verres tout en évoquant chacun les prédispositions de Marie. C’est alors que le petit gros se leva, pratiquement nu, il n’avait garder que ses chaussettes noires et ses souliers vernis ajoutant autant ridicule de sa silhouette, pour se diriger vers la petite table adjacente a la table d’examen. Ouvrant le tiroir, il découvrit alors les godemichés présents    - ?Ah, je me doutais bien que les petites habitudes d’internat ne disparaissaient pas comme cela du jour au lendemain’ et tendant le modèle moyen à Marie,    - ?Et je suis sure que cette salope sait à quoi cela sert et qu’elle va se faire un plaisir de nous le montrer.’    Marie regarda le docteur L, attendant sa réaction    - ?Ma foi, je n’y vois aucun inconvénient, et vous Gérard?’    - ?Bah, si cela peut nous faire rebander plus vite, pas de problème’    - ?Bien, allez ma petite, montrer nous comment vous vous servez de cette accessoire’    Assise sur le fauteuil, elle prit l’objet et d’un air pervers commença à le lécher comme elle l’avait sur les trois queues qui se sont succédées dans sa bouche, enduisant l’engin de salive. Ecartant ensuite les cuisses, elle le fit promener le long de sa fente si bien que sa petite chatte retrouva le goût humide de l’excitation, et là, sans aucune gêne, elle dirigea le gode perpendiculairement a son sexe et se le fit pénétrer tout doucement. Une fois passé la barrière des lèvres, il vint maintenant se loger à l’intérieur de son con, lui offrant le plaisir de se sentir prise. Elle attendit quelque instants, ce sexe factice entre les cuisses, puis commença tout doucement de légers mouvements de va et vient jusqu’à ce qu’il coulisse parfaitement dans son puits d’amour. Au vue de cette scène, c’est Gérard qui, le premier, retrouva une érection digne de ce nom, et, prenant sa bite à pleine main, commença a se masturber en regardant Marie en faire de même. Bernard, quant à lui, avait beau se triturer le sexe dans tous les sens, il restait désespérant flasque, usé de son premier orgasme.     - ?Putain, elle m’excite comme c’est pas possible et moi qui ne bande pas, bordel de merde!’ dit il avec la poésie qui le caractérisait.    - ?T’inquiète pas’ lui répondit Gérard, ’j’ai ce qu’il faut!’    Et il se leva, alla retirer le godemiché pris marie par les bras et la positionna sur le bureau, les cuisses largement écartées. Sa main branlant son sexe afin de la maintenir en érection, il vint alors entre ses cuisses et, une nouvelle fois, lui perfora le con. Le contact de sa chatte toute chaude le conforta, effrayé de ne pouvoir l’honorer une deuxième fois, mais, rassuré sur ses capacités, commença a aller et venir en elle. Marie appréciait cette queue longue qui une nouvelle fois la travailler en douceur et préférait largement sa vigueur à la froideur du gode. Gérard, trouvant cette position inconfortable, l’entraîna avec lui sur le canapé, et, assis, l’attira à venir s’empaler sur son membre maintenant en pleine forme. Les cuisses de Marie de chaque cotés des siennes, elle montait et descendait sur le bâton qui commençait sérieusement à lui donner du plaisir.     - ?Putain, mais c’est pas vrai, il l’a baise alors que je n’arrive pas à bander, fait chier de vieillir! Se lamentait Bernard.    Par contre, le docteur L, assis à coté de son collègue, la vision des seins de Marie qui tressautaient à chaque pénétration, branlant tranquillement son vit, retrouva une érection digne à pouvoir honorer une femme, quelle qu’elle soit. Il se leva et, observant le cul de Marie, se dit qu’il devait, lui aussi, être investi par une pénétration. Il se saisit du tube de gel lubrifiant, s’en enduit sa petite bite, en pris une noisette sur le doigt et vint l’enfiler dans le petit trou de Marie. La pénétration du doigt dans son anus ne lui fit guère détourner l’attention de la queue qui la ramonait depuis un certain temps, si bien que le Docteur n’eut aucun mal à lui en enfiler un deuxième.     La sentant bien dilatée, il présenta alors son gland à l’entrée étroite et dans un coup de rein, l’encula d’un coup. Marie subissait alors sa première double pénétration réelle, une bite dans le sexe, une autre dans le cul. Et même si la sodomie n’était pas sa tasse de thé, sentir ses deux queues si proches l’une de l’autre, allant et venant au rythme qu’ils avaient maintenant parfaitement trouvé, bien vite, elle se sentie partir dans de nouvelles excitations qui l’amenèrent à l’orgasme, bref, mais violent. Les deux hommes, quant à eux, ne se soucièrent guère de ce fait et continuaient, dans des râles de plus en plus bruyants, à la pilonner.     Gérard, voulant à son tour goûter au conduit serré de Marie, proposa à son collègue d’intervertir et, retournant Marie, il l’encula à son tour, entrant sans problème dans son cul dilaté. Marie, faisant maintenant face au docteur, les cuisses écartées, reçu alors son sexe en elle et sentit le souffle bestial de son patron dans son oreille. Gérard qui pelotait en même temps les seins de Marie, ne peut contenir son plaisir plus longtemps, tellement serré et excité de la situation, et en la traitant de boite à foutre, déchargea le sien dans son cul. Bernard, la pine toujours aussi molle entre ses doigts, s’évertuait à se faire reluire du spectacle offert lorsque, désespéré, il annonça:    - ?fait Chier! je vais chercher Victor qui me remplacera.’    Personne ne releva ses propos, surtout pas le Docteur L qui, agrippé aux hanches de Marie, continuait à la besogner de plus en plus fort, sentant le jus monter dans son membre. Au point de rupture, il se dégagea de sa chatte, lui prit la tête par la main, et la força à le sucer. Les odeurs de son intimités et de ses souillures anales, Marie les connaissait et sans aucune pudeur, elle entreprit l’acte qu’elle préférait en amour, la fellation. Léchant, suçant, gobant le sexe du docteur, celui ne résista pas longtemps à ce traitement et déchargea sa jute dans la bouche de Marie. Repus, les deux hommes étaient avachis sur le canapé, tentant de reprendre leur souffle. Marie, libérée de ses étreintes, pouvait, elle aussi, souffler à son tour.     - ?Je suis mort’, déclara Gérard    - ?J’en ai pour une semaine à m’en remettre’ lui répondit le Docteur L    - ?En tout cas si vous avez d’autres expériences, n’hésitez pas à m’appeler, surtout avec un cobaye comme cela!’    C’est a cet instant que la porte du bureau s’ouvrit sur Bernard accompagné par Victor     - ?Si moi je ne peux plus bander, lui il me remplacera’ annonça t il, une lueur perverse dans le regard, et tirant sur une laisse, fit entrer un magnifique labrador noir.     - ?Aller viens Victor, il y a une belle chienne pour toi!    Marie se tourna alors vers son patron d’un regard implorant, effrayée par l’idée perverse que le petit gros avait trouvé. Apres avoir pris note de son désarroi, le docteur se tourna vers son collègue Gérard.    - ?Puisque notre ami à du mal à terminer l’expérience, acceptez vous qu’il soit remplacé?’    - ?Ma foi, étant donné que cela reste dans sa famille, je n’y vois pas d’objection!’    Marie ressentit alors une grande peur, devinant très bien ce que le petit obsède avait dans la tête. Et il l’a prit par les cheveux, la fis mettre à terre à quatre pattes, et approchant son fauve de son chaton odorant et visqueux    - ?Aller, Victor, sens moi cette chienne, tu m’en dira des nouvelles’    Le chien mit sa truffe entre les cuisses de Marie et, après s’être délecté la truffe des odeurs intimes de la petite bonne, commença à laper le jus qui coulait. Marie, se refusant de savoir qui la lécher, commençait alors à apprécier cette longue langue qui lui faisait la toilette intime, allant même à commencer à tortiller du cul devant cet organe qui lui fit revenir le désir.    - ?Regardez, cette vicieuse qui aime se faire lécher’ annonça alors Bernard    - ?Mais si elle aime cela, il faudrait peut être qu’elle fasse apprécier ses capacités de suceuse à son partenaire, non?’    Et sans attendre la réponse de ses collègues, il prit son chien par les pattes avant, le souleva vers son ventre et, présentant ainsi les organes génitaux de la bête, dit à Marie.    - ?Aller, montre nous que tu aime cela, une queue est une queue, qu’elle soit humaine ou animale, et salope comme tu es, tu devrais aimer cela !’    Marie ferma les yeux, s’approcha du petit sexe du chien et passa sa langue dessus. Bien vite, la verge de l’animal sortit de son étui, présentant alors à Marie un gland tout rouge qu’elle se décida à prendre dans sa bouche. Ses dernières inhibitions étant tombées, elle s’évertua alors à tailler une pipe au chien qui, appréciant le traitement subit, laissa échapper un filet de liquide séminal, badigeonnant les lèvres de la jeune femme. Elle se retira alors de l’emprise du sexe et, regardant le propriétaire d’un air autant vicieux que dédaignant, s’en lécha les babines.    - ?T’aime ça petite salope, les queues dans la bouche, attends un peu, tu vas l’avoir dans le fion maintenant.’    C’était vrai que Victor était de plus en plus excité et son sexe prenait maintenant des proportions acceptables. En le voyant, Marie se dit qu’il n’était pas si gros et que si cela pouvait enfin lui donner la paix et le repos désiré, elle n’avait qu’à accepter cette dernière perversité pour être tranquille. Ainsi, elle se mit dans la position que le goujat voulait lui voir prendre, à quatre pattes, les fesses bien relevées, les cuisses écartées et attendait la suite des événements avec un détachement soumis.     Elle fut d’abord surprise de sentir à nouveau la langue de l’animal venir se délecter de son nectar d’amour, léchant sa petite chatte de manière très agréable mais lorsque son maître tira sur sa laisse, elle eut l’impression d’être écrasée par la masse de la bête qui, les pattes sur ses flancs, pesait maintenant de tout son poids sur le dos de Marie. Bien vite, elle sentit la verge de Victor prendre possession de son con, entrer à l’intérieur et là, ne sachant plus ce qu’il se passait, elle le sentit grossir, grossir, grossir, lui emplissant son vagin plus que celui ci ne pouvait recevoir, le dilatant à son maximum, venant buter au fond de sa matrice. Cette impression lui valut de jouir une première fois, lâchant des gémissements qui ne firent qu’excités le propriétaire:    - ?Ah, t’aime ça, petit pute, te faire mettre par un clébard, ça t’excite cochonne!’    Et ressortant sa pine qui elle aussi avait maintenant retrouvé des ardeurs, lui mis dans la bouche en même temps que le chien commençait à la pistonner. Marie essayait tant bien que mal de lécher ce membre, les mouvements de plus en plus rapides du chien en elle l’empêcher d’ouvrer correctement si bien que Bernard préféra se branler face à elle jusqu’au moment ou Marie se retrouva le visage maculée de sperme. C’est a cet instant que le chien vint à son tour et, le sexe complément distendue par son braquemart bander à son maximum, elle sentit alors une fontaine se vider en elle, le chien déversant une quantité de foutre inimaginable.     Pensant alors à ces histoires de chiens qui restaient coincés entre eux, une peur bleue de se voir ainsi bloquée l’envahit car son noeud était toujours aussi gros mais, le sperme du chien lubrifiant largement le passage, elle le sentit glisser hors d’elle et une fois libérée, regardant entre ses cuisses, elle découvrit un long filet de foutre qui suintait de son sexe pour venir se répandre sur le carrelage. Honteuse, elle savait bien qu’elle offrait cette vision aux deux hommes restés assis derrière elle mais elle sentit Bernard lui prendre de nouveau la tête, l’a regarder d’un air toujours aussi vicieux     - ?T’es vraiment qu’une vicieuse, mais t’es toute sale, pleine de foutre, cela fait vraiment petite négligée !’    Et là, il se mit à lui pisser dessus, dirigea son jet sur les traces de sperme qui coulaient sur son visage, avant d’en faire le tour et d’arroser copieusement ses fesses et son sexe. Gérard et le Docteur L se levèrent à leur tour pour effectuer le même cérémonial si bien que Marie fut totalement nettoyée des souillures de plaisirs par les jets d’urine chaude qu’elle reçut sur tout son corps. Le docteur prit alors un drap pour recouvrir le corps de la pauvre bonne tout en lui indiquant qu’elle pouvait disposer et se tournant vers ses collègues    - ?Bien, messieurs, l’expérience est bien claire. Ce cobaye a jouit 7 fois alors que nous, pauvres hommes que nous sommes, le deuxième orgasmes, péniblement atteint, nous a complètement épuises. Je me demande si nous ne devrions pas nous faire des prescriptions de Viagra et refaire cette expérience pour en juger si les effets sont vraiment intéressants.’    - ?Pas de problème’ répondit Gérard ’On remets cela quand vous voulez’    - ?Et du Viagra pour chien, cela existe’ Ricana Bernard, ’faut aussi penser à lui, hein mon bon toutou’    Le chien qui, avachi dans un coin de la pièce, ouvra un oeil vers son maître et lâcha un gros soupir pour replonger dans sa sieste bien méritée.
    A suivre....
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