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La Mariée

Chapitre 1

Hétéro
La Mariée…
Nous étions le dernier week-end du moi de mai, aujourd’hui était sa journée.
Son grand jour! Ma meilleure amie se marie.
Cela fait plusieurs années qu’elle est en couple avec le père de ses enfants, mais aujourd’hui il lui passe la bague au doigt.
En revanche, pour moi la journée s’annonçait longue et difficile.
Cela faisait un an que je l’avais rencontré sur le net, nos discussions furent immédiatement comme 2 vieux amis.
Alors lorsqu’elle m’annonça qu’elle allait se marier il y a 6 mois, j’eus du mal à le comprendre car à plusieurs reprises dans nos longues conversations, elle s’était effondrée en larmes m’expliquant que son futur mari était un con, un abruti et un incompétent.
L’amour a parfois ses raisons que la raison ignore.
Alors j’ai essayé de la soutenir au maximum dans chacune des étapes des préparatifs mais toujours à distance car son futur ne m’appréciait guère.
Alors je l’écoutais me raconter ses angoisses, son enthousiasme lorsque ses parents lui annoncèrent qu’ils lui offraient la salle de ses rêves pour le banquet…
La date approchait, et mon cœur ne la voyait plus depuis longtemps comme une amie mais comme une femme séduisante et que je désirais comme un fou.
Elle était grande, un corps voluptueux et désirable. J’ai toujours aimé les femmes rondes mais elle avait un corps de déesse : une poitrine toujours mise en lumière par un décolleté, un postérieur de rêve le plus souvent en jupe ou en robe de longueurs variables mais toujours fabuleuses.
Je connaissais son corps en détail sans jamais l’avoir vu nu car à chaque étreinte lors de nos retrouvailles ou de nos séparations après une ballade, un resto ou un ciné je savourais les courbes de ses hanches et venait déposer des baisers dans son cou ou sur ses joues qui s’empourpraient.

Je devais me rendre à l’évidence, j’avais succombé à son charme et j’étais tomber amoureux d’elle.
Mais malgré mes sentiments pour elle et ma haine de son futur mari de rendre si triste cette fragile Petite Fée, je devais être là pour elle, la soutenir.
Lui prouver que les doutes du passé appartenaient au passé et qu’une nouvelle vie s’ouvrait à elle et ses petits anges.
Lorsque je la retrouvai, elle sortait de chez ses parents après avoir fini de se préparer.
Elle était resplendissante dans sa jupe magnifique et son bustier écru brodée de rouge, la coiffure
Elle avait tout pour être la reine de la journée, j’étais envieux de cet homme qui ne la méritais pas.
J’aurais voulu prendre sa place et emmener ma Petite Fée devant Madame le Maire.
Mais lorsque je m’approchais d’elle les yeux pétillants et remplis de désir pour la complimenter sur sa beauté.
Elle esquissa un sourire timide mais son regard semblait triste et dans le vague.
A partir de cet instant, les évènements s’enchaînèrent et je ne revis la Reine du bal qu’après la mairie, l’église et une bonne heure après le début du vin d’honneur.
Durant ce temps, je discutais avec sa famille que j’avais eu l’occasion de rencontrer lors de quelques occasions.Quant à la plus belle, elle venait saluer tout le monde y compris sa belle famille plus par formalisme que par envie.
Moi je noyais ma déception de l’entendre répondre Oui à la question du Maire dans les cocktails grignotant ici et là quelques petits fours.
Après les formalités d’usage, elle vint me voir un verre à la main, et me pris la main vers l’extérieur.
« Je n’en peux plus lâcha t’elle, vivement que ça s’arrête car c’est lourd de voir toute ces têtes qui me tournent autour. »
Sur l’instant je pensais qu’elle parlait de la cérémonie
Elle me demanda de la suivre, en contrebas dans le parc du château et avec nos verres à la main nous nous assîmes sur un banc de pierre au bord d’un petit lac ou la nature prenait le dessus sur l’ambiance de la salle où les bouteilles défilaient.
Sur ce banc dans la pénombre, elle pouvait enfin souffler un peu après une folle journée et elle me racontait ses impressions sur les évènements.
Son visage était las et même un peu triste alors comme je l’avais fait tant de fois auparavant je lui offris mon épaule pour la réconforter.
Elle pose sa tête et me prend dans ses bras me laissant voir sa jolie poitrine par son décolleté et vient déposer un baiser dans le cou qui m’électrise.
Associé à ma vision, je sens que le désir naissant s’empare de ma queue qui commence à gonfler.
Elle semble s’être endormie, elle décompresse en écoutant mes mots qui tentent de la rassurer mais qui sont trop hésitant, tant j’ai peur qu’elle ne sente ma bite qui déforme mon pantalon venir frôler ses fesses car désormais elle est adossé contre mon torse mes bras autour de sa taille.
Alors que nous discutons, je dépose de petits baisers sur ses joues, soudain au moment où je m’approche, elle tourne la tête et nos lèvres s’effleurent. Aïe! ! ! ! Qu’avons nous fait?
Que s’est il passé, mais pourquoi a t’elle tourner la tête à cette seconde là?
Je panique dans mon esprit, et si quelqu’un nous avait vu? Qui croirait que c’est un accident et non voulu?
Ou du moins pas du tout aujourd’hui, je ne voulais pas semer le trouble le jour de son mariage.
Elle se redresse et se lève du banc.
Elle se tourne face à moi et pour la première fois de la journée, ses yeux pétillent et un sourire illumine son visage.
Son regard me rassure, il sous entend que je n’ai pas commis d’erreur mais c’est elle qui est venu me voler notre premier baiser avant de s’enfuir vers la salle.
Je finis mon verre mais en avait besoin d’un autre rapidement, direction le bar.
Un rhum juste avec 2 glaçons avalé d’un trait.
Désormais, je la recherche dans toute la salle elle discute rigole commence à faire danser ses enfants et son père.
Je la regarde, ignorant totalement le monde qui nous entoure, je me nourris de sa beauté.
Elle est au centre de la piste étincelante comme elle est au centre de mon cœur.
L’alcool aidant, je profitais de la fête et à chaque occasion la fais danser et tournoyer sous le regard désapprobateur de son mari.
Mais je m’en fou, il n’osera jamais m’envoyer balader devant tout le monde.
Vers 4h du matin, la soirée battait son plein et pour moi il était l’heure de rejoindre ma voiture où vu l’alcool bu, je m’endormirais sans difficulté.
Un dernier verre, je cherche ma belle du regard. Elle est là, je prends 2 flûtes de champagne et me dirige vers elle.
Elle me fait signe de l’attendre dehors devant l’entrée de la salle.
Quelques minutes après, la voici toujours aussi belle dans sa tenue de mariée elle m’emmène vers le banc.
Mais au lieu de s’asseoir, elle prend une coupe et trinque avec moi.
Je lui souhaite beaucoup de bonheur et lui dit que je vais rentrer mais elle frissonne alors je lui propose ma veste pour couvrir ses épaules nues et lui propose de la déposer moi même ; elle accepte.
Je vais déposer un dernier baiser sur sa joue, mais soudain elle tourne la tête et cette fois appuie son baiser plus intense et sa langue s’invite contre la mienne.
Je la plaque contre moi, mes mains qui étaient sur ses hanches glissent sur ses fesses.
Elle m’étreint, je suis aux anges mais que va t’il nous arriver?
Soudain, je perds le contrôle et lui dit que je la désire et que je l’aime. J’ai envie de posséder son corps alors ma main ouvre ma braguette et je libère mon sexe.
Je sens que sa main commence à caresser ma tige sans pour autant libérer mes lèvres.
C’est incroyable comme sa main est douce et agréable, je prends un plaisir de dingue.
Elle décolle ses lèvres et m’emmène par la queue à proximité du banc ou elle s’assied et désormais ce n’est plus sa main mais sa bouche qui s’active.
Elle l’avale, elle joue avec sa langue sur mon gland mais son regard ne laisse aucun doute sur le plaisir d’avoir mon pieu de chair en elle.
Parfois, elle me regarde et moi je suis sa nuque vers ses épaules.
Elle est une suceuse incroyable et experte et mon plaisir commence à monter, des perles de ma crème commence à sortir de ma queue humide.
Je lui propose de changer de position et lui demande de se mettre face au banc d’appuyer ses mains et d’écarter les cuisses.
Je me place à genoux derrière elle, et commence à relever sa jupe et découvre des bas blancs, retenus par un porte jarretelles ma queue toujours à l’air mouille de plus en plus.
Son cul magnifique est quand à lui est dissimulé derrière une petite culotte en soie que je fais rapidement glisser le long de ses cuisses.
Mes lèvres embrassent ce postérieur tant désiré, puis c’est ma langue qui entre en contact avec son œillet.
Ce sont désormais les vapeurs enivrantes de son intimité et ses gémissements étouffés qui m’excite encore plus.
Ma langue vient se glisser entre ses lèvres pour venir jouer avec ses parois et son clitoris.
Qu’elle est belle vue d’ici et excitante !
J’adore alterné entre ses 2 trous les plus secrets, J’adore masser son petit trou, elle semble adorer ça aussi.
Le plaisir est fou, jamais je n’aurais espéré découvrir tout son corps, mais encore moins en ce jour si spécial.
Elle n’en pouvait plus, ses jambes ne la tenait plus alors elle me proposa de m’allonger sur le banc ma queue était libérée de ses prisons de tissus.
Elle releva sa jupe et vint se positionner à cheval sur moi.
Elle glissa mon pieu dans sa grotte humide d’envie, elle avait un regard de lionne me fixant, me dévorant comme la proie de son plaisir.
J’étais pris au piège mais consentant, je faisais l’amour à la Mariée mais surtout à la femme que j’aimais en secret.
Je caressais ses nichons qui s’étaient échapper de son bustier
Le désir était affolant et ses mouvements du bassin me firent exploser au fond de son intimité.
Cela lui déclenchant un orgasme foudroyant.
Elle s’écroula sur moi Et vint m’embrasser délicatement vraisemblablement heureuse de s’être offerte un cadeau de mariage.
Quant à moi, et bien j’étais heureux d’avoir partagé cette fin de soirée en sa compagnie.
Elle était la Reine du jour, mais ce soir j’aimais à croire qu’elle avait rencontré son Prince Charmant.
Après quelques secondes de silence où nous savourions ces instants magiques, nous entendîmes son mari.
Il semblait passablement imbibé et même fracassé tant il avait bu au lieu de s’occuper de sa femme.
Elle se redressa, ramassa sa culotte au sol et essuya les coulées de nos jus mélangés le long de ses cuisses et sur sa chatte.
Elle m’offrit sa lingerie en souvenir de ces instants partagées et me poussa derrière un buisson.
Ouf, c’était chaud, son mari arrivait. Elle eut juste le temps de se rajuster.
Il lui demanda de sa voix hésitante ce qu’elle faisait ici seule au lieu de s’amuser avec les amis et la famille présente.
Elle lui répondit qu’elle aimait bien profiter des charmes de la nuit, ils remontèrent vers la salle de bal.
Ainsi s’achevait pour moi la soirée de son mariage.
Je ramassais par chance ma veste qui avait glissé durant nos ébats sous le banc et que son mari n’avait pas vu.
Je m’endormis dans ma voiture sur ce parking et ne me réveilla que 5h plus tard.
J’avais un peu dessaouler alors je reprenais le chemin de ma maison.
Sur le trajet, en fouillant mes poches pour trouver un mouchoir, je retrouvais la culotte de ma maîtresse d’un soir.
Elle était douce et sentait l’odeur de nos jus mélangés.
Arrivé chez moi, je me rendormis cette lingerie soyeuse près de moi, souvenir inoubliable d’une soirée de rêve avec la Petite Fée.
Vers 14h, je fus réveillé par un SMS : « Merci de m’avoir offert une vraie nuit de noce. »
Je répondis simplement : « Merci à toi, mon Amour de Petite Fée »

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