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Marie, voleuse timide

Chapitre 6

Trash
Ch. 6 - Manu
Marie reviens lentement à la réalité. Elle est contente que Patrick soit parti mais se sent seule finalement. Elle enfile un tee-shirt et un petit short de coton blanc ; sans aucun dessous, décide-t-elle en souriant. Elle allume la lumière qui l’éblouit le temps de faire redescendre son esprit, range les tasses et les verres dans l’évier, attrape son téléphone, et s’assoit à nouveau sur le tabouret. Sur son téléphone, elle navigue sur Facebook quelques minutes, like trois photos, répond un smiley à Lucie qui lui a envoyé un message privé : « Ce soir je vois Bruno, j’ai rien mis sous ma robe ;). Bon week-end ma belle ! Bisous ». Elle clique sur une publicité pour des dessous, se retrouve ensuite sur un blog de témoignages de clientes avec des photos, clique sur deux ou trois, une publicité, et finit par arriver sur des sites où les dessous ont disparu. Elle n’est pas du genre à passer du temps sur des sites porno, elle y est déjà allée bien sûr, par curiosité, ou avec des copines, mais ce soir elle a bien envie d’aller voir, de satisfaire de plus près sa curiosité coquine. Par excitation, par envie, pour se dire qu’elle n’est pas la seule à se plier aux désirs de vieux lubriques ? Elle ne sait pas trop ; toujours est-il qu’elle navigue, elle s’arrête sur des sexes d’hommes dressés en gros plan, lance une vidéo où une magnifique brune et un beau mec font l’amour magnifiquement. La jeune et longue bite du mec pénètre lentement le sexe complètement rasé et ouvert de cette fille à moitié couchée sur un canapé, les jambes écartées sans pudeur et sans vulgarité. Marie commence à sentir une douce chaleur envahir son entrejambe. Elle descend sa main droite vers son short quand elle est brutalement sortie de ses fantasmes par trois coups frappés sur sa porte. Elle sursaute, verrouille son portable, le pose sur le bar et se dirige vers la porte. Elle regarde par l’œilleton, c’est Manu, elle se pose deux secondes pour reprendre ses esprits et entrouvre la porte.
« Salut Marie, je viens de rentrer de mon footing, j’ai vu de la lumière, j’te réveille pas ? »« Non, non, je n’ai même pas mangé. »« Désolé de te déranger, j’ai ma box à l’ouest, tu crois que je peux me connecter à ta box en wifi, j’ai des gros fichiers à envoyer depuis mon PC. »« Oui oui il te faut quoi ? »Marie ne connaît pas grand-chose à la technique, elle ouvre la porte et laisse Manu entrer.« J’ai juste besoin du code WPA de ta box. Il doit être écrit dessus. »
Manu entre et en perd presque la voix quand il voit Marie dans cette tenue. Ce short si court qui laisse ses magnifiques jambes nues, et ce tee-shirt blanc sous lequel il voit les seins libres de Marie. Il sent immédiatement sa queue se dresser dans son short qui a bientôt du mal à masquer cette érection.Marie a remarqué le regard insistant de Manu glissant sur son corps et ça ne la dérange pas ; elle est surprise que cela puisse l’amuser. Manu a une copine, c’est un voisin, il ne va pas la violer lui au moins. Elle se surprend même à jouer de la situation, ne cherchant pas du tout à masquer ses seins qu’elle sent pointer sous son tee-shirt. Manu est un beau mec, vraiment bien foutu, pense-t-elle en détaillant son corps, ses bras luisants de sueur ; un vrai fantasme de publicité. Elle remarque aussi à présent la bosse sous son short et jubile malicieusement. Et si elle faisait tout pour le rendre mal à l’aise à son tour, se met-elle à imaginer. L’alcool et l’excitation de la journée, de Patrick, de la vidéo qu’elle vient d’éteindre l’ont mise dans un état second.
« Je vais regarder » lance Marie tout en échafaudant son plan. Et elle se met à quatre pattes devant le petit meuble, à côté de son lit, au bas duquel se trouve la box ; tout en soulevant la box pour tenter de lire le numéro, elle se cambre, fait ressortir ses sublimes fesses, écarte très légèrement ses jambes et les plie davantage, ce qui a pour effet de tendre le fin tissu de son short entre ses jambes. Manu ne tient plus, il n’arrive pas à détacher son regard de ce cul qui se présente à lui, il lèche des yeux les deux lèvres qui s’esquissent sous le tissu, ombré de noir sur une fine bande épilée nettement ; il bande à avoir mal. Il est surpris par Marie qui tourne la tête rapidement et lui lance avec naturel : « Tu vois quoi là ? Parce que moi je ne vois rien. »
Manu sursaute en tournant la tête vers Marie dont le comportement le désarme. Elle est d’habitude si timide, pudique, si maladroite à la moindre plaisanterie coquine ; que la voir là devant lui dans cette position torride qu’elle semble maitriser lui ôte une part de réflexion. Il répond, chassant de ses pensées ces fesses qui persistent sur sa rétine et dans son cerveau : « Euh rien … Attend je vais le faire si tu veux. »Et il s’accroupit à côté de Marie qui se relève.« Tu as de quoi noter Marie ? »

Marie se lève, attrape un stylo et une feuille sur son bureau et vient s’asseoir en tailleur sur le bord du lit à côté de Manu. Manu commence à dicter et Marie note. Après une dizaine de caractères, il tourne la tête et aperçoit un spectacle incroyable : entre les jambes de Marie, sa position lui permet de voir entre son short et sa cuisse une lèvre gonflée. Il a devant les yeux, à quelques centimètres, le sexe ouvert de Marie, il en voit presque tous les détails, son imagination termine la photo : son petit bouton, une épilation nette laissant une fine bande, les petites lèvres protégeant l’entrée de son intimité luisante. Manu est à deux doigts de ne plus se tenir, mais il ne sait pas que Marie le fait exprès.
« C’est tout ? » dit Marie en relevant d’un regard insistant et coquin les yeux de Manu.« Euh non non, il en reste »
Manu tourne la tête, termine son énumération, repose la box, se redresse et s’assoit à côté de Marie. Celle-ci n’est pas encore prête à se laisser aller avec Manu, même si elle en serait bien capable ce soir, mais elle pense qu’elle le regretterait. En revanche elle a bien envie de s’amuser un peu. Manu lui a du mal à se retenir ; il se branle souvent en imaginant son sexe coulisser dans celui de Marie, et dans son superbe cul. Même quand il baise sa copine, il lui arrive de penser au corps parfait de Marie, au contraste d’une position obscène jouée par une fille aussi belle, aussi sage en apparence. Marie se lève d’un bon quand elle aperçoit la main de Manu qui quitte le lit sur lequel elle est posée pour se diriger vers elle.
« J’t’aurais bien dit de rester manger, mais je n’ai vraiment plus rien. Sauf si tu te contentes de riz et d’une bière. » lance Marie en se dirigeant vers la cuisine, sans même regarder Manu.« Oui oui avec plaisir, ce sera parfait. Ou alors on peut commander une pizza si tu préfères. »« Ouais mais j’ai vraiment plus une tune. Je suis allée à la banque l’autre jour et j’ai même dû faire du charme à mon banquier pour qu’il accepte de me filer dix euros. »Manu est trop content de pouvoir profiter d’un repas en tête à tête avec Marie.« Laisse, je peux te payer une pizza. »« Non non, c’est hors de question. » et elle rajoute : « Je veux payer ma part d’une manière ou d’une autre. »Ce jeu l’amuse vraiment, surtout de voir Manu aussi désemparé.Manu lui ne sait pas trop comment réagir. Il voit bien que Marie commence à l’allumer, mais n’arrive pas à y croire, et du coup il ne réagit pas : « C’est bon Marie, une pizza contre le WIFI. »Et il rajoute quand même : « Et puis un repas avec toi, ça n’a pas de prix. »
« Et Nath ? Elle va bien ? Tu peux lui dire de venir. » Marie compte bien garder quelques distances.« Non, elle n’est pas dispo ce soir. Et puis c’est pas le beau fixe entre nous. »Manu est bien embêté, il pense enfin voir une ouverture avec Marie, et il est quand même toujours avec Nathalie. Il change de sujet : « Je vais peut-être aller prendre une douche. J’arrive de courir. »« C’est bon, on n’est pas au restau. Regarde-moi, je rentre des cours, je suis à peine habillée. Non, commande plutôt la pizza. Tiens j’ai la carte d’Italian Pizza. »« Je peux prendre ton portable, j’ai rien sur moi, que mon portefeuille. »« Vas-y il est là. »Marie se dirige vers le frigo pour attraper deux bières, Manu se lève, s’assoit sur un tabouret, attrape la carte d’une main et le téléphone de Marie de l’autre.« Tu veux quoi ? »« Peu importe, mais pas d’anchois, c’est tout. Et base tomate c’est plus léger, j’ai des fesses d’éléphant. » dit-elle en tournant ses fesses vers Manu et en les faisant ressortir.
Manu ne peux détacher son regard de ce magnifique cul qu’il rêve de toucher quand il est sorti de son fantasme par des gémissements de jeune fille. C’est le téléphone de Marie qu’il vient de déverrouiller machinalement. Il baisse les yeux et regarde la vidéo sur le téléphone, un long sexe dressé coulissant dans une jeune fille, les jambes écartées au maximum.Marie se précipite et arrache le téléphone des mains de Manu. Elle a oublié qu’elle était en train de regarder cette vidéo quand Manu a frappé. Elle coupe la vidéo et réfléchit à ce qu’elle va pouvoir raconter. Elle a deux solutions : redevenir la petite fille sage et rougir en bredouillant trois mots ou alors assumer cette soirée jusqu’au bout. Manu n’en revient pas, cette fille qu’il croyait si sage aime regarder des vidéos pornos.« Quoi ? T’as jamais regardé de vidéos de ce genre ? » lance Marie sûre d’elle.« Si si, mais je … »« Bon tu la commandes cette pizza ! » Et elle tend à nouveau le téléphone à Manu qui passe commande d’une Margarita.« Dans 20 minutes la pizza ! A la tienne Marie. » dit Manu en levant sa bouteille.
« A la tienne Manu ! » répond Marie en souriant.Marie est bien, sereine et contente de passer une soirée avec Manu, elle n’est obligée de rien, et elle est bien excitée de son petit pouvoir. Elle entame une conversation : « Tu disais que ce n’est pas le beau fixe avec Nath. »« Non, pas vraiment. Comme tu as dû le voir elle est hyper jalouse, ça me pèse et puis … » Manu voudrait dire à Marie qu’il a des sentiments pour elle, mais ne sait pas vraiment s’il doit le faire, ni comment.« Mais elle n’a pas de raison d’être jalouse ? Tu sais, on est toute un peu jalouse. On sait bien que vous êtes tous des obsédés et que vous craquez trop facilement dès qu’une fille vous fait du charme. »« Non, c’est pas ça, on sait très bien être fidèle … Je n’ai jamais trompé Nath ! » dit Manu fièrement.« Possible, mais je vois bien la manière dont tu me regardes. »« Faut avouer que ta tenue est plutôt méga sexy. Et c’est vrai que je nous imagine bien remplacer les acteurs des vidéos que tu regardes. »« Au moins c’est direct ! Je comprends pourquoi Nath est jalouse. »« C’est pas ça, j’te dis ça à toi, pas à toutes les filles. Et puis tu me plais vraiment, depuis longtemps. » Marie s’arrête de parler, elle réfléchit à son jeu à elle. Elle trouve Manu vraiment charmant quand il est maladroit et qu’il ne fait pas semblant d’être un vrai macho.« Ecoute Manu, t’es vraiment sympa et vraiment mignon. Mais je ne suis pas sûre, si on sortait ensemble, que ça se passe très bien. T’as quand même un gros côté macho que je n’aime pas du tout et en plus je n’ai pas envie de quelqu’un en ce moment. »« Mais c’est pas ton mec qu’on a croisé hier soir ? »Mince, Marie en avait presque oublié cet épisode. Mais finalement elle a bien envie de s’en servir pour son petit jeu de séduction avec Manu. En plus ça facilitera peut-être les 30 jours qui arrivent et leurs lots de perversions qui l’attendent.« Ce n’est pas MON mec, c’est UN mec. Avec lequel je m’amuse, enfin on s’amuse. »
Manu n’en revient pas, il imagine déjà Marie coucher avec un homme marié peut-être, des hommes mariés, peut-être plusieurs à la fois, dans l’unique but de s’envoyer en l’air sans scrupule. Il prenait Marie pour une sainte et pense découvrir ce soir une fille qui aime simplement baiser, devant lui l’ange se métamorphose en démon lubrique.Marie poursuit : « C’est pas parce que j’veux pas de mec en ce moment que j’n’ai pas envie d’un p’tit plaisir de temps en temps. »« A ton service ! » sort Manu souriant, fier de sa réponse et se voyant déjà donner son « p’tit plaisir » à Marie.« Non justement. Si tu étais à mon service tu ferais ce que je te dis, tu rentrerais après chez toi et demain on se croiserait comme avant. Mais ça, ce n’est pas possible. »« On parie. Vas-y, demande-moi ce que tu veux ! »Marie commence à sentir son pouvoir monter et n’est pas très sûre de savoir le contrôler. Elle a envie de continuer ce petit jeu mais crains à la fois ses réactions et celles de Manu aussi. Mais l’envie est trop forte et l’occasion trop belle.« Ok, enlève ton tee-shirt. Et tu dineras comme ça. »« Ok, mais toi aussi alors. »« Tu vois, c’est bien ce que je disais, tu n’es pas à mon service. »Manu retire son tee-shirt quand l’interphone l’interrompt. « Deuxième étage. »La pizza est récupérée, Manu paye et Marie referme la porte.« On passe à table ? » demande Marie avec un grand sourire, sans se priver de détailler les abdos de Manu qui font monter la température dans sa tête et entre ses jambes.« Avec plaisir je meurs de faim. »Tous les deux s’installent autour du bar.« Je te croyais pas comme ça Marie. »« Comment comme ça. »« J’t’imaginais toujours sage, sérieuse …»« T’as l’air déçu. »« Non, pas du tout ; au contraire, agréablement surpris. »
Marie n’a pas vraiment envie de continuer cette conversation sur elle-même, tout simplement parce qu’elle non plus ne se connaissait pas comme ça. Et, elle ne sait pas pourquoi, peut-être la fatigue, elle repense à son travail demain, à Patrick, il est déjà 23h00 et elle a envie de décider. Mais elle ne sait justement pas quoi décider, et pourtant elle sent bien que c’est maintenant ou jamais. Soit elle met fin à la soirée assez rapidement, soit clairement, elle va plus loin, ce qu’elle n’a jamais fait, et elle profite de Manu pour passer un bon moment, pour s’éclater. Quelques secondes de silence plus tard, elle se décide finalement : « Alors ? T’es toujours à mon service Manu ? »« Toujours prêt mais tu commences à me faire peur. » dit-il en riant.
Marie se lance « Je crois que j’ai trop bu en fait, c’est ma deuxième bière. ». Elle fait une pause. « Bon, pour être claire, tu es carrément super sexy Manu, mais je n’ai vraiment pas envie de me prendre la tête demain ou plus tard ; et encore moins avec toi ou Nath. Crois-tu vraiment être capable d’aller plus loin ce soir avec moi et de faire comme si rien ne s’était passé demain. »Manu n’y crois pas, il a du mal à cacher sa joie : « Bien sûr ! »« Ok, je vais te faire confiance. » et elle rajoute, comme pour se donner un peu plus de confiance : « Même si c’est pour cela que je préfère les hommes plus âgés d’habitude, ils sont davantage capables de faire la part des choses. »

Maintenant, elle sait qu’elle doit se jeter. Décidément, cette aventure avec Patrick lui fait faire des choses qu’elle ne pouvait même pas imaginer hier, mais le désir est plus fort et elle a envie de satisfaire cette chaleur qui monte dans son ventre, de se prouver qu’elle peut avoir le dessus, à la fois sur des gens, mais aussi sur ses propres pulsions, en les contrôlant, sans les rejeter. Et puis le départ soudain de Patrick tout à l’heure l’a presque laissée sur sa faim.« Ok, alors jouons ! Tu peux prendre le dernier morceau, j’ai assez mangé. En attendant, je te fais un café ? »« Oui, je veux bien, merci. »Marie se lève pour aller préparer le café, puis se retourne rapidement pour surprendre le regard de Manu qu’elle sait posé sur ses fesses : « Eh ! C’est moi qui m’amuse ! Tu vas encore, comme tout à l’heure, te retrouver en posture gênante dans ton short, et je n’ai pas dit que j’assouvirai ton plaisir, c’est le mien d’abord. »« Ok, ok » dit Manu en relevant les yeux. Effectivement sa bite est tendue dans son short comme un piquet de tente et il a vraiment envie de passer à l’acte. Mais il est trop content pour briser le charme de ce petit jeu.Manu a terminé la pizza, Marie apporte les deux cafés.« J’te débarrasse. »« Oui oui vas-y. »« Et puis non en fait, c’est moi la reine. Débarrasse la table esclave ! » dit Marie en riant.« Oui maitresse ! » répond Manu en souriant. Ce jeu l’amuse et l’excite terriblement aussi.Il se lève, sans faire quoique ce soit pour masquer sa bite tendue sous son short, débarrasse la table du carton de la pizza et se dirige vers la poubelle.Marie le regarde fièrement et a du mal à masquer son émotion à la vue terriblement excitante de la bite de Manu retenue dans son short et de son torse nu, musclé et imberbe. Manu pose la boite sur la poubelle, se retourne vers Marie et s’avance un peu : « Eh ! C’est moi qui décide ! Et là on boit le café. »Et puis elle rajoute : « Et toi tu le bois à poil. Allez, fait moi disparaître ces vêtements. »Manu jubile, il sait qu’il va se faire Marie à présent, ce soir. Sans pudeur, il déchausse ses tennis et enlève son short et son caleçon. Il caresse son gland de la paume de la main. Marie le regarde et sent son clitoris gonfler en petits spasmes irréguliers, son intimité devenir humide. Elle a vraiment envie de faire l’amour avec Manu là, de-suite. Son sexe est moins gros que celui de Patrick, comparable à celui de ses précédents copains. Elle se demande en souriant si ces trucs-là grandissent avec l’âge tout en fixant les veines gonflées.« Stop. C’est moi qui pilote Manu. Tu peux t’asseoir. »Marie porte la tasse à sa bouche, Manu en fait autant, comme s’il était obligé d’imiter sa maîtresse. Marie n’a jamais été aussi excitée par une situation, elle commence à comprendre le comportement de Patrick et surtout la raison qui le pousse à toujours mélanger autorité et sensualité pour maintenir son pouvoir en douceur. Même si la situation n’est pas comparable, elle sait que Manu fera tout ce qu’elle demande tellement la perspective de coucher avec elle maintient son corps et son esprit en esclavage.Les tasses sont vides et à nouveau posées sur le bar, Marie sent ses seins pointer sous la caresse des yeux de Manu.

« Va t’allonger sur le lit ! »Manu se lève et se laisse tomber sur le côté sur le lit de Marie, il met sa tête sur sa main et la regarde, empoignant son sexe et le massant lentement.« Non, allonge-toi sur le dos. »Manu obéit et offre à Marie son corps totalement nu et sa bite fièrement dressée au milieu. Elle se lève, Manu la regarde, elle retire son tee-shirt, et comme dans certaines de ses évasions tardives et solitaires, elle se place à genoux entre les jambes de Manu et attrape d’une main cette magnifique verge gonflée. Elle n’a jamais agi ainsi, elle se laisse totalement guider par ses désirs qui envahissent sa tête comme des vapeurs d’alcool, sans prévenir, les uns après les autres. Manu a relevé sa tête, Marie se penche, elle décalotte le gland autant qu’elle peut de sa main, approche lentement sa bouche, et le lèche, glisse la pointe de sa langue tout autour et puis remonte sa main encerclant le membre. Manu repose la tête, Marie redescend sa main sans relâcher une douce, mais certaine pression tout autour de cette bite qu’elle imagine au fond d’elle, et à nouveau elle lèche, puis suce le gland, l’aspire doucement … Manu commence à paniquer de son côté, il ne s’attendait pas à tant d’expérience de la part de Marie et se demande combien de temps il va tenir. Avec Nath, l’habitude fait que la nudité ne suffit pas toujours, mais avec Marie, le simple fait de voir ses seins a gonflé son membre et son désir à les faire exploser tous les deux. Marie se lâche, c’est la première fois qu’elle suce un sexe avec autant d’envie, avec envie simplement ; elle a gobé le gland de Manu et fait à présent coulisser ses lèvres le long de sa bite, qu’elle compresse entre la langue et le palais ; elle aspire, suce, lèche, branle, elle fait ce qu’elle désire, elle cajole ce sexe comme elle imagine que Patrick le ferait avec son petit bouton, elle connaît le pouvoir de la maitrise du plaisir et s’excite incroyablement d’en jouer. Sa main libre se glisse entre sa cuisse et son short, son index va caresser son clitoris pendant que son majeur s’enfonce et ressort au rythme de sa tête sur le sexe de Manu. Ce dernier ne tient plus, son excitation est à son comble, il bafouille « Marie, att ». Elle a compris qu’il va bientôt jouir mais elle ne veut pas arrêter, elle veut gouter son plaisir, leurs plaisirs, elle veut montrer qui elle est vraiment pour la première fois, elle remonte sa main d’entre ses jambes, caresse doucement les couilles de Manu pendant que sa tête accélère son mouvement, elle sent le membre gonfler, attrape le sexe de Manu à deux mains, l’encercle à la base, fait ressortir le gland gonflé de plaisir, suce et aspire. Dans un dernier gonflement, le sexe de Manu crache son orgasme accompagné de spasmes liquoreux que Marie avale avec envie. Les dernières contractions de sa verge déversent leurs semences ; Marie en garde dans sa bouche. L’alcool, la liberté, l’inhibition distillée par la perversion de Patrick, qu’importe la raison ; Marie déguste ce jus, témoignage du plaisir de Manu, d’un plaisir qu’elle est capable de donner, de maîtriser cette fois. Elle en recrache une partie sur le gland devenu sensible au moindre contact ; elle le lèche doucement, s’amuse de ses contractions incontrôlées au moindre mouvement de ses mains, de sa langue, de son souffle. Et à nouveau elle l’engouffre au fond de sa bouche, aussi profond qu’elle peut et remonte lentement, sentant le membre s’agiter dans sa bouche, comme pour supplier la liberté. Ses lèvres entourent le gland sensible encore vivant, en chatouille le bout une dernière fois de la langue et le quitte dans un ultime baiser.

Manu a les yeux fermés, sans être très fier il ne peut masquer le passage d’un violent plaisir, d’un incroyable moment. Marie relève la tête, elle apprécie ce moment, elle aussi est capable de tenir un homme "par les couilles", pense-t-elle en souriant à Manu. Elle se redresse, toujours à genoux entre les cuisses musclées de sa proie à l’agonie, et envisage une seconde les deux possibilités : arrêter là la soirée, ou profiter encore de ce mannequin vivant. Son choix est vite fait, elle recule, enjambe les cuisses de Manu, se lève et lance : "Je vais prendre une douche, profite de ce temps de repos pour redresser tout ça", en appuyant ces deux derniers mots d’un insistant regard sur sa bite un peu plus timide à présent.
Manu regarde les deux seins de Marie tressauter vers la salle de bains, et son cul disparaître derrière la porte. Marie enlève son short humide et rentre dans la douche. Manu s’assoit sur le bord du lit, il n’y croit toujours pas, sa bite est redevenue molle, il la prend dans sa main et tente de la redresser par une lente masturbation, mais la sensibilité de son membre est encore trop proche de la douleur. Il se demande ce que Marie lui réserve, il sait qu’elle compte bien remettre ça et n’en revient toujours pas. Il commence à se mettre la pression, il doit assurer ; lui qui s’est toujours imaginé donnant des leçons à Marie sur le sujet, qui a toujours cru avoir le dessus avec ses partenaires, le voilà soumis aux désirs d’une fille qu’il commence à aimer, d’une fille qui le surprend, qu’il doit satisfaire, avec obligation de résultat.
Marie sort de sa douche, elle enfile son peignoir, attrape dans le placard sous le lavabo un préservatif qu’elle glisse dans sa poche, et sort de la salle de bains. Manu est toujours assis sur le lit, le sexe complètement mou.« C’est pas la forme ! » lance Marie avec un sourire qu’elle veut sarcastique, en fixant des yeux cette bite ramollie.« T’inquiète chérie, ça va revenir ! » répond Manu avec une fierté pas très bien simulée. « Je peux aller prendre un douche ? » demande-t-il espérant reprendre des forces et de la vigueur.« Si tu peux prendre des forces aussi, vas-y. »
Pendant que Marie entend l’eau coulée, elle imagine plusieurs suites. Le laisser repartir avec sa frustration, le laisser la baiser comme il veut, mais elle a peur d’être déçue ou l’utiliser comme une poupée vivante. Et plus elle pense, plus ses idées s’envolent vers des mondes inconnus qui lui renvoient des images lubriques d’hommes nus, de sexe dressés, d’esclaves attachés utilisés seulement pour le plaisir de filles superbes, de membres gros et tendus pénétrant des sexes luisants de plaisir dans des gémissements d’orgasmes multiples. Son imagination la dépasse, elle s’allonge sur le lit, ouvre son peignoir, pose une main sur le bas de son ventre, frotte ses lèvres, glisse un doigt lentement et profondément dans son intimité, le remonte et masse doucement son clitoris qui roule, glissant du jus de son plaisir.Quand Manu sort de la salle de bain, il est nu, il a réussi à s’essuyer avec une petite serviette qu’il a trouvée, et il s’arrête net devant le spectacle de Marie se masturbant lascivement, sans bruit, sur son lit. Il prend son sexe dans une main, il est de nouveau tendu en quelques mouvements lents du poignet. Marie relève la tête, glisse hors de son peignoir jusqu’au bord du lit sur lequel elle s’assoit.
« C’est mieux ! » dit-elle avec un sourire plein de tendresse. Manu s’approche, son sexe au niveau du visage de Marie. A nouveau elle l’englobe presqu’entier dans sa bouche ; elle a du mal à croire qu’elle a encore envie de déguster cette verge dressée, signe du pouvoir masculin mais surtout ce soir du sien. D’une main elle attrape son peignoir dans son dos, le fait glisser à elle et sort le préservatif d’une des poches ; et cela sans laisser s’échapper le sexe de Manu de sa prison humide. Elle sort le cercle glissant de son sachet, le pose sur le gland de Manu et le déroule de ses deux mains jusqu’à la base. Manu est en extase, même s’il y a quelques temps qu’il apprécie vraiment de ne plus mettre de préservatif avec Nath, il sent son plaisir monter inexorablement entre les mains de Marie. Celle-ci se recule dans le lit, s’allonge, replie légèrement les jambes et les écarte autant qu’elle peut, invitant cette verge dressée à la pénétrer. Manu s’avance doucement, il a envie de gouter ce sexe ouvert ; il lèche toute la longueur de cette fente humide, il introduit un doigt et le fait aller et venir de plus en plus rapidement, de sa langue il cherche le bouton, appuie dessus, rapidement, trop rapidement. Marie sent le plaisir monter, mais sa tête est toujours là, elle se revoit faisant l’amour avec ses ex-copains ; et ce soir elle ne veut pas, ce soir elle n’ira pas chercher son plaisir, c’est lui qui la suppliera de le laisser passer, ce soir elle veut le sentir monter, seul, forcer la porte qu’elle retiendra aussi longtemps qu’elle peut pour le laisser enfin, comme hier, l’envahir tel un torrent trop longtemps retenu par un barrage qui finit par céder ; d’un coup, comme une vague qui emporte tout sur son passage, les corps, les âmes, et les trainent dans un flot incontrôlable de plaisir ; oui, ce soir c’est son plaisir qui devra se battre pour terrasser Marie.
Alors elle se redresse, se dégage de l’emprise de Manu, et l’invite de doux mouvements de ses mains à s’allonger sur le dos. Manu s’exécute, va-t-il encore avoir droit à une fabuleuse pipe comme il en a rarement eue ? Mais Marie n’attend pas une seconde, elle se place à cheval au-dessus du ventre de Manu, se penche légèrement, passe une main entre ses cuisses et va attraper la bite de Manu, qu’elle sent dure comme du bois. Elle le branle doucement d’un mouvement de va et vient de tout son bras qui glisse contre sa vulve ouverte et trempée ; de son poignet elle frotte son petit bouton dressée et sensible, en même temps qu’elle masse fermement la verge de Manu. Et puis elle se redresse, dirige cette tige dure vers son sexe, la fait glisser entre ses lèvres, du gland chatouille son clitoris, et enfin la fait pénétrer à l’entrée de sa grotte. Elle sent ce sexe entre ses lèvres, calé, prisonnier à la solde de son plaisir ; elle pose ses deux mains sur le torse de Manu, et dans une descente interminable s’empale lentement sur ce pieu qui la pénètre sans résistance. Et plus il descend, plus le plaisir monte, Marie le sait à présent, c’est comme cela que la route de l’extase se dessine, que le chemin du plaisir se dévoile ; elle ferme les yeux, imagine une verge énorme s’engouffrer au plus profond d’elle-même, chaque veine caresser en passant des millions de cellules dédiées au plaisir. Quand elle sent ses fesses sur les cuisses de Manu, elle pivote son bassin, pour prolonger cette course jusqu’aux limites ; elle ondule son bassin, sent le membre de Manu masser son intimité de l’intérieur, elle frotte son clitoris contre le corps ferme de son esclave. Le plaisir est là, comme elle le souhaite, à l’entrée ; elle sent que cette seule pénétration aurait pu le faire exploser. Manu n’en revient pas, il profite de ce spectacle surréaliste, de Marie s’empalant sur sa bite, de ses merveilleux seins ; il se sent un homme. Marie poursuit sa danse lascive, elle remonte lentement et quand elle sent le gland entre ses lèvres, elle entame une nouvelle descente vers le fin fond du plaisir. Lentement elle monte et descend, et lentement le lac se remplit, le barrage résiste et se fissure. Manu remonte ses deux mains vers ces jeunes seins qui s’agitent timidement au-dessus de sa tête, il les masse doucement, caresse les tétons dressés ; puis redescend les mains vers les hanches de Marie qu’il attrape fermement et dont il tente d’accélérer le mouvement. Mais ce soir c’est Marie qui dirige, seul son plaisir compte, elle prend les poignets de Manu pour en ralentir le rythme, et puis les place tendrement sur le lit de chaque côté de la tête de son mannequin vivant. Pendant quelques minutes encore elle poursuit son lent mouvement du bassin, les seins à quelques centimètres du torse de Manu qu’elle frôle des tétons. Marie est en extase, emporté dans le plaisir, le pouvoir, elle s’enfonce une dernière fois, ondule, s’allonge sur Manu, plaque ses seins sur cette poitrine ferme, plonge sa tête dans son cou. Manu n’en revient pas, il ne peut pas bouger, il ne maîtrise rien, il se sent comme un pantin, une machine qui ne sert qu’à donner du plaisir. Son sexe est toujours tendu mais Marie l’enlace tellement fort de tout son corps qu’il ne le sent presque plus, juste bouger un peu au fond d’elle. Alors, dans un dernier mouvement de tout son être, Marie exulte, elle sent son sexe convulser autour du membre planté profondément en elle ; un orgasme s’étend violemment dans tous ses muscles, elle est ivre de plaisir, c’est la première fois qu’elle éprouve cette sensation incroyable du pouvoir de sa tête sur son corps, capable d’injecter la jouissance dans chacune de ses cellules. Elle ne respire plus, sent au loin son corps se contracter involontairement en réponse aux ondes de chocs du plaisir qui inonde brutalement son être.
Et puis lentement son corps se détend, elle est surprise par sa respiration rapide qu’elle sent à nouveau, elle n’a plus de force, elle se laisse reposer sur Manu, dans un bain de bien-être. Manu ne bouge plus, il n’a pas joui de son côté, il est tiraillé entre la frustration, la surprise et la joie. Il sent à nouveau le sang afflué dans sa bite raide plongée dans l’intimité de Marie et ne veut qu’une chose : poursuivre son va et vient, reprendre le dessus, pénétrer Marie et la baiser réellement. Il reprend quelques mouvements de son bassin, invitant timidement Marie à le suivre. Il ne sait pas vraiment quoi faire, les orgasmes de Nath sont plus forts, plus démonstratifs pense-t-il. Quelques questions se bousculent dans sa tête de macho pris au dépourvu : Marie a-t-elle vraiment eu du plaisir ? A-t-il fait quelque chose de mal, de la mauvaise manière ? Écoutant surtout son excitation qui remonte, il poursuit ses mouvements de va et vient. Marie est heureuse, satisfaite, elle se découvre ; elle hésite entre faire semblant de continuer jusqu’à l’éjaculation de Manu ou bien terminer son jeu en le renvoyant chez lui maintenant. Elle se redresse, et tout en libérant lentement le sexe de Manu, elle annonce avec un sourire tendre : « Merci Manu ! » et s’allonge sur le côté. Elle voit bien le regard désemparé de Manu, elle caresse le ventre trempé de son esclave et s’amuse de voir ce beau membre toujours tendu dans son étui de caoutchouc. De la paume de la main elle caresse le gland qui réagit immédiatement, elle enlève le préservatif et entame une lente masturbation. Manu ne sait plus du tout comment réagir, pendant quelques secondes il reste sans vie. Tout en continuant son mouvement Marie réfléchit à la situation ; elle n’arrivera finalement pas à le laisser partir comme ça, et elle a encore envie de profiter de ces dernières minutes de pouvoir. Elle pose un bout de son peignoir sur les yeux de Manu : « Bouge pas, tu es à moi ! » lui chuchote-t-elle, toujours avec beaucoup de tendresse et de précaution dans la voix. Et elle accélère un peu son mouvement, elle remarque le bassin de Manu commencer à suivre le mouvement et au bout de quelques minutes de ce traitement, elle sent le sexe se durcir et cracher sans prévenir son plaisir. Elle s’allonge alors sur le dos et au bout de plusieurs minutes de silence : « T’es encore en vie ? » demande-t-elle.« Je crois oui » répond Manu en sortant le peignoir de ses yeux.Marie embrasse Manu sur le torse et se lève rapidement, elle attrape un tee-shirt et l’enfile. C’est avec un certain regret qu’elle doit renvoyer Manu chez lui : « Voilà. Maintenant il faut qu’on fasse comme s’il ne s’était rien passé. On est d’accord ? »Manu ne veut pas, il veut dire à Marie ce qu’il ressent pour elle. Dans un éclair de lucidité, il pense au début de la soirée, à sa promesse et fait semblant d’être d’accord : « Ok, je m’habille et je file. »Il se lève, se dirige vers la cuisine, et s’habille rapidement. Puis il se tourne vers Marie qui le regarde en souriant et se dirige vers la porte. Masquant difficilement sa résignation, il s’avance vers la porte, frôle Marie qui lui murmure à l’oreille « C’était vraiment génial, merci Manu. On remettra ça … peut-être. » et il part, sans rien dire, tant la situation le dépasse, il a préféré se taire. Il rentre chez lui, rassuré par ces dernières paroles qui ont tout effacé de son inquiétude et de sa frustration dans son esprit de macho.Marie se prépare à aller dormir comme tous les soirs, puis elle s’allonge et s’endort rapidement, chassant toutes les questions, laissant flotter son corps rassasié et son esprit serein. Quand le réveil sonne à huit heures, elle se lève et se prépare machinalement. C’est au moment de partir qu’elle se pose un flot de questions sur sa journée à venir, le chantage, Patrick, la manière dont il va se comporter avec elle au travail. Il a été tellement tendre hier soir, mais elle sait aussi qu’il peut utiliser son chantage d’une manière bien plus sadique.
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