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Marie, voleuse timide

Chapitre 3

Trash
Ch. 3 : Perversion
Patrick est toujours assis à son bureau. Sa bite tendue à lui faire mal toujours hors du pantalon, il aimerait bien se lever mais n’ose finalement pas. « Apporte-moi le contrat »Marie se lève, va jusqu’au bureau et tend le bloc note avec le stylo à Patrick.« Merci. Recule et tourne toi que je profite un peu de ton superbe cul. »Il en profite pour se rhabiller. Il se lève enfin, fait le tour de son bureau et s’assoit à demi dessus. Il réfléchit à ce qu’il va bien pouvoir faire de ce cadeau du ciel. Il va dans le fond de la pièce, ouvre un placard et sort une bouteille de planteur déjà préparé.« Trinquons »Il ouvre la bouteille et rempli deux gobelets en plastique.« Je n’ai pas mieux comme verre. A la tienne. »Il tend le verre à Marie qui le porte à sa bouche et en boit une gorgée.« Allez, il faut boire d’un trais ! »Marie ne raffole pas du rhum, mais elle ne déteste pas non plus et celui-ci semble léger. Enfin boire un verre comme ça rapidement, ce n’est pas terrible. Elle vide son verre et le tend à Patrick.« Remet les mains dans le dos et écarte les jambes comme tout à l’heure »Marie obéit et réalise que son sexe est humide. Le fait d’être nue commence à peine à l’exciter. Pas vraiment de l’excitation mais finalement elle n’a pas à être gênée, c’est bien son chef qui la pousse à faire ça. Et … et mince, ça tourne. Déjà ? La fatigue, le stress et puis la pression qui retombe et puis ce verre de punch. Finalement elle est sereine. Pourrait-elle se laisser embrasser par ce début de détente, de plaisir ?« Je vais commencer par quelques questions, et j’espère bien que tu répondras avec franchise.Combien de partenaire as-tu eus ? »« Trois »« Tu les as tous baisés ? »Marie aurait voulu répondre non, elle ne « baise » pas.« Oui »« Tu as pratiqué la sodomie ? »« Non »« Tu les as sucés ? »« Oui » Marie ne détaille pas sa réponse, elle n’aime pas vraiment le sujet et préfère abréger.
« As-tu pris du plaisir avec les trois ? »« Non »« Avec combien ? »« Un seul à vrai dire. »Tout en posant ses questions Patrick tourne autour de Marie et détaille son corps parfait. Marie a remarqué la bosse sur son pantalon et ça peut presque la faire sourire.Patrick tend un second verre de punch à Marie.« Non, merci. J’ai déjà la tête qui tourne. »« Ah. Ce n’est pas vraiment une proposition. Assis toi et trinquons à nouveau. »Marie va s’asseoir, toujours sur la même chaise au centre du bureau, son verre à la main et le bois lentement.« Tu te masturbes ? »« Non. »Le regard de Patrick insiste et indique à Marie de ne pas mentir. Est-ce vrai ou est-ce seulement pour répondre ce qu’il attend : « pas souvent ».« Tu imagines quoi dans ces moments-là ? C’est quoi ton fantasme ? »Marie se sent de plus en plus grisée par le rhum. Elle commence même à sourire en réalisant qu’elle pense à son dernier fantasme de faire l’amour avec un de ses profs dans l’amphi après son dernier cours du vendredi.« Euh … » elle s’apprête à répondre et réalise qu’elle va dire à cet homme que son fantasme est de faire l’amour avec un homme plus âgé.« De faire l’amour avec le mec d’une de mes copines. » et merde, il y a plus honnête comme fantasme, mais c’est dit. Marie n’a pas eu le temps de réfléchir.« Ton fantasme est de tromper ta copine ! Toujours très moral à ce que je vois. »« Non, non, c’est juste qu’il est très mignon ! »« Et c’est le mec de ta copine ! »
Il est bientôt onze heures. Comme le temps passe vite se dit Patrick. Il faut que ça avance.« J’ai vraiment envie de te caresser, de te faire l’amour, de t’embrasser. J’ai une proposition, je te laisse le choix Marie pour le premier soir. On va bientôt chacun rentrer chez soi mais avant je vais profiter de notre contrat.Soit tu me suces, soit c’est moi qui m’amuse avec ma langue sur ton clitoris, soit nous faisons l’amour. Tu as le temps pour réfléchir. Lève-toi, écarte les jambes et mets une main sur ton sexe. D’un doigt je veux que tu te caresses.»Marie n’a pas vraiment compris toute la demande, elle se lève, écarte les jambes, et s’apprête à mettre les mains dans son dos, encore une fois, quand elle réalise qu’elle ne doit pas mettre ses mains dans le dos mais en mettre une sur son sexe. Elle hésite mais place lentement une main devant son sexe. Elle ne pense même plus à la question de Patrick.« Je veux que tu caresses doucement ton petit bouton avec un doigt. Je veux voir ton doigt bouger, tout doucement. Et maintenant tu choisis, tu me suces, je te goûte ou nous faisons l’amour. »Marie n’en revient pas. La demande de Patrick est si précise qu’elle fait ce qu’il lui a demandé. Sans s’en rendre compte elle écarte ses grandes lèvres avec son index et son annulaire et pose son majeur sur son clitoris qu’elle commence à masser doucement. Mais elle réalise alors qu’elle est en train de se masturber là au milieu du bureau de son chef et a vraiment du mal à se concentrer pour répondre à la question posée, et en plus son sexe est déjà humide.Elle ne pourra pas le sucer, elle a horreur de ça, elle n’a pas envie de lui faire l’amour non plus. Ouah, le plaisir commence à monter, elle est en train de se donner du plaisir malgré elle, et cette sensation nouvelle est incroyablement excitante. Elle veut arrêter, il faut qu’elle arrête de bouger son doigt. Mais finalement elle n’en a pas envie. Elle arrête sa caresse et se reconcentre.« Je veux voir ton doigt bouger Marie ! »Patrick ne manque pas une miette du spectacle. Marie, totalement nue, les jambes écartées, les yeux mi-clos, en train de se masturber dans son bureau, c’est un rêve éveillé. Il voudrait sortir à nouveau sa bite et se branler là mais il sait qu’il ne tiendra pas deux secondes. Et si jamais Marie le suce, il lui éjaculera dessus avant même qu’elle l’ait mis dans sa bouche, et s’ils font l’amour ? Marie recommence sa lente caresse, elle commence vraiment à avoir envie de laisser le plaisir l’envahir mais continue sa réflexion. Elle le laisserait éventuellement essayer de lui donner du plaisir avec sa langue, en plus elle aime bien ça, mais elle n’a pas vraiment envie qu’il pénètre autant son intimité, d’aussi prêt. Mais c’est sans doute la meilleure solution, elle pourra peut-être de cette manière fermer les yeux et oublier ce qu’il y a autour et pourquoi pas, se laisser aller à son plaisir.« Je … » Marie veut donner sa réponse, mais elle réalise qu’elle est vraiment dans un état second. Ses yeux étaient presque fermés, sa respiration rapide. Elle sort de cet état.« Je choisis la seconde »« La seconde quoi ? Tu préfères quoi ? »« Que … que vous léchiez mon … »« Que je lèche quoi ? »« Mon sexe »Patrick aime voir Marie aussi gênée, il s’imagine qu’elle peut être troublée par autre chose que la peur et la contrainte. En plus le voilà satisfait, il va encore pouvoir faire durer le plaisir, et il adore faire ça, aller jouer de sa langue avec ce petit bouton terriblement sensible au sein de l’intimité, faire trembler d’une infime caresse tout le corps de sa partenaire, le transporter du bout des lèvres vers l’orgasme.« Si c’est ce qui te fait plaisir. Va t’allonger sur la table de réunion, et écarte et replie les jambes pour me montrer ton charmant petit bouton. »
Marie se dirige vers la table. Elle a l’étrange sensation de ne même pas avoir à se forcer. Sûrement un début d’ivresse, quelques inhibitions sont tombées et c’est sans trop de gêne qu’elle s’allonge sur la table, sur le dos, pose ses pieds sur le bord et écarte les jambes. La position est pourtant obscène, mais elle fixe le plafond et ferme les yeux pour s’éloigner le plus possible de cet endroit.
Patrick commence à se déshabiller. Dès que Marie entend le bruit de la ceinture qu’il défait, elle lève la tête, un peu affolée, elle pense qu’il va finalement la violer là, maintenant, davantage. Patrick la rassure : « Ne t’inquiète pas, je t’ai laissé un choix et je ne vais pas faire autre chose, je me mets juste à l’aise. »Patrick se déshabille. Marie le regarde. Il est quand même bien foutu, pense-t-elle alors qu’il n’est plus qu’en caleçon. Il n’a pas les abdos bien dessinés, mais son ventre est plat et il a même ces muscles latéraux qu’adore Marie, juste au-dessus des hanches. Patrick regarde Marie quand il baisse son caleçon et libère son sexe fièrement tendu.« Tu n’en as pas voulu. Tant pis pour toi, peut-être une prochaine fois. » dit-il en souriant.
Marie n’arrive pas à détacher son regard de ce sexe tendu, il est bien plus gros que ceux de ces précédents copains. Elle repose la tête sur la table quand Patrick s’approche. Il avance vers ce jeune sexe, parfait, offert là au bord de la table. Il se place devant la table, son sexe juste au-dessus de celui de Marie qui le regarde dans les yeux. Il plie alors les genoux, frotte lentement en descendant le sexe de Marie de toute la longueur de son pénis dressé et se met à genoux. Marie n’arrive pas à y croire. Elle a senti le sexe de Patrick caresser le sien, glisser entre ses lèvres et frôler son clitoris. Le premier contact l’a électrisé, de surprise, de plaisir, de dégout, elle ne sait pas, peut-être de peur, de peur de lui ou d’elle-même, de peur d’un viol ou de ne pas pouvoir masquer son trouble. En un quart de seconde son cœur s’est gonflé, prêt à éclater et sa tête a quitté la terre, ce n’est pas un orgasme, une sensation inconnue, une montée d’adrénaline, un shoot, elle ne sait pas. Et ensuite, son cœur s’est remis à battre, plus fort, ses yeux se sont fermés, plus le sexe de Patrick descendait, plus elle s’envolait. Cette caresse de ce membre sur son clitoris était comme une lente pénétration, mais sans le viol, sans la douleur, juste le plaisir. Elle n’y croit pas, elle a même sans le vouloir, fait basculer son bassin pour tenter de suivre ce sexe qui s’éloignait.Patrick a remarqué la réaction de Marie, il a vu ce qu’il a pris pour de la peur au premier contact se transformer en plaisir dissimulé. Il est à genoux, il a bien cru qu’il allait éjaculer sur le ventre de Marie pendant cette caresse, surtout quand il a vu le bassin de Marie se cambrer comme pour en demander davantage. Aurait-il dû en profiter pour remonter et tenter de la pénétrer ? Non, s’il veut que Marie obéisse, de son côté il doit aussi paraître honnête.
Patrick est à genoux, le visage à quelques centimètres du sexe ouvert de Marie. Mais machinalement elle a mis les mains devant ; elle ne sait pas pourquoi et elle sait qu’elle va devoir les sortir, mais elle se demande si ce n’est pas pour se protéger d’un orgasme qui ne devrait pas tarder à arriver, un orgasme qu’elle redoute et ne veut vraiment pas montrer. Patrick commence par embrasser une des mains de Marie, tout en douceur, en l’effleurant à peine. Marie ne s’attendait pas à tant de douceur. Et pourtant c’est ce qu’elle imagine quand elle fantasme sur des hommes plus âgé ; un peu plus de patience et de tendresse que tous les jeunes toujours trop pressés qu’elle a connus ou dont elle entend les histoires des copines. Patrick continue en frôlant l’intérieur des cuisses de Marie, du dos de la main, toujours avec une extrême délicatesse. Marie ne sait plus comment réagir, elle est trop surprise par toutes ces sensations nouvelles, d’abord l’angoisse extrême, la terreur même et puis l’irréel de cette proposition totalement indécente, et ce plaisir qui pousse du fond de son ventre, qu’elle n’a pu voir venir, et qui s’amplifie de minutes en minutes, cet érotisme qui s’étend et ne laisse plus aucune place à la peur, à la gêne ou à la retenue dans son esprit. Elle n’ose plus bouger, elle a peur qu’un seul ordre de son cerveau à l’un de ses membres déclenche une réaction en chaine non maîtrisée. Elle est paralysée, paralysée par cette peur d’un plaisir qui est prêt à exploser et auquel elle se doit de résister, elle ne veut rien montrer, même s’il est déjà trop tard. Si seulement Patrick pouvait lui ordonner de sortir ses mains, si seulement il pouvait la ramener vers la terre ferme en la rappelant à l’ordre d’une voix dure et autoritaire, si elle pouvait à nouveau laisser un peu de peur la faire revenir à la réalité.
Patrick a bien senti que Marie n’est plus tout à fait dans son état normal. Elle ne bouge plus mais il voit bien sa peau réagir à ses caresses. Il embrasse ces cuisses si douces et fragiles, remonte vers les mains de Marie qui finissent par s’écarter dans un mouvement saccadé de petits tremblements, et laissent libre son intimité. C’est l’odeur de l’amour, de la féminité et de l’érotisme qui se dégage de ses lèvres encore fermées. Patrick promène sa langue, il cherche un passage vers ce petit bouton qu’il sait trouver rapidement ; Marie ondule, s’étire dans un léger spasme, alors il se retire, laisse le désir faire son lent chemin jusqu’au plaisir ; puis il recommence, s’approche, effleure ce bouton qui commence à sortir, très lentement, tout en douceur.Marie ne sait pas combien de temps elle va tenir. Le punch devait être plus fort qu’elle ne pensait. Elle s’imagine se redresser, crier, demander à Patrick de la prendre là, maintenant, sur la table, maintenant et demain, et les jours suivants. Elle doit délirer. Elle veut sentir Patrick la pénétrer, comme il doit savoir faire, en douceur, laisser le plaisir prendre son temps, aller et venir, sentir toutes les veines de cette verge qu’elle a dans les yeux caresser son ventre de l’intérieur. Elle se tient comme elle peut, juste au bord de l’orgasme, au bord de l’inconnu, de l’inconscience, de la folie, au bord du plaisir, de la luxure, au bord d’elle-même. Elle n’est plus qu’un esprit enivré de plaisir prêt à exploser, juste retenu par un fil de conscience qui va céder elle le sait.
Patrick pose encore une fois sa langue sur le clitoris de Marie qui ondule toujours imperceptiblement son bassin. Il caresse du bout de la langue de haut en bas ce petit bonbon, il entend la respiration de Marie s’accélérer. Il pose une main derrière la jambe de Marie, juste sous les fesses, tandis que son autre main caresse l’intérieur de sa cuisse et remonte peu à peu vers son intimité, de ses doigts il caresse les lèvres, en glisse un entre les deux et le fait jouer à l’entrée de plus en plus ouverte et humide de ce jeune sexe mais sans le pénétrer. Marie a eu un léger mouvement de recul quand elle a senti ce doigt s’aventurer vers son intimité la plus profonde, Patrick l’a senti et comme pour la rassurer il éloigne cette main et la remonte avec l’autre sur le ventre de Marie qu’il masse doucement. Tandis que sa langue roule d’un côté et de de l’autre du bouton gonflé, Marie ondule de plus en plus rapidement son bassin. Elle se retient, mais il est trop tard et plus elle se retient, plus le plaisir monte et elle sait que quelque chose va se passer, un orgasme monte et va la terrasser, jamais elle n’est montée aussi haut, jamais elle n’a eu à retenir son plaisir. Au contraire, elle devait toujours le chercher avec ses petits copains, vite, avant que ces jeunes pressés ne terminent ; il y avait bien du plaisir, elle le sentait monter, mais il fallait l’aider, se concentrer pour qu’il explose, ce qui n’est pas arrivé bien souvent, voire jamais. Et le plus pathétique c’est que tout ce qu’elle faisait pour essayer d’atteindre ce plaisir ultime était interprété comme des marques d’un orgasme non retenu. Si seulement ils savaient, si seulement elle avait pu leurs dire.
Les mains de Patrick remontent vers les jeunes seins blancs de Marie, sa main droite en frôle un doucement, et le bout de ses droits effleure un téton dressé. Patrick ne tient plus, il n’a plus l’habitude de caresser des seins aussi jeunes, gracieux, adorables et réactifs, il sent le plaisir monter, il retire rapidement son autre main, la porte à son sexe tendu et dans un unique mouvement fait jaillir son plaisir, il éjacule en nombreux spasmes qu’il a du mal à masquer, c’est tout son corps qui réagit au séisme d’un orgasme comme il n’a pas connu depuis longtemps. Il continue lentement à faire venir sa main sur sa queue devenue sensible, et n’arrête pas ses caresses sur le corps totalement offert de Marie. Celle-ci n’a pas senti que Patrick avait explosé, et elle lutte de plus en plus pour ne pas succomber. La main de Patrick sur un de ses seins l’électrise, elle ne savait même pas que le bout de ses seins pouvaient être aussi sensibles et érogènes. Machinalement les mains de Marie se dirigent vers la tête de Patrick, vers cette source de plaisir, mais un sentiment de malaise, la réalité de sa situation, le vol, le contrat forcé, le chantage, arrivent encore à se frayer un chemin jusqu’à son esprit embrumé et ses bras retombent. La langue de Patrick continue de cajoler le clitoris de Marie, sa main droite tantôt caresse tantôt masse ce sein, du bout des doigts il joue avec son téton, ou de toute sa main enlace cette jeune poitrine. Son autre main a quitté sa queue qui se contracte encore, elle va se poser sur la vulve de Marie. Un de ses doigts glisse entre les lèvres libère la sève d’un jeune plaisir qui s’écoule. En quelques mouvements tout le sexe de Marie glisse sous les doigts de Patrick qui le masse doucement, suivant le rythme des ondulations de son bassin, mais sans jamais franchir la barrière que Marie lui a signifiée tout à l’heure. Marie se sait perdue, elle va être trahie par un plaisir trop intense, elle a peur, peur d’une réaction incontrôlée, peur de ne plus pouvoir se passer de cette drogue que Patrick lui injecte lentement dans les veines. Comment son corps peut-il la trahir de cette manière, ou est-ce son esprit qui la prend en traitre, sans prévenir. Il est trop tard, une de ses mains se pose sur la tête de Patrick, l’autre tente de s’ancrer dans la table, Marie ne bouge plus. Patrick sait qu’il va bientôt atteindre son but, sa langue goûte toujours plus doucement ce bouton gorgé de plaisir. Le bassin de Marie n’ondule plus, il monte en petits spasmes, ses fesses ne touchent presque plus la table, ses talons posés au bord. Une vague approche, de plus en plus près, inutile de tenter d’y échapper, Marie a baissé les armes, elle se laisse transporter, elle fait le vide de toute gêne, toute peur, toute sensation qui pourrait freiner le plaisir, Patrick a gagné, elle est à lui, tout son corps lui appartient, il la fait flotter du bout de ses doigts, dans un nuage de plaisir, et s’il continue il aura peut-être un peu de son âme. Elle lui abandonne tout, cet instant, attendant le paroxysme.
Du cœur de son intimité un flot l’inonde, une étincelle vient de faire imploser cette boule dans son ventre et l’onde de choc se propage en spasmes de plaisir infini dans tout son corps ; chaque cellule de son corps une à une explose et libère une onde de frissons dans une réaction en chaine du fond de son ventre jusqu’à l’extrémité de tous ses membres. Les mains de Patrick caressent les fesses de Marie et les suivent dans leurs spasmes, tandis que sa langue une dernière fois enlace le petit bouton puis se retire en même temps que les cuisses de Marie se resserrent, que son corps redescend, se détend et se pose à nouveau sur la table. Des spasmes continuent d’agiter le jeune corps de Marie devenu incontrôlable. Patrick s’assoit, profite encore un peu de cette vue irréelle, du sexe de Marie ouvert, ruisselant de plaisir. Elle replie les jambes sur sa poitrine, se tourne et pose son corps sur le côté. Elle a les yeux fermés, de petits frissons trahissent encore le passage d’un puissant orgasme.
Patrick se lève, se rhabille rapidement mais en silence, comme s’il ne voulait pas déranger Marie. L’esprit de Marie revient peu à peu à lui, son cerveau sort lentement de son engourdissement, il recommence à recevoir les informations de ses sens. Marie rouvre les yeux, et la réalité réapparait petit à petit dans un éblouissement désagréable. Elle n’est pas dans son lit, elle n’est pas libre, elle n’est pas avec l’homme qu’elle aime. Elle est là nue, dans le bureau de son chef parce qu’il l’a forcée à se déshabiller. Et pourtant elle ne lui en veut pas plus que ça, elle s’en veut à elle-même surtout. D’abord d’avoir agi sans trop de résistance pour arriver à cette situation, et ensuite de s’être laissée transporter dans cet état si intime. Que doit-elle faire à présent ? Ah oui, attendre un ordre sans doute, c’est vrai qu’elle a un mois à lui obéir.Patrick a posé les vêtements de Marie sur une chaise devant la table de réunion, il s’est resservi un verre, et tourne le dos à la scène de cette jeune fille nue, recroquevillée sur son intimité la plus profonde.« Tu … Tu peux te rhabiller si tu veux. »Le ton est doux, Marie ne s’y attendait pas. Elle se lève rapidement, réalise que son sexe est humide comme jamais il n’a été, les flots de plaisir ont même laissé une trace sur la table qu’elle tente d’essuyer rapidement avec sa main. Elle se dit qu’elle a dû crier peut-être, hurler, mais elle ne se souvient de rien, que d’un instant d’irréel, d’un plaisir infini et parfait. Elle se rhabille en vitesse et attend à nouveau.Patrick ne sait pas trop quoi faire, il est en train de se brûler avec ce jeu qui est loin d’en être un.
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