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Mariés pour le meilleur

Chapitre 2

Erotique
Chapitre 2 : Apprendre la discrétion
Lorsque je me réveille le lendemain matin, j’ai des difficultés à me lever. Avec Dimitri, nous nous sommes donnés à cœur joie pour baptiser chacune des pièces de notre appartement de nos ébats. Nous laissant épuisés, courbaturés dans notre lit. Cette nouvelle journée est destiné à déballer les innombrables cartons qui nous encombrent. Tout d’abord me laver. Je laisse Dimitri dormir tranquillement du sommeil de celui qui a joui et fait jouir.Dans notre salle de bain, je remarque à quel point, je suis sale. Mes cheveux sont collés à cause de la sueur. Sur les seins et dans le dos, j’ai de longues traces de sperme séché. L’intérieur de mes cuisses est couvert d’un mélange de sperme et de cyprine. Une douche sera bien méritée. L’eau chaude dénoue mon corps endolori. J’en profite pour me masser et me caresser.J’arrête lorsque je sens que mes tétons pointés, et la chaleur montée. Nous avons beaucoup de boulot alors je ne dois pas me laisser aller. Un petit jet d’eau froide fait retomber mon excitation même si mes tétons bandes de plus belle.Habillé d’une simple serviette, je sors pour préparer le petit déjeuner. J’ai la surprise, lorsque je passe par notre entrée, de voir un papier sur lequel il est inscrit : « Apprendre à faire l’amour en silence est un mal nécessaire en appartement. »La honte et l’énervement s’entremêlent dans mon esprit. Furieuse, je m’en vais retrouver Dimitri si vivement que j’en perds ma serviette. Il dort toujours, alors je décide de le réveiller comme il aime. Je lui enlève la couverture dévoilant son superbe corps à mes yeux.Sa bite est au repos mais je ne compte pas la laisser longtemps dans cet état. Il sent encore fort de nos ébats d’hier. Peu m’importe, loin de me rebuter, je m’y attaque. Je caresse doucement ces cuisses de mes mains et ne me sert que de ma bouche pour titiller son pénis. Nos exploits d’hier ont certainement eu raison de lui mais j’ai quelques techniques pour le réveiller. Je masse ses bourses d’une main et de l’autre je taquine doucement son anus jusqu’à ce que je le sente près alors en douceur je pénètre lentement la corole avec un doigt pour jouer avec sa prostate. Mes efforts ne sont pas vains et un durcissement commence à se faire sentir. Je continue à lui prodiguer du plaisir et bientôt son sexe est assez en forme pour que les choses sérieuses commencent.Toujours endormi, il m’appelle dans ses rêves. Heureuse de cette réaction, j’arrête ma fellation passionnée pour le chevaucher avec ardeur. « Mhhh vas-y doucement chérie, je ne suis pas encore tout à fait réveillé.— Ce n’est pas mon genre de démarrer trop rapidement, amour. » Dimitri ouvre les yeux et m’admire. Il admire ma hardiesse, il admire mes seins qui s’affolent, du frisson de plaisir qui parcourt mon corps. Il adore ma façon de bouger de quelle façon ma chatte le serre et comment mes fesses frappent ses cuisses. « Quelle vision divine. »Pas encore tout à fait réveillé, il se redresse néanmoins pour m’embrasser, au passage il sent mon parfum.« Tu sens merveilleusement bon. »Il se laisse retomber lourdement pour commence à devenir acteur. Il commence à bouger ses reins, nos mouvements s’accordent. Notre rythme est lent, nous travaillons plus le mouvement.Il commence à pousser des cris de plaisir et à parler. « J’adore quand tu me réveille », « Oui donne tout, vite, vite, chérie. » Chez moi aussi le plaisir monte et je commence à ne plus me contrôler alors je lui demande de prendre les choses en main. En un instant ces mains sont sur mes hanches et il donne des coups de reins plus brutaux que les précédents. Je suis légèrement surprise par sa réactivité alors que je le pensai encore mal réveiller. Cela me provoque des vagues de plaisir dans tout le corps. « C’est trop bon, bouge avec moi, amour.— Je te donne tous ce que tu veux ma chérie. »Il se soulève, mord un de mes seins et me provoque de nouvelles vagues de plaisir. Mon sein endolori ne garde pas longtemps la trace de la morsure, alors il m’en fait une seconde, puis une troisième toujours plus appuyée.Dans le plaisir qui déferle en moi, inarrêtable et irréfléchie, une image s’impose furtivement à moi. Le souvenir du message qui exige de nous plus de discrétion. Au lieu de me calmer, je hurle de plaisir. La jouissance vient pour moi, pendant un instant je reste tétanisé, une poupée désarticulée qui a connu d’excellents orgasmes. Je m’affale sur Dimitri qui soulève ma tête pour m’embrasser passionnément. Ses mains m’entourent la tête, il joue habillement de sa langue à tel point qu’à un moment je ne parviens plus à respirer.Il adore les séances de sexe intense alors qu’il n’est pas réveillé. A nouveau poisseuse de sueur, je suis bonne pour prendre une deuxième douche.
Dimitri se lève d’un bond et se dirige nu, parfait, toujours le sexe bandé, vers la salle de bain.« C’était intense cette nuit. Cet appartement est plein de bonnes ondes sexuelles.— Nos voisins ne semblent pas d’accord avec toi.— Attend Simon et Naomie, ils sont chauds. Et Estelle est à croquée.— Je ne parle pas d’eux. Je parle de ceux qui ont laissé un message.— Un message quel message ?— Fini de prendre ton bain et je te le montre. — Viens plutôt me rejoindre », me dit-il coquin.Je lui promets de venir le laver. Avant je dois récupérer ma serviette qui est restée dans le couloir avec le message. La sonnerie résonne. Deux fois brièvement et la troisième plus longue.La serviette sur moi et le message à la main, j’ouvre la porte. Un très bel homme en costume et une femme un peu plus jeune, plus mignonne que belle, en tenue du quotidien me font face. L’homme a un regard qui me donne envie de le claquer.Celui-là, il veut me posséder.Sa femme me regarde, agacée. Son regard droit dans le mien, elle ne veut pas s’abaisser à regarder ma tenue contrairement à son marie qui reluque mes jambes.« Bonjour chers voisins, c’est gentil de venir vous présentez.— Nous aurions plaisir à nous présenter une fois que nous aurons mis les choses au clair. Vous vivez maintenant en appartement. Malheureusement, les libertés que vous pouviez prendre auparavant ne sont plus possibles.— Mon époux vivait bien dans une maison. Personnellement, j’ai toujours vécu en appartement et personne ne s’est jamais plaint de moi.— Vous êtes mariés ? » Sa question me surprend et me fait également retomber dans mon rôle de la parfaite voisine que j’ai si vite tendance à oublier. Je lui tends ma main. Je suis encore ravie d’avoir ce geste pour faire admirer ma bague. C’est tout naturel qu’elle admire ma bague.« Nous sommes mariés depuis un an. Et nous sommes ensemble depuis 9 ans. » Je comprends qu’à ces yeux le sexe entre personne mariée ce n’est pas comme entre concubin.« Je suis ravie pour vous ! Reprenons, je m’appelle Marine et voici Valentin, mon époux.— Je m’appelle Maëlle et mon époux s’appelle Dimitri. Il est actuellement sous la douche et j’allais justement le rejoindre.— Bien sûr je comprends. Valentin retourne chez nous, je dois discuter avec Maëlle. » Valentin obéit à contre cœur. Avant ça, il se penche pour me faire la bise. Ses lèvres sur ma joue sont trop appuyées et sa main sur ma hanche trop insistante. Cela ne manque pas, ma serviette tombe.Il garde son visage de glace, sans pour autant en manquer une miette. J’agrippe ma serviette empêchant que mon corps entier soit dévoilé.Je m’excuse paniquer et replace vite ma serviette. Marine plaque ces mains sur les yeux qui rigole jurant n’avoir rien vu. Il part sur un baisé et un je t’aime.En montant dans l’ascenseur, je le vois au loin, il pose sa main sur sa bite et pose frotte doucement.« Je comprends mieux votre ardeur, nous avions la même avec Valentin quand nous essayons d’avoir des enfants. Nous aussi nous avons dérangés quelques voisins. »Si je veux me la mettre dans la poche je ne peux certainement pas lui dire que Dimitri et moi n’avons aucun projet actuel de bébé.« C’est fantastique, vous avez déjà des enfants, si jeune ? Quelle chance.— Oh vous savez j’ai déjà 39 ans. Oui trois garçons. Enfin un de Valentin qu’il a eu d’une erreur de jeunesse avec une catin, sa précédente femme et deux de moi. D’ailleurs je dois vous avouez qu’ils ont été légèrement été perturbé par vox voix. Mes garçons je veux dire. Ils ont tous les deux 15 ans.— Je comprends c’est la puberté. — Oui ils ont été rouge tout le long du repas et ce matin ils étaient également très rouges. Ils sont encore à la maison. Je vous les présenterai une autre fois quand votre tenue sera plus convenable.— D’accord, je prends note faire moins de bruit le matin et le soir. Je dois vous avouez que c’est si difficile. Non je ne devrais pas mais mon époux et moi nous sommes si fusionnels. Je dois dire que sur le plan sexuel c’est parfait. Enfin vous devez connaître avec ce que vous m’avez raconté.— Non pas bien. » Elle hésite, rougit, regarde autour d’elle. « À vrai dire mon mari n’est pas un excellent amant. »Personnellement j’ai envie de rire, son marie à clairement le type de celui prend mais qui ne donne jamais. Je ne peux pas car cet aveu semble pour elle assez terrible.« Je ne me permet pas ce genre de remarque normalement. Vous semblez libre sur ce plan.— Je serais ravi de vous aider. Voudriez vous qu’on se retrouve plus tard pour parler de tout ça ? »La voix de Dimitri se fait entendre à travers le couloir : « Chéri, si tu ne tiens pas ta promesse je vais devoir te punir. » Je ne rougis pas de honte mais d’excitation sachant que ces punitions ne sont jamais terribles et plutôt bonne à apprécier. Contrairement à Marie, malgré son malaise visible, qui ne peut s’empêcher de faire un pas dans l’entré pour observer d’où vient la voix. Comme je ne bouge elle se retrouve collé à moi.Elle lève son visage vers moi. Il est légèrement enfiévré et je comprends que toutes les remarques qu’elle m’a faites plutôt c’est pour elle. C’est elle qui vit une seconde puberté. Elle est légèrement tremblante.Je m’approche doucement d’elle, ma poitrine vient se coller à elle. Elle ne recule pas, ne bouge pas.Mon visage frôle presque le sien.« Peut-être auriez-vous aussi envie d’être punie par mon mari ? »Sa bouche dit non, sa tête dit oui.« Peut-être auriez-vous envie que je vous punisse pour fantasmer ainsi sur mon mari ? »C’est le moment que je choisi pour faire tomber ma serviette. Elle n’ose pas baisser son regard, ni dire un mot ; je me colle davantage à elle pour qu’elle sente chaque courbe de mon corps.« Peut-être que je devrais vous punir de fantasmer sur moi ? »Un petit oui aigue sort, timide, de cette bouche frémissante.« Quelle petite cochonne de Marie, vous êtes une magnifique surprise. » J’empoigne d’une main ferme ces cheveux et je colle nos bouches l’une à l’autre d’un geste autoritaire.À ma grande surprise, sa bouche ne reste pas longtemps passive. Lorsque je la presse contre la porte elle se cogne légèrement, sa bouche est grande ouverte, cherchant à retrouver son souffle, elle a de la bave qui coule du coin de sa bouche.« Je crois que c’est vous la catin plutôt que l’ex-femme de votre mari. Peut-être que vous auriez aimé également vous la faire ?— Elle est si séduisante, si belle bien plus que moi.— Vous voudriez que je vous apprenne à séduire cette femme ? La séduire comme je vous ai séduite vous ?— Apprenez-moi s’il vous plaît !— Maëlle qu’est-ce que tu fous ? »Mon adonis furieux surgit du couloir, cogne contre quelques cartons, avant de se relever et de nous regarder agréablement surpris.« Pardon trésor tu me préparais un petit cadeau peut-être ?Il est complètement nu, sauf qu’il ne bandait plus depuis le temps.« Marie je te présente Dimitri, mon mari, Dimitri, je te présente Marie notre voisine. »Cette dernière pousse un cri légèrement suraigu avant de s’enfuir dans son appartement.« Mince j’ai tout gâché.— Non trésor. Elle aura vu mon corps magnifique et je suis sûre qu’elle ne résistera pas à goûter à cette friandise. »
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