Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 59 J'aime
  • 9 Commentaires

Marie, voleuse timide

Chapitre 4

Trash
Ch. 4 – Retour chez elle
« Tu veux un dernier verre ? »« Non, si je peux il faudrait que je rentre, j’ai cours demain. »« A quelle heure ? »« L’après-midi mais il faut que je travaille avant. »« Attends, j’éteins l’ordinateur et je te ramène. »« Non, c’est bon, je … »« Tu as déjà oublié notre contrat ! »Elle ne sait pas si le ton est sérieusement redevenu autoritaire.« Il fait nuit noire, il est bientôt minuit, tu ne vas pas rentrer à vélo. »Le ton n’a pas changé et malheureusement il a raison, elle ne veut pas rentrer à vélo à cette heure.« D’accord. »Patrick va éteindre son ordinateur, et invite Marie à le suivre. Ils avancent dans les couloirs jusqu’aux vestiaires des femmes.« Tu veux peut-être te changer ? »Marie avait oublié qu’elle était en tenue de travail. Elle voudrait bien se changer mais elle a peur que Patrick ne la laisse pas seule dans les vestiaires. En même temps après ce qu’il vient de voir !« Non c’est bon, j’en profiterai pour laver ma tenue. Je vais juste récupérer mes affaires. »Elle entre dans les vestiaires, Patrick ne la suit pas, elle se retrouve seule mais ne préfère pas perdre de temps, elle a envie de rentrer. Elle ouvre son placard, met ses vêtements dans son sac et ressort.Ils sortent par la porte de service. Et le bruit métallique qui résonne dans ce magasin vide lui rappelle sa situation d’esclave. C’est Linda qui sort, Marie qui est terrorisé par son chef, Marie qui a vraiment fait une connerie et une sûrement plus grosse d’accepter ce chantage, d’être le pantin de son chef pendant un mois entier.« Ouah il fait encore chaud ! » lance Patrick pas forcément à l’aise avec ce silence qu’il n’arrive plus à contrôler. Marie récupère son vélo que Patrick met dans le coffre puis tous les deux montent dans la voiture garée au fond du grand parking désert, il est bientôt minuit. Patrick ouvre sa portière à Marie, fait le tour et s’installe au volant.« Tu habitues où ? »Marie lui indique l’adresse, c’est à 10 minutes en voiture. Pendant le trajet Patrick essaie de reprendre sa position en mettant de côté ses sentiments naissants pour Marie.« Bon, il me reste encore 30 jours. » sort-il avec une ironie bienveillante. Marie écoute à peine, elle repense à ce qu’il vient de se passer et n’en revient toujours pas.« Tu vas à la fac à vélo ? »
« Ca dépend, quand il fait beau oui. »« Alors demain je veux que tu ailles à la fac en vélo. Tu as cours à quelle heure? »« De 14 à 18, j’ai 4 heures de littérature anglaise en amphi. »« Tu mettras une jupe courte, au-dessus des genoux, et un tee-shirt moulant blanc. »Marie n’en revient pas, il va même la diriger quand il n’est pas là ! Elle ne sait pas quoi répondre. Elle se dit que pourquoi pas de toute manière, elle aurait pu choisir elle-même cette tenue, sauf qu’elle met très rarement de jupe à la fac, et si elle met un tee-shirt moulant elle rajoute une veste. Elle répond par l’affirmative se disant qu’il ne sera pas là pour vérifier.« D’accord. »« Et tu ne mettras que ça, pas de pull, pas de veste, rien : une jupe et un tee-shirt. Et je te laisse le choix, soit tu mets un string, soit tu mets un soutien-gorge, mais pas les deux ! Tu pars à quelle heure pour aller en cours ?»« Vers 13h30. »« Demain tu sortiras à 13h15 de chez toi, je serai là pour vérifier ta tenue. »
Ils arrivent chez Marie, au pied de l’immeuble dans lequel elle occupe un petit studio avec un balcon au deuxième étage. Marie s’apprête à descendre quand Patrick lui lance : « Attend !!! ». S’en suit un petit silence. « Ne bouge pas, je vais attraper ton vélo. Et pendant ce temps je veux que tu enlèves ton string et me le donne, je te le rendrai demain. »Patrick sort de la voiture et referme la porte. Marie ne sait pas quoi faire. Elle pensait pouvoir rentrer enfin chez elle. Pour abréger et pendant que Patrick ouvre le coffre elle commence à déboutonner son pantalon et réalise que la voiture est garée juste en bas de l’immeuble, avec l’éclairage du parking des gens pourraient la voir depuis les balcons. Il est tard, il ne doit pas y avoir foule, Marie essaie de faire encore plus vite, elle baisse son pantalon, n’arrive pas le sortir à cause des chaussures quand Patrick arrive à sa fenêtre le vélo à la main. Il la regarde faire. Elle arrive finalement à retirer ses chaussures et son pantalon, toujours pliée en deux, puis fait descendre comme elle peut son string, remonte le pantalon. Le tout en tentant de se cacher au maximum. Patrick déçu n’a rien pu voir, il ouvre la porte, Marie lui tend sa main fermée avec son string pour ne pas le montrer, Patrick l’attrape et ne montre aucune discrétion pour cacher ce qu’il a dans la main.« Merci Marie. A demain 13h15 en tenue : soutien-gorge ou string n’oublie pas. Une dernière chose : avant de dormir ce soir, je veux que tu prennes une douche, que tu t’allonges nue sur ton lit et que tu te caresses en pensant à ce soir et à demain. Bonne nuit. »Patrick fait le tour de sa voiture, démarre et part. Marie reste là sans bouger. Comment allait-il vérifier cette dernière demande.

« Salut Marie ! »C’est Manu, un locataire du premier qui rentre chez lui. Sa copine vient de le ramener, Marie entend sa voiture démarrer et partir. Ont-ils vu ce qu’elle a donné à Patrick. Ont-ils vu Patrick ?« Je ne savais pas que tu avais un mec. » Marie et Manu se connaissent assez bien, Manu a dragué Marie l’année dernière, mais en vain. Marie ne déteste pas Manu et il est plutôt mignon mais elle n’aime pas du tout son assurance et ses points de vue macho.Son mec ? Marie n’en revient pas, ça pourrait être son père, pense-t-elle. Tous les deux se dirigent vers la porte d’entrée de l’immeuble.« Il faudra que tu me le présentes, on se fera une bouffe un soir avec Nath, en plus ça la rassurera que tu ais un mec. Elle pensera que tu ne voudras plus me sauter dessus à présent. » Manu s’amuse souvent de la gêne de Marie quand il fait des allusions au sexe. Sa copine de six mois est toujours un peu jalouse de Marie, surtout de savoir qu’elle habite juste au-dessus de chez Manu.« Moi ? Te sauter dessus ? Il faudrait que tu saches vraiment donner du plaisir à une femme ! Mais tu n’as pas vraiment l’air d’avoir ni les outils, ni la science pour le faire. »Marie n’en revient pas, c’est à peine si elle arrive à croire qu’elle a pu dire ça ! Hier encore elle n’aurait rien dit et se serait contentée de rougir et sourire comme une idiote. Vient-elle à l’instant de réaliser qu’aucun des petits copains qu’elle a eu auparavant n’a été capable de lui faire connaître ce qu’elle vient de vivre ? En veut-elle inconsciemment aux jeunes comme Manu d’être incapables de penser un tout petit peu à un autre plaisir que le leur, et en plus de laisser ça aux mains de Patrick, sous la contrainte ? Toujours est-il que Manu a l’air tout chose. Il ne se dégonfle pas pour autant : « Si seulement tu savais, je pourrais t’emmener au 8ème ciel ma chérie ! »« C’est ça ! Allez A+ ! » Et Marie continue de monter les escaliers jusqu’au second.
Enfin elle est chez elle. Elle pose son sac, se dirige vers la cuisine, ferme le volet roulant de la grande baie vitrée de la terrasse. Elle retourne dans la salle de bain, rapidement elle se déshabille, elle se sent sale, salle de sa journée de travail et de tout le reste. Et en même temps elle essaie de ne pas trop réfléchir. En enlevant son pantalon, elle réalise qu’elle n’a pas son string, ça ne lui est jamais arrivé de ne pas porter de dessous, et un frisson saisit le bas de son dos. Enlever son pantalon sans avoir de sous vêtement lui procure une seconde une étrange sensation, une pointe d’excitation, comme si elle venait de passer la journée nue ; elle remarque aussi que son pantalon est trempé au niveau de l’entre jambe. Et si Manu l’avait remarqué quand elle a continué seule dans l’escalier. Elle passe à autre chose, elle met toutes les affaires, sa tenue de travail et sa tenue de la journée récupérée dans son sac, dans la machine à laver et la programme pour le lendemain matin.Elle voudrait se faire couler un bain mais préfère prendre une douche rapide, elle est fatiguée. Elle sort de la douche, enfile son peignoir de bain, va dans la cuisine, attrape une boite de gâteaux, allume la musique sur son portable et s’assoit sur le bord du canapé-lit, qui est toujours en position lit depuis plusieurs jours. Voilà, enfin seule, la journée est finie et elle repense calmement à tout ce qui s’est passé durant celle-ci. En panique constante depuis mardi, elle est finalement plus rassurée ce soir. L’histoire du vol est derrière et les plus grosses emmerdes aussi, pense-t-elle. Elle en a presque oublié le chantage de Patrick et ce qui vient de se passer. Elle repense à la tenue qu’elle doit mettre demain, string ou soutien-gorge. Elle mettra un string bien sûr. Et sa dernière demande avant de partir, elle la trouve étrange et n’a pas du tout l’intention de la satisfaire ; il n’en saura rien ! Elle laisse tomber le haut de son corps sur le lit, à moitié allongée les pieds par terre. Elle replie les jambes, pose ses pieds sur le bord du lit pour pousser dessus et se mettre plus haut dans le lit. Se retrouver une seconde dans la même position que sur la table de réunion lui a donné un frisson. Elle repense à ce passage, elle ne pense pas au chantage qui l’a amenée dans cette posture mais uniquement à ce moment où elle a commencé à lâcher prise. Elle se revoit résister au plaisir, elle voit le sexe magnifique de Patrick tendu au maximum. Elle est seule, personne ne la voit, elle peut faire ce qu’elle veut sans aucune gêne. Elle défait le nœud de son peignoir, l’ouvre et commence à doucement frôler son ventre des doigts ballants d’une de ses mains. Elle fait le tour de son nombril, remonte vers un sein, en fait le tour, passe au-dessus de son téton qui réagit immédiatement. Non, elle ne va pas se caresser, elle ne va pas obéir à son chef alors qu’il n’est même pas là ! Elle arrête, pose ses bras le long de son corps et ferme les yeux.
Patrick de son côté est sur la route de la maison ; une jolie petite maison de ville, avec un tout petit jardin aux limites extérieures de Bordeaux. Il a mis la musique fort et roule tranquillement. Il repense à la situation et exulte intérieurement. Comment est-ce possible ? Une si jolie fille pour lui tout seul pendant un mois ! Il arrive devant chez lui, gare sa voiture et rentre. Il pose ses clés dans l’entrée, avance vers le salon cuisine, allume la chaine hi-fi, attrape un verre et se sert du vin d’une bouteille posée sur le plan de travail. Il se retourne, ouvre la baie vitrée et regarde son jardin. Il a envie d’appeler Marie mais il n’a pas son numéro, il l’imagine en train de se caresser nue sur son lit, il repense à ce sexe offert sur la table de réunion et il se met à bander comme un fou. Il n’y a pas de vis-à-vis dans son jardin, il fait quelques pas, défait sa ceinture, et sort son sexe tendu de son caleçon. Il le prend à pleine main, le décalotte doucement, puis le branle un peu, toujours à pleine main. Il l’imagine pénétrant doucement le sexe humide et étroit de Marie, et ressortir, puis à nouveau le pénétrer. Il le voit forcer son petit trou, entendre Marie gémir doucement de ce dépucelage inconvenant, et s’enfoncer lentement dans son petit cul. En quelques minutes il éjacule puissamment des jets de sperme qui atterrissent sur l’herbe. Ce n’est pas la première fois qu’il se branle dans son jardin, il aime bien se balader nu dans cet endroit protégé des regards mais ouvert au ciel. Il se rhabille, fini son verre et rentre. Il va aller prendre une douche et dormir. Il rêvera de domination sadique et d’amour sincère.
Marie, les yeux clos, n’arrive pas à penser à autre chose qu’au plaisir, qu’au sexe de Patrick, à sa langue sur son bouton sensible qu’il sait cajoler comme personne n’a jamais su le faire avant, à ce plaisir incroyable qui monte et explose en millions de fines bulles dans le ventre, les seins, les bras, chaque partie du corps, le rende léger, le font disparaître ... Tant pis, elle est seule, personne ne la voit, elle se lève, éteint la lumière et la musique, allume la faible lampe tamisée de sa table de nuit, retire son peignoir qu’elle jette par terre, elle se place sur le dos au milieu du lit, replie les jambes et les écartes au maximum, dans la position la plus obscène que peut imaginer son jeune esprit sans expérience, elle se cambre essaie de faire ressortir son sexe, de faire pointer ses seins et son clitoris. Et elle commence à se caresser des deux mains, une sur un sein, l’autre à l’intérieur des cuisses. Et puis elle se retourne, se place à 4 pattes, écarte les cuisses et cambre le dos, monte ses fesses. Elle appuie une épaule sur le matelas et de sa main libre part chercher son sexe, elle en écarte les lèvres et branle rapidement son petit clitoris. Jamais elle ne s’est caressée de cette manière, aussi violemment. Elle imagine le sexe de Patrick la pénétrer là, dans cette position, aller et venir d’abord doucement puis plus rapidement au plus profond d’elle-même. Et elle suit de deux doigts introduits dans sa fente inondée, le rythme imposé par son imagination sans retenue. Elle a envie de crier, elle fait glisser son coussin sous sa tête, le mord et tente d’étouffer des gémissements retenus. Rapidement un violent orgasme la saisit, mais elle n’arrête pas sa caresse, son clitoris est extrêmement sensible et c’est à la limite de la douleur qu’un second orgasme encore plus violent attrape son corps et le fait vibrer au rythme de spasmes incontrôlables. Elle écrase sa main entre ses cuisses, laisse retomber son corps contre le matelas. Elle attrape le drap, s’enroule comme elle peut dedans, et s’endort en quelques minutes sans avoir éteint la lumière.
Il est 9h30 quand Marie ouvre enfin un œil. Elle se lève, va se préparer son thé et une brioche au chocolat, puis, comme à son habitude, va prendre sa douche. Elle prend son petit déjeuner sur le petit bar entre la cuisine et le salon, en regardant dehors : un parc arboré, et un immeuble dans lequel elle peut observer les activités matinales de deux ou trois habitants. Elle sait ce qu’elle a à faire aujourd’hui : des courses ce matin et cours l’après-midi. Le passage de Patrick à 13h15 ne l’enchante pas et il faut surtout choisir une tenue. Elle ouvre son placard, elle n’a pas 36 jupes, elle en a trois et deux robes. Elle attrape la blanche, sa préférée puis se ravise ; Patrick lui a demandé d’aller à la fac à vélo, elle la repose, et attrape celle en jean, ce n’est pas celle qu’elle préfère mais elle ne risque pas s’envoler à vélo. Elle prend un tee-shirt, ce sera un débardeur blanc qui ira le mieux avec. Elle ouvre le tiroir où sont rangés ses sous-vêtements, il faut qu’elle choisisse à présent : string ou soutien-gorge … Machinalement elle attrape un string, hors de question pour elle d’aller à la fac les fesses à l’air.Il est bientôt 11h00, Marie est habillée, elle se regarde dans le miroir et réalise qu’il est absolument impossible de ne pas mettre de soutien-gorge, elle a l’impression d’avoir les seins à l’air, ses tétons ressortent d’une manière totalement indécente, ses seins tombent très légèrement. Elle change de tee-shirt, mais le résultat est le même, tout le monde va se rendre compte qu’elle ne porte rien. Elle attrape alors un soutien-gorge blanc très basique, ni dentelle, ni rembourrage et le résultat est parfait. Elle relève ensuite sa jupe et enlève son string. Si ne pas mettre de soutien-gorge ne lui a pas fait beaucoup d’effet, le fait en revanche de ne rien avoir sous sa jupe lui donne l’impression d’être totalement nue. Elle ne remarque vraiment rien dans le miroir, mais dans la tête c’est autre chose.
Marie devait aller faire quelques courses ce matin au supermarché à côté, mais elle n’ose pas sortir de chez elle. En même temps cet après-midi elle devra aller en cours. Elle prend son sac et décide finalement de sortir. Elle n’a jamais essayé de ne pas porter de culotte, et finalement la sensation n’est pas désagréable, excitante peut-être même. C’est comme si elle se promenait nue dans l’immeuble, mais personne ne peut savoir qu’elle est nue. Comme souvent quand elle sort, Manu sort aussi. Elle s’en est aperçut et pense d’habitude à faire doucement pour fermer sa porte. Mais aujourd’hui sa tête est ailleurs.« Salut princesse ! Tu vas en cours ? »« Non, j’ai des courses à faire. »« J’y vais aussi, je t’amène. »« Sympa mais je préfère marcher, j’ai trois fois rien à acheter. »« Je peux t’accompagner. »« Ok, si tu veux. » Une autre fois Marie aurait dit non ; elle n’aurait pas dit non, elle n’aurait pas osé, mais cela l’aurait agacée de devoir se cogner Manu au lieu de marcher tranquillement en silence. Mais aujourd’hui c’est différent, elle a envie elle aussi de sentir qu’elle a du pouvoir, un pouvoir de séduction c’est toujours ça, et qu’elle n’est pas seulement le pantin d’un pervers de 40 ans !« Tu peux venir si tu veux mais tu ne dis pas un mot, j’ai vraiment envie de calme. »« Ok, ça roule. Dis-donc t’es tendue en ce moment ? Tu as des problèmes ? »« Pas un mot ! » dit-elle d’un ton faussement autoritaire.C’est effectivement dans un silence presque complet qu’ils font les courses et reviennent devant l’immeuble. Marie est légèrement excitée d’avoir marché nue avec ce beau mec qu’est Manu. S’il savait pense-t-elle amusée.« Tu viens prendre un café ? »« Pas maintenant, j’ai des cours à relire avant de partir à la fac. »
Marie monte chez elle, elle sait que Manu la regarde, elle en profite pour onduler plus qu’à son habitude son bassin au rythme de chaque marche. Il ne peut pas voir qu’elle n’a rien sous sa jupe. Ce jeu commence à l’exciter par certains côtés.Il est bientôt une heure. Marie mange rapidement des restes de taboulé, un morceau de jambon et une pomme. Elle prépare son sac quand elle entend une voiture se garer, elle regarde par le balcon, c’est Patrick qui est en bas. Un boule recommence à se former dans son ventre, mais une boule d’angoisse. Patrick n’est pas un ami et même s’il n’a pas été violent hier, elle n’est pas du tout en confiance, elle ne sait pas de quoi il est capable.
Diffuse en direct !
Regarder son live